- Histoire érotique écrite par Anonyme
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Les bienfaits du grand large
Les soirées n’étaient pas toujours aussi chaudes dans la boîte du camping. Surtout pour moi ! Les premiers jours après mon arrivée, j’étais lessivée de travailler à un tel rythme. Certes, je me consacre à mes études de droit. Mais je ne me dépense pas autant ! L’année précédente, il m’avait fallu une bonne dizaine de jours pour être au diapason. Et il faut l’être, sinon les vacances se passent entre le service du soir et le sommeil récupérateur de la journée : programme peu réjouissant et peu réjouissif (sic) pour une jeune femme comme moi.
Une semaine après l’histoire de la tente, j’étais déjà très en forme. Les nuits passaient en laissant moins de traces sur mon visage du lendemain. Dès 14h, j’étais prête à sortir de la tente en maillot de bain pour mes séances prolongées de bronzage. J’adore ça, sentir ma peau cuire, la rafraîchir dans l’eau de mer, la sécher et la faire recuire. J’ai de la chance, ma peau fonce très vite. En trois à quatre jours d’exposition, je suis bien noire. Pour éviter les marques, j’enlève toujours le haut en prenant garde de bien huiler mes seins de crème pour qu’ils ne prennent pas de coups de soleil. Mes tétons deviennent très foncés et le soleil les fait se détendre.
En général, j’apporte des bouquins sur la plage ou des magazines de mots croisés. Un peu comme tout le monde. Et comme tout le monde, je crois, je mate les autres, en particulier les mecs, les sportifs qui sortent de l’eau et que ma soeur connaît très bien, c’est le moins qu’on puisse dire... Et, bien entendu, j’aime me faire mater. Un regard posé sur votre corps vous rend plus belle et aiguise les appétits. C’est aussi pour cette raison que je me mets presque à poil sur la plage. Je porte un string qui dégage mes fesses et cache à peine ma chatte poilue. Mon côté exhib s’affirme avec le temps. Derrière mes lunettes de soleil, je tente de surprendre les mecs de la plage, qui, allongés à côté de leur nana, jettent un oeil sur mes seins ou au creux de mes cuisses. J’en ai des frissons. Lorsque j’en repère un qui a les yeux rivés à moi, je prends des poses pour l’aguicher et lui offrir un spectacle intéressant. par exemple, je m’assieds bouquin en main, feignant de lire, et j’écarte bien mes jambes repliées. Comme ça ils ont un bon plan sur mon triangle d’amour. Comme je suis poilue et que je ne me rase pas excessivement, je suis sûre que quelques poils de ma chatte dépassent. De toute façon, ils donnent un aspect gonflé qui me plaît bien. Et, franchement, ça a l’air de plaire aux mecs car j’ai souvent une paire d’yeux pour moi toute seule.
Un truc que j’adore faire par-dessus tout, c’est exciter des vieux. Je sais qu’ils reluquent les seins nus et essaient de choper un bout de fesse ou un morceau de chatte. Je sais ça depuis mon adolescence mais je n’en profite que maintenant que j’ai plus d’aplomb... et puis, les vieux m’excitent, il faut le dire. Depuis que j’ai baisé avec Lorenzo, le contact d’un corps mûr m’engage à des folies. Bien entendu, je suis plus régulièrement avec des mecs jeunes... pourtant les fois où je me suis trouvée enserrée par les bras de type bien plus vieux que moi, j’ai joui avec davantage d’intensité.
Tenez, l’année dernière, au mois d’août, à chaque fois que j’allais sur la plage, vers les 15h, un homme d’une soixantaine d’année venait s’installer pas très loin de moi avec sa mamie. Au début, je ne l’avais pas remarqué mais, un jour que je me remettais de l’huile solaire et que je frottais mes seins, je l’ai surpris les yeux fixes sur moi. Il a détourné aussitôt le regard mais j’avais saisi son manège. J’ai alors entrepris le petit jeu que je vous ai décrit tout à l’heure. Sauf que, pour pimenter l’affaire, je n’arrêtais pas de passer comme inconsciemment un doigt dans l’élastique de mon string pour le remettre en place. Au fur et à mesure, je tirais de plus en plus, faisant mine d’être agacée de ne pas me trouver à mon aise. Si bien que le vieux voyait par intermittences des morceaux entiers de ma chatte mise à l’air... il avait beau se retourner de temps à autre, il se dépêchait de revenir sur moi pour ne pas manquer un épisode de cet effeuillage. Il s’en mettait plein la vue et faisait provision de fantasme pour un bon bout de temps.
Pour ma part, ce jeu m’excitait beaucoup aussi. Voir le désir de ce type ainsi me rendait humide. Je l’imaginais venant jusque entre mes cuisses, écartant la ficelle du string et broutant à pleine bouche ma moule trempée pendant qu’il se branlerait à pleines mains. Chez les hommes plus âgés je ressens rapidement une perversité inouïe que les mecs plus jeunes n’ont pas encore, pressés qu’ils sont de découvrir d’abord leur nouveau jouet.
J’ai titillé le désir de celui-là plusieurs jours durant. Entre nous une connivence s’instaura. Personne ne disait rien mais chacun comprenait sans mal le plaisir que ce jeu entraînait de part et d’autre. Il devait connaître la pulpe de mon sexe sur le bout des yeux et chaque poil devait lui être un ami... car je n’hésitais plus en enroulant une serviette de bain autour de mes hanches à retirer complètement le string pour qu’il voie bien ma petite moule poilue.
Ce qui devait arriver arriva : alors que j’allais me baigner, il me suivit dans l’eau. Je flippais un peu à l’idée qu’il me saute dessus. Je ne m’éloignai pas trop du bord, bien entourée par les autres nageurs. ?a n’empêcha pas le monsieur de s’approcher de moi.
- L’eau est très bonne, n’est-ce pas ?, me dit-il d’une belle voix mâle, assurée, sans trémolo.
- Elle est toujours très bonne vous savez ! Vous ne venez jamais vous baigner ?
- Si, si. Je viens tous les jours avec mon épouse. D’ailleurs, je vous ai déjà vue vous faire bronzer sur la plage. Vous êtes vraiment ravissante !
- C’est très aimable à vous de dire ça ! Désolée mais je ne vous avais pas remarqué, il passe tellement de monde. Je mentais effrontément mais je cherchais à éloigner les ennuis. Il devait comprendre ainsi, lui qui n’était pas dupe, que je ne voulais pas aller plus loin que quelques oeillades coquines.
- Si vous permettez pourtant, je vous ferai une seule remarque...
- Laquelle ?
- Il est regrettable qu’un tel bronzage ne s’étale pas sur tout votre corps...
Je laissai planer un silence avant de reprendre, atteinte soudain d’une audace que je ne me connaissais pas :
- Je sais mais ce ne serait pas très décent avec tout ce monde. Je ponctuai la phrase d’un gloussement idiot.
- Si ça ne tient qu’à ça je peux vous proposer de venir bronzer sur mon bateau, au large... ça se fait beaucoup vous savez et en plus vous serez très tranquille : ma femme a horreur de la houle...
Paf ! prise au piège de ma témérité...j’avais voulu l’exciter encore un peu plus mais il avait du répondant. Je ne me voyais pas me dégonfler.
- Ce serait chouette, je n’ai jamais encore fait de bateau dans le coin...pourtant ça fait longtemps que je viens ici, vous savez !
- Ben alors chiche, on prend la mer dès demain si ça vous dit ! On se donne rendez-vous sur le ponton. J’ai un anneau. Disons 14h au port. ?a vous va ?
- Euh ! oui, ça devrait aller. Mais vous êtes sûr que ça ne vous dérange pas?
- Absolument pas ! Au contraire !
Après un échange de quelques autres banalités qui trahissaient le peu de choses qu’on avait à partager, si ce n’est ce que vous savez, nous nous quittâmes pour rejoindre la plage sans attirer les soupçons de sa femme qui, si elle n’aimait pas la houle, aimerait encore moins voir son mari en goguette avec une minette de 20 ans en plein soleil !
Je n’en revenais pas de ce que j’avais promis. C’était bien le signe d’une certaine attirance qui semblait me dépasser. J’étais je dois l’avouer un peu trop avide d’expériences et je ne reculais pas devant la peur de me trouver avec un quasi inconnu sur un bateau au large pour me faire bronzer intégralement. Cela dit, la perspective d’être entièrement bronzée et de frimer devant les copines n’était pas non plus pour peu dans ma motivation... on est parfois d’une bêtise consternante!
Le lendemain, j’osai me présenter au port. Mon homme était au rendez-vous ! Je n’en doutais guère ! Vêtue de mon maillot deux pièces et d’un paréo rouge, je montai sur la petite embarcation. Le bateau sortit du port peu après. Je m’étais installée à l’avant pour profiter de la vue et du vent.
Lorsque les côtes ne furent plus d’une maigre ligne sur l’horizon, mon capitaine coupa le moteur et mit l’ancre. Il vint vers moi et m’invita gentiment à profiter du matelas gonflable comme solarium. Notre petit jeu de la plage allait recommencer. J’avais libéré mes seins dès la sortie du port. Ma peau luisait de crème. Lui était aussi en maillot de bain. Il déballa une canne à pêche comme si rien ne devait se passer... et m’invita à prendre mes aises.
Je retirai aussitôt mon string, ce qui dévoila la partie la plus blanche et la plus rose de moi-même. Lui n’en perdait pas une miette. Il détaillait mes seins, mon ventre, ma chatte. Son regard était insistant.
- Moi aussi, j’adore me mettre à poil dès que je le peux ! me lança-t-il alors qu’il glissait son slip en bas des chevilles.
Je restai muette. Pourtant mes yeux, eux, ne se fermaient pas. Au contraire, ils s’attardaient sur la superbe queue qu’ils voyaient. Elle était déjà bien gonflée, pas très longue mais très large. Circoncise, un gland rose luisant s’exposait à ma vue. Pour la première fois, je voyais une bite sans prépuce. Il vit mon regard, ce qui le fit bander plus vite et plus dure. Sa queue s’élevait toue seule. Je m’émerveillais toujours de cette mécanique magique. Déjà agréablement chauffée par le soleil qui la dévorait, ma chatte se mit soudain à mouiller. J’vais envie de cul, d’une bonne partie de baise. J’étais prête à tout pour me faire enfiler par cette bonne bite tendue. Mon excitation redoublait à l’idée de me taper un vieux cochon...
Innocemment, sans rien dire que des banalités, André m’avertit que je n’avais pas protégé mon minou du soleil. Tout aussi innocente, je lui tendis le tube de crème. Il en déposa une grosse noisette dans le creux de sa main et entreprit d’écarter mes cuisses pour atteindre ma moule brûlante. Puis il répandit d’un coup toute la crème et frotta ma vulve et mon clito. J’en avais partout sur les poils. Il fit alors pénétrer ses doigts dans ma fente archi trempée. Ils glissèrent immédiatement au fond. Mes gémissements lui firent entendre que l’opération me plaisait. Il branla alors mon clit avec deux doigts. Il roulait la tige, accélérait puis ralentissait jusqu’à me rendre dingue.
Profitant de mon état second, je le vis bientôt s’allonger sur moi pour me sauter. Sa bite chaude entra d’un coup dans ma minette. La vulve bailla pour laisser ce gros membre me baiser. André, ce salaud, y allait à grands coups. Son gros ventre claquait sur le mien, ses couilles battaient violemment mon cul qui ne réclamait que ça. Lui grognait tout ce qu’il savait de cochonneries.
- T’es bien mouillée ma cochonne, hein! T’aime ça les coups de bite, va. Tu peux gueuler ma chérie, tu peux gueuler, personne t’entendra d’ici.
Je ne me retenais pas. Je criais tout ce que je pouvais. Jamais je n’avais joui avec une telle force. Je lui hurlais de me défoncer la chatte. Je devenais vulgaire dans ce rut inattendu. Comme si c’était possible, j’eus l’impression de le devenir encore plus lorsqu’il me mit à quatre pattes pour m’enfiler en levrette. Ses deux mains posées sur mes fesses les écartaient et les resserraient soudain autour de sa queue. De ses pouces, il dilatait mon anus vierge. La honte de cet attouchement nouveau mêlée à celle de baiser avec lui, accentuait mon plaisir. Je lançais ma croupe contre sa queue pour la recevoir plus loin. Mes seins ondulaient à chaque coup dans ma moule baveuse. Le bateau s’agitait lui aussi.
L’endurance d’André me fit jouir plusieurs fois avant de recevoir sur le dos et sur mes cheveux longs de grands jets de foutre. André avait retiré sa bite de ma chatte et m’arrosait en laissant sortir un cri immense.
Terrassés par la jouissance, nous nous endormîmes au soleil. Ce n’était pas très sage... je gardai de cet après-midi une marque rouge sur le cul : j’aurais pu me demander si c’était André ou le soleil mais elle resta quelques jours...
Après tant d’émotions, nous regagnâmes la côte puis le port, non sans se donner rendez-vous le lendemain. Pendant 4 jours, jusqu’à la fin des vacances d’André, je me fis baiser et rebaiser par mon vieil amant. Il commençait toujours par me manger l’abricot, pour se venger des heures qu’il avait passé à le regarder. Mes cuisses relevées, il plongeait sa langue et me léchait pendant de longues minutes jusqu’à ce que je jouisse. Ensuite, il me donnait sa belle queue à sucer. Il m’a appris à bien caresser, à mordiller la base du gland, à enfoncer la bite le plus loin possible dans ma bouche et à avaler le sperme chaud et âcre : ça fera plaisir à tes amants et ça t’évitera d’en prendre partout... Pour finir, il me sautait, surtout par derrière et enfonçait un doigt dans mon anus, ce qui me faisait encore plus jouir, mon petit trou se resserrant machinalement au moment de prendre mon pied. Nous baisions tellement bien qu’à chaque fois, je le resuçais pour qu’il retrouve de la vigueur. Les après-midi me faisait oublier les fatigues de la nuit mais en ajoutaient d’autres plus secrètes...
A la fin, ma figue était bien irritée mais je pus montrer à ma soeur et à Séverine mon beau bronzage intégral et leur vanter les bienfaits du ’grand large’...
Nadia
E-mail: nadia-hamrani@club-internet.fr