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Camille et les cours (très) particuliers de son fils

Chapitre 5

Inceste
Le lundi venu, Mme Prunel se présenta comme d’habitude au domicile des Gibaud à 18h, chaleureusement accueillie par la maîtresse des lieux. Le printemps avançait, ce qui semblait rendre la jeune enseignante de plus en plus séduisante. Avant de commencer la leçon, les deux femmes se réunirent dans leur petit vestibule pour mettre au point la stratégie de la semaine : – Dans l’émotion de la semaine dernière, nous n’en avons pas parlé mais vous êtes d’accord pour reconduire le même arrangement ?– Oui, c’est ok pour moi, acquiesça Camille.– Je suis presque sûre que cela conviendra également à votre fils. En revanche, vous savez qu’il risque d’attendre un petit palier supplémentaire ?– Oui, de pouvoir… mettre la bouche ?– Exactement. Vous vous sentez prête à ça ?– Je crois que oui… D’ailleurs, j’ai pensé que l’on pourrait conditionner cette évolution à une exigence supplémentaire, pour qu’il redouble d’efforts. Disons que s’il obtient entre 40 et 45, il pourrait toucher avec les mains, et s’il obtient plus de 45, il pourrait aussi mettre la bouche. Mme Prunel fut amusée que Camille ait pensé à cette petite sophistication. Décidemment, elle apprenait vite, elle aussi. – C’est une bonne idée, Camille, mais le test de cette semaine n’est vraiment pas évident. A mon avis, 45 est un objectif inatteignable. Le pauvre, il ne faudrait quand même pas lui faire miroiter cette délicieuse friandise sans lui laisser aucune chance de l’atteindre. Il faudrait plutôt mettre le palier à 42, et encore, ce serait une très bonne note.– Ok, pour 42, alors, dit Camille, contente que la professeure ait souscrit à son idée, puis elle posa avec précaution sa main sur la hanche de Mme Prunel pour la conduire dans le salon. La semaine se déroula dans une ambiance studieuse. Le vendredi après-midi, en attendant que Baptiste rentre du lycée, Camille se doucha en prévision du rôle qu’elle aurait à jouer. Elle voulait être pimpante. Une fois lavée, elle s’apprêtait à se masser la poitrine avec une crème hydratante, pour lui donner un aspect parfait, mais elle s’arrêta au dernier moment. Après réflexion, elle craignait en effet que cela donne à sa peau un goût désagréable de cosmétique. Baptiste avait eu l’air de beaucoup apprécier de goûter les seins de Mme Prunel, il ne fallait quand même pas que ceux de sa mère lui apparaissent comparativement moins « bons ». Elle avait par ailleurs choisi un bel ensemble de lingerie blanc. Le bas était un tanga peut-être un peu trop sexy mais nulle n’en saurait rien à part elle. Pour le reste, elle enfila une robe d’été, mi-longue qui se boutonnait par l’avant. Maintenant qu’elle se sentait plus à l’aise, elle ferait comme Mme Prunelle, la déboutonnerait et la retrousserait jusqu’à la taille, découvrant son torse en entier. Tout ceci lui semblait parfait. L’attente de la correction du test sembla interminable. Il faut avouer que, sans en informer les deux autres, Mme Prunel fut un peu plus indulgente que d’habitude. Objectivement, le travail de Baptiste aurait sans doute mérité un 40, peut-être même un 39, mais elle lui accorda finalement un généreux 42, dont tout le monde ne put que se réjouir. Même Camille était rayonnante. Elle s’avança avec entrain vers son fils, sûre de son effet. Singeant la professeure, elle déboutonna le haut de sa robe, l’abaissa jusqu’à la taille puis retira lentement son soutien-gorge, qu’elle déposa sur le dossier d’une chaise. Elle se tourna de nouveau vers son fils en susurrant : – Je suis très fier de toi, Baptiste. Profite bien de ta récompense, dit-elle en se penchant vers lui. Encouragé par ces mots, il posa immédiatement ses mains sur les seins maternels, les soupesant, les malaxant, triturant les tétons entre ses doigts. Ceux de Camille était plus sensibles que ceux de Mme Prunel et elle avait bien du mal à cacher l’effet que cela lui faisait, laissant de temps en temps échapper quelques soupirs. Baptiste marqua ensuite un temps d’hésitation que Camille remarqua et crut comprendre : – Comme tu as très bien travaillé, tu peux mettre la bouche, mon chéri, si tu en as envie. Il ne se fit pas prier et jeta sa bouche sur le sein gauche de sa mère, en gobant un bon tiers, pour sucer le téton avec empressement, le titiller avec sa langue. Camille tressaillit sous l’assaut :
 – Doucement… Oui… comme ça… C’est bien, mon bébé. Il passa sur l’autre sein sans que son ardeur ne s’apaise. Il avait en même temps agrippé sa mère par la taille et, dans sa fougue, il fit glisser sa robe de ses hanches, robe qui descendit lentement jusqu’aux genoux, dévoilant ainsi le tanga très échancré de Camille, ses cuisses musclées, son postérieur galbé. Dans la confusion, les mains du jeune homme finirent même par se hasarder sur les fesses de sa mère, qui, dans le tourbillon de sentiments et de sensations dans laquelle elle se trouvait, ne s’en rendit pas vraiment compte. C’est Mme Prunel qui dut intervenir. Elle saisit la robe volage pour la remonter à la taille puis en déroula aussitôt le haut jusqu’aux épaules. Ce contact furtif avec le corps dénudé de Camille l’électrisa mais elle sut conserver son sang-froid. Elle ota ensuite Camille de l’emprise de son fils en la tirant en arrière. Baptiste resta, pour sa part, avachi sur sa chaise comme un boxer groggy après un round disputé.  – Eh bien, eh bien, voilà qui conclut en beauté une belle semaine de travail, lança Mme Prunel pour faire baisser la tension, pendant que Camille réajustait son vêtement. L’incident de la robe fut aussitôt après un motif de moquerie amicale entre les deux femmes :– Je la voyais lentement glisser sur vos cuisses, et vos fesses apparaître ; j’ai même cru un instant que vous n’aviez rien dessous !– Oh, Julie, quand même… Mais je dois avouer que je ne m’en suis pas rendu compte… Quand j’y repense, c’est terriblement gênant…, mais on sentait bien qu’elle n’était en réalité pas du tout affectée par cet épisode.– Vous n’avez à avoir honte de rien, Camille, vous avez un corps magnifique et le spectacle était superbe. Le petit en a vraiment eu pour son argent, enfin, pour son travail ! Camille était toujours très sensible aux compliments de Mme Prunel, et elle se dit que cela allait sans doute lui valoir un baiser d’au revoir, comme la semaine précédente, en tous cas elle l’espérait. Elle minaudait un peu pour essayer de le faire comprendre à son interlocutrice, qui engagea toutefois la conversation sur d’autres considérations :  – Le timing est parfait. Il n’y aura pas de tests les deux prochaines semaines. Dans trois semaines, en revanche, ce sera le test final avant le bac blanc, le plus important. Il va falloir mettre le paquet. Vous avez été superbe, Camille, et je pense que je peux reprendre la main pour cette fois. J’y ai réfléchi et, en guise de récompense, je pensai lui proposer une alternative : soit je lui montre le bas, soit je lui fais une fellation.– Oh…, lâcha Camille, un peu surprise.– Qu’est-ce qui vous choque ?– Non, non, je ne dirais pas que ça me choque mais je… Disons que j’avais imaginé la possibilité de lui montrer le bas, bien sûr, pas vraiment celle de la fellation. Je ne sais pas… Est-ce que ce ne serait pas "trop" ?– Je comprends ce que vous voulez dire. Je me suis posé la même question. Mais, j’y ai beaucoup réfléchi. Pour l’instant nous l’avons cantonné dans un rôle globalement contemplatif : tu peux voir ceci, tu peux toucher cela. Ma crainte est que cela finisse par être frustrant pour lui. Je me suis donc dit qu’il pourrait être sensible à quelque chose qui serait plus directement dirigé vers son plaisir, vers son corps à lui. Au début, je pensai à une simple masturbation manuelle mais serait-ce assez ? Il doit le faire assez souvent lui-même (ici, Camille, acquiesça). Et puis, après tout, le prendre en bouche, ça ne change pas grand-chose pour moi. C’est quelque chose que j’aime bien faire dans ma vie personnelle. Et puis, je vous connais, je ne doute pas que votre fils doit avoir, comme vous, une hygiène irréprochable. Ça ne me dérange pas plus que ça de le faire.– Je comprends votre raisonnement mais vous êtes tellement plus à l’aise avec ça que moi...– Et rendez-vous compte que, maintenant, pour faire aussi bien que les superbes seins de sa mère, il va falloir que je donne de ma personne, dit-elle avec amusement.– N’importe quoi… Vous êtes magnifique aussi, Julie, et bien plus sexy que moi !– C’est très gentil, Camille… Alors, on part sur mon idée ?– Oui, si vous le sentez comme ça, ça me va. On verra bien ce qu’il choisira.– On verra, oui, mais si mon raisonnement est correct, j’ai déjà ma petite idée… Au moment de lui dire au revoir, Mme Prunel posa sa main à la taille de Camille. Celle-ci releva légèrement le menton pour rendre ses lèvres plus accessibles, ce que sa comparse ne manqua pas de remarquer. Elle y déposa donc un tendre baiser, qui s’attarda un peu plus que la dernière fois. – Vous êtes vraiment parfaite, Camille, dit la professeure en s’éclipsant.
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