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Camille initiée par sa tante

Chapitre unique

Orgie / Partouze
— L’été venu, Camille était encore sous le coup de sa rupture avec Mikael, avec lequel elle vivait depuis deux ans. Pour la première fois, elle se retrouvait face à la perspective de vacances en solitaire après s’être donnée à fond dans son boulot à l’agence immobilière, histoire d’oublier. Dur à l’âge de 23 ans quand on passe pour une jolie petite poupée, menue mais bien proportionnée, tout pour plaire. Justement, elle ne voulait plus plaire aux hommes. Elle en était dégoûtée. Une période d’abstinence, plus ou moins longue, lui ferait le plus grand bien. Elle s’était ouverte de son infortune à sa tante Magali, qui la comprenait mieux que sa mère. Elle adorait cette tante peu conventionnelle, célibataire endurcie après un divorce de longue date, podologue de son métier, en fin de cinquantaine mais toujours sapée de manière à lui donner dix ans de moins, ce qui correspondait du reste à son caractère.— Viens avec moi passer une semaine dans mon appartement au bord de la mer, avait-elle dit à sa nièce. Cela te fera du bien de prendre le soleil, de te baigner et de rencontrer mes potes qui sont tous sympas.
Camille avait sauté sur l’occasion, trop heureuse de combler le vide de sa vie hors boulot. Après tout, la fréquentation d’hommes et de femmes dans leur maturité était un bon moyen d’oublier les garçons de son âge, qui n’auraient pas manquer de la draguer, en boite ou ailleurs. Et c’est ainsi qu’elle débarqua dans la station balnéaire où sa tante avait établi ses pénates estivales depuis deux semaines.Lorsqu’elle la retrouva, son bronzage lui sauta aux yeux et contrastait fort avec sa peau d’albâtre de citadine. Malgré ses cheveux châtains pailletés de blanc, qu’elle laissait flotter ou nouait en chignon selon ses convenances du moment, elle paraissait vraiment rajeunie, d’autant qu’elle portait un simple short dévoilant ses cuisses cuivrées et un débardeur à même la peau. Camille se trouva presque ringarde avec son jean et son tee shirt, sans parler de son soutif censé maintenir ses petits seins.
— Tu vas m’enlever tout ça et te mettre en tenue adéquate, lui avait dit Magali d’emblée. Et lui avait prêté short et débardeur d’autant plus facilement que tante et nièce avaient la même taille, sinon le même poids, Magali étant tout de même un peu plus charnue, vu son âge.
Dès le premier jour, cap sur la plage. Le duo s’était rendu à un lieu assez couru, hors station, nécessitant après le parking de traverser une courte dune surmontée de résineux. Arrivées sur la plage, elles avaient tourné à gauche, traversé les corps allongés et abordé un secteur délimité par des panneaux que Camille mit un peu de temps à identifier. A dire vrai, c’étaient moins les panneaux que tous ces corps nus qui paressaient au soleil ou pataugeaient dans la mer qui lui firent comprendre qu’elles se trouvaient en secteur naturiste. Quand Magali planta son parasol, Camille l’interpella :
— Mais... tatie, on se met là ? Avec tous ces gens nus ? — Eh oui. C’est là que je viens tous les jours. Et tu vas te mettre à poil, comme moi.
Interloquée, Camille vit sa tante se débarrasser du peu de vêtements qu’elle avait sur elle et se montrer sans complexe devant sa nièce en tenue d’Eve. Jamais elle ne l’avait vue nue, et encore moins envisagé qu’elle la verrait un jour dans le plus simple appareil. Mais force lui fut de constater que son corps intégralement bronzé, encore ferme, supportait gaillardement la nudité.
— Alors, tu te déshabilles ou quoi ?
Camille se sentit obligée d’obéir. Elle se voyait mal garder son bikini, pourtant acheté à prix d’or malgré le peu de tissu proposé, alors qu’une femme presque trois fois plus âgée qu’elle avait relégué le sien aux oubliettes. En se dévêtant, elle eut l’impression que toute la plage la regardait. En fait, les baigneurs sur leur serviette continuaient à sommeiller, lire ou remplir leurs mots fléchés. Cette indifférence rassura Camille, et l’édifia en même temps. On pouvait être sur une plage nudiste sans se rincer l’oeil. Du moins en apparence.
— Allez viens, on va se baigner et après, je te mettrai de l’écran total. Sinon, tu seras comme une langoustine ce soir.
Camille obéit à nouveau à sa tante et se laissa emporter par les vagues. D’emblée, la sensation de se baigner sans intermédiaire la ravit. Le contact de l’eau fraiche et salée sur son corps nu lui procura une sensation nouvelle. Elle comprit la joie des autres baigneurs voisins. Un couple d’amoureux collé l’un à l’autre, dans une approche quasi sexuelle, lui mit le rose aux joues. Surtout quand elle s’aperçut que l’homme manifestait un début d’érection. Cette plage n’était décidément pas banale.Revenues sur leur serviette, les deux femmes devisèrent brièvement. Désormais enduite d’écran total, Camille s’entendit proposer d’aller marcher sur le sable :
— Je vais te présenter à mes potes, qui sont rassemblées un peu plus loin, lui dit Magali.

C’était un petit groupe composé pour l’essentiel d’hommes et de femmes ayant passé la cinquantaine. Intégralement bronzés et quasiment tous rasés, en particulier au pubis. Ils firent un bel accueil à Camille, qui eut droit à des bises en même temps que les présentations d’usage. Elle ne retint pas tous les prénoms mais nota mentalement celui d’un homme, Michel, quinqua grisonnant, bien bâti, sourire enjôleur, doté d’un appareil génital particulièrement copieux que Camille avait repéré derrière ses lunettes de soleil, mine de rien et non sans en ressentir un certain trouble. Deux femmes mûres lui firent fête, étonnamment ressemblantes, même chair abondante, mêmes ongles peints, mêmes cheveux courts à la différence notable que l’une, prénommée Yolande, était "aile de corbeau" et l’autre, Joëlle, auburn. Et bien sûr rasées au pubis. Deux pétroleuses, jugea Camille, d’autant qu’elles ne semblaient pas accompagnées d’un mari.
Mais celle qu’elle retint le plus était la bonne copine de Magali, prénommée Caroline. Elle aussi menue mais dotée d’une lourde poitrine, cheveux prématurément gris mais fort seyants en contraste avec sa peau cuivrée, la seule à ne pas être épilée au pubis et aux aisselles. Elle ne devait pas avoir beaucoup plus de 40 ans, à en juger par ses traits et son corps. Elle était flanquée de près par l’homme le plus jeune de la bande, pas loin de l’âge de Camille, doté d’un corps mince et musclé, mais surtout d’un pénis étonnamment long et fin. Vu que lui et Caroline ne cessaient de se bécoter, Camille en conclut qu’ils étaient amants, en dépit d’une différence d’âge manifeste. Mais elle n’en fut pas choquée. Elle trouvait à Caroline un côté beauté naturelle, sans apprêt, qui la rendait attractive et finalement conforme au naturisme.
— De retour sur leur serviette Camille et Magali furent rejointes par Caroline et son jeune amant. Une discussion de plage s’engagea : le temps, la mer, les baigneurs etc. Caroline caressait discrètement Kévin tout en parlant et Camille voyait fascinée derrière ses lunettes de soleil la queue fine du jeune homme se redresser lentement. Puis il parla à l’oreille de sa maîtresse qui dit ensuite à Magali :— Excuse-nous, on s’échappe un peu mais on revient.
Et d’attraper sa serviette puis de partir vers la dune en roulant de la croupe, la main dans celle de Kévin. Magali se mit à plat ventre et suivit le couple des yeux, incitant sa nièce à faire de même. Celle-ci dit :
— Ils vont où comme ça ? Pisser ensemble ?— Non, ils vont baiser.— Hein ? — Eh oui, c’est leur truc de baiser à la plage, enfin sous les arbres. Et regarde bien ce qu’il se passe. Tu vois les deux mecs et la femme qui les suivent ?
Camille repéra en effet un couple d’âge mûr et un autre homme escalader la dune par le même chemin, tous nus.
— Ce sont des voyeurs, ils vont regarder Caroline et Kévin baiser.— Les salauds.— Bof. Cela fait partie du jeu, sinon ils ne baiseraient pas ici.— Tu veux dire... que Caroline et son mec sont d’accord pour qu’on les regarde ?— Caroline s’en fout du moment que son mec la baise, et elle adore ça en pleine nature. Quant à lui, ça l’excite de savoir qu’on le regarde baiser Caroline.
Camille digéra l’information. Cette plage était décidément particulière. Elle décida de se baigner pour se calmer.Le couple fornicateur revint quand Camille se séchait au soleil. Elle le regarda se dirigeant main dans la main vers la mer pour se laver de leurs ébats, la laissant à la fois troublée et envieuse d’une telle félicité quand une masse surgit entre elle et le soleil avec un "salut tout le monde". C’était un type trapu, chevelu et barbu d’âge indéfinissable qui se pencha vers Magali en train de rôtir sur sa serviette pour lui rouler une pelle parfaitement explicite.
— Salut chérie, tu vas bien ?
Une surprise de plus pour Camille. Ce mec si peu sexy mais si sexué était l’amant de sa tante. Il se mit nu et Camille reçut le choc visuel d’un corps à ses yeux bestial, très poilu détonnant dans cet environnement propice au rasoir, et surtout doté d’attributs sexuels qu’elle n’aurait pu tenir dans ses deux mains réunies.Magali lui présenta sa nièce qui reçut une bise claquante et surtout un contact fugace avec ce corps faunesque. Elle en frissonna malgré le soleil de plomb. Elle se demanda alors comment sa tante et son petit gabarit pouvait s’unir à un type de deux fois son poids.Lorsqu’il partit se baigner, Magali ne pouvait faire autre chose que commenter cette apparition
— Tu as compris que Fabien est mon copain du moment. Il doit te paraître un peu... primaire mais c’est un gars bien, drôle, généreux affectueux et qui me fait jouir. Je n’en demande pas plus à un homme.
Camille médita cette nouvelle révélation. Sa tante chérie était une femme avec des besoins de femme nonobstant son âge. Une femelle. Elle se trouva soudain très nunuche. Caroline baisait, Joëlle et Yolande à l’évidence baisaient, sa tante baisait et elle ne baisait plus. Si elle avait jamais baisé d’ailleurs. Dure révélation.
C’est alors que Caroline, qui se séchait à côté sur sa serviette, intervint.
— Le temps sera brouillé demain. Pas bon pour la plage. Alors je vous invite chez moi pour une paella et une sangria, toi, Camille et Fabien dit-elle à Magali. J’invite aussi Michel, Joëlle et Yolande. C’est Kévin qui sera à la cuisine, c’est sa spécialité. Alors si ça vous dit, rendez-vous à 13h chez moi.
L’invitation fut évidemment acceptée. Camille était enchantée de faire plus ample connaissance avec Caroline, qui la fascinait pour sa liberté de corps et d’esprit.
Le lendemain, elle s’interrogea sur sa tenue. Que devait-elle se mettre ? Sexy ou pas ? Finalement, elle opta pour sa petite robe bleu pétrole arrivant à mi-cuisses, dégageant ses épaules et moulant ses fesses rondes et ses petits seins. Sous l’influence de sa tante qui avait choisi pour elle-même une robe courte ras du cou devant et décolletée jusqu’aux reins pour mettre son dos bronzé en valeur.
— Il faut toujours plaire, avait-elle argumenté.
Elle avait-il même posé à sa nièce une question surprenante :
— Tu mets un slip ou pas ?— Ben mon string comme d’habitude.— Moi, rien, l’été j’aime avoir la foufoune à l’air.
Camille faillit l’imiter mais finalement renonça. Elle n’était pas prête à ce genre de transgression.‌‌‌
— La tante et la nièce firent une entrée remarquée dans la villa de Caroline. Elles étaient à l’évidence les plus sexy même si les duettistes Joëlle et Yolande exhibaient un profond sillon mammaire et des cuisses larges et charnues. Caroline était vêtue d’une simple robe de plage à fines bretelles et décolleté carré sous laquelle sa lourde poitrine évoluait en toute liberté dans un balancement évocateur. Camille découvrit deux nouveaux venus copains de Kévin et du même physique maigre et chevelu mais musclés et rigolards. Ils lui déplurent d’emblée car ils lui rappelaient son ex. En revanche, Michel lui apparaissait toujours aussi séduisant.
La paella était parfaite la sangria coulait à flots les femmes avaient le rose aux joues et les hommes parlaient fort en particulier l’exubérant Fabien. L’après-midi était bien avancé quand Caroline et Camille prirent leur café à part tandis que les les autres discutaient, Michel aidant Kevin à nettoyer la pièce et la cuisine. Camille avait hâte de parler avec Caroline, de lui confier ses déboires sentimentaux, de prendre quelques conseils. Elle l’écouta en sirotant son café avec sa bienveillance habituelle. Son regard doux et son sourire éclatant rassuraient Camille qui n’en finissait plus de s’épancher sur sa peine de coeur. C’est alors que Caroline lui dit :
— Dis-moi, aimes tu le sexe ?
Un peu décontenancée, Camille répondit :
— Ben... euh... oui bien sûr quand c’est bien fait.— Et depuis quand tu n’as pas joui, vraiment joui ?— Ben, honnêtement, ça fait un bail.
Alors, Caroline entra dans une longue tirade dont elle devait se souvenir longtemps.
— Camille, tu es très mignonne. Tu plais aux hommes. Mais tu n’es pas vraiment libérée parce que tu penses plus à ton cœur qu’à ton corps. Le grand amour, tu as le temps de le trouver, si tu le trouves un jour. En attendant, baise. Occupe toi de tes hormones, ton corps en a besoin. Écarte tes jolies petites cuisses et laisse un homme qui te plaît venir entre elles. Tu es hétéro, je suppose ?— Euh... oui.— Alors, régale toi de la bite. Dis-toi qu’elle existe pour donner du bonheur aux femmes. Elle existe pour nous rentrer dedans, entre autres objectifs, mais ce n’est pas ton problème. Laisse la aller là où elle veut aller et gave-toi. Jouis. Ton corps n’attend que ça.
Camille ne s’attendait pas à un langage aussi cru, aussi explicite, de la part d’une femme au sourire aussi doux. Mais elle lui accordait le mérite d’une expérience dont elle-même ne pouvait se prévaloir. Et au fond d’elle-même, quelque chose lui disait qu’elle avait raison. Elle avait trop négligé ses pulsions érotiques et c’était peut-être une des causes de sa rupture avec son ex. Néanmoins elle voulut en savoir plus sur cette femme qu’elle pouvait ériger en modèle, si elle parvenait à vaincre ses tabous parce qu’elle ne lui était pas liée par le sang comme sa tante, à laquelle elle ressemblait beaucoup.
— C’est toi ou Kévin qui décide de faire l’amour... enfin de baiser devant des voyeurs à la plage ?—- Tantôt lui, tantôt moi, on fait avec nos envies. Ce qui l’excite c’est qu’on nous regarde, qu’on me voie jouir. Moi, ça m’est égal qu’il y ait des voyeurs du moment qu’il me baise bien. Mais c’est vrai que ça met du piment à nos rapports parce que c’est interdit de s’exhiber comme ca. Je te choque, hein ?— Eh oh je ne suis quand même pas dépucelée d’hier. Mais c’est vrai que toi et ma tante, vous m’épatez.— Vous les jeunes, vous sous-estimez les femmes mûres. Plus on vieillit et moins on a de tabous.
Sur cette considération lourde de sens, elles décidèrent de réintégrer la pièce principale. Seuls Michel et Kévin finissaient de ranger. Caroline glissa à l’oreille de Camille :
— Suis moi, je vais te montrer quelque chose.
Elles montèrent à l’étage et à la première chambre Caroline colla l’oreille à la porte. Elle adressa un clin d’œil à Camille, ouvrit doucement la porte et elles découvrirent deux jeunes paires de fesses qui s’agitaient entre deux paires de cuisses charnues en travers d’un lit. Les copains de Kévin régalaient Joëlle et Yolande en parallèle, encouragés par des "oui oui c’est bon, encore encore" en stéréo. Leurs ongles pointus et colorés griffaient les flancs et les fesses de leur étalon respectif. Camille se retira vivement, le feu aux joues et une humidité naissante dans son string. C’était la première fois qu’elle voyait une scène pareille.
— Viens par là maintenant.
Caroline l’entraina vers une autre chambre dont la porte était restée entrouverte. Magali était à plat ventre sur un corps poilu qui ne pouvait être que Fabien, dont le visage disparaissait sous le bassin de la tante. Camille la découvrit en train de pomper goulument le plantureux pénis, le gobant jusqu’à la racine avant de revenir titiller le gland.
— Ils commencent par un 69. Tu connais ?
Camille fit oui à Caroline pour ne pas pas paraître gourde mais elle avait rarement pratiqué cette entrée en matière. Elle était sidérée que sa tante ne s’étouffe pas dans cette fellation qui lui remplissait la bouche et plongeait jusqu’à sa glotte.Puis elle la vit se relever sans jeter un regard vers le chambranle où se tenait sa nièce devenue voyeuse. Le pénis de Fabien se dressait comme un mât et elle vint l’enfourcher lentement mais résolument, l’engloutissant dans son tréfonds avant de faire aller et venir ses hanches, d’avant en arrière et de gauche à droite comme pour mieux enfoncer le pieu et mieux le savourer. Cette vision du cul bronzé de sa tante en train de louvoyer foudroya Camille. Sa tante baisait, prenait son pied avec un homme plus jeune, célébrait sa "bite". Elle en était profondément chahutée, comme une transgression incestueuse. Elle voulut se retirer. Mais une main ferme la maintint dans le chambranle :
— Reste là et regarde une vraie femme faire l’amour.
C’était Michel qui s’était positionné derrière elle, lui tenait les épaules et collait son bas-ventre contre son dos. Elle sentit la dureté de son sexe et ce contact, mélangé avec la vision du lit où s’ébattait le couple, inonda son string. D’autant que le quinquagénaire posait maintenant ses doigts sur les pointes érigées de ses petits seins. Camille vit donc sa tante basculer à quatre pattes et s’offrir en levrette. Elle put désormais voir son visage, ses yeux tantôt écarquillés, tantôt clos, sa bouche tantôt béante exprimant les onomatopées du plaisir, tantôt figée par un rictus. Son chignon s’était défait et elle répondait du cul aux coups de boutoir de l’homme puissant et velu qui la secouait sans ménagement. Camille trouvait cette union bestiale, disproportionnée vu la différence de gabarit et de peau des protagonistes, mais voir sa tante se lécher les lèvres témoignait tellement de sa jouissance que la jeune fille trouva finalement cette scène d’un érotisme puissant.
Lorsque le couple bascula de nouveau, cette fois dans la position du missionnaire, Camille craqua. La vision de ce cul poilu fouillant le petit corps gracile de sa tante, écartelée, agitant ses petits pieds aux orteils rétractés, la fit se retourner et sauter au cou de Michel en l’embrassant pleine bouche.
— J’en peux plus, prends-moi.
Caroline avait quitté le chambranle depuis un moment. Entrainée dans la troisième chambre par Michel, Camille découvrit l’hôtesse nue en travers du lit, son jeune amant le nez plongé dans sa broussaille intime.
— Ah vous voilà enfin, dit la quadragénaire au duo surchauffé qui venait d’entrer.
Michel poussa Camille sur le lit à côté de Caroline, fit glisser prestement son string qu’il huma avec délectation et aida la jeune fille à se débarrasser de sa mini robe. Il exhiba son pénis qui tenait du sceptre, du glaive ou de la matraque. Camille n’avait jamais rien vu de tel mais comme elle allait de découverte en découverte, elle ne s’étonnait même plus. Elle n’aspirait plus qu’à une chose : être pénétrée. Que ce membre ne fut pas à priori adapté à son intimité étroite ne l’effrayait même pas. Caroline perçut cette impatience et exhuma du tiroir de sa table de nuit un préservatif que Michel saisit pour s’en coiffer. Camille l’attendait, cuisses ouvertes à 180°. Pieds au sol, mains sur le lit, il la pénétra lentement mais rencontra une telle lubrification qu’il put donner de la fesse comme il en avait envie, en regardant Camille droit dans les yeux.
Kévin faisait de même avec Caroline, dans une posture identique, si bien que la chambre put s’emplir des bruits de l’amour : peaux qui claquent, clapotis de sexes joints, gémissements féminins et grognements mâles. Camille était trop concentrée sur son sexe pour considérer une situation totalement inédite : la baise à quatre.
C’est seulement quand elle se retrouva nez à nez avec Caroline lorsque les deux se faisaient prendre par derrière qu’elle prit conscience qu’elle vivait sa première partouze. Elle eut alors une brève pensée pour sa mère, la soeur de sa tante. Si elle savait à quel point celle-ci l’avait fait dériver, elle aurait sûrement tout tenté pour empêcher ce séjour marin. Mais elle lut dans le visage de la quadragénaire le plaisir qu’elle prenait elle-même. Seuls les physique différaient, les gros seins de Caroline s’agitant en cadence entre ses bras tandis que le petit corps de Camille vibrait de toutes ses terminaisons nerveuses. Elle cria littéralement de jouissance quand Michel fit en sorte d’être encerclé par ses jambes, la mettant dans la position de la brouette pour un angle de pénétration jubilatoire. Au même moment, Caroline se faisait sodomiser par la longue et fine queue de Kévin et souffla dans le visage de Camille une haleine brûlante et extasiée.
Instinctivement, elles s’embrassèrent.
Caroline, depuis le début, avait imposé les postures à sa jeune initiée et quand elle demanda à Kevin de s’allonger pour le chevaucher, Camille se retrouva à son tour en train d’escalader le mât de cocagne de Michel. Elles offraient le spectacle de deux fessiers en mouvement parallèle sur deux types passifs mais raides à deux nouveaux venus dans la chambre. Camille sentit deux mains se poser sur ses fesses et imprimer une pression pour l’inciter à gagner de la profondeur. Elle sursauta, se retourna, et reconnut sa tante, toujours nue et encore échevelée par ses ébats.
— Allez, vas-y franco, mets-la toi bien profond. Fais-toi jouir, dit-elle à sa nièce tout en continuant à presser.
Fabien faisait de même avec les fesses de Caroline, glissant au passage son pouce dans l’anus de la quadragénaire., ce qui précipita son orgasme. Elle finit Kévin à la bouche tout en observant l’autre couple qui galopait lui aussi vers une jouissance commune. Michel tressauta en décollant les fesses du lit, gicla verticalement et Camille s’effondra sur lui en gémissant, anéantie par un plaisir majuscule, totalement inédit. Et le calme revint dans la pièce.
*******Cette soirée se révéla capitale dans la vie sexuelle de Camille. La jeune fille un peu timide, un peu coincée, était passée "de l’autre côté" sous la double influence de sa tante et de son amie Caroline. Elle ne devait plus pratiquer l’acte sexuel dans les mois et les années suivantes à la condition expresse d’être amoureuse. Elle faisait chanter son corps quand les circonstances la mettaient en présence d’un mâle bien membré et soucieux de son plaisir à elle. Elle baisait, vouant un véritable culte à l’organe masculin, qui lui donnait tant de plaisir. Comme elle était jolie et attirante, elle baisa souvent avant de trouver l’homme de sa vie quelques années plus tard et de tomber dans une vie de couple plus conventionnelle, d’autant mieux acceptée qu’elle avait beaucoup payé de sa personne avant. Mais il se passa bien des choses avant.
Trois jours après cette fameuse soirée, véritable voyage initiatique pour Camille au pays du sexe brut, Michel avait invité tous les protagonistes dans sa maison, en soirée, après un dîner en commun dans une pizzeria. C’était sa manière de fêter le départ le lendemain de sa jeune maîtresse, qu’il avait comblée de sa queue depuis lors, lui faisant faire "le tour de la question", selon son expression. Tous furent invités à entrer dans une grande pièce où leur hôte avait disposé à même le sol de trois matelas recouverts de draps. Michel avait poussé le zèle jusqu’à disposer sur chaque côté des miroirs amovibles. Comme tout le monde était déjà bien échauffé, les vêtements volèrent et ce furent cinq couples entièrement nus qui entreprirent une authentique partouze. Jusqu’à présent, Camille n’avait forniqué qu’avec Michel.
Mais dans cette ambiance de folie sexuelle, où tout le monde baisait avec tout le monde, elle reçut les hommages virils de tous les mâles présents, y compris les deux étalons de Joëlle et Yolande, bien trop occupées elles-mêmes par les queues rigides qui se relayaient entre leurs cuisses dodues pour émettre la moindre protestation.
Camille jubila de chevaucher le corps velu de Fabien, découvrant à quel point un gros sexe était désormais parfaitement adapté à son intimité. Sodomisée pour la première fois de sa vie, en l’occurrence par Kévin, véritable expert, sous l’oeil vigilant de sa tante, elle manifesta un enthousiasme fessier qui rassura Magali.
Mais l’apothéose, Camille la connut tout à la fin en étant prise par trois hommes à la fois : Fabien dans sa chatte, Kévin dans son cul et Michel dans sa bouche. Elle en eut les yeux révulsés lorsque l’orgasme ravageur la fouetta, la laissant anéantie de plaisir. Elle eut alors une pensée fugace pour son ex, qui l’avait jugée trop passive, lui filant des complexes pour plusieurs mois. Ce temps là était définitivement révolu.
Lorsqu’elle se retrouva seule le lendemain dans sa voiture afin de retourner dans sa ville où son travail l’attendait, elle se remémora toutes ces scènes qui l’avaient profondément changée. Quelles vacances ! Aussi courtes qu’intenses. Elle en mouillait encore devant son volant. Il lui faudrait vite trouver un chevalier servant qui pourrait satisfaire ses pulsions et poursuivre ses expériences. Cela ne devrait pas être trop difficile, entre les clients empressés et ses habituels dragueurs. Elle avait tout le temps devant elle. Mais si une image, une seule, devait subsister de ce court séjour, ce serait celle de sa tante, qu’elle avait découverte dans le chambranle de la chambre en train de jouir de la queue d’un faune. Elle avait été choquée, puis impressionnée et finalement émoustillée. Tout était parti de là. Sa tante était bel et bien à la base de sa révolution sexuelle.
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