Les quatre amies s’assirent alors à leur campement et Myriam prit la parole en demandant ce que ses amies avaient vues. — Il y avait le père Nicolas... dit Lise avant de décrire ce qu’elle avait vue.— Il était en train de repartir quand une sœur est passé sur son chemin... On étaient trop loin pour entendre mais notre curiosité nous a rattrapé... suivit Caroline. Lise et moi nous nous somme rapprochées et nous avons compris que le père Nicolas effectuait une confession, donc par respect on a voulut s’éloigner... mais ce que nous avons vu nous a encore plus étonnées... La sœur a relevé son habit jusqu’à ses hanches, on voyait bien ses bas, et ce qui nous a étonnées c’est qu’elle était en string ! Père Nicolas s’est approché et a relevé sa soutane. Il était nu en dessous ! La sœur lui a alors prit le sexe dans sa bouche, alors qu’il lui caressait la poitrine à travers sa robe. Père Nicolas était aux anges vu son visage, il a retiré d’un coup sec la coiffe de la sœur et lui a prit les cheveux. Au bout de quelques minutes Père Nicolas l’a relevée et a joui dans la culotte de la sœur. Cette dernière s’est rhabillée et est partie vers le couvent. En entendant cela Myriam sentit l’excitation poindre sur sa poitrine. Marie vit l’effet que l’histoire avait sur son amie et elle se colla à la jeune fille à la chevelure sombre. Marie glissa sa main sous la chemise de Myriam et prit l’un de ses seins dans sa main. Les lèvres des deux jeunes filles se frôlèrent, Marie plaqua doucement son amie contre un arbre et releva son pull et sa chemise, dévoilant la poitrine de Myriam prisent sous son soutien-gorge. Lise et Caroline les observaient avec une certaine envie. Marie continua d’embrasser son amie tout en lui retirant son short et sa culotte en même temps. Lise se mordit la lèvre inférieure, alla derrière Marie et passa ses mains sur le ventre de la jeune rouquine. Cette dernière se pencha pour avoir accès au fruit défendue, offrant ses fesses à Lise. Cette dernière retira avec une certaine force le short de Marie et ses doigts sur la rose de la jeune fille avant de titiller son petit trou de sa langue. Caroline s’approcha alors de Myriam et l’embrassa doucement sur les lèvres. Les deux cheffes guides se regardèrent alors dans les yeux. La jeune femme au cheveux couleur jais se mordit les lèvres alors que Marie releva les yeux sur les deux amies. Myriam fut prise d’une contraction avant de jouir sous les lèvres de Marie qui la suivit dans ce bonheur. Lise se releva, les lèvres remplies de liqueur féminine avant que la cloche annonçant la messe ne les fassent revenir à la réalité. Après la messe Père Nicolas s’approcha des quatre jeunes filles: — Je dois aller porter différentes choses au village et j’ai besoin de mains pour m’aider. Cela vous gêne-t-il de venir ? demanda le prêtre. — Nullement mon père, nous somme aussi là pour rendre service, répondit Myriam au nom de leur groupe. — Vous pouvez juste venir à deux, cela suffira. Quelques minutes plus tard, Myriam et Lise prirent place aux côtés du prêtre qui démarra et partit en direction du village. Père Nicolas finit par garer la camionnette dans le bourg et quelques habitants vinrent à sa rencontre. Marie et Caroline, qui étaient restées au couvent, décidèrent d’en faire le tour histoire de se familiariser encore plus avec celui-ci. Sur certaines portes était inscrit qu’il était interdit d’y pénétrer car ces endroits étaient uniquement réservés à la vie religieuse. Les deux amies se regardèrent et doucement y entrèrent. Une étrange sensation les envahit, l’adrénaline montant. Elles se firent les plus discrètes possible, jamais elles n’auraient fait cela en temps normal mais là... Les deux guides se sentaient en confiance. Caroline s’arrêta devant l’une des portes et posa sa main sur la poignée. Cette dernière grinça et s’ouvrit sur un escalier en colimaçon qui descendait. Marie posa sa main sur l’épaule de son amie pour l’encourager. Caroline prit une grande inspiration et descendit les marches. Elles en avaient descendu une cinquantaine lorsqu’elles pénètrent dans une salle. Un bruit sec se fit entendre dans le fond de celle-ci. Caroline se mit accroupi et passa son regard dans l’entrebâillement de la porte. Face à elles une religieuse était nue hormis son voile, à genoux bien droite, les mains croisées sur la tête et un chapelet pendant sur sa poitrine. Sa bouche était entravée par un bâillon qui laissait couler de la bave sur la poitrine de la religieuse. Marie glissa elle aussi sa tête pour pouvoir profiter du spectacle. Une autre religieuse était habillée d’une tenue en cuir qui ne laissait aucun doute sur la partie SM qui se jouait. La tenue très moulante détaillait parfaitement le corps de la bonne sœur. La soumise tremblait de plaisir. — Dis donc ma sœur, vous n’êtes pas très coopérative dans la vie de la communauté... — Mmmmm... tenta de répondre la bonne sœur ligotée.— Tu dois être punis ! D’accord ? La religieuse soumise hocha la tête. La dominatrice se dirigea vers une petite table et retira de celle-ci une chaîne en métal qui reliait deux pinces tétons. Elle retourna voir la religieuse attachée qui tremblait d’envie. — Tu es très obéissante envers maîtresse Noémie ? dit la dominatrice. Avant même que la soumise ait pu parler, la sœur qui se prénommait Noémie fit mordre les pinces sur les tétons de son jouet. La sœur lâcha un hurlement à travers le bâillon, la dominatrice la détacha et la mit à quatre pattes. La soumise gémissait des mots incompréhensibles. La dominatrice retira le bâillon et guida la tête de la sœur vers ses fesses. Sœur Noémie fit glisser la culotte de cuire sur ses cuisses et, prenant les cheveux de son esclave, posa la tête de cette dernière entre ses fesses. — Mmmm, voilà petite chienne. Dévore-moi le cul comme cela... Oh oui rentre ta langue... Marie et Caroline, de peur de se faire prendre sur le fait, firent demi-tour et, en sortant, tombèrent alors nez à nez avec le père Nicolas qui embrassait Marion sur les lèvres...
