Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 317 J'aime
  • 20 Commentaires

Camille et les cours (très) particuliers de son fils

Chapitre 4

Inceste
La semaine suivante, le test d’évaluation de Baptiste apporta une surprise quelque peu inattendue : il obtint en effet un 38 qui ne lui donnait pas droit à sa récompense. Tout le monde en parut fort déçu mais sans toutefois en faire toute une histoire. On mit cela sur le compte d’une semaine difficile, d’une possible petite baisse de régime passagère. Il fut convenu de reconduire l’arrangement pour la semaine suivante dans les mêmes conditions, en enjoignant au jeune homme de se ressaisir. Hélas, le test suivant fut encore plus décevant puisqu’il fut sanctionné par un simple 35. Cette fois, la situation méritait d’être prise au sérieux et conduisit à un conciliabule improvisé entre les deux femmes : – Je ne comprends pas qu’il se relâche maintenant, après tous ces efforts, et alors que l’échéance approche, dit Camille avec un mélange d’agacement et d’incrédulité.– Je ne suis pas sûre qu’il y ait tant de relâchement que cela, mais les tests sont de plus en plus difficiles. En fait, il faudrait qu’il fasse de plus en plus d’efforts et cela ne semble pas être le cas.– Malheureusement, je le vois encore souvent traîner sur son téléphone ou sur sa console de jeu.– Je ne suis pas très étonnée. Il faut que l’on trouve un moyen de relancer sa motivation ; il faut croire que ma jolie poitrine ne suffit plus, déclara-t-elle avec ironie. Dans le petit vestibule entre le salon et la salle à manger, où elles pouvaient discuter tranquillement, il y eut un silence que Camille finit par rompre : – Vous seriez prête à aller plus loin ?– Si c’est nécessaire, je ferai ce qu’il faut, je vous l’ai promis, mais je crois que nous avons une autre carte à jouer avant cela.– Quelle carte ?– Vous, Camille. Celle-ci replia instinctivement ses bras sur sa poitrine : – Je ne suis pas sûre de comprendre ce que vous voulez dire.– Ne soyons pas naïves, Camille. Je lui ai montré mes seins, il les a touchés, il les a même sucés. Il a sans doute trouvé cela très agréable et il est probable qu’il aimerait recommencer mais cela n’a néanmoins plus pour lui l’attrait de la nouveauté. Il faut trouver quelque chose de nouveau pour l’aiguillonner. Donc, soit on va plus loin, soit on essaye avec quelqu’un d’autre, et je ne crois pas que nous voulions mettre une autre personne dans la confidence...– Mais, Mme Prunel, je suis sa mère, souffla Camille.– Mais, précisément, Camille. Beaucoup d’ado fantasme sur les femmes de leur famille, leur mère, leur tante... C’est bien ce qui me laisse penser que cela pourrait l’intéresser.– Oh, je ne suis pas sûre que ce soit le cas pour Baptiste, avança-t-elle prudemment, en pensant toute autre chose.– Dans ce cas, on lui propose et si ça ne l’intéresse pas, on trouve autre chose. Camille soupira, perdue dans ses pensées : 
– Je ne suis pas sûre de pouvoir faire cela. Vous allez sans doute me trouver cruche mais cela me semble tout à fait immoral.– Allons, Camille, n’exagérez pas, il ne s’agit que de seins. Vous disiez vous-même que cela vous semblait tout à fait charmant quand c’était moi qui le faisais.– Sur le principe, oui, mais, moi, je suis sa mère : c’est très différent.– Vous savez, beaucoup de femmes se montrent seins nus devant leurs enfants, à la plage par exemple, et ça ne choque personne.– C’est vrai… mais ce n’est pas du tout dans les habitudes de ma famille. Mme Prunel, laissa échapper un petit rire attendri : – Je m’en doute. Je commence à vous connaître ! Mais c’est bien pour cette raison que ça peut fonctionner, dit-elle en saisissant les mains de Camille, comme pour l’encourager. Celle-ci apprécia le contact de ces mains douces et tièdes. Elle secoua la tête, balançant entre des pensées contradictoire : – Je ne sais pas… Est-ce que vous croyez qu’il faudra que je le laisse les toucher?– Ce sera comme vous le sentez, Camille. Il faut que cela reste naturel et consensuel, pas que ça devienne une torture… Mais, comme je l’ai moi-même autorisé à le faire, je pense qu’il s’attendra à la même chose avec vous. Disons, que cela me semble être une limite raisonnable, pour le moment.– Ça, vous m’accorderez que toutes les mères ne le font pas, dit-elle avec un petit air de revanche, ce qui fit sourire Mme Prunel.– Je vous l’accorde, mais, vous savez, tous les prof ne font pas non plus ce genre de chose, même en cours particulier ! – C’est vrai aussi. Les deux femmes étouffèrent un rire complice pour ne pas que Baptiste les entende. Un dernier échange de regard scella ce nouveau pacte entre les deux femmes et c’est Mme Prunel qui se chargea d’en expliquer les termes à Baptiste :  – Baptiste, nous sommes très déçues, ta mère et moi, de tes derniers résultats. Je reconnais que la difficulté est croissante mais tu es capable de mieux faire. Nous entrons dans la dernière ligne droite et il faut que tu mettes les bouchées doubles, sinon tu n’y arriveras pas. Tu as bien compris cela ?– Oui, madame, répondit Baptiste, l’air contrit.– Nous comptons sur ton engagement… et pour te montrer notre volonté de t’aider et de te soutenir, nous avons décidé de te proposer un nouvel arrangement, une nouvelle récompense si tu parviens à obtenir une note supérieure ou égale à 40. Baptiste releva la tête, cachant mal sa curiosité. Mme Prunel reprit : – Si tu le souhaites, et si cela te semble plus motivant que la récompense habituelle, ta mère a accepté – et j’espère que tu te rendras compte du sacrifice que cela représente pour elle -, ta mère a donc accepté, de la même manière que je l’ai fait, de te récompenser, si tu atteins l’objectif, en te montrant sa poitrine.   Dit de cette manière, cela sembla particulièrement osé à Camille qui baissa les yeux. Baptiste évitait de toute façon soigneusement de la regarder. Mme Prunel observait, elle, les deux autres avec amusement : – Alors, Baptiste, on part comme ça ?– Oui, madame, bredouilla-t-il.– Pas le droit à l’erreur, cette semaine, hein?– Non, madame. En effet, Camille constata durant cette semaine que son fils était plus assidu au travail. Elle fut satisfaite et, quelque part, flattée. Elle-même se fit peu à peu à l’idée que cette récompense n’était finalement pas le bout du monde. Elle regardait ses seins dans le miroir, elle se les caressait et elle se disait que ce n’était pas plus compliqué que ça. Le jeu en valait sans doute la chandelle, si cela permettait à son fils de reprendre sa marche en avant.
Le vendredi suivant, Baptiste obtint cette fois un brillant 44 sur 50, résultat qui lui procura fierté, excitation mais aussi une certaine gène par rapport à ce que cela supposait. Camille, de son côté, faisait de son mieux pour apparaître détendue. Elle avait soigneusement choisi ses vêtements le matin : un jean bien ajusté, un chemisier blanc et un joli soutien-gorge qui s’ouvrait par l’avant. Ainsi, elle n’aurait pas à tout enlever pour exposer sa poitrine. Cela lui paraissait plus correct. Au moment fatidique, Baptiste s’installa sur sa chaise, l’air tendu. Camille voulait, pour sa part, apparaître plus sûre d’elle qu’elle ne l’était en réalité : – Tu as très bien travaillé cette semaine, mon chéri, et tu as bien mérité ta petite récompense, dit-elle en se postant devant lui et en déboutonnant son chemisier. Lui baissait la tête, tout en levant les yeux pour ne pas perdre une miette du spectacle. Quand sa mère dégrafa le soutien-gorge, ses deux seins semblèrent jaillir d’un coup, juste au-dessus de lui. Ils étaient beaux et ronds. La peau était très blanche alors que les aréoles et les tétons étaient d’un rose clair charmant. Baptiste avait la gorge nouée pendant que Mme Prunel, qui s’était reculée un peu, passait sans s’en rendre compte lentement sa langue sur ses lèvres. Camille fit glisser ses mains sous ses seins pour les détendre. Elle se sentait moins mal à l’aise qu’elle l’aurait pensé. Néanmoins, elle ne savait pas trop ce qu’elle devait faire. Elle s’approcha de son fils, attendant qu’il tende ses mains vers elle mais il apparaissait paralysé. Elle finit par murmurer : – Tu peux les toucher, un peu, si tu veux. Il étendit ses bras, jusqu’à ce que le bout de ses doigts touchent les seins maternels. Il n’osait toutefois pas y aller franchement et ce contact incomplet était plus irritant qu’autre chose pour Camille, qui finit par poser ses mains sur celles de son fils pour les plaquer sur ses seins. Elle les guida ensuite dans un mouvement de rotation délicat. Au bout de quelques secondes, elle put retirer ses mains : Baptiste la caressait maintenant de lui-même. Comme avec Mme Prunel, il finit par titiller les tétons de sa génitrice avec ses pouces, ce qui arracha un soupir à celle-ci. Pas insensible à l’érotisme de la scène, Mme Prunel sentit son sexe palpiter entre ses cuisses et dut se retenir pour ne pas se caresser. C’est néanmoins elle qui mit fin aux réjouissances, craignant que cela ne dégénère : – Bon, je crois que ça suffit pour cette fois ! A ces mots, comme sortant d’une rêverie, Camille se redressa subitement et s’employa à remettre son soutien-gorge en place. Baptiste restait lui ahuri sur sa chaise, n’osant pas montrer le sourire béat qu’il arborait intérieurement. – Vous voyez, vous vous en êtes très bien tirée, dit Mme Prunel à Camille, une fois qu’elle se retrouvèrent seules.– Oui, vous aviez raison. C’était moins difficile que je le  pensais… Et vous croyez que… ça lui a plu ?– Oh, ça, j’en suis certaine. Vous n’avez pas vu la bosse qui s’est formée au niveau de son pantalon ?– Oh, Julie… laissa-t-elle échapper par une pudeur pas totalement feinte. Mme Prunel avait bien noté qu’elle l’avait appelée par son prénom, ce qui l’incita à quelques confidences : – En tous cas, vous avez une poitrine superbe, Camille. Je dois avouer que vous regarder comme ça m’a fait un certain effet. Camille rosit sous le compliment : – Vous allez me faire rougir… mais je comprends ce que vous voulez dire : moi non plus, cela ne me laissait pas indifférente de vous voir vous exhiber devant mon fils. C’est une situation… troublante– Ha, ha, c’est un peu l’histoire de l’arroseur arrosé mais je crois que nous tenons le bon bout. Encore un effort et nous pourrons célébrer notre victoire. A bientôt pour de nouvelles aventures, ma chère Camille, dit Mme Prunel en lui posant tendrement la main sur l’épaule.– A bientôt. En guise de bise, cette fois, Mme Prunel déposa un léger baiser sur les lèvres de Camille. Celle-ci fut aussi surprise par le geste que déçut de sa brièveté. Elle se sentait complètement sous le charme de cette femme, envoûtée autant par son caractère solaire que par son odeur sucrée. Ce soir-là, elle ressentit une grande fierté en trouvant une large trace de sperme dans le caleçon de son fils. Voilà qui concluait la journée en beauté : elle se sentait irrésistible. Elle était dans un tel état d’excitation qu’elle chauffa sans retenu son mari dès qu’il rentra. Elle baisa avec plus de fougue encore qu’à l’accoutumé et lui demanda expressément de finir en éjaculant sur ses seins. Cet ingrat ne se fit pas prier. Il ne savait pas tout ce qu’elle devait faire pour tenir le foyer et satisfaire ses caprices.
Diffuse en direct !
Regarder son live