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Camping avec ma soeur

Chapitre 2

Inceste
Un mois plus tôt, j’avais prévu de faire un week-end camping avec ma sœur, un ami et la sienne dans la forêt près de chez nous. Nous avions tout préparé et allions au point de rendez-vous à l’orée du bois attendre nos deux accompagnateurs. Arrivé sur place, on a patienté jusqu’à ce que je reçoive un message sur mon téléphone.
— Merde, m’écriais-je en le prenant.— Qu’est-ce qu’il y a ? Me demanda Camille.— Ben ils ne pourront pas venir, car ils doivent partir avec leurs parents !— Ben ce n’est pas grave, on ira tous les deux !
Oui, pourquoi pas, m’étais-je dit, on a fait nos sacs pour tenir deux jours en forêt et nous n’allions pas rentrer ! Surtout, je comptais sur eux, car on n’a qu’une tente. La leur serait pour sa sœur et la mienne, la nôtre mon copain et moi. Enfin, on se débrouillera comme ça ! On a longtemps cheminé jusqu’à arriver, quelques kilomètres plus loin, dans une petite clairière où nous étions au bord d’une rivière.
— Bon, fit Camille, je propose que l’on s’arrête ici !— Très bien !— Tu as vu ce cours d’eau, et si on se baignait ?— Si tu veux !
Elle fouilla dans son sac pour trouver son maillot de bain. De mon côté, j’installais la tente et sortais les duvets. D’un coup, je l’ai entendue m’appeler d’une voix amère.
— Stéphane ... Stéphane ! Accourra-t-elle.— Qu’est-ce qu’il y a Camille ?— Je n’ai pas de quoi me baigner !— Je ne sais pas quoi te dire ! Et puis, on n’avait pas prévu qu’on irait ici ni qu’il y aurait de l’eau ! Sinon, baigne-toi en culotte ou à poil !— Je ne vais pas me mettre nue pour nager !— On n’aura qu’une seule tente pour nous deux, les autres devant apporter la leur.
Puis j’ai commencé à retirer mon t-shirt et mes chaussures.
— On n’aura pas le choix, deux jours tous les deux ! Autant se montrer nu l’un à l’autre tout de suite !
Le temps de terminer sa phrase, il s’est retrouvé en caleçon devant Camille. Un peu perplexe, elle se déshabilla aussi. J’ai retiré la dernière pièce de tissu et ai sauté dans l’eau. Ma sœur en fit de même, mais plus lentement que moi.
— Elle est froide !— Chochotte ! Elle est excellente, allez viens !
Elle s’avançait doucement, faisant attention de ne pas glisser. Je l’ai prise par la main et l’ai trempée dans l’eau.
— Tu aurais pu attendre que je me mouille entièrement avant ! Râla celle-ci.— Jamais contente !— Non, mais oh !
Puis elle tenta de s’asseoir à un endroit peu profond.
— En fait, ce n’est pas si désagréable d’être à poil dans l’eau !— Bien sûr que non ! Et puis, quand je viens ici, je n’amène pas de maillot !
Et on a continué à papoter jusqu’à ce que le soleil commence à se coucher.
— Bon, on va commencer à préparer le repas.
Je me suis levé, sortis de l’eau et m’étalai sur la pelouse le temps de me sécher. J’ai été rejoint par ma sœur. Je la voyais, par le coin de l’œil, regarder mon sexe. Dès que je tournais la tête vers elle, elle faisait mine de n’avoir rien vu.
— Tu peux toucher si tu veux !— T’es fou ou quoi ? s’écria celle-ci.— Je sais très bien que tu le regardais !— Moi ? Non !
J’ai retourné la tête en direction de la tente quand Camille me demanda timidement.
— Stéphane ?
Son regard était un peu gêné.
— Oui ?— Ben ... En fait ... Tout compte fait ...— N’aie pas peur, touche-la !
Elle avança doucement sa petite main en direction de ma hampe. De mon côté, je sentais l’excitation m’envahir, rien que d’imaginer ma sœur prendre mon phallus dans sa main.Une fois son but atteint, elle l’empoigna. Je sentais sa respiration devenir de plus en plus forte et surtout s’accélérer.
— C’est chaud et c’est doux !
Devant son exclamation, je n’ai rien dit, rien pour profiter au maximum de ce moment !
— Stéphane ?— Oui ?— Tu bandes ?
Cette question de sa part m’a étonné. Elle qui est assez prude, je la sentais pervertie, plus libre d’esprit. Je ne sais pas comment se passaient ses relations, mais les miennes étaient assez mouvementées ! Je ne suis pas très pudique et, dès le début je suis très vite tout nu, ce qui n’a pas plu à beaucoup de mes copines et nos relations se soldaient, pour la plupart du temps, par une rupture !Pour en revenir à la situation initiale, je ne lui ai pas répondu tout de suite, mais l’ai simplement regardée dans les yeux. Un long silence s’est installé entre nous puis elle le brisa au bout d’une dizaine de secondes.
— Désolé !— Non, ne sois pas gêné grand frère !
Et elle relâcha mon sexe. Elle se leva et remit ses habits. Moi j’en fis de même.
— Bon, je vais chercher du bois pour le feu, dis-je à ma sœur avant de m’enfoncer dans le sous-bois.— Sois prudent !
Je regardais par-ci par-là si je pouvais trouver des branches pour le feu. En recherchant, j’ai repensé à ce qui venait de se passer à l’instant, enfin il y a quelques minutes de ça où, Camille totalement nue, hésitait à toucher mon sexe. Et la sensation que j’ai eue quand elle l’a pris en main, c’était divin ! De plus, qu’elle me demande d’être prudent, c’est qu’elle doit tenir à moi ! Et qui sait, a-t-elle apprécié aussi ce moment ?
Une dizaine de questions s’emparaient de moi, je n’étais plus à mon activité première. Je m’étais assis, j’ai réfléchi, pensé à ce qu’il me reste encore à découvrir des passions du sexe.
— Bon, je vais me dépêcher de ramener un peu de bois, Camille va s’impatienter !
J’ai pris les quelques brindilles que je trouvais autour de moi puis je suis revenu au camp. J’ai préparé le feu, ma sœur le repas. Après avoir bien mangé, on est resté allongé l’un à côté de l’autre jusqu’à ce que l’obscurité nous empêche de voir. Peu après, elle a posé sa tête sur mon torse puis j’ai passé ma main derrière sa nuque comme pour l’enlacer.
— On est bien ici, murmura-t-elle, je ne voudrais pas que la journée se termine !— Tu veux dire quoi par là ? L’ai-je interrogé d’un air malicieux.— Ben ...— Petite coquine !
Elle se tut quelques secondes, contemplant la beauté du ciel. Le soleil était passé du jaune vif et éclatant à une lumière rouge orangé.
— Stéphane ?— Camille ?— Euh ... Tu sais ...— Quoi ? Je sens que tu veux me demander quelque chose !— C’est un peu gênant ! A-t-elle dit, embarrassée.— On est entre nous, lance-toi !— Ben voilà ... Je ne sais comment te le demander ...— Pose ta question sœurette, tu n’as pas à avoir honte !— Même si c’est personnel ?— Vas-y je te dis !— Voilà ...
Elle a pris une profonde inspiration et reprit.
— Ça t’a fait quoi de te baigner ... nu ?— On se sent plus libre et, sentir la fraîcheur de l’eau sur sa peau, surtout celle habituellement recouverte par le maillot de bain ! Et toi, c’était une première, me semble-t-il ?
Elle m’a regardé un peu bizarrement, elle ne devait pas s’attendre à ce que je lui retourne sa question.
— Oui ... C’est la première fois ... Et je dois avouer que ... Tu as bien fait !— Et ?— Comme toi, j’ai senti l’eau pénétrer mon corps, ça m’a fait frissonner, mais j’ai aimé !— Bon, alors tu recommenceras !
Le soleil se couchait et la nuit commençait à tomber.
— Nous allons aller dormir, il se fait tard et on n’y voit presque plus rien ! ai-je dit.
On s’est tous les deux relevés et on s’est engouffré dans la tente. Ma sœur se mit en tenue de nuit, un débardeur et une culotte, moi un simple boxer qui moulait bien. Ensuite, on s’est mis chacun dans son sac de couchage.
— Bonne nuit frérot !— Merci, dors bien Camille.
Et je me suis endormi. Dans mon sommeil, j’entendais le vent qui soufflait dans les toiles puis vinrent les clapotis de la pluie. Ma sœur a dû prendre peur, car elle m’a demandé si je dormais.
— Oui ... Qu’est-ce que tu veux ?— Stéphane, j’ai peur !— Rendors-toi, ce n’est rien !— Je peux dormir avec toi ?
Je lui ai ouvert mon duvet. J’étais à moitié endormi. Elle s’est allongée près de moi en me serrant bien fort pour avoir bien chaud. Je sentais à travers son débardeur ses tétons tout hérissés ! J’avais une de ces érections qu’elle devait, je n’en doutais point, sentir contre son corps. Le lendemain, la tempête devait s’être calmée, car je n’entais plus rien. En me réveillant, ma sœur n’était plus à côté de moi. Paniqué, j’ai glissé ma tête dehors. Je la vis dans la rivière. Elle était partie faire sa toilette sans me réveiller.
— Camille ... Camille !
Elle était de dos, j’avais une vue imprenable sur ses fesses. Elles étaient petites, enfin de loin, mais appétissantes ! Entendant son nom à travers les différents bruits de la forêt, dont celui de l’eau qui s’écoulait, elle s’est retournée et m’a souri quand elle a vu que c’était moi ! Elle retourna vers le rivage en marchant doucement. Quelle grâce elle a quand elle se déplace dans l’eau ! J’appréciais qu’une jeune fille comme elle garde un semblant d’hygiène même en pleine nature !
— Stéphane, s’écrie-t-elle en sortant, tu as bien dormi ?— Très bien, sauf qu’une petite sœur m’a réveillé en pleine nuit !
Se sentant reconnue, elle me regarda silencieusement dans les yeux.
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