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Camille et son papa

Chapitre 3

Finalement la soirée se termine au mieux.

Inceste
Depuis longtemps, j’avais envie de faire l’amour avec papa. Après une confidence à mon amie Linda et grâce à un astucieux stratagème de sa part, nous nous retrouvons un soir tous les trois dans une chambre d’hôtel. Tout commence bien mais alors qu’il va pour nous sodomiser, une alerte retentit et nous oblige à quitter précipitamment la chambre. Nous décidons alors de rentrer à notre appartement afin de poursuivre notre trio.
A peine arrivées dans l’appartement, Linda et moi faisons tomber nos vêtements puis nous nous tournons vers papa, toujours habillé, qui nous regarde un peu étonné de notre rapidité à nous dévêtir et à vouloir reprendre nos ébats. Alors que mon amie s’occupe de lui ôter sa veste et son polo tout en l’embrassant, je m’occupe de lui retirer son pantalon. Je ne peux m’empêcher de sortir sa queue de son boxer et de la prendre en bouche. Presque immédiatement son membre devient raide.
— Délicieuse ta queue, papounet, et bien dure comme je les aime ! C’est super, te voilà de nouveau prêt pour nous baiser. Et c’est top car je suis toujours en manque, me masturber en voiture ne m’a pas calmée. Allons dans ta chambre, j’ai trop hâte de reprendre. 
Aussitôt entrés, je propose à Linda de se mettre à quatre pattes afin d’être en position pour la sodo que nous attendons toutes les deux avec impatience.
— Ok, mais viens vite à côté de moi Camille pour que ton père ait le choix du roi entre nos deux petits trous, même s’il désire certainement découvrir les deux !— J’arrive… mais pas tout de suite car j’ai ma petite idée pour pimenter la partie. Toi, papa, ne fais pas patienter Linda, son petit cul n’attend qu’une chose : être visité par ta queue. 
Je les laisse pour gagner ma chambre où je récupère un gode-ceinture, acheté à l’époque pour satisfaire un ancien amant très demandeur de ce type de pénétration. Pendant le trajet de retour en voiture m’est en effet venue l’idée bien perverse d’enculer papa pendant qu’il en ferait de même avec Linda. Je reviens, harnachée de ma belle bite en silicone et prête pour la suite. Je ne suis pas surpris de découvrir mon père déjà à l’œuvre en train de sodomiser mon amie, qui manifestement apprécie vu les couinements qu’elle pousse. A mon arrivée, ils se retournent et je vois leur étonnement dans leurs yeux.
— Camille, tu veux faire quoi avec ton engin ? Une prise en sandwich de ta copine ?— Cela n’est pas une mauvaise idée mais non mon petit papa, mon gode, il est pour toi.— Pour moi ? — Tu as très bien entendu. Il n’y a pas de raison que toi aussi tu ne profites pas du plaisir d’une bonne sodomie. Tu ne le regretteras pas, c’est très jouissif. Mais ne sois pas trop inquiet, c’est un petit modèle comme tu peux le voir.— Ce n’est pas cela qui me gêne, en ce qui me concerne cette voie a déjà été visitée. Mais quand même Camille, pour une première entre nous, c’est plutôt hard ce que tu me proposes.— Nous avons déjà largement dépassé les limites du moralement acceptable, alors autant poursuivre.
Tout en parlant avec moi, papa s’est interrompu ce qui n’est pas du tout du goût de Linda.
— Eh tous les deux, moi je suis ici pour baiser, pas pour parler. Alors Jérôme, reprends, mon petit cul s’impatiente !— Peut-être mais attends cinq minutes, je parle avec ma fille.
— Tu plaisantes là, j’espère.— Non. On va reprendre, ne t’inquiète pas, mais il y a des priorités.— Des priorités, je rêve ! Moi, cela ne me va pas. Tu veux parler avec ta fille, ok mais sans moi. Si c’est comme ça, j’me casse, je rentre chez moi.— Dis pas n’importe quoi Linda, reste, c’est vraiment trop con si tu pars maintenant. Papa, dis-lui.— Camille a raison, nous passions un bon moment à trois, ce n’est pas le problème. Simplement, voir sa fille avec un gode-ceinture qui m’est destiné est très déroutant et j’ai besoin d’en discuter avec elle.— Ok pour remettre ça une autre fois, mais là, je crois vraiment que vous avez besoin d’être tous les deux et de savoir ce que vous voulez. Je baise pour m’éclater, pas pour me prendre la tête et je suis légèrement vénère avec vos histoires.
Rien à faire, Linda se rhabille et nous quitte. Bon, avant de partir, elle me fait la bise et me redit qu’elle est d’accord pour un plan tous les trois mais que mon père doit assumer et arrêter de se poser des questions, ce qui casse tout plaisir. Je reviens voir papa plutôt dépitée.
— T’es content ? T’as tout gâché avec tes états d’âme !— Ecoute Camille, tu as vu ce que tu me proposais ! C’était chaud quand même. Je voulais juste...— Arrête, je n’ai pas envie d’en parler, je retourne dans ma chambre. Salut et merci beaucoup pour cette soirée foutue en l’air.
Je m’allonge sur mon lit, maugréant contre mon père. C’est vrai qu’au fond de moi, je me dis que j’y suis sans doute allée un peu fort. Il avait déjà du mal à assumer de me sodomiser, alors inverser les rôles, cela a dû être un peu trop pour lui.
Allongée nue, j’ai besoin de me masturber pour oublier mon agacement. Pour m’aider, je décide d’écouter un podcast porno où le mec sodomise sa meuf tout en imaginant que c’est papa et moi. Je glisse mon oreiller entre mes jambes, me caresse dessus et très vite, j’ai ma chatte bien mouillée. Mais j’ai besoin de jouir différemment. J’ouvre le tiroir de la table de nuit, j’hésite à prendre mon vibro avant finalement de choisir un simple gode, reproduisant cependant une queue de belle taille, et qui fera très bien l’affaire pour ce soir. Je m’allonge sur le dos, jambes repliées et écartées et, tout en continuant à écouter mon histoire audio, je me caresse la vulve. Mon sexe devient vite trempé ce qui me permet de m’introduire sans la moindre gêne la verge en silicone et de débuter mes va-et-vient. Mais le podcast et ma frustration font que j’ai un désir encore plus fort : que mon petit cul soit visité.
A défaut d’avoir été enculée par papa, rien de mieux qu’un doigt, imprégné de ma cyprine, pour me contenter. J’entre ce dernier en entier, bientôt rejoint par son voisin. Alors que je suis bien occupée à me procurer du plaisir par mes deux trous, j’ai la sensation d’être observée. Aussi, je tourne ma tête en direction de la porte de la chambre et je découvre papa, en train de se branler tout en me regardant.
— Alors papa, on mate sa fille !— Ce n’est pas ce que tu crois. J’étais venu pour parler et me faire pardonner mais en te voyant te masturber, je n’ai pas pu résister.— C’est pas un problème, papounet, j’aime te voir excité. Et puis, je kiffe de voir ta queue si raide.— Ah… merci.— Sois pas coincé et viens, mon envie d’être baisée ne s’est pas envolée depuis le départ de Linda !
Papa s’approche du lit et s’allonge à mes côtés. Il me regarde dans les yeux avant de m’embrasser tendrement le cou. Une de ses mains me caresse la poitrine, ses doigts s’attardant sur mes tétons, les roulant et les étirant délicatement. C’est maintenant sa langue qui me lèche les mamelons et ses lèvres qui les tètent. Je ferme les yeux tout en lui caressant le crâne. Le plaisir me gagne rapidement alors que mes gémissements augmentent et lorsque je sens ses dents me mordiller un bout, je ne peux m’empêcher de pousser un cri de plaisir.
— Oui, continue… tu me fais tellement du bien… mais mon minou aussi est en feu et a besoin de ta langue...
J’écarte mes cuisses et chacune de mes mains vient délicatement tirer sur mes lèvres afin d’offrir à mon père mon sexe ouvert et bien lui faire comprendre mon désir. Sa langue s’engouffre entre les chairs humides de ma chatte qu’elle lèche sur toute la hauteur avant de s’enfoncer entre mes parois vaginales. Je devine que ma cyprine, qui coule à flot, doit mouiller sa bouche et tout le bas de son visage. Puis sa langue atteint mon clitoris, délicatement l’effleure avant que ses lèvres le prennent et le sucent. Je ne peux contenir des râles de jouissance quand deux doigts pénètrent mon vagin puis s’activent sur mon point G.
Je ne sais plus où je suis, le moindre contact de sa langue, le moindre toucher de ses lèvres me déclenchent des spasmes. Je ne me retiens plus, gémissant sans discontinuer tellement des vagues de plaisir se succèdent et vont crescendo. Enfin, j’explose, mon corps se cabre et se tétanise sous l’effet de l’orgasme qui me transperce. Je crie et je squirte, inondant le visage de papa.
Je mets de longs instants à retrouver mon souffle mais hors de question de s’arrêter là car je la veux, ma sodo !
— Merci papounet, c’était le pied total. Difficile de dire le contraire mais maintenant, baise-moi le cul, je veux sentir ta queue me pénétrer par mon petit trou. N’aie pas peur, il a l’habitude d’être visité par des godes et divers légumes. — Camille, Camille… modère un peu ton vocabulaire ! De toute façon, j’ai un tube de lubrifiant, c’est toujours mieux.— Donc mon vocabulaire te gêne mais tu t’apprêtes quand même à me sodomiser. Ah les viocs, vous êtes parfois un peu compliqués. Allez, je vais me mettre à quatre pattes pour la peine, c’est encore plus jouissif dans cette position.
Alors que je m’attends à percevoir un de ses doigts pénétrer ma rondelle, c’est sa langue qui me lèche. Ses pouces ouvrent mon orifice au maximum en tirant sur les contours. J’adore la sensation de cette si agréable feuille de rose et mes couinements en sont la preuve. Puis je sens son index, recouvert de gel, entrer, doucement, dans mon fondement. Quand il est bien au bout, papa le bouge afin de préparer les parois.
— Ouiii… c’est trop bon. Mets m’en vite un deuxième puis cela sera ta queue. Cela fait trop longtemps que j’attends qu’elle me défonce.
Un second doigt franchit mon sphincter anal pour se joindre au premier.
— Ma chérie, je crois que tu es maintenant prête à me recevoir, mes doigts coulissent sans la moindre gêne.— Oh oui, c’est sûr… dépêche-toi, viens m’enculer !
Papa pose son gland sur ma rosette, met ses mains au niveau de mes hanches pour me maintenir fermement et, d’une poussée, me pénètre. Il enfonce sa verge doucement, même si cette dernière ne rencontre aucune difficulté tant mon désir est là et le doigtage ayant préparé mon canal. Entré en entier, il marque une pause.
— Non, ne t’arrête pas…— Je ne veux pas te faire mal, même si j’ai mis du lubrifiant.— Aucun problème, tu peux me défoncer sans te retenir, mon cul a l’habitude des visiteurs.— Camille, je t’ai dit quoi tout à l’heure ? Epargne-moi les détails.— Je m’en fous, baise-moi !
Mon père reprend alors ses mouvements qui deviennent vite puissants. Je suis tellement excitée que je pousse même mon fessier à chaque pénétration, comme pour mieux m’empaler. Nos mouvements se répondent dans un accord parfait. Sa queue entre et sort de mon antre pendant de longues minutes. Papa se lâche complètement et en profite pour m’asséner quelques claques, pas trop violentes toutefois, sur chacune de mes fesses. A chacune d’elle, je pousse un petit cri de plaisir.
— Ben dis donc, ma fille, c’est que tu apprécies de te faire enculer, on dirait !— Oh oui, c’est trop bon. J’adore me faire ramoner mon petit cul. Continue, je vais jouir !
Mes mains crispées sur les draps, je gémis et cris tellement la sensation est puissante. Et finalement, suite à un autre coup de boutoir, une onde de jouissance secoue mon corps et je jouis. Presque simultanément, papa accélère ses mouvements et déverse son sperme en poussant un cri rauque. Nous nous effondrons tous les deux sur le lit, épuisés, restant allongés sans parler. Je suis si heureuse, ce que je fantasmais s’est finalement réalisé : papa m’a enfin sodomisée.
— Merci papounet, c’est la première fois que je jouis si fort lors d’une sodomie. J’ai vraiment kiffé, tu sais. Et toi ?— Moi aussi cela m’a plu, beaucoup même.— Pourtant au début, t’étais plutôt coincé.— Camille, tu es ma fille. Alors, même si j’en avais envie cela n’est pas si simple. Et puis, je ne t’imaginais être si directe dans tes propos et tes demandes.— Ben, où est le problème ? J’ai envie de sucer, je le dis, j’ai envie de baiser, je le dis, j’ai envie de me faire enculer, je le dis. Tu sais, avec toi, j’avais envie de faire tout ça depuis si longtemps. Bien sûr, je ne m’attendais pas à ce que cela soit toi dans la chambre de l’hôtel avec Linda, mais l’effet de surprise passé, j’ai compris que c’était l’occasion d’assouvir mes désirs. Mais toi, tu n’avais jamais été tenté par moi ?— Si, mais il faut parfois savoir résister à la tentation. Tu es ma fille et tu sais bien que les rapports incestueux sont contre la morale.— Personne ne peut le savoir, alors encore une fois, je ne vois pas où est le problème. Seule Linda est au courant et elle ne dira rien.— Ne me parle pas d’elle. J’ai trop honte qu’elle soit partie à cause de moi.— Je crois surtout qu’elle voulait nous laisser seuls tous les deux et que cela a été un prétexte, même si sur ce coup, tu as été un peu limite. Je lui envoie d’ailleurs un SMS pour lui dire la bonne nouvelle.— La bonne nouvelle ?— Oui… que tu m’as finalement enculée. — Et ce n’est pas fini…
Je n’ai pas le temps de me demander ce qu’il entend par là qu’il applique du lubrifiant sur une main et introduit deux doigts dans ma chatte puis, tout en excitant mon clito de son pouce, un troisième et enfin un quatrième. La pénétration se fait toute seule, ma chatte étant toujours trempée de cyprine après mon orgasme anal et par le lubrifiant que mon père utilise en abondance.
— Oh ouiii, ne t’arrête pas, baise-moi avec ta main… je vais encore jouir…
Papa poursuit de ses quatre doigts de me fouiller le vagin jusqu’au moment où je sens que c’est sa main qu’il va introduire. J’ouvre en grand mes jambes et je souffle un grand coup quand la partie la plus large me pénètre. Ça y est, toute sa main est maintenant entrée et chaque mouvement de son poignet me fait pousser un petit cri. Je sais que je ne vais pas tarder à exploser tellement mon plaisir est grand. Mes mains se crispent sur son crâne et mon corps est parcouru de soubresauts. Enfin un nouvel orgasme me déchire, je me cabre et hurle avant de m’affaler sur le lit. Papa attend mon retour au calme pour retirer doucement sa main. Il me sourit et approche son visage du mien pour m’embrasser. Nos bouches se soudent et nous échangeons un très long et fougueux baiser.
— Putain que c’était bon ! L’attente a été longue mais cela valait la peine, je viens de jouir trois fois grâce à toi. Et pas n’importe comment avec une sodo et un fist ! Quand je raconterai cela à Linda, elle sera verte de nous avoir laissés. Tiens d’ailleurs, elle a dû me répondre.— Attends Camille, tu ne vas pas, quand même, raconter ce que nous avons fait à ton amie.— Ben si. De toute façon, je lui ai déjà dit que tu m’avais sodomisée, alors… Ah, d’ailleurs elle m’a répondu à mon premier SMS. Voyons…Tu vois, elle s’en doutait et elle est très heureuse pour moi. Je vais répondre qu’ensuite tu m’as fistée.— Précise que c’est le vagin, pas qu’elle croit que je t’ai mis la main dans le cul.— Oui, oui… Mon petit cul, cela sera pour une prochaine fois. Tiens, elle m’a déjà répondu. Sacrée cochonne cette Linda, elle nous propose de remettre notre plan à trois le plus rapidement possible. Maintenant que tu es décoincé, elle a des tas d’idées pour une bonne baise avec nous deux. Je lui dis quoi ? T’es ok ?— A ton avis ? Bien sûr que je suis d’accord.
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