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Camille, week-end de débauche

Chapitre 3

Travesti / Trans
À quatre pattes sur le lit, sa combinaison en latex vert kaki désormais ouverte pour qu’apparaisse son cul à peine humide, Camille avait compris que son amant s’était saisi de son gros gode noir…
C’était un jouet d’un noir mat très profond. Sa texture était douce car il était enrobée d’une épaisse couche de silicone, mais son cœur était fait d’un plastique bien rigide. Il était donc capable d’épouser certaines courbes sans toutefois pouvoir se plier dans tous les sens. Il était aussi long qu’une belle queue de vingt centimètres et plus large que la norme humaine. Ce qui rendait cet engin si particulier, c’était ce gros gland biseauté mais disproportionné. Ce jouet, Camille se le réservait dans de rares cas où elle était vraiment surexcitée. Bien préparée, elle pouvait l’encaisser en accusant tout de même le coup. Mais c’était justement cette difficulté à se l’enfiler qu’elle recherchait quand elle l’utilisait.
A cet instant présent, Camille commençait à avoir des sueurs froides. Les conditions d’excitation étaient réunies, mais son anus n’était pas prêt à l’accepter. Les quelques coups de langues de Matthias ne l’avait ni lubrifiée suffisamment, ni élargie assez pour que cet énorme gland la pénètre. Elle savait cependant que son maître d’un week-end n’en aurait que faire. Elle se retourna vers lui malgré ses directives et il se tenait derrière elle, ce fameux jouet en main.
— Oooh, c’est quoi ce regard apeuré ? C’est ta grosse bite en plastique qui t’fout les jetons ? — E-euh… Oui, je dois dire que-— Chuuut chut chut… Déjà tu vas faire ce que je te dis, tu le sais bien. Ensuite c’est clair que tu prendras pas ma bite, je te la réserve pour la fin car je suis déjà prêt à jouir…
Camille bandait plus dur à l’écoute de ces mots malgré la peur qui la maintenait en alerte.
— Allez je suis grand seigneur, on va couper la poire en deux.
Il posa le jouet sur le lit à côté de Camille, à son grand soulagement. Il l’avait placé sous ses yeux pour lui rappeler que c’était ce qui finirait en elle à la toute fin ; et il prit à la place son vibromasseur. Ce chybre artificiel était beaucoup plus filiforme que l’autre, mais tout en longueur et sans relief, presque ennuyeux en comparaison de l’autre engin. C’était le moteur en son sein qui le rendait agréable à utiliser et qui avait fait qu’elle l’avait gardé avec elle.
Matthias cracha copieusement sur la rondelle de son jouet à lui, posa sa main sur le haut des fesses de Camille pour mieux y glisser son pouce. Cette pénétration la fit durcir encore, et même gémir lorsqu’il recommença à plusieurs reprises. Puis il retira son doigt, et c’est le bout du vibromasseur qu’elle sentit posé contre l’entrée de ses fesses. Il y eut un instant de flottement au cours duquel rien ne se passa et où Camille se demanda s’il allait lui enfoncer d’un seul trait ou de manière progressive. Mais comme il l’avait indiqué, il coupa la poire en deux et ce fut une petite moitié de l’engin qui la sodomisa.
A sa grande surprise, elle ne sentit pas la moindre once de douleur, uniquement du plaisir. Elle s’était finalement décontractée et peut être qu’elle était assez dilatée pour celui-ci après tout, même si elle l’avait bien senti. Le jeune homme retira presque entièrement le vibromasseur pour mieux l’enfoncer une seconde fois. Il ne restait en dehors de son trou que la base électronique du jouet, que Matthias tenait fermement à une main. De celle qui était libre, il tourna la bague qui contrôlait la puissance jusqu’au sixième degré, et il y en avait dix.
Cette deuxième pénétration provoqua un râle de plaisir chez Camille, puis le démarrage des vibrations eurent un puissant effet sur son sexe. Il était tellement raide d’excitation qu’il en devenait douloureux. Son amant s’en saisit, sans savoir que la jeune travestie était bonne à traire, tandis qu’il s’appliquait à lui vendanger l’arrière train.
— Alors ça te plaît de te faire bourrer le cul salope ? Tu vas pas encore te vider là quand même ?
Camille ne faisait que gémir sans pouvoir répondre. Ce petit jeu lui suffisait amplement pour prendre du plaisir tant la situation était excitante : une main autre que la sienne qui la branlait, un homme qui appréciait son physique et sa tenue, qui l’avait enculée comme il se doit, dans une ambiance de domination et de soumission qui la faisait chavirer plus qu’elle n’avait été effrayée au début. Elle n’était maintenant plus obsédée que par une chose, qu’elle exprima dans un souffle.

— Matthias, baise-moi encore…— Pardon ? J’ai pas bien entendu ?— Baise-moi encore s’il te plaît…— Tu veux que je te bourre le fion encore une fois ?— Oui j’en crève d’envie…— Je sais pas si tu mérites honnêtement… T’as encore ce gros gode à prendre avant.— Vas-y alors…— Ah ouais ça y est ? La petite pute se sent prête ?
Une nouvelle fois, elle ne put poursuivre la conversation. Matthias avait lâché la queue de Camille un court instant pour lancer le vibro à sa puissance maximale. Il se saisit à nouveau du sexe de son plan cul du week-end, et l’astiqua aussi fort qu’il pouvait. De son autre main, il labourait les fesses de Camille dans de grands va-et-vient. Il s’amusait à faire pivoter le jouet pour qu’il frotte bien contre ses parois anales. La sensation des vibrations était décuplée, et tout ce manège mit bout à bout faisait gueuler la jeune travestie. Elle bavait de nouveau en beuglant de plaisir, et sentait l’orgasme monter rapidement en elle.
Elle aurait voulu l’arrêter, le repousser, que sa jouissance ne vienne pas mettre fin à cet instant, mais c’était peine perdue. Sa volonté n’était rien comparée à l’envie égoïste de vider ses propres couilles. Dans un énorme râle, elle se lâcha et des jets de sperme vinrent s’écraser sur la couette déjà bien souillée. Matthias ne s’arrêta que lorsqu’il fut sûr que les bourses de Camille soient totalement purgées.
Toujours à quatre pattes, elle tremblait un peu, encore secouée par la violence de son orgasme, elle se sentait sans énergie mais dans un état de béatitude fort agréable. Elle ne prit même pas attention à la disparition du gros gode noir de son champ de vision, dont Matthias s’était saisi. Il l’avait traitée de petit chienne bonne à défoncer sans qu’elle ne l’entende, et il fallut qu’il colle l’énorme gland de silicone de son jouet contre son anus bien élargi pour qu’elle revienne sur Terre.
— Putain mais c’est quoi ce gode énorme sérieux ? Tu vas le sentir passer je crois !
Elle se retourna et sans avoir le temps de comprendre, elle vit Matthias derrière elle, le gode dans ses deux mains, le gland d’abord simplement posé contre sa rondelle béante et qui commençait à la pénétrer progressivement. Elle le regardait faire, comme hypnotisée, sans ressentir ni douleur, ni plaisir, toujours sur son nuage. Quand enfin le gland disproportionné du jouet fut entièrement en elle, et que son anus se referma autour de lui, Camille écarquilla les yeux, regarda de nouveau face à elle et ouvrit la bouche sans qu’un son n’en sorte, elle était estomaquée par la sensation.
Pour la première fois du week-end, Matthias était perplexe : il n’en revenait pas que ça soit rentré tout d’abord, et ensuite il ne savait pas s’il devait le retirer pour mieux l’enfoncer, ou simplement continuer la pénétration. Il choisit la deuxième solution et continua d’appuyer doucement en avant, avec une précaution rare de sa part dans un silence tout aussi singulier, pour fourrer Camille comme il se devait. Celle-ci finit enfin par lâcher un mélange de gémissement et d’énorme râle, qui n’avait rien de féminin d’ailleurs, et recouvrant ses esprits peu à peu, constata que sa queue était rapidement redevenue dure malgré l’orgasme. Quand Matthias eut enfoncé une bonne partie du jouet, il le retira de manière tout aussi précautionneuse, avec lenteur, particulièrement la dernière partie du gland. Au cours de ce retrait, Camille gémit d’un ton grave, de tout son soûl, elle était rouge comme une tomate. Le jeune homme, lui, était resté silencieux et captivé, il avait apprécié chaque seconde de cette scène.
Une fois entièrement sorti, Matthias balança le jouet et se jeta sur Camille pour la besogner. Son trou béant reçut sans difficulté l’entièreté du sexe de son amant. Cette première pénétration projeta Camille en avant, mais Matthias se cramponna à ses reins et la ramena vers lui pour commencer à l’enculer copieusement. Il se foutait qu’elle le sente en elle, il voulait juste la baiser et se vider, l’excitation était trop forte. Mais Camille savourait bel et bien cette bite en elle. Elle gémissait autant que lui beuglait. Le jeune homme s’agrippa ensuite au sexe de sa soumise et la branla au rythme des pénétrations. Ce petit jeu dura quelques minutes jusqu’à ce que Matthias n’en puisse plus.
— J’vais te remplir salope, t’es fière de toi ?— Vas-y j’attends que ça, j’suis bonne qu’à ça !
Dans un ultime beuglement, le jeune homme se lâcha totalement et de puissants jets de sperme jaillirent de son sexe pour venir fourrer Camille comme elle l’espérait tant. Il continua de la bourrer quelques secondes puis se retira pour venir s’écrouler à côté d’elle, vidé lui aussi. Camille se laissa tomber sur le flanc, continua d’haleter comme une chienne et observait son amant : il était en sueur et visiblement, il avait tout donné. Cette vision la satisfaisait énormément et venait contrebalancer la frustration de ne pas avoir pu jouir avec lui. Instinctivement, elle commença à se branler en le regardant. Il le remarqua bien sûr, lui sourit en ricanant.
— Putain t’en as jamais assez toi… Y’a pas de doute t’es une vraie salope, je le reconnais…— Merci du compliment… Dis-moi où je peux me faire jouir, qu’est-ce qui te ferait plaisir ?— Hmm… Tu sais quoi, tu vas jouir dans le verre là-bas, et tu vas siffler ça cul sec.— D’accord, tout ce que tu voudras.
Camille se sentait pleinement soumise et alla chercher le verre. Matthias s’alluma une clope et se cala confortablement pour profiter du spectacle. Elle était debout face à lui, et l’éjaculation ne mît pas longtemps à venir. Elle avait joui deux fois dans un court laps de temps, ce qui était assez rare pour le souligner. Après s’être vidé rapidement en gémissant, elle se mit à genoux et but le verre d’une traite, en fixant son regard d’un air provocateur. Il lui sourit en tirant une latte.
— Haha quelle traînée… J’ai hâte qu’on remette ça ma belle.
Cette envie était évidemment partagée, et si ce week-end était une bonne entame, Camille n’était en fait qu’au début de cette vie sexuelle trépidante qui s’ouvrait à elle.
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