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Camille et les cours (très) particuliers de son fils

Chapitre 2

Inceste
Les cours particuliers commencèrent dès la semaine suivante. Mme Prunel se présentait à leur domicile un soir sur deux à 18h pour une leçon d’environ deux heures. Camille s’habitua vite à ce rituel. Elle aimait recevoir la professeure chez elle. Celle-ci ne ressemblait pas à ses connaissances habituelles, ses « amies » de la bonne société versaillaise. Elle était moins guindée, plus solaire. Elle apportait un peu de vie dans cet environnement austère. Elle s’habillait également différemment, avec de longues robes à fleurs, des jupe larges et des chemisiers, des pantalons ajustés, vêtements qui mettaient en valeur ses formes généreuses. Camille était beaucoup plus classique dans son apparence, et plus mince de corpulence. Elle avait aussi des formes, pourtant, de jolies fesses rebondies et une belle poitrine, mais elle ne faisait rien pour mettre ces attributs en avant, au contraire. Camille aimait jusqu’à l’odeur que Mme Prunel laissait derrière elle, parfum très floral, simples effluves de son déodorant peut-être, elle n’aurait su le dire, mais elle trouvait cela agréable. L’enseignante s’installait avec Baptiste sur la grande table du salon et Camille passait une tête, de temps en temps, pour s’assurer que tout se déroulait sans problème. L’ambiance était studieuse et Camille se félicitait d’avoir pris cette initiative. Trois semaines après le début des cours, toutefois, au moment de partir, Mme Prunel demanda à Camille de pouvoir lui parler un instant en privé. L’enseignante expliqua alors qu’elle venait de faire passer un test d’évaluation à Baptiste, test qui montrait certes une amélioration, mais à un rythme qui semblait insuffisant pour atteindre l’objectif convenu. Camille se voulut rassurante :
– Vous savez, cela ne fait que trois semaines, il faut que les choses se mettent en place, j’imagine.– Je comprends ce que vous voulez dire mais je vous assure que j’ai l’habitude et, compte tenu du temps qu’il nous reste, je suis inquiète… Gagner deux points de moyenne en six mois, ce n’est pas rien. Après, ça dépend de l’objectif final. Faut-il absolument qu’il entre dans cet établissement précis ? Il y en a d’autres très bien, vous savez. Camille connaissait bien le caractère borné de son mari : – Ah, oui, oui, il faut vraiment faire le maximum pour qu’il soit accepté dans cette prépa, pas une autre. Mme Prunel réfléchit un instant en contemplant le visage de Camille : – C’est surtout les exercices que je lui donne à faire seul qui sont d’une qualité moyenne. Je n’ai pas l’impression qu’il y mette beaucoup de conviction et ça ne l’aide donc pas à progresser.– Oui, il a toujours eu des petits problèmes de concentration. Je crois qu’il veut bien faire mais son esprit à tendance à papillonner. Il a un côté un peu rêveur… et, pour tout vous dire, j’ai l’impression qu’il est plus littéraire que scientifique. Mme Prunel esquissa un sourire moqueur : – Oui, j’ai déjà noté ce problème de concentration : j’ai plusieurs fois remarqué qu’il semblait plus intéressé par mon décolleté que par la leçon du jour. Camille ne put s’empêcher de pousser une petite exclamation de surprise, et de se sentir gênée : – Oh, je suis confuse, madame. Je lui dirai d’arrêter ça immédiatement et de vous présenter ses excuses.– Ne vous en faites pas. Cela fait vingt ans que je m’occupe de meutes d’adolescents, j’en ai vu d’autres ! C’est un âge où les hormones leur jouent des tours qu’ils ne comprennent pas eux-mêmes. Le désir monte et comme il n’ont généralement pas de vie sexuelle active, ça les travaille !– Oui, bien sûr, c’est l’adolescence…
– Ecoutez, je crois que nous pourrions tiré cela à notre avantage. Après tout, la libido est la ressort le plus puissant dans la nature humaine. Puisqu’il a du mal à se motiver avec la seule perspective d’intégrer cette prépa, nous pourrions lui faire miroiter des récompenses plus aguichante pour lui. Camille n’était pas sûr de comprendre où elle voulait en venir : – A quel genre de récompenses pensez-vous exactement ?– Il faut trouver quelque chose qui le motive vraiment… Comme il lorgnait mon décolleté, je crois que nous pourrions fixer un objectif de résultat pour le prochain test d’évaluation, un objectif élevé, en lui disant que s’il l’atteint, alors je me montrerai seins nus devant lui. Camille n’en revenait pas. Elle sentait son cœur battre dans sa poitrine, sans parvenir à distinguer les sentiments qui l’animaient à cet instant précis :
– Vous feriez ça ?– N’allez pas croire que je sois une dévergondée mais je suis une femme qui aime les défis. Vous me dites : "il faut absolument atteindre cet objectif, c’est très important", alors je suis prête à faire ce qu’il faut pour réussir. S’il faut pour cela montrer mes seins à un ado timide, cela ne me semble pas être le bout du monde. Et je suis convaincue que cela peut fonctionner.– Je comprends… mais quand même… je ne sais pas si…– Après, si vous estimez que ça va trop loin, alors tant pis ! Mais je préfère honnête : je ne pense pas qu’on puisse atteindre notre objectif par des méthodes « classiques ». Les pensées s’emmêlaient dans l’esprit de Camille. Elle ne savait pas comment considérer la proposition de Mme Prunel. Elle avait une confiance instinctive en elle, et même une certaine admiration. Cela ne l’étonnait d’ailleurs pas que celle-ci soit très à l’aise avec son corps, au point de pouvoir s’exhiber assez facilement. Elle-même en serait, bien sûr, incapable, avec son éducation catholique, rigoureuse et jalonnée de nombreux tabous, souvent excessifs, dont elle ne se débarrassait qu’avec peine, encore aujourd’hui. Seul son mari, aux mœurs beaucoup plus libérées, derrière un paravent de respectabilité typiquement versaillaise, était parvenu à la dérider dans leur intimité. Aussi demeurait-elle hésitante : – Vous ne croyez pas que ce serait un peu… déplacé ? Mme Prunel paraissait sûre d’elle, déterminée et en même temps tout à fait charmante. Elle souriait alors à Camille avec une sorte de compassion dans sa physionomie : – Vous savez, de nos jours, les adolescents sont exposés à des choses bien plus perverses que cela. Avec la pornographie sur internet, ils peuvent voir des contenus que vous n’imaginez même pas. Vous pensez peut-être que votre fils y échappe mais c’est, hélas, peu probable. Je serais même plutôt sûre du contraire. Vous n’avez jamais rien noté de douteux dans son comportement ? Camille fouillait dans sa mémoire. Quelque chose lui revint soudain à l’esprit : – Je ne sais pas… Il passe beaucoup de temps enfermé dans sa chambre… et il m’est arrivé quelques fois de retrouver des kleenex derrière son lit…– Maculés de sperme ?– C’est ce qu’il m’a semblé, oui…– Vous voyez… Classique… Pornographie et masturbation ! Excusez-moi, mais je trouve ça plus « sain » qu’il voie les seins d’une vraie femme, consentante, et sous votre contrôle. L’enseignante était particulièrement convaincante. Elle présentait cela de manière tellement logique et naturelle. Camille se laissait convaincre : – Oui, vous avez sans doute raison, et je vous suis extrêmement reconnaissante de votre dévouement mais… je me sens vraiment incapable d’expliquer cela à mon fils.– Pour ça, ne vous inquiétez pas, je vais m’en charger. Je poserais simplement une exigence avant d’aller plus loin.– Bien sûr, dites-moi.– Je souhaite que vous soyez toujours présente quand j’évoque ces questions avec votre fils, et a fortiori au moment des « récompenses », pour vous assurer que tout reste dans des limites qui vous conviennent.– Oui, bien sûr, je suis d’accord avec vous, c’est mieux comme ça. L’accord acquis, les deux femmes retournèrent au salon où Baptiste les attendait, sagement assis sur une chaise, accaparé par l’écran de son téléphone portable. Mme Prunel lui expliqua alors très clairement la situation et l’arrangement qu’elles avaient élaboré, sa mère et elle. Il rougit et baissa les yeux, honteux, quand elle lui dit avoir remarqué qu’il reluquait son décolleté. Il n’en crut cependant pas ses oreilles quand, au lieu de lui faire de réelles remontrances, elle lui fit, au contraire, miroiter la perspective de se montrer seins nus devant lui, s’il atteignait la note de 40 (sur 50) à son prochain test d’évaluation. Il jeta un regard interrogatif vers sa mère, qui se tenait, silencieuse, derrière la professeure. Celle-ci acquiesça subrepticement d’un signe de tête, accompagné d’un tendre sourire maternel, qui masquait mal une certaine gêne. Baptiste en eut le souffle coupé. La semaine qui suivit, il n’osa pas reparler de cet arrangement, ni avec sa mère, ni avec Mme Prunel, mais il y pensait en permanence. Il finit par se dire que les deux femmes s’étaient moqué de lui, que c’était un simple stratagème pour le pousser à travailler plus, promesse qui ne serait bien sûr pas suivi d’effet, même s’il réussissait son test. D’ailleurs, il suffirait à la professeure de lui mettre, quoi qu’il arrive, une note inférieure à 40, pour s’en tirer à bon compte. Il s’étonnait néanmoins que sa mère, toujours si prude dans son comportement, se soit prêtée à ce petit jeu. Il savait néanmoins qu’elle n’était, au fond, pas si coincée que cela, puisqu’il l’entendait souvent jouir, et parfois bruyamment, lorsqu’elle faisait l’amour avec son père… Quoi qu’il en soit, il mit cette semaine là plus d’ardeur dans son travail. Après tout, il n’était sûr de rien... Quand arriva le vendredi fatidique, ce fameux test lui parut relativement simple. Il rendit sa copie à Mme Prunel le cœur battant. Comme convenu, sa mère était présente, se tenant à côté du piano, pour assister au verdict. Pendant que la professeure corrigeait la copie, l’air parfaitement détendue, comme à son habitude, la tension était palpable dans le reste de la pièce. Camille et son fils, scrutaient ses gestes, la moindre expression de son visage, pour essayer de deviner l’issue de cette évaluation. Enfin, Mme Prunel redressa la tête, en laissant échapper un petit rire, et tout en brandissant la copie devant elle, elle annonça : – 42 ! Incroyable… Il faut croire que ce garçon s’est soudain pris de passion pour les mathématiques ! Baptiste n’en revenait pas. Il était partagé entre l’incrédulité, la fierté et l’excitation. Camille, de son côté, ne savait pas s’il fallait se réjouir ou redouter ce que cela signifiait. Heureusement, Mme Prunel dédramatisa tout cela avec bonne humeur : – Mme Gibaud (c’était le nom de Camille), si vous en êtes toujours d’accord, je crois que Baptiste a bien mérité sa récompense. Camille eut un petit sourire ambigu : – Si c’est toujours bon pour vous, alors c’est ok pour moi. Baptiste était assis sur sa chaise, au bout de la grande table. Il avait maintenant quelques difficultés à avaler sa salive. Mme Prunel s’approcha de lui sans ajouter un mot. Elle commença à déboutonner son chemisier tout en dévisageant le jeune garçon. Elle retira le vêtement, le posa sur le dossier d’une chaise puis revint se poster en face de lui. Elle portait un soutien-gorge en dentelle, noir, qu’elle dégrafa avec habileté. Elle le retira lentement pour libérer deux seins magnifiques, volumineux mais qui se tenaient bien, avec deux belle aréoles, rondes et bien dessinées, aux légères nuances de brun, au milieu desquelles se dressaient des tétons fins et réguliers. Elle remua légèrement le buste pour les animer. Elle avait le ventre plat et musclé ce qui réhaussait encore l’éclat de sa superbe poitrine. Baptiste n’en perdait pas une miette, et Camille non plus. Elle était subjugué par l’aplomb de cette femme, et par sa plastique de pin-up. Fière de son effet, Mme Prunel souriait. Elle rompit soudain le silence pour demander : – Tu veux les toucher ? Incapable de prononcer un mot, Baptiste opina du chef. Elle s’approcha encore un peu et il tendit ses mains sans conviction. Les seins de sa professeure étaient doux et tièdes. La sensation était divine. Il fit glisser ses pouces jusqu’aux tétons, tout un interrogeant sa professeure du regard. Son sourire en réponse voulait sans doute dire qu’il avait le droit de la toucher de cette manière. Derrière eux, Camille assistait à la scène sans bouger. Il y avait là quelque chose qui lui paraissait terriblement attendrissant, mais aussi un peu gênant, et un peu excitant en même temps. Enfin, Mme Prunel se recula et brisa le charme de l’instant en déclarant : – Allez, je crois que notre lauréat a reçu sa juste récompense. Elle renfila son soutien-gorge et récupéra son chemisier, qu’elle boutonna sans précipitation. – Je compte sur toi, Baptiste, pour maintenir cette même motivation au travail désormais, d’accord ?– Oui, Madame.– L’objectif et la récompense sont les mêmes pour le test de la semaine prochaine. D’accord ?– Heu, d’accord. Camille raccompagna Mme Prunel jusqu’à la porte d’entrée, laissant le jeune homme retrouver ses esprits dans le salon : – Je vous suis très reconnaissante de tout ce que vous faites pour mon fils. Vous aviez raison, ça ne m’a pas du tout semblé malsain, au contraire. Tout parait si simple et naturel avec vous !– Tant mieux. Croyez bien que je trouve très agréable de travailler pour vous. Cela me sort de la routine du lycée ! Et soyez sûre qu’en faisant tous de notre mieux, nous allons réussir ce défi et nous pourrons en être fières. La professeure fit un signe de la main en passant le portail. Camille lui rendit son salut puis la regarda s’éloigner, songeuse.
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