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Camping en Bretagne

Chapitre 2

Lesbienne
Ce matin, je me réveille en pleine forme. J’ai hâte de revoir Émilie. Je déjeune avec mes parents puis nous partons visiter quelques jolis villages aux alentours. Je ne suis pas très concentrée sur ce que l’on fait, je n’arrive pas à penser à autre chose qu’Émilie.
À midi, nous mangeons dans une crêperie et achetons une glace sur les quais d’une petite ville dont j’ai oublié le nom.
En milieu d’après-midi, nous sommes de retour au camping. J’envoie un message à Émilie pour lui dire que je veux la voir et lui demander si elle est libre. Elle me répond moins de deux minutes plus tard pour me dire que oui. On se donne rendez-vous à l’entrée du camping, en maillot de bain et avec nos vélos, pour aller nous baigner sur la petite plage proche du camping.
Cinq minutes plus tard, je la vois arriver sur son vélo. Elle est magnifique, comme hier. Elle porte un bikini rayé bleu et blanc qui ne cache pas grand-chose de son opulente poitrine.Quant à moi, j’ai opté pour un joli petit bikini rouge qui ne cache pas beaucoup de ma poitrine non plus.
Elle s’arrête à côté de moi :— Salut ! Tu t’es remise de tes sensations fortes d’hier ?— Oui, mais j’ai rêvé de toi toute la nuit. J’en ai même mouillé mon sac de couchage.— Je t’ai vraiment fait de l’effet hier.— Oh oui, c’était magique. Je n’ai jamais autant joui.
Nous montons sur nos vélos et partons en direction de la plage. Nous passons par des petits chemins, longeons quelques champs et arrivons rapidement à notre destination.La plage est très belle. C’est une plage de sable fin qui descend lentement dans une eau turquoise. Elle est entourée de hautes falaises et doit faire une vingtaine de mètres de large. Sur la droite, il y a une sorte de grotte naturelle creusée dans la roche.
Nous posons nos sacs et sautons dans l’eau sans attendre. Elle est fraîche mais ça fait du bien car il fait assez chaud dehors. Nous nageons un peu, sautons dans les vagues et rigolons beaucoup.
Les vagues deviennent de plus en plus fortes et soudain une grosse vague arrive. Je saute pour l’éviter mais elle est trop haute et elle nous emporte. Quand je ressors la tête de l’eau, je remarque que je n’ai plus mon haut de maillot, il flotte à une vingtaine de mètres au large. Les courants sont trop forts et les vagues trop hautes pour pouvoir aller le rechercher. Cela fait bien rire Émilie.
Je lui saute dessus, lui enlève son haut et m’enfuis en riant à mon tour. Elle me court après et arrive à me rattraper sur le sable. Elle me fait tomber et se couche sur moi. Sa poitrine est collée à la mienne, sans rien pour les séparer, je sens l’excitation monter. Je l’embrasse et elle me rend mon baiser. Je fais tourner ma langue dans sa bouche et elle fait de même. Nos langues se mêlent, nos salives se mélangent.
Je la fais rouler sur le côté et je me retrouve sur elle. Je descends ma main le long de son corps et la glisse sous son maillot. Je peux enfin toucher son fruit juteux. Je fais passer mes doigts sur sa fente et m’arrête sur son clitoris. Je sens son corps s’électriser au moment où je le serre entre mes doigts. Elle pousse un gémissement de plaisir. Je continue de jouer avec son clito et lui caresse les seins avec l’autre main. Je les masse, je les malaxe, je fais tourner ses tétons entre mes doigts.

Je sens qu’elle commence à mouiller. Je lui mets un doigt dans le vagin et commence à faire des mouvements réguliers. Ses gémissements deviennent de plus en plus forts. Je lui mets un deuxième doigt et accélère mes mouvements.
Je sens qu’elle va bientôt jouir alors je lui mets un troisième doigt et je prends un de ses tétons dans la bouche. Je le suce, le mordille.Je lui malaxe un sein, je suce l’autre et je la pénètre avec trois doigts simultanément. Elle n’en peut plus, je sens son corps se tendre et ses gémissements se transforment en cris. Elle mouille abondamment sur ma main et sur le sable fin. Je la doigte encore quelques secondes avant de me retirer et de la laisser reprendre son souffle.
Quand elle a bien repris ses esprits, je lui propose d’aller se baigner nues, ce qu’elle accepte sans hésiter. Nous enlevons ce qu’il nous reste de maillot et sautons ensemble dans l’eau. Nous en profitons pour nous caresser les seins et nous embrasser.
Après un moment, je me souviens de la grotte qu’il y avait sur la plage :— Et si on allait continuer nos ébats dans cette grotte.— Avec plaisir.
Nous sortons de l’eau et nous nous faufilons dans la faille rocheuse. L’entrée est assez étroite mais l’intérieur est plus grand. Nous marchons une dizaine de mètres avant d’arriver au fond, il n’y a presque plus de lumière du soleil. Le sol est recouvert de sable et de cailloux de toutes tailles.
Elle me plaque contre la paroi humide et m’embrasse sauvagement. Je lui agrippe les fesses et commence à les masser. Nous nous couchons sur le sable tout en continuant de nous embrasser. Elle s’assied sur mon visage et se couche pour se mettre en 69.Elle lèche sauvagement mon sexe tout entier, je mouille déjà. Je lui lèche aussi la chatte.Nous commençons toutes les deux à gémir. Je m’applique pour lui donner le plus de plaisir possible. Je passe de son clitoris à son vagin. Je fais des tours sur son clito et je m’enfonce le plus possible dans son trou.
Pendant ce temps, elle me fait subir le même traitement et d’un coup, elle me met deux doigts dans la chatte. Elle les fait bouger dans tous les sens, je sens mon trou se dilater. Je fais de même et lui mets deux doigts tout en continuant de lécher et de sucer son clito.
Sans que je m’en aperçoive, elle ramasse une pierre allongée qui a été lissée par la mer et me l’enfonce d’un coup au fond du vagin. Je pousse un cri de surprise au moment où elle rentre en moi. Elle bouge lentement son jouet au fond de mon antre et le ressort tout aussi lentement, puis elle le remet au fond et fait des va-et-vient. La légère douleur que j’avais ressentie à l’entrée est vite remplacée par un plaisir extrême.
Je sens que je ne vais plus tenir longtemps mais je ne veux pas finir avant elle alors de mon côté, je lui enfile un doigt dans l’anus. Elle pousse un cri de plaisir et gémit de plus belle.Je fais des mouvements rapides dans son cul tout en accélérant mes va-et-vient à deux doigts dans sa chatte et en continuant de sucer sauvagement son clitoris, pendant qu’elle me pénètre de plus en plus vite avec sa pierre et qu’elle me lèche le sexe.Le plaisir est au plus haut, nos gémissements se transforment en cris et nous atteignons l’orgasme en même temps. Nos cris résonnent dans notre grotte du plaisir.
Je reprends mes esprits plus vite qu’elle et j’en profite pour lui remettre deux doigts dans chaque trou et aller le plus vite que je peux. Elle repart dans un orgasme et jouit violemment. Je continue de la doigter jusqu’à ce qu’elle s’effondre, à bout de forces.
Nous restons un bon moment couchées sur le sol de la petite grotte à nous caresser le corps et nous embrasser.Nous décidons enfin de sortir, mais au moment où je sors la tête, je vois des linges sur la plage et des gens dans l’eau. Je recule précipitamment et trébuche dans les pieds d’Émilie. Nous tombons toutes les deux en arrière.
— Il y a des gens dehors— Quoi ?!— Il y a des gens qui se baignent juste devant, ils vont nous voir.— Il faut qu’on coure et qu’on s’enroule dans nos linges avant qu’ils nous voient.— OK, à trois on y va.— Un... deux... trois !
Je cours le plus vite possible jusqu’à mon linge et saute dessus avant de me rouler dedans. Émilie m’a suivie et s’est roulée dans son linge en même temps que moi.— Je crois qu’ils ne nous ont pas vues.— J’espère.
Nous éclatons de rire en repensant à ce qu’il vient de nous arriver.Nous récupérons nos culottes et Émilie remet son haut. Quant à moi, je n’ai aucune chance de le récupérer. Je décide d’attacher mon linge autour de ma poitrine et de rentrer au camping comme ça. De toute façon, je n’ai pas le choix, nous n’avons pas pris d’habits de rechange.
Sur le chemin du retour, le vent souffle fort et mon linge manque de s’envoler plusieurs fois. J’ai de la peine à diriger mon vélo et à retenir mon linge en même temps.
On arrive enfin au camping. Je dis au revoir à Émilie et je fonce dans ma tente pour mettre quelque chose pour cacher mes seins.Cette journée aura été bien mouvementée, je me demande ce que demain nous réserve.
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