C’est la première fois que j’invite ma copine Linda à venir chez moi. Enfin, quand je dis chez moi, c’est plutôt dans l’appartement de mes parents, que nous occupons à deux avec mon père depuis le décès de maman d’un cancer du sein il y a cinq ans. Papa n’a pas officiellement refait sa vie et reste très discret sur ses éventuelles relations amoureuses. Avec Linda, nous avons sympathisé dès notre rencontre en première année de fac d’histoire. Il faut dire que nous ne connaissions personne, aucun de nos camarades de terminale n’ayant choisi la même option, et que le premier jour nous étions assises l’une à côté de l’autre dans l’amphi. Cela fait maintenant six mois que nous avons sympathisé et nous sommes devenues très proches, au point de fréquemment nous voir les week-ends ou de faire quelques sorties ensemble le soir.
Nous partageons de plus en plus de secrets et j’ai ainsi récemment appris qu’elle menait une vie pour le moins débridée. Elle est accro aux sites de rencontres et cible surtout les hommes matures et mariés. Au moins avec eux, elle est sûre qu’ils ne vont pas trop s’accrocher et qu’elle pourra en changer à sa convenance. L’autre avantage est qu’en jouant de son charme, elle arrive toujours à se faire inviter au restaurant ou pour une sortie.
Mon amie n’a pas trop de mal pour trouver des prétendants, elle est canon comme meuf : grande, mince, des jambes qui n’en finissent pas, une poitrine suffisamment pulpeuse pour affoler la plupart des hommes, des yeux et des cheveux noirs sur une peau naturellement bronzée de métisse. Si j’étais un mec, je ne pourrais pas résister. Bon, j’avoue que même moi qui me croyais être une pure hétéro, et bien elle me fait son petit effet.
Nous sommes assises toutes les deux sur le canapé du salon, échangeant des banalités. C’est le mois de juillet et il fait chaud dans l’appartement. Linda qui est en débardeur et short ouvre soudainement ce dernier et glisse sa main vers son intimité, sans la moindre gêne.
— Je ne sais pas si c’est la chaleur, mais j’ai la chatte en feu. Faut vraiment que je m’apaise !— Merde Linda, quand même…— Arrête, Camille, nous ne sommes plus des enfants, alors ne me dis pas que tu ne te caresses jamais. Enlève-moi ta jupe, on est entre filles, il n’y a aucun mal à se faire du bien.
Comme si cela ne lui suffisait pas, elle retire son short et je constate qu’elle ne porte pas de culotte, ce qui ne m’étonne pas vraiment. Mais pas de répit et, à peine déshabillée, une de ses mains s’empare à nouveau de sa chatte. C’est vrai qu’elle m’excite grave à se masturber devant moi. Aussi, je n’ai qu’un très court moment d’hésitation avant de retirer ma jupette et mon tanga. Nous voilà toutes les deux assises sur le canapé, bas du corps à poil, cuisses écartées et la main sur notre sexe.
Mes doigts effleurent mes lèvres intimes avant d’entrer dans mon antre, déjà bien trempé de cyprine, pour des va-et-vient. De mon autre main je me caresse un sein, d’abord l’aréole puis le mamelon, si sensible au moindre toucher qu’il durcit aussitôt. Mon index quitte ma vulve pour mon bouton d’amour et, mouillé de mon jus intime, il tourne autour avant de débuter de lents tapotements qui deviennent plus en plus rapides. Je jette un coup d’œil en direction de mon amie qui, elle aussi, se caresse le clito. Seuls nos gémissements troublent le silence de la pièce. Se masturber côte à côte est tellement excitant que le plaisir me gagne rapidement, mais à chaque fois que je m’approche au plus près de l’extase, je ralentis pour reprendre de plus belle. Mes pressions sur mon clitoris deviennent plus en plus franches et, alors que je pince et je tire sur mes tétons, soudainement mon corps se contracte, je crie et un orgasme me déchire. Peu après, c’est au tour de Linda de jouir.
Nous restons sans parler pendant de longues secondes avant que mon amie prenne la parole :
— Putain, c’était trop bon. Et toi Camille, quand tu te lâches, tu ne fais pas semblant.— Tu m’as bien aidée, il faut dire. Si tu n’avais pas commencé, il ne se serait rien passé, pourtant j’adore le cul…— Bienvenue au club ! Mais quitte à parler cul, depuis le temps que tu me poses des questions, je vais t’en dire un peu plus sur mes rencontres. Bon, tu sais que je suis accro au sexe, mais baiser avec nos potes ou d’autres mecs de notre âge ne m’intéresse pas. Moi, les hommes que je kiffe, ce sont les vieux dans les quarante - cinquante ans et, si possible, mariés. A leur âge, ils sont tellement heureux de se taper une petite jeune, qu’il suffit de les flatter pour obtenir tout ce que l’on veut. Ils croient décider mais c’est bien moi qui les mène par le bout de leur queue. Et comme ils sont en couple, ils ne sont pas trop collants, ils ont trop peur que leurs bobonnes découvrent qu’ils baisent ailleurs.— Oui, ce n’est pas con. Mais tu en revois certains ?— Parfois quand j’ai pris mon pied avec eux. Le max a été cinq fois, il faut dire que le mec était canon, baisait comme un dieu et était très prévenant. Mais le plus souvent ce sont des one-shots. — Et c’est facile d’en rencontrer ?— Avec les sites de rencontre, très ! J’ai beaucoup de demandes. D’ailleurs, si tu veux, je te montrerai lors d’une prochaine connexion.— Je ne dis pas non. Et puis, cela me donnera peut-être des idées. Ceci dit, je te crois volontiers car, une fois, j’ai surpris papa en grande discussion sur internet. Et manifestement il appréciait la conversation.— Ah ouais… mais comment sais-tu qu’il avait ce genre de contact ? — C’est simple, il avait enlevé son pantalon et il se branlait tout en échangeant par messagerie. Déjà, cela laissait peu de doutes. Et j’ai pu vérifier ensuite le site qu’il fréquentait car il avait oublié d’effacer l’historique. Pas très malin de sa part.— C’est sûr… Mais tu as fait quoi ? Tu n’as quand même pas espionné ton père.— Non, bien sûr que non… enfin si, un peu.— Un peu ?— Je l’ai regardé pendant quelques minutes en me dissimulant. Je n’arrivais pas à détacher mon regard de sa main qui astiquait sa queue.— Putain Camille, alors là tu me scotches. Tu as maté ton père en train de se branler, c’est limite, non ?— Je sais, mais depuis mon adolescence je suis attirée par lui. C’est peut-être contre nature, mais je n’y peux rien. Tu es la première personne à qui j’en parle ; alors, déconne pas, tu ne fais jamais le moindre sous-entendu devant les autres. Mais de le voir se donner du plaisir, cela m’a rendue grave dingue.— Pas quand même au point de te caresser ?— En le matant, non… ou très rapidement avec ma main. Mais quand je suis revenue dans ma chambre, j’étais tellement excitée que cela a été plus fort que moi et j’ai dû utiliser mes godes pour me soulager.— Tes godes ?— Oui, un pour ma chatte et un pour mon petit trou. Pour être franche, j’ai rarement autant joui. Euh…désolée si je suis si directe… t’es pas quécho au moins ?— Choquée… non. Je trouve cela même plutôt excitant. Et puis, tu sais, vu les demandes de certains vieux à priori très respectables, très peu de choses me scandalisent. Tu n’es pas la seule meuf à être attirée par son daron. Et puis tu n’as pas baisé avec lui donc, y a pas de lézard. On est d’accord, il ne s’est rien passé ?— Non, strictement rien mais quand même l’attirance est là, enfin de mon côté. Je ne sais pas ce qui se serait passé s’il m’avait découverte à poil sur mon lit en train de me faire du bien. — Tu ne le sauras jamais. Mais cela me surprend venant de toi, jamais je n’aurais pensé que tu pouvais être attirée par ton père. Merci de ta franchise en tous les cas et n’aie aucune crainte, je suis une tombe. Au fait, tu as des photos de lui, j’aimerais bien en voir une.— Bouge pas, je vais en chercher.
Je me lève, oubliant que j’ai toujours les fesses à l’air. Ce n’est pas un problème, n’étant pas pudique et puis, Linda est dans la même tenue suite à notre petite séance de masturbation. Je vais dans ma chambre récupérer plusieurs photos de papa que je rapporte à mon amie. Cependant, quand je lui montre la première, elle paraît étonnée et même gênée avant de la reposer sans le moindre commentaire.
— Il y a un problème ? — Non… rien.— Je ne sais pas… mais tu as eu l’air surprise quand je t’ai donné la photo de papa. Tu ne le connais pas au moins ?
Elle met de très longues secondes avant de répondre, mais sa voix est assurée et comme rien sur son visage ne trahit une quelconque gêne, j’oublie instantanément mes soupçons.
— Non, cela m’a fait simplement drôle de voir le visage de ton père et d’imaginer que tu fantasmais sur lui. Quel âge a-t-il ? — Quarante-deux ans et il s’appelle Jérôme. Tiens, voilà une autre photo de lui prise à la plage, c’est vrai que papa est encore bien conservé. Après, s’il veut rencontrer une nouvelle meuf, il a intérêt à s’entretenir. C’est pour cela qu’il fait une heure quotidienne de rameur.— Hummm, pas mal ton vieux. Tout à fait le genre d’hommes que j’aime. Pas de problème, si un jour il me contacte, je t’appelle. Un plan à trois avec ton père, je ne dirais pas non. Et toi ?— T’es vraiment conne ! Mais pourquoi pas… je ne sais pas… c’est vrai que cela serait tentant. Bon, parlons d’autre chose car je me sens toute bizarre de parler de papa.
Linda me sourit, un sourire légèrement moqueur, mais change de sujet. Nous continuons ainsi pendant deux heures. Dans la conversation, mon amie arrive à me convaincre de me joindre à elle la prochaine fois qu’elle sera avec un homme amateur d’un plan à trois. Vu ce qu’elle connait de la gent masculine, cela devrait vite arriver me précise-t-elle.
Une fois seule, je repense à tout ce qui s’est passé cet après-midi. J’avoue que ce que ce genre de relations avec des hommes, rencontrés sur le net, m’excite et que j’ai vraiment envie d’essayer. Je suis un peu moins libérée que Linda mais j’adore le sexe et j’ai déjà eu de nombreuses relations, parfois avec des sentiments, mais le plus souvent que pour le cul. Alors, être sur un tel site et pouvoir se taper des tas de mecs qui ne sont là que pour la baise, je suis partante. Et comme elle me propose de faire ma première expérience avec elle, cela sera plus facile, alors pourquoi pas. Je vais attendre avec impatience qu’elle me contacte.
L’attente n’aura pas été longue. Trois jours plus tard, alors que nous sommes en cours à la fac, Linda m’informe qu’elle a un rendez-vous le soir même avec un homme qui est partant pour un trio. Comme je lui confirme que je suis toujours ok, elle me donne l’adresse de l’hôtel et l’horaire. Je dois garder mon portable allumé, elle me préviendra quand je pourrai entrer dans la chambre car elle doit auparavant mettre l’homme en condition…
A 20 h, je suis dans le hall de l’hôtel quand le message attendu arrive. Aussitôt je monte les rejoindre, toute excitée à l’idée de ce qui doit se passer. Mon amie vient m’ouvrir, elle est entièrement nue et m’informe de la suite : elle vient juste de débuter une pipe à l’homme, qui attend avec impatience ma venue. Je me déshabille rapidement et j’entre dans la chambre où un mec est allongé sur le lit. Mes yeux se portent en premier sur son sexe dressé, une première vision des plus excitantes, puis remontent vers son visage…
— Papa !— Camille ! Mais que fous-tu ici… et à poil ? C’est quoi ce bordel ! Sors immédiatement de cette chambre, on s’expliquera plus tard.
Je n’en mène pas large mais Linda vient immédiatement à mon secours :
— On se calme Jérôme. Alors je t’explique, Camille est là pour la même raison que moi : baiser ! Tu ne me semblais pas gêné jusqu’à maintenant.— Elle a 18 ans !— Comme moi.— Oui mais c’est ma fille et elle n’a rien à foutre ici ! Et toi, Camille, tu voulais quoi ? Te taper un vieux ? Tu n’as qu’à faire l’amour avec des mecs de ton âge. Tu ne manques pas d’amis quand même.— Ben voyons, c’est un peu facile comme discours et je te trouve de mauvaise foi, non ? Alors je vais te dire la vérité. Il y a quelques jours, nous étions ensemble chez vous, elle m’a montré ta photo et je t’ai reconnu. Ce sont les risques d’internet. Et quand ta fille m’a avoué le désir qu’elle te porte, et bien j’ai eu l’idée de ce stratagème. La pauvre, elle n’y est pour rien. Quant à toi, accepte la vérité… tu la dévisages de haut en bas depuis son arrivée et il faudrait être aveugle pour ne pas s’apercevoir que tu la kiffes. D’ailleurs, tu bandes toujours, alors ne nous dis pas qu’elle ne te fait pas d’effet ! Et puis, tu n’étais pas gêné à l’idée de baiser avec une deuxième jeunette…— Une jeunette qui est ma fille ! — Papa, j’ai honte mais tout ce que dit Linda est vrai. Je n’ai aucun mal à trouver des amoureux ou des sex friends mais, depuis longtemps, c’est avec toi que j’ai envie de faire l’amour. Je te promets que je ne savais pas que c’était toi, mais maintenant que nous sommes là tous les trois…— Au moins elle, elle assume ! Mais assez parlé. Alors Jérôme, décide-toi, que fait-elle ? Tu veux qu’elle se rhabille et qu’elle parte ou qu’elle reste ?— …— Putain, ce n’est pas possible, je dois tout décider ici ! Alors ferme les yeux et laisse-toi faire. Tu vas apprécier que Camille s’occupe de toi, fais-moi confiance.
Papa obéit sans une parole. Je remarque que sa queue est toujours dure et j’ai même le sentiment qu’elle est encore plus dressée qu’à mon arrivée. Malgré tout ce qui vient de se passer mon entrejambe est trempé, tellement j’ai envie d’aller plus loin. Je n’ai jamais ressenti un tel besoin de baiser avec un homme, même si l’homme qui me fait face est mon père.Je m’accroupis et je tends, timidement, ma main vers le sexe paternel. Je la pose dessus et pendant quelques secondes, je la laisse immobile. Mes yeux se portent sur Linda qui m’encourage du regard, ce qui me libère de mes dernières inhibitions. Je commence à masturber papa tout en approchant la bouche de son gland. J’embrasse délicatement celui-ci avant de le lécher par d’habiles coups de langue. Puis, tout en continuant à le branler, mes lèvres englobent son bout de chair rosée pour le sucer. Papa, qui n’exprimait pas le moindre plaisir jusqu’à cet instant, gémit. Cela m’encourage et je pompe avec avidité ce sexe tant convoité.
— Tiens, tiens, monsieur semble apprécier la gâterie de sa fille. Alors… elle poursuit ou doit-elle arrêter ?— Non… c’est trop bon… j’ai envie qu’elle continue de me sucer…
J’enfonce son mat de chair jusque dans ma gorge avant de me retirer, laissant ma salive dégouliner, puis de le reprendre. Je suis tellement excitée que je sens mon jus couler et mouiller mes cuisses. Je glisse une main dans mon entrejambe afin de me caresser.
— Suce-lui les couilles, je suis sûre qu’il adore. N’est-ce pas, Jérôme ?— Oui, murmure mon père.— Pardon, je n’ai rien entendu. Et ta fille non plus, donc difficile pour elle de savoir quoi faire.— Oui, j’aimerais qu’elle me suce les couilles, répond papa d’un ton plus affirmé.— Elle ? Elle a un prénom… et puis demande lui directement.— Camille, suce-moi… les boules.
Enfin papa accepte la situation et ose m’appeler par mon prénom. Je n’en demandais pas plus. Je lui lèche la peau fripée de ses testicules avant que ma bouche les gobe l’un après l’autre, tout en continuant à doucement le masturber. Il gémit de plus en plus fort et pose ses mains sur mes cheveux. Mais je veux qu’il éjacule dans ma bouche et je reprends ma fellation.
— Continue Camille… je vais venir…
Seule ma main s’occupe maintenant de sa queue et mes mouvements du poignet sont de plus en plus rapides. Ses doigts se crispent sur mon crâne. Il est temps de le reprendre en bouche si je ne veux rien perdre de son foutre. Soudainement papa crie et en même temps éjacule. J’ai l’impression qu’il déverse une quantité énorme de son liquide visqueux mais il est si bon, que je l’avale avec délectation. Papa ressort sa queue encore couverte d’un peu de sperme.— Pas si vite papounet ! Regarde, il y a encore un peu de foutre sur ton gland. Cela serait dommage de ne pas parfaitement le nettoyer. Après l’avoir une dernière fois sucé, je me relève pour faire face à mon père. Mais si j’essaye de le fixer droit dans les yeux, il détourne son regard, encore un peu gêné de la situation.
— J’espère que tu as apprécié la pipe de ta fille car elle l’a faite avec amour.— Oui…— Tant mieux car les choses sérieuses vont commencer, répond Linda en poussant mon père sur le lit.— Les choses sérieuses ?
D’avoir osé pomper mon père m’a libérée et je prends la parole d’un ton très affirmé :— Oui, tu vas nous baiser… Linda et moi. Tu étais bien venu pour cela, non ? Alors sois heureux. Et ne te pose pas de questions à mon sujet, cela fait très longtemps que j’en meurs d’envie et ma chatte est trempée rien qu’à l’idée de se faire pénétrer par ta queue.
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