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Camille, pas aussi sage que ça !!!

Chapitre 1

Pour une sublime jeune femme qui préfère le petit cochon pervers au vieux loup...

Voyeur / Exhibition
Deux heures trente du matin... la nuit est tiède, avec un léger vent qui balaye les rues désertes du centre-ville. Je suis toute seule, assise sur l’un des bancs qui ornent la place centrale de la petite bourgade, à regarder tout autour de moi à la recherche du moindre signe d’une personne éveillée. Non, personne ! Un chat de gouttière file dans une ruelle adjacente... je sens les battements de mon cœur s’accélérer, alors que mon excitation est à son comble. J’essaye néanmoins de poser ma respiration, me disant que ce n’était pas la première fois que je faisais ça et que cela s’était toujours bien passé jusqu’à maintenant. — Allez Camille ! Je me parle à moi-même pour me donner du courage... pour me lancer ! Allez hop, après une grande respiration, je fais glisser mon bas de survêtement, l’enlève complètement sans retirer mes jolies baskets blanches... un dernier regard pour vérifier que personne n’arrive... puis j’ôte le haut, juste un large tee-shirt noir. Me voilà nue comme un ver, hormis mes chaussures aux pieds ! La sensation est exquise ; j’ai la chair de poule sur tout mon corps, mes deux petits tétons pointent vers l’avant à la limite de me faire mal tellement ils sont durs, ma petite chatte toute glabre s’humidifie doucement de l’intérieur... Je suis la reine de la nuit, de cette place piétonne habituellement si animée en journée ! J’ai maintenant pris possession de l’espace, dansant sur ces pavés comme si j’étais sur une plage déserte. J’aime sentir sur mon corps dénudé, la légère brise qui arpente les rues. Mon esprit fourmille de pensées obscènes, comme si de braver cet interdit ravivait tous mes fantasmes les plus brûlants, les plus inavouables... et Dieu sait que j’en ai, du haut de mes dix-neuf ans ?! Je rêve notamment de rentrer à la maison et de tomber dans le salon sur ma mère en train de sucer mon père sans aucune gêne, que nous nous embrassions les trois sur la bouche en mêlant nos langues, que nous n’hésitions pas à nous mettre à poil sans que ce soit tabou, que l’un ou l’autre se mette à caresser mon corps...
— Aaahhh !!! Je me retourne brusquement suite à l’effleurement de mon épaule, et recule de deux mètres... — Je ne voulais surtout pas vous faire peur, jeune femme. Complètement paniquée, j’essaye de cacher mon sexe et mes seins, cherchant des yeux le banc où étaient posés mes habits... L’homme se tient justement debout entre le mobilier urbain en question et moi, me coupant la possibilité d’aller directement jusqu’à mes fringues pour les récupérer. Il est plus grand que moi, même si ce n’était bien sûr pas trop difficile avec mon petit “1m57”, et plutôt athlétique. Je lui donne à première vue la cinquantaine... mais ce qui m’impressionne le plus, ce sont ses yeux que je distingue malgré l’obscurité. Son regard est vraiment intimidant, me faisant comprendre que mon inconnu ne voulait pas que j’aille me rhabiller tout de suite... — Vous allez me faire quoi, monsieur ? — Moi, absolument rien pour le moment... mais toi, jeune gourmande, je suis sûr que tu as faim, après avoir dansé comme ça !? D’ailleurs, quel est ton joli prénom, ma petite chatte ? Je comprends tout de suite où ce vieux pervers voulait en venir. Il espérait probablement que je le suce, pensant sans doute que ma nudité l’autorisait à abuser de moi. Étonnamment, je suis plutôt excitée par la situation et n’ai pas envie de crier pour rameuter qui que ce soit... en tout cas pas dans l’immédiat. Je me fais d’ailleurs la réflexion que c’était justement pour vivre ce genre de situations terriblement excitantes, que je m’exhibais depuis quelques temps autour de chez moi en pleine nuit ! Je voulais donc pousser le jeu plus loin, pour voir jusqu’où ce vieux cochon vicieux voulait m’emmener et, surtout, jusqu’où j’étais prête à aller dans la luxure !? — Camille... et vous ?... — Comme c’est adorable, Camille ! Quand j’entendrai à l’avenir ce délicieux prénom, ça me fera penser systématiquement à une jeune fille coquine qui aime s’exhiber dans les rues... — Par contre, je ne vais quand même pas vous sucer ici, au milieu de la place, en restant toute nue, monsieur !? Si quelqu’un nous surprend comme ça, que va-t-il penser ? — Allez, Camille, pas de fausse pudeur avec moi ! Maintenant, tu te mets à genoux et tu me montres comment tu te débrouilles avec ta bouche ! Mon inconnu se rapproche de moi, passe une main derrière ma nuque pour m’inciter à me baisser, le ton impérieux de ses derniers propos faisant le reste... Je suis donc le mouvement de son bras pour me mettre accroupie devant lui, les cuisses écartées au maximum pour tenir en équilibre sur la pointe de mes pieds. Avec mes deux mains, je déboutonne sans attendre son pantalon et libère son sexe bandé à mort, une superbe colonne de chair qui doit sans problème avoisiner les vingt centimètres de long. Bien évidemment, je n’avais jamais eu entre mes doigts une telle verge... et je suis donc particulièrement intimidée ! — Vous allez me violer si je ne vous suce pas ?
L’homme se met à rire tout en me caressant les cheveux de façon très sensuelle. Qu’ai-je pu dire de si amusant ?... En tout cas, la situation m’excite de plus en plus, et je sens ma chatte se noyer de mon jus d’amour. — Mais, excitante Camille... pourquoi user de violence alors que tu en rêves depuis tes premiers émois amoureux, de ma belle grosse queue ?! Le gland couleur cramoisie est maintenant à moins de dix centimètres de ma bouche. Je fais glisser très lentement mes doigts le long de cet énorme pénis pour sentir toute la puissance sexuelle qu’il dégage. Oui, il a bien raison... j’en rêve depuis de nombreuses années, de ce sexe brûlant d’excitation et à la taille démesurée ! Tout mon corps en rêve... mais ce sont mes lèvres qui auront le privilège de le goûter en premier. Je pose un premier baiser sur le bout de celui-ci, puis ma bouche s’ouvre pour avaler progressivement l’objet de tous mes fantasmes. — Hmmm... — Oh oui, Camille... comme ça, c’est trop bon ! Je réalise que je suis en train de faire une putain de fellation à un homme que je n’avais jamais croisé de ma vie un quart d’heure plus tôt, qui a au minimum l’âge de mes parents, tout ça sur la place centrale de ma commune tout en étant complètement à poil... Cette pensée furtive ne fait paradoxalement que décupler mon envie de poursuivre, de le faire jouir dans ma bouche !
Tous mes sens sont en alerte, afin de profiter au maximum de cet instant unique. Je m’applique d’ailleurs à ce que chaque caresse, qu’elle soit avec ma langue, mes lèvres ou mes doigts, lui procure un plaisir intense, le transporte progressivement vers l’extase... Je tète son gland... puis aspire une de ses couilles... remonte sa verge sur toute sa longueur avec ma langue... avant de la reprendre complètement en bouche, presque jusqu’à l’étouffement ! J’ai maintenant laissé glisser une de mes mains entre mes cuisses et je me doigte frénétiquement... tout en continuant à pomper cette énorme queue. Je suis au bord de l’extase... mon inconnu a saisi mes cheveux et il accélère les mouvements de ma tête... il me baise littéralement la bouche... je l’entends grogner, souffler... je suffoque... — Oh oui... ouiii !!! Je sens une première giclée me tapisser le fond de la gorge... puis une autre ! Je jouis, je crie ! Il continue de se décharger dans ma bouche... puis se retire et m’envoie son sperme chaud sur mon visage, dans mes cheveux ! Un nouvel orgasme me submerge, mes jambes se dérobent sous moi et je bascule vers l’arrière, me rattrapant in extrémiste au pantalon de mon amant... — C’est quoi, ce bouquant ?! Il y en a qui dorment, ici ! Une fenêtre s’est allumée et ouverte sur une maison à l’autre bout de la place... un homme vocifère... Mon inconnu me tend la main et m’aide à me redresser... puis il me tire vers lui et m’offre un intense et langoureux baiser. Je suis toujours toute nue mais mon corps est un brasier... j’ai encore envie de lui ! Malheureusement, une seconde fenêtre s’est ouverte, cette fois-ci beaucoup plus proche de nous... et c’est une femme qui sort la tête. — Mais ça ne va pas ! Vous n’êtes pas bien, à crier comme ça en pleine nuit !?... Et la petite dame qui se balade à poil !... Appelle la gendarmerie, Albert ! Mon homme me prend contre lui... nous passons à côté du banc et il récupère mes habits. Alors que plusieurs nouvelles voix semblent se rajouter aux deux premières, nous filons en direction du haut de la commune et, par la même occasion, de la maison de mes parents. Je suis bien dans ses bras, comme dans un rêve ! — Vous voulez me dépuceler le cul avec votre énorme bite, monsieur ? Il s’arrête sur le trottoir à proximité d’un lampadaire, puis m’invite à me serrer tout contre lui, m’entourant d’ailleurs avec ses bras. Je sens son sexe toujours sorti de son pantalon et de nouveau en érection, buter contre mon ventre. Mon cœur bat la chamade... Nous passons ainsi plusieurs minutes l’un contre l’autre à nous embrasser, à mêler nos langues dans un balai sensuel d’une rare intensité, à nous aimer comme des amants de longue date...
Je suis brusquement ramenée à la réalité quand une voiture passe dans la rue et nous klaxonne, sans doute à cause de ma nudité... et peut-être aussi de notre différence d’âge. Je reconnais d’ailleurs la fourgonnette du boulanger... et frémis à l’idée qu’il ait pu m’identifier. — Tu as froid, ma petite chérie ? — Non, ça va ! Je suis trop bien contre vous, monsieur... — Tu habites où, Camille ? J’hésite un très court instant, étant donné que mes parents m’ont toujours dit de ne pas dévoiler mon adresse à des inconnus... mais je me sens dans une telle euphorie, dans un tel sentiment d’allégresse, que je décide malgré tout de lui montrer ma maison, ou plutôt celle de mes parents. — C’est la maison un peu plus haut, là-bas au bout de la rue... celle avec les volets ouverts et la voiture garée devant. Vous avez envie de venir me baiser dans ma chambre ? Par contre, il ne faudra pas faire trop de bruit car mes parents dorment pas très loin de celle-ci, et ils pourraient nous entendre... — Sacrée petite coquine, gourmande et impatiente !... Oui, je viendrai te prendre farouchement contre les murs de ta chambre, peut-être la prochaine fois où nous nous verrons... ou la suivante ! Mais pour cette nuit, nous allons en rester là, jeune Camille ! Mon bel inconnu dont je ne connais toujours pas le prénom, me caresse délicatement la joue... avant de m’embrasser une dernière fois sur la bouche. Il s’écarte légèrement de moi et me tend mes habits... — Ma petite chatte, je veux te revoir, pas la nuit prochaine mais la suivante, au même endroit sur la place... et bien sûr toujours toute nue ! — Mais... Il pose un doigt sur ma bouche... — Tu viendras un peu plus tôt, vers une heure trente, pour que nous ayons encore plus de temps pour nous amuser ensemble... Tu as bien noté, Camille ? Avec toujours son doigt en travers de ma bouche, je fais un léger signe de la tête pour lui dire que j’ai compris le message... puis je m’apprête à renfiler mon tee-shirt mais il arrête mon geste avec sa main. — Non, Camille ! Tu vas rentrer chez toi comme ça... puis tu iras te coucher tout de suite sans te laver, pour garder sur toi l’odeur de mon foutre jusqu’à demain matin !... Allez !... À dans deux nuits, ma chatte ! Il me met une petite claque sur les fesses pour m’inviter à y aller. Je me dirige donc tout doucement jusqu’à chez moi, me retournant à de nombreuses reprises pour regarder derrière moi. Mon inconnu est toujours là, immobile... et puis, d’un coup, il n’y a plus personne sous le lampadaire !
Je reste un petit moment devant la porte d’entrée de la maison familiale, dans l’espoir de le voir ressurgir... avant de me décider de rentrer sans bruit. Je suis amoureuse de mon inconnu !!! 
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