Le temps légèrement voilé et une petite brise rendent agréable le fait d’être allongées sur nos transats et être mouillées nous procure un sentiment de fraicheur qui a pour effet de faire dresser nos tétons. Cela n’a pas échappé à notre voisin qui, j’en suis sure, n’en perd pas une miette derrière ses lunettes de soleil.Nous décidons de retourner nous baigner et j’en profite pour en faire part à Jennifer qui, mine de rien, en rejoignant nos transats, réajuste lentement son bas de maillot et lui dévoile entièrement son sexe tout en le regardant droit dans les yeux. Bientôt rejoint par sa femme, l’homme se tourne et s’allonge sur le dos.Nos transats étant collés l’un à l’autre, Jennifer me demande de lui raconter à nouveau comment les garçons m’ont prise la veille et je reprends alors ma narration en détail, en insistant sur les sensations que j’ai éprouvées quand Stéphane est entré dans mes reins pendant que Thomas était au fond de mon sexe et l’arrivée de mon orgasme, provoqué par l’éjaculation abondante de son chéri au plus profond de moi, suivie rapidement par celle de Thomas dans mon sexe. J’insiste aussi sur le fait que j’ai été emportée par ma jouissance au point de m’être endormie comme une masse et que le fait de m’être réveillée encore remplie de leurs semences m’avait énormément troublée. — Ça m’excite Camille, continue s’il te plaît...— Tu veux que je te transfère les photos ?— Oui... Volontiers... Tout en transférant les fichiers, je lui raconte alors que j’avais aussi adoré avoir été seule avec Stephane le premier jour et que j’avais beaucoup aimé sa manière de me baiser ce jour-là. Je lui confesse aussi avoir très envie de le sucer jusqu’à le faire jouir dans ma bouche pour goûter à son sperme.Jennifer à son tour me raconte en détail (ce que je savais déjà par mon chéri) ce qui s’est passé entre elle et lui l’autre soir et le plaisir qu’il lui a procuré y compris en lui éjaculant dans la bouche, ce qu’elle adore. — Putain... Je suis trempée Camille... J’ai envie d’eux, de toi, que tu me fasses jouir... Je suis tout aussi excitée qu’elle est tout aussi trempée. J’ai envie de ses doigts sur moi, dans moi et de sentir à nouveau la grosse queue de son chéri dans mes reins. Je ne peux décemment pas lui avouer cela comme ça, ni que la courbure de la queue de Stéphane m’a rendue folle de plaisir quand il m’a prise...Histoire de tenter de nous calmer, nous retournons dans l’eau et faire quelques brasses pendant lesquelles elle se confie à moi sur ses envies d’être dirigée en général en matière de sexe et sur sa découverte du plaisir entre femmes qui la trouble tout autant que ça l’excite. Ayant vécu cela quelques années auparavant avec mon amie Caro, je ne peux que la comprendre.
A notre retour aux transats, un texto de Stéphane demandant à Jennifer de le rappeler nous inquiète, mais en fait, c’est juste pour prendre de ses nouvelles et lui dire que si cela ne nous dérangeait pas, ils déjeunaient ailleurs et ne rentreraient que dans l’après-midi en continuant leur balade sans se presser. Jennifer, après m’avoir consultée, lui répondit que nous étions à la piscine et que, à défaut d’aller à la plage, nous irions sûrement faire un peu de shopping ensuite et que donc... qu’ils prennent leur temps. Cela semble leur convenir et nous restons convenus que les premiers de retour à l’hôtel attendent les autres.Nous irons donc à la plage le lendemain... Après avoir encore un peu profité de la piscine et grignoté un bout au snack attenant, nous décidons de partir à notre tour promener et faire les boutiques entre filles. Nous regagnons nos chambres afin de prendre une douche et de nous préparer.A peine ai-je eu le temps d’ôter mon maillot de bain et de le mettre à sécher sur la terrasse que Jennifer apparaît dans l’embrasure de la porte de séparation, elle aussi intégralement nue.Elle se dirige vers moi et me pousse contre la baie vitrée en me murmurant à l’oreille qu’elle a envie qu’on reprenne où on en était...Pour quelqu’un qui aime être dirigée...Je me laisse faire et rapidement sa bouche se colle à la mienne pour un baiser torride. — On est pas pressées pour partir balader non ?... J’ai envie qu’on se fasse encore du bien toutes les deux...— Fais-moi jouir Jenn... Ta bouche... Lèche-moi la chatte... Partout... Elle s’agenouille devant moi et commence à me lécher en écartant mes lèvres...Je la relève pour l’embrasser et m’allonge sur le lit. Elle grimpe sur moi pour m’embrasser à nouveau puis sa bouche et sa langue s’égarent sur mon cou, mes aisselles, mes seins dont elle aspire et mordille fortement les bouts...Elle glisse ensuite jusqu’à mon nombril dans lequel s’insinue et tournoie le bout de sa langue puis descend à nouveau jusqu’à mon sexe dont elle écarte les lèvres avec ses pouces pour mieux glisser sa langue en moi... — J’aime ta chatte Camille... Tes petites lèvres qui dépassent bien... J’ai envie de les mordre...— Mordille-les alors...étire-les... J’adore... Je suis dans un état second...En transe...Sa langue s’insinue ensuite en moi et elle boit ma mouille que je sens très abondante. Son attention ensuite se porte sur mon clitoris qu’elle lèche et aspire doucement. — Mets-moi des doigts aussi... Je la guide alors jusqu’à ce que ses doigts frottent sur mon point G... — Oui... La... t’arrête pas... tu vas me faire jouir... Je ne suis que gémissements tant mon plaisir est fort. Ce dernier monte, monte sans aboutir, et je sens que ma mouille et sa salive désormais coulent jusqu’entre mes fesses.La langue de Jennifer se fait plus appuyée encore et j’écarte encore plus mes cuisses en les ramenant vers moi, tout en appuyant sur la tête de mon amie pour la maintenir plaquée contre ma fente. Je sens comme une sorte d’envie d’uriner...Je sais qu’elle va me provoquer cette sorte d’éjaculation que j’ai parfois...Ses doigts me rendent folle...Je sens les petits jets de mouille incontrôlables s’échapper de moi, qui lui éclaboussent le visage...Un tourbillon de plaisir m’emporte alors et je ne peux retenir un long gémissement de jouissance.Cet orgasme me laisse vide, amorphe et je sens la joue de Jennifer appuyée contre mon pubis...Je savoure cet instant en caressant ses cheveux et l’attire vers moi pour la serrer dans mes bras et l’embrasser à nouveau.J’adore ces moments d’intimité et de calme, de câlins entre femmes encore transpirantes.Je l’embrasse...Sa bouche a le goût de ma jouissance. Les draps sont trempés de ma jouissance...J’ai envie de lui rendre la pareille et de la faire s’envoler à son tour... — Tu veux ma bouche maintenant ou bien autre chose ?... Ton gode ?— Je sais pas... Je veux jouir... Fais-moi ce que tu veux, ce que tu as envie, dirige-moi...— Dis-moi où est ton gode je vais le chercher...— Dans ma valise sous le lit, de mon côté. Je vais donc chercher l’objet de notre plaisir de ce matin et en ouvrant la fameuse valise, je découvre que Jennifer a aussi emporté d’autres choses dont un objet que j’affectionne tout particulièrement et que je n’avais pas osé emporter, de peur d’une fouille à l’aéroport: Un plug anal en plastique souple de taille conséquente et qui visiblement renferme une boule qui bouge à l’intérieur, mais aussi un Rosebud en métal semblable à celui que Thomas m’a offert, mais en bien plus gros et surtout bien plus lourd.Je prends les trois objets et le tube de gel qui était avec les "jouets" puis retourne rejoindre Jennifer qui m’attend en se masturbant du bout des doigts lentement. — Tu m’avais caché ça toi...— Tu aimes ? Moi j’adore.— Moi aussi et le porter parfois quand je sors, c’est vraiment le kiff total pour moi !— Viens Camille, s’il te plaît... J’ai trop envie... Mets-le-moi...— Pas tout de suite, j’ai envie de te raser ton petit trait de poils... Je te veux aussi lisse que moi... Et ça fera une surprise à Stéphane... Tu lui diras que c’est moi qui te l’ai fait... Sans attendre sa réponse, je vais prendre le rasoir de Thomas je reviens vers elle. Ses yeux me dévorent... — Ecarte tes cuisses Jenn... Je m’applique alors à ôter le trait de poils qui lui reste et une fois intégralement lisse, je lui demande de se retourner et de se mettre à quatre pattes. — Lequel tu veux ?— Mets-moi celui en plastique s’il te plaît... Elle prend et écarte ses fesses à deux mains, offrant sa chatte et son anus à mes doigts et ma langue et après l’avoir longuement léchée ainsi que le plug, je pose une noix de gel sur son œillet et je l’introduis délicatement en elle jusqu’à ce que son sphincter avale lentement la partie oblongue, en laissant juste le "strass" visible.Une fois l’objet bien en place, je me glisse sous elle pour lécher et doigter à nouveau son sexe qui est une vraie fontaine.Je la mène lentement vers le plaisir et sadiquement, je décide de stopper net avec une petite claque sur ses fesses et lui demande d’aller se rafraichir et s’habiller pour sortir...Et de garder l’objet fiché dans ses reins. — Tu as envie que je mette quoi Camille ? L’occasion de jouer avec elle est trop belle et je lui demande de me montrer ce qu’elle avait emporté.Je choisis de lui faire porter une robe droite mi-cuisse à bretelles, fermée par des pressions sur le devant (en lui interdisant tout dessous) et des sandales hautes compensées.Elle s’exécute pendant que je file en vitesse sous la douche en prenant le tube de gel... et j’en profite pour glisser le Rosebud de Jennifer dans mes fesses. La taille de l’objet rend la chose difficile, mais finalement, aidé par le lubrifiant, il entre en moi.Je me sens très dilatée...J’aime cette sensation...De plus, la base, fort large, maintient mon sillon fessier légèrement écarté...C’est la première fois que je porte un truc aussi lourd et qui me distend autant...Je la retrouve sagement debout au milieu de la chambre à m’attendre en pianotant sur le téléphone.En me mettant à genoux devant elle, je défais deux pressions sur le bas de sa robe et autant sur le haut afin qu’en marchant, cela découvre ses cuisses presque jusqu’en haut et laisse aussi voir le haut de sa poitrine que l’on ne peut imaginer autrement que libre. Je lui montre que j’ai glissé en moi son bijou qui orne et distend désormais mon anus...J’opte à mon tour aussi pour une paire de sandales, mais plate, et pour une fine robe noire aux genoux sous laquelle je décide aussi de rester intégralement nue.Nous repassons par nos salles de bains respectives pour un léger coup de maquillage et nous voilà parties en direction de l’ascenseur en nous prenant par la main, nos doigts entrelacés.
