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Camille et les cours (très) particuliers de son fils

Chapitre 3

Inceste
Le lendemain était un samedi. Camille fut le première à se lever. Elle se rendit dans la grande salle de bain pour prendre une douche. Auparavant, elle vida le bac à linge sale pour lancer une machine. Son attention fut alors attirée, malgré elle, par une tache sur un caleçon de Baptiste. Le sous-vêtement était gris foncé, la tache était blanchâtre. Était-ce le caleçon qu’il portait la veille ? Avait-il joui dedans quand sa professeure s’était exhibée devant lui ? Cela n’aurait pas été très étonnant... Poussée par la curiosité, elle prit le sous-vêtement entre ses mains pour mieux examiner la tache. Cela ressemblait effectivement à cela. Elle l’approcha de son nez et fut aussitôt saisie par cette odeur âcre, ce même mélange de transpiration, d’urine, et ici de sperme, qui l’excitait tant chez son mari. Il n’y avait pas de doute. Machinalement, elle porta de nouveau le caleçon sous ses narines pour humer cette odeur complexe, que d’aucun trouverait désagréable mais qu’elle avait toujours aimée. Elle reprit soudain le fil de ses pensées et jeta les vêtements dans le tambour du lave-linge. Enfin, elle retira la culotte qu’elle portait depuis la veille et s’apprêtait à la mettre dans la machine lorsqu’elle remarqua que celle-ci était elle aussi tachée. Il s’agissait de cyprine, assurément. C’était sans doute également la conséquence de la scène de la veille, qui avait, elle était forcée de le reconnaître, provoqué en elle un certain trouble. En contemplant le fond souillé de sa propre culotte, elle repensa à cette histoire de fétichisme des culottes sales qu’elle avait lue dans un magazine féminin. Il y était expliqué que c’était parfois par ce biais, avec les dessous des femmes de leur entourage proche, souvent familial, que les jeunes hommes avaient un premier contact, indirect, avec l’intimité féminine. Se pouvait-il que Baptiste s’adonne à ce genre de pratique ? Fouillait-il le linge sale à la recherche des culottes qu’elle venait de porter ? Elle n’y avait jamais songé et se sentit soudain honteuse de ce qu’il aurait parfois pu trouver. Néanmoins, comme le disait si justement Mme Prunel, c’eut sans doute été là un moindre mal par rapport aux choses répugnantes qu’on pouvait trouver sur internet.
Cette idée, néanmoins, lui titillait maintenant l’esprit et elle voulut en avoir le cœur net. Elle mit donc quelques serviettes au fond du bac à linge sale et, au lieu de mettre sa culotte dans la machine, elle la déposa dans le bac, sur les serviettes, bien en évidence. Elle fut alors saisie par un doute : cette culotte n’était-elle pas « trop » sale ? Il ne s’agissait pas non plus de passer, aux yeux de son fils, pour une débauchée ou, pire, pour une souillonne. Elle reprit sa culotte entre ses mains. Il y avait cette tache de cyprine, un peu d’urine, une légère odeur anale mais rien de trop honteux, lui semblait-il. Cela semblait en tous cas convenir pour cette petite expérience. Une fois remise en place, elle la prit en photo, pour pouvoir ensuite comparer sa position exacte et savoir si on y avait touché. Le samedi, Baptiste se levait bien plus tôt que son père. Il viendrait prendre sa douche et si ce petit vicieux en profitait pour fouiller dans la lingerie sale de sa mère, elle en aurait la preuve indiscutable. Toute fière du piège qu’elle venait de lui tendre, elle se glissa sous la douche avec entrain.
Tout se déroula ensuite comme elle l’avait prévu. Son fils se leva une demi-heure plus tard, alors que son père dormait encore. Il petit-déjeuna rapidement puis fila prendre une douche, avant de partir pour une partie de tennis avec un copain. Dès qu’il eut quitté la maison, Camille se précipita dans la salle de bain et ouvrit le bac à linge sale. Elle se rendit compte immédiatement que la position de sa culotte n’était plus la même : on l’avait manipulée et cela ne pouvait être que son fils, puisque Guillaume dormait encore. Quel petit cochon, pensa-t-elle… Elle examina sa culotte avec attention : il n’y avait pas de taches supplémentaires. Qu’en avait-il fait ? L’avait-il juste regardée ? L’avait-il sentie ? Était-il allé jusqu’à la lécher ? S’était-il masturbé ? – Il était impossible de le dire et Camille en ressentit une grande frustration. Elle porta la culotte à son nez ; celle-ci était toujours bien imprégnée de ses odeurs intimes. Et dire que son fils l’avait eue entre les mains quelques minutes auparavant… Qu’avait-il pu en penser ? Elle rapporta l’objet du délit dans sa chambre. Elle résolut de conserver désormais sa lingerie sale dans un tiroir de sa commode, puis la mettrait directement dans le lave-linge : le petit fouineur allait être déçu !
Guillaume était toujours au lit, somnolant. Des idées lubriques traversèrent alors l’esprit de Camille. Elle se déshabilla entièrement puis grimpa sur le lit. Elle s’accroupit de manière à ce que ses fesses viennent délicatement frotter le visage de son mari. A moitié réveillé, Guillaume apprécia cette délicate attention :
– Oh, oh, c’est la pleine lune…
Il essaya de donner à la volée des coups de langue sur les lobes qui s’offraient à lui.
– Tu aimes mon cul ?– J’adore ton cul, ma chérie.– Alors, prends-moi par là, gros dégueulasse.
Elle était allée chez l’esthéticienne quelques jours plus tôt ; le spectacle de sa raie parfaitement épilée était irrésistible.
– Voilà une charmante manière de réveiller son homme ! Tu veux que je t’encule de bon matin ?– Tu sais bien que je ne suis qu’une trainée qui adore se faire enculer.
Guillaume n’était pas du genre à tergiverser en pareille circonstance. Il sortit un tube de lubrifiant du tiroir de la table de nuit et en déposa une noisette au bout de son index :
– Mets-toi donc en positon, ma petite pute chérie.
Camille s’exécuta, à quatre pattes sur le lit, les jambes écartées, le cul ouvert. Il vint aussitôt caresser son anus avec le lubrifiant, glisser son doigt à l’intérieur, alors qu’elle commençait à se masturber de son côté. Il glissa bientôt un second doigt dans son rectum, tout en lubrifiant avec son autre main sa verge dressée. Enfin, il introduisit lentement son membre viril entre les fesses de Camille. Elle gémit.
– Ah, t’aimes ça, hein...– Oh oui, j’aime ça... J’aime sentir ta bite dans mon cul.
Alors qu’il entamait son mouvement de va-et-vient, Camille pensait aux seins de Mme Prunel, à son sourire irrésistible et à son odeur florale. Elle pensait au caleçon de son fils, à l’odeur de son sperme et elle l’imagina, enfermé dans la salle de bain, en train de se branler, le nez fourré dans sa culotte sale. En même temps, elle caressait énergiquement son clitoris, tout en sentant la queue de Guillaume remplir son fondement, et elle finit par jouir violemment alors qu’il déchargeait son foutre en elle.
La semaine suivante se passa sans encombre. Baptiste ne semblait pas avoir relâché ses efforts et Mme Prunel continuait de donner ses cours le plus naturellement du monde. Le test du vendredi arriva dans une sorte de banalité rapidement installée. Baptiste obtint un score de 40, tout rond, qui lui donnait droit à sa récompense. Ce jour-là, Mme Prunel portait la même robe à fleurs que lors de sa première rencontre avec Camille. Il lui suffit donc de retirer ses bretelles et de retrousser le haut jusqu’à la taille. Elle ne portait rien en dessous et dévoila ainsi directement ses seins. Camille s’était installée de l’autre côté du piano, cette fois, ce qui la rapprochait un peu et lui donnait une meilleure vue ; la professeure n’avait pas manqué de le remarquer mais n’avait rien dit. Baptiste, de son côté, semblait un peu enhardi par rapport à la semaine précédente. Il ne se fit pas prier pour tripoter les seins de son enseignante, les malaxant plus franchement que la première fois. Mme Prunel ne trouvait pas cela désagréable, ce qui l’incita à aller encore un peu plus loin :
– Est-ce que tu veux les goûter, cette fois, demanda-t-elle à son élève en désignant ses seins.
Baptiste acquiesça d’un signe de tête, incrédule.
– Alors, approche-toi et viens poser ta langue juste là, sur le bout… Voilà, comme ça très bien… Tu peux faire le tour avec ta langue… Maintenant, tu peux prendre le téton dans ta bouche, et le sucer doucement… Voilà… Parfait... Doucement
Tout en le guidant de la voix, Mme Prunel caressait affectueusement les cheveux de Baptiste. Et alors qu’il lui suçait le sein, elle tournait son regard vers Camille, qui regardait la scène comme hypnotisée. En croisant le regard de la professeure, elle fut surprise et se força à lui adresser un sourire, comme pour valider cette initiative inattendue. Après quelques instants, l’enseignante repoussa délicatement la tête de Baptiste :
– Voilà, ça suffit pour aujourd’hui. Je crois que c’est plus qu’il n’en faut pour récompenser un simple 40. L’accord est reconduit pour vendredi prochain! 
Camille raccompagna Mme Prunel jusqu’au portail. Elle remarqua une petite tache humide sur la robe de l’enseignante, au niveau de son sein droit, probablement provoquer par les restes de salive de son fils. Elle n’osa cependant pas lui faire remarquer. Mme Prunel se sentit pour sa part tenue de fournir quelques explications :
– Je ne sais pas ce qui m’a pris. Ça m’est venu comme ça.– Oh, vous n’avez pas à vous justifier… J’ai trouvé que c’était fait très naturellement, sans aucune vulgarité.– Ce qui m’embête, surtout, c’est que ça ne récompense une si bonne note que ça. Mais Baptiste est si respectueux que, je ne sais pas, j’avais quand même envie de lui offrir ça.– C’est très gentil de votre part. C’est vrai que c’est un garçon très respectueux.– Je suis contente que cela vous convienne et que nous soyons sur la même longueur d’onde. Pour ma part, je considère tout ceci comme un vrai travail d’équipe... Bon, je file, Camille, je suis déjà en retard. À lundi !
En prenant congé, Mme Prunel déposa une bise sur la joue de Camille. C’était la première fois qu’elle faisait cela. C’était aussi la première fois, lui semblait-il, qu’elle l’appelait par son prénom. Étaient-elles en train de devenir amies ? Cette idée ne déplaisait pas à Camille. Cependant, elle avait de son côté quelques difficultés à créer rapidement des liens. Elle savait que le prénom de Mme Prunel était Julie mais elle n’aurait pas osé l’appeler de cette manière, pas encore. Et pourtant, elle avait déjà vu plusieurs fois ses seins, elle l’avait même déjà vue être caressée et tétée par son fils : les convenances sont parfois étranges !
Le samedi matin, Camille se réveilla avec l’idée d’aller vérifier le caleçon de son fils, comme la semaine précédente. Dans le bac à linge sale, elle trouva plusieurs de ses caleçons mais aucun n’avait de traces suspectes, seulement des effluves d’urine et de transpiration. Elle en ressentit une certaine déception. Elle repensa alors au fait qu’elle ne laissait plus traîner ses propres culottes sales et elle se dit qu’il était peut-être temps de rompre l’embargo, pour récompenser la bonne semaine de travail de son fils… Elle portait de surcroit depuis la veille un joli tanga blanc avec de la dentelle : c’était une belle pièce, qui ne manquerait sans doute pas de plaire à un jeune puceau ! Elle le retira donc mais constata qu’il était presque propre : pas de taches, peu d’odeurs particulières. Dans ces conditions, cela n’avait pas un grand intérêt… Décidément, rien ne semblait aller dans le bon sens aujourd’hui. Elle réfléchit un instant et se dit qu’elle pouvait peut-être y remédier. Elle renfila sa culotte puis se dirigea vers les toilettes. Là, elle urina et s’essuya sommairement avec le papier-toilette, de manière à ce que les quelques gouttes restantes imprègnent le tissu quand elle remit son tanga en place. Elle revint ensuite dans la salle de bain puis commença à se caresser à travers sa culotte. Pour se mettre en condition, elle repensait à la scène de la veille, revoyant son fils lécher délicatement les seins de Mme Prunel. Son intimité devint rapidement humide. Après quelques minutes, elle vérifia la quantité de sécrétions qui apparaissait désormais au fond de sa culotte. Encore un peu plus et ce serait parfait. Elle imagina alors son fils en train de la téter, elle, sous le regard attendri de Mme Prunel. Sa vulve était maintenant béante et trempée ; c’était peut-être même un peu trop. Il était temps d’arrêter. Après un instant d’hésitation, elle frotta encore la bande de tissu entre ses fesses, pour que le tableau soit complet. Enfin, elle retira son tanga et le déposa parmi le linge sale.
Quand elle sortit de la salle de bain, son fils était déjà levé. Il attendait justement la place pour prendre sa douche. Ils échangèrent quelques mots puis il s’enferma dans la salle de bain pendant que Camille descendait à la cuisine. Elle regretta aussitôt ce qu’elle venait de faire, poussée par ce besoin idiot de trop couver son fils, jusqu’à vouloir contrôler sa sexualité naissante. Qu’est-ce qui lui avait pris ? Cela pouvait-il la dévaloriser aux yeux de Baptiste ? Allait-il s’imaginer des choses à son sujet ? L’attente de la sortie de la salle de bain de son fils lui parut interminable. Que pouvait-il faire à l’intérieur ? Elle craignait de trop bien connaître la réponse à cette question. Enfin, Baptiste arriva dans la cuisine pour prendre son petit-déjeuner, taiseux, comme à son habitude. Rien de spécial ne transparaissait de sa physionomie, dans sa façon de s’adresser à elle. Camille lui demanda quel était son programme de la journée mais il n’avait rien de prévu. Cela allait probablement se terminer devant la console de jeux, comme souvent. N’y tenant plus, Camille le laissa à ses pérégrinations sur son téléphone portable pour retourner dans la salle de bain. Son tanga était toujours dans le bac à linge sale mais dans une position différente. Il y avait donc bien touché, même s’il n’avait ensuite rien laissé paraître devant elle ! Ce à quoi elle n’avait pas pensé dans l’excitation du moment, c’est qu’avec sa « préparation » de dernière minute, sa culotte était toute "fraîche". Elle le constatait elle-même : ses différents fluides étaient encore humides et très odorants. On apercevait les traces jaune pâle d’urine. C’était d’une obscénité totale. Le tissu était peut-être même encore tiède de la chaleur de son corps lorsque son fils l’avait eu entre les mains. Elle ne put, en prenant conscience de cela, réprimer un sentiment de honte, mêlé à un indéniable état d’excitation. Ah, s’il tenait d’elle, s’il aimait ces odeurs, ces goûts intimes, il avait dû trouver là de quoi se satisfaire. Avait-il été jusqu’à lécher les sécrétions maternelles ? Camille était incapable de le dire :  c’était humide, la salive se mélangeait peut-être au reste ? Comme pour effacer les preuves d’un méfait, elle mit aussitôt tout le linge sale dans la machine et lança la lessive. Elle apaisa ses doutes en pensant qu’après tout, si son fils aimait ce genre de chose, il était normal, en tant que mère, qu’elle le récompense aussi de ses efforts, comme le faisait si bien, de manière plus directe, Mme Pernel. 
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