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Au camping

Chapitre 3

Trash
Sur le coup des vingt et une heures trente, nous rejoignons nos nouveaux amis à leur emplacement pour nous promener sur le bord de mer. J’avais enfilé une robe légère à bretelles, bleu imprimée de petites fleurs blanches, un string et pas de soutien gorge, ma poitrine malgré mon 90 D n’en souffrait pas trop, ni mon apparence.Nous passions devant le restaurant des Fontaines et contournions vers un petit bassin avant de longer la côte vers le port ostréicole de Taussat. Ensemble nous marchions de front à discuter des vacances.— On va aller prendre un verre ? Proposa Greg.On fit demi-tour, Greg et Sabine marchaient côte à côte et à quelques pas, Romain et moi les suivions. Nous nous laissions distancer, et plutôt que de suivre le bord de mer, Romain prit une rue sur la droite.— On prend un chemin buissonnier ? L’interrogeais-je— Tu n’en n’as pas envie ? Moi j’y pense depuis cet après midi !Il me prit par la taille et m’embrassa dans le cou. Au fur et à mesure que nous marchions, le bras m’enserrant remonta pour caresser le côté de mon sein. La braguette de son short avait pris du volume, nous nous arrêtions sous un arbre, et c’est à pleine bouche que nos langues se mélangèrent tandis que ses mains pétrissaient amoureusement mes seins par-dessus ma robe. Je sentais la boursoufflure de son sexe plaqué contre mon ventre, je le pressais fortement en l’enserrant de mes mains plantées sur ses reins.— Viens, j’ai vu un champ un peu plus loin.Nous ne fîmes que tout juste cent mètres avant de franchir un fossé et se retrouver dans un champ bordé d’arbres, où des rouleaux de pailles y étaient disséminés. Nous allions au premier rouleau venu, à l’opposé de la route. Romain me prit dans ses bras pour réitérer un baiser fougueux tout en glissant une main sous ma robe puis me caressa l’entre cuisses, ses doigts s’insinuèrent sous le tissu de mon string pour fouiller ma vulve humide. Il me faisait jouir de ses phalanges expertes alors que son autre main faisait glisser la bretelle de ma robe pour découvrir mon sein. Sa bouche abandonna la mienne pour se délecter de ma mamelle au téton turgescent. De tant de caresses habiles, je me mis à gémir pour mon premier orgasme. J’étais à lui, des personnes auraient pu nous voir, que je ne les aurais pas vues tant j’étais enivrée de cette luxure.Je me laissais glisser contre son corps pour m’agenouiller. Je déboutonnais sa braguette pour en extraire une verge tendue dont je ne pris pas le temps de contempler tant mon envie de sexe prenait le dessus. Je la prenais jusqu’au fond de ma gorge avant de la lécher sur sa longueur, puis jouer de ma langue sur son gland. Il me prit par la nuque et commença à baiser lentement ma gorge. Des effluves de sperme se mélangèrent à ma salive et suintèrent aux commissures de mes lèvres.— Relèves-toi, et tournes-toi contre le ballot de paille !Je m’exécutais. Il retroussa ma robe sur mes reins et me débarrassa de ma culotte. J’appuyais mes mains sur la paille et je me cambrais. Romain accroupit, m’écarta mes fesses pour se fourvoyer dans ma vulve à coup de langue, en n’omettant pas d’honorer mon anus offert. Après avoir bien lubrifié mes lèvres pourtant déjà humides, Il se redressa et plaça sa verge tendues entre mes cuisses pour se masturber, de ma main je la plaquais contre ma vulve déjà ruisselante de désir. N’y tenant plus, je guidais son gland entre mes lèvres et je perçus la douce sensation du membre me posséder. Je me mis à haleter et à gémir de plaisir. Me tenant par les hanches il me baisait du plus profond qu’il put, ses testicules battaient contre mes cuisses à chaque assaut. Tout en prenant comme une chienne lubrique, son pouce glissa le long de ma raie et vint s’insinuer dans mon anus pour décupler ma jouissance. Je l’encourageais en me cambrant davantage et en le suppliant par des « encore », « prends-moi plus fort »… J’avais des orgasmes répétés qui secouaient mon corps de soubresauts. Puis Romain se raidit, il se retira de mon ventre et dans un râle retenu, son sperme éclaboussa mes fesses, qui ruissela dans ma raie puis dégouliner entre mes cuisses. L’aliénation de luxure qu’avait déclenché la jouissance de Romain et de sentir sa semence sur ma peau, fit que toujours dans cette position d’offrande, je me mis à me masturber en enduisant ma vulve de son sperme qui perlait à mon périnée. Il s’enduisit deux de ses doigts du sperme qui maculait mes reins, et me les enfonça dans ma rosette violacée. Je ne pus retenir mes cris de jouissance sans doute trop sonores, anéantie, je tombais à genoux, haletantes.Je reprenais mes esprits, et je m’aperçus avec un certain effarement que je n’avais pas pris mon sac à main, que je n’avais sur moi que ma robe et mon string ! Je sacrifiais ma culotte pour essuyer mes reins et mes cuisses, mais l’abondance de sperme à ôter par rapport à se cache sexe, fit que je repartais nue sous ma robe, poisseuse de liqueur séminal et surtout répandant une odeur qui ne laissait aucun doute.Dans cet état, je décidais de rentrer prendre une douche plutôt que de rejoindre mon mari, bien que j’appris plus tard que Sabine lui ait donné ses faveurs. Romain s’en retourna seul, prétextant que nous nous étions égarés et que souffrante j’étais rentrée.
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