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Camping avec ma soeur

Chapitre 1

Prologue

Inceste
— Ha ... Ha ... Ho oui ... Ho oui ... S’écriait fortement Camille pendant que je la pénétrais à multiples reprises !
J’étais fort occupé à offrir mon sexe bien dur à son antre qui n’attendait qu’à être nourri. Mon monstre de chair coulissait de plus en plus rapidement dans son vagin humide et baveux.
On faisait l’amour depuis environ une demi-heure ou plus. On ne voit pas le temps passer quand on est occupé avec quelque chose qui distrait notre esprit ! J’avais pris un certain plaisir, comme elle d’ailleurs, à lui faire l’amour et toutes les petites tendresses qui s’y rapportent. Des fois, je sentais que je la baisais comme une chienne en rut ! Oui, « baiser » semble un peu excessif comme terme, mais elle en a prit goût et ne se gênait pas pour crier son plaisir, voire sa jouissance, et cela décuplait notre excitation !
— Continue Stéphane ! ... C’est trop bon ! ... Je veux jouir !— Oui ma sœur Chérie !
D’ailleurs, nous habitions une maison en pleine campagne, dans un village non loin d’un bois où nous allions souvent nous promener avec nos parents et parfois entre amis. De plus, nous n’avions pas de voisins immédiats et par conséquent, personne à part moi ne pouvait entendre ses cris.
À force de pénétrer ses chairs vaginales, je commençais à m’épuiser.
— Attends, je suis un peu fatigué, on va changer de position, dis-je, essoufflé !
J’étais sur ma sœur, c’était une très belle fille d’à peine dix-neuf ans, aux cheveux châtain clair, aux yeux gris-bleu, parfois vert-bleu selon les jours et l’intensité de la lumière du soleil. Un physique qui a tout pour plaire ! Niveau organe, elle en était plutôt pas mal garnie. Des jolis seins en poire, pas trop gros ni trop petits, juste la taille qui me convenait. Un petit minou pas trop touffu. Bref, une créature de rêve, taillée exprès pour moi ! Quant à moi, j’étais plutôt grand, mais pas trop. J’étais sur mes vingt ans, bientôt vingt-et-un. Pas très musclé ni sportif, mais j’aimais beaucoup la randonnée et ne comptais pas mes kilomètres qui doivent, aujourd’hui être astronomiques ! La nature m’a toutefois gâté, des cheveux de la même couleur que Camille, des yeux vert olive dans les tons bleutés et un sexe endurant !
Maintenant, j’avais ma petite sœur sur moi. En même temps, que je me reposais, j’en profitais pour la doigter et lui sucer les seins.
— Ah ... C’est trop bon, s’exclame-t-elle dune voix haletante !— Tu mouilles en plus !— Je crois que je jouis, crie celle-ci comme une victoire !
Puis elle s’est mise à pousser un cri aigu, le même que celui qu’elle a poussé quand je l’ai pénétrée la toute première fois.
— Eh, fais attention aux parents !— Ils rentrent à vingt heures, répondit Camille.
Un œil sur mon réveil, en effet, ils n’allaient pas rentrer tout de suite.
— Bon, on a encore un peu de temps devant nous !
Elle prend mes doigts sortis quelques secondes plus tôt de son puy bouillant et lèche ceux-ci un à un pour en recueillir toute sa mouille avec sa langue. Puis je réitère, ce qui la fait pousser un cri sourd !
Quelques minutes plus tard, alors qu’elle était en train de jouir bruyamment, ma mère entra en furie dans ma chambre, j’imagine attirée par les cris de sa fille.
— Stéphane, Camille, mon Dieu ! Vous n’avez pas honte ? s’écrie celle-ci.
En l’entendant, on a stoppé net nos ébats. Effarée, elle reprit.
— Comment pouvez-vous ?— Attends, je vais t’expliquer, dis-je.— Laisse ta sœur ! Vous serez tous les deux punis ! Camille, rhabille-toi et va dans ta chambre !
Elle était vraiment en colère après nous. Et il y a de quoi ! Surprendre son fils en pleine relation sexuelle avec ma sœur, une chose inadmissible pour elle ! Je voulais bien lui expliquer pourquoi nous en étions arrivés là, mais la colère et maintenant la tristesse l’avaient envahie. Au lieu d’en rajouter tout de suite, de mettre de l’huile sur le feu comme on dit, j’ai attendu qu’elle soit plus calme pour négocier un rabais sur la sanction.À table, nous n’avons pas parlé, mes parents, ma sœur et moi et c’est le visage éteint que nous avons mangé le repas. Avant de repartir dans ma chambre, puisque Camille et moi y devions rester jusqu’à nouvel ordre, j’ai tenté de parlementer avec mes parents.Je suis allé dans le salon silencieusement. Papa était dans le canapé et Maman dans un fauteuil, ils regardaient la télévision.
— Je peux vous parler ? Ai-je demandé timidement.
Papa éteignit le poste et me regarda en déposant la télécommande sur la table basse.
— Stéphane, je ne sais pas ce qui t’a pris, mais ta mère et moi n’apprécions pas ce que tu as fait ! Gronde mon père.— Je sais, mais je peux tout expliquer !— Que tu as eu d’un coup des envies de faire des cochonneries avec ta sœur ?
Puis sa voix s’est faite plus douce après quelques secondes.
— Mon fils, je sais qu’à ton âge, on a des ... Enfin, nos hormones ...
Je hoche tristement la tête.
— Ce que Papa veut dire, c’est que tu as d’autres filles pour ça ! renchérit Maman.— Oui, exactement, reprit mon père, et ta sœur ne doit en aucun être ta petite amie !— Promets-nous que tu vas cesser, m’ordonna Maman.— D’accord ! Mais je peux vous expliquer comment cela a commencé ?
Maman s’écrasa, consternée dans son fauteuil.
— Et en plus, cela ne date pas d’hier ? Oh, mon Dieu, gémit celle-ci !— Attends ma Chérie, dit-il d’une voix posée, je crois que notre fils nous cache bien des choses !
Je me suis assis dans un fauteuil face à mes parents puis, peu fier de moi, j’ai tout avoué.
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