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camping miam

Chapitre 1

Gay
Cette histoire s’est déroulée pendant les vacances d’été de l’année de ma première fois.
Depuis ce moment, je suis allé quasiment chaque week-end me faire prendre chez Pierre ; je redoutais les grandes vacances durant lesquelles je n’allais plus me faire prendre ; enfin, c’est ce que je croyais…
Arrivé au camping avec mes parents et ma sœur, je ne pus m’empêcher de sourire en voyant tous ces hommes en maillot de bain. Voir toutes ces bosses me fit rêver ; mais je me disais qu’il ne fallait pas trop rêver, car tous ces hommes étaient mariés, en vacances avec leur famille ou leurs amis.
Après s’être installés – ma famille dans le bungalow et moi dans ma tente – je partis faire un tour à la piscine pour me rafraîchir et me sortir de la tête toutes ces queues que j’imaginais. Pendant que je nageais, je matais un peu autour de la piscine. Une main frôla ma jambe, ou plutôt la caressa ; cette sensation était agréable et je m’arrêtai au bord de la piscine pour voir qui m’avait caressé. Je n’eus pas à chercher longtemps : un homme nageait vers moi. Il me fît un clin d’œil et sortit de la piscine.
Je ne le lâchai pas des yeux : il se dirigeait vers les toilettes. Malgré mon manque d’expérience (jusque-là, je n’avais fait qu’une rencontre) je savais ce que ce clin d’œil voulait dire. Je sortis de l’eau et me dirigeai également vers les toilettes. Il m’attendait devant une cabine et y entra. Je m’en approchai ; mon regard se porta instinctivement sur sa bosse : elle était bien grosse, dans son slip. Il vit que je le matais.
– Je savais que tu viendrais ; je t’ai grillé direct, toi !– Comment ça ? répondis-je en relevant les yeux.– Je t’ai croisé sur le chemin de la piscine : tu matais tous les slips ! dit-il en souriant.
Je ne savais pas quoi dire, car je ne pensais pas que quelqu’un le remarquerait. Je me dis alors qu’il ne devait pas être le seul à l’avoir vu ; mais je ne savais pas quoi penser de ça.Je rentrai dans les toilettes. Il me prit contre lui pour pouvoir fermer la porte. Je pouvais sentir sa bosse grossir ; pendant qu’il refermait la porte, ma main descendit sur son slip et je me mis à frotter sa queue à travers le tissu.
– Je ne suis pas ton premier homme, n’est-ce pas ?– Non… Pourquoi ? répondis-je en m’agenouillant.– Eh bien, tu te jettes sur ma queue comme si tu étais en manque.– Je le suis !
Je baissai son slip pour faire sortir une belle queue aux couilles poilues et dotée un gland très imposant. Je commençai à le lécher et à le branler pendant quelques secondes avant de le prendre en bouche. Sa queue était délicieuse ; je m’appliquais à bien passer ma langue sur son gros gland.
– T’es un sacré bon suceur !

Je suçais un inconnu dans les toilettes de la piscine d’un camping pendant que les gens rentraient et sortaient. Cette situation risquée était très excitante... Je m’appliquais à ne pas faire de bruit ; lorsque nous ne fûmes plus que nous deux, il me releva me fit pivoter et m’enleva mon slip. Les mains sur la cuvette et le cul tendu vers cet homme, je me dis que les vacances ne seraient peut-être pas si terribles que ça…
– Tu aimes te faire baiser ?– Oui, Monsieur ! répondis-je en dandinant mon arrière-train.
Il cracha sur mon petit trou et y inséra un premier doigt. Il joua quelques secondes, puis approcha sa queue de mon trou. Il fit mine de la rentrer en frottant son énorme gland sur mon anneau.
– Tu la veux ?– Oui, mettez-la-moi !
Il recracha sur mon cul, étala sa salive, m’attrapa par les hanches et fit doucement pénétrer sa queue. Heureusement que Pierre était passé avant lui, me dis-je, car son gland me fit un peu mal.– Humm, ton cul est divin ! Je vais bien le baiser.Bien accroché à mes hanches, il commença ses va-et-vient délicieux. Après quelques minutes de ce régime, il me mit un coup de reins si violent que je gémis.– Mais tu gémis, en plus ? T’es une petite salope, en fait !
Je ne dis rien, car il avait raison. Il se cala au fond de mon cul et ne bougea plus.– File-moi ton slip.Je me baissai pour attraper le slip à mes pieds et le lui donnai. Tout en restant au fond de moi, il mit mon slip en boule dans ma bouche. – Comme ça, on ne t’entendra pas gémir, salope !Sur ces paroles il me baisa. J’étais les mains contre le mur en train de me faire baiser, jambes écartées, cul légèrement cambré avec mon slip dans la bouche, et j’adorais ça ! À chaque fois que quelqu’un rentrait dans les toilettes, il s’arrêtait et me caressait le dos, les fesses, les jambes, et dès que la personne sortait il s’agrippait à mes hanches pour me défoncer. Je sentais son gland écarter mon cul.
– Je ne vais pas tarder à venir…
En entendant ça, je répondis à ses coups de reins en venant à sa rencontre. Après quelques va-et-vient, il sortit sa queue ; je sentis son sperme gicler sur mon dos et couler le long de ma colonne pour s’arrêter sur mes hanches cambrées.Il me retira le slip et me fit lécher ses doigts pleins de sperme. Je m’en délectai, et j’avalai tout ce qu’il me présentait.Il me retourna face à lui et me roula une pelle géniale ; je voulus attraper sa queue, mais il se recula.
– J’y vais ; merci pour ton cul.
J’étais un peu déçu car j’étais habitué à me faire baiser pendant des heures ; Il remarqua ma déception.
– T’inquiète, petit cul : je suis pas le seul à avoir vu que tu matais !
Et il partit, me laissant sur la cuvette des toilettes, slip de bain au sol, le cul ouvert et le dos couvert de son sperme.Je sortis quelques minutes après lui, les yeux baissés, et me dirigeai vers la douche de la piscine pour me rincer.Lorsque je revins au bungalow, ma mère s’enquit de ce que j’avais fait.
– Alors, cette piscine ? L’eau est bonne ?– Oui : elle est super bonne !– Bon, y va. Tu y retournes ?– Euh… non, pas tout de suite. Je vais écouter de la musique dans ma tente.– OK ! Si tu vas faire un tour, on mange à 20h.
Je m’installai dans ma tente, la refermai, enlevai mon slip et commençai à me doigter.Cela faisait à peine dix minutes que je me faisais du bien sur le dos, les yeux fermés, que j’entendis quelqu’un s’approcher. De l’autre côté de la toile de tente, j’entendis une voix masculine.
– Je t’ai vu à la piscine rester trente minutes ! Rejoins-moi au bungalow avec les serviettes PSG-Marseille sur le balcon près des toilettes.
Et il repartit. J’étais tétanisé par la situation ; je n’espérais qu’une chose : que ma famille n’ait pas vu cet homme près de ma tente.Je laissai passer quelques minutes et sortis. J’avais trop envie d’une autre queue pour laisser passer cette opportunité… Je me dirigeai vers les toilettes. J’aperçus le fameux bungalow avec les serviettes et m’en approchai. La porte était ouverte.
– Bonjour ! Y a quelqu’un ?– Entre, et ferme derrière toi !

La suite prochainement, si vous la souhaitez.
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