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Le campus

Chapitre 1

Zoophilie
Préambule :
Ce qui suit n’est que pure vérité, seuls les noms ont été changés pour garantir l’intimité des personnages.
Les faits ont été aussi romancés, pour que leur lecture soit plus agréable.
Préface :
J’ai la chance de faire mes études dans une grande ville universitaire, j’y ai rencontré beaucoup de monde, surtout des talents constitués d’hommes et de femmes et aujourd’hui.
Mes parents m’ont offert un studio pour étudiant, un beau 35 m? à quelques kilomètres du centre universitaire.
J’étais autonome grâce à la pension que mon père me versait tous les mois en plus du loyer qu’il payait sans sourciller, sans oublier les plats que ma mère me confectionnait chaque fin de week-end.
L’un de mes potes de cours avait eut un accident de moto et j’allais aller le voir, un confident comme j’avais je n’avais eu auparavant, la discrétion même, une forte timidité qui l’empêchait d’aborder les filles du campus.
Cela faisait plusieurs fois que je lui rendais visite, je connaissais pratiquement toutes les infirmières du service de traumatologie.
En dehors de mes visites, il n’en avait pas, son père ambassadeur officiait dans un pays étranger, à la longue je me demandais même si les infirmières ne me prenaient pas pour un homosexuel.
Bien sûr au pensionnat entre copains sous la douche, on se touchait, mais jamais cela n’allait plus loin, sauf une fois où j’ai joui dans la bouche de l’un d’eux, mais lui était vraiment homo.
Moi, ce sont les filles qui m’attiraient, mais je n’avais pas de petites amies attitrées, juste des relations sexuelles, pour l’hygiène comme on dit.
Durant ces années et même après, j’ai vécu des histoires de rencontres plus que délicieuses, avant de rencontrer ma copine, une brunette aux seins en formes de poires.

L’histoire : Souvenir d’un étudiant modèle :
Type : H+F+étrange
A avoir tourné sans fin sur le parking de l’hôpital, je trouvai enfin une place pour garer ma voiture, pas de toute première jeunesse.En sortant précipitamment de l’ascenseur, je me heurtai à l’infirmière en chef qui passait au même moment, sous le choc nous perdîmes l’équilibre.Nous nous sommes retrouvés tous les deux, les quatre fers en l’air.Sonia, la chef du service avec qui j’avais déjà discuté tomba sur les fesses et je pus remarquer que sa blouse avait remonté le long de ses cuisses, exposant sa culotte de dentelle.Après maintes excuses, je parlai avec Sonia qui m’expliqua qu’il fallait encore attendre et que mon copain avait été monté en réanimation et que je ne pouvais le voir pour le moment.Atterré, je m’écroulai sur la chaise du couloir, m’imaginant le pire, mon pote d’enfance alité, allait au plus mal.
Mais Sonia savait rassurer et voyant mon état psychique se proposa de me raccompagner chez moi, elle finissait d’ailleurs son service.J’acceptai avec plaisir, je ne me sentais pas très bien après une telle nouvelle.En route pour ma chambre d’étudiant, Sonia me demanda si elle pouvait faire un arrêt chez elle, son chien devait avoir faim et il était son seul compagnon depuis de nombreuses années, elle avait sacrifié ses amours à sa carrière.Sonia me pria d’entrer, de me mettre à l’aise pendant qu’elle disparaissait dans la salle de bain pour mettre une tenue plus civile.Dans l’entrebâillement de la porte, je vis Sonia retirer sa blouse blanche, elle apparut en soutien-gorge et petite culotte de dentelle.Sonia sortit de la pièce dans cette tenue, son peignoir de bain en cachant une partie. et me versa un verre de Vodka, de quoi mettre au tapis une bande de cosaques, pendant qu’elle sortait du réfrigérateur une bouteille de Soda.Nous avons trinqué au bon rétablissement de mon pote, Sonia porta le goulot de la bouteille à ses lèvres, elle buvait comme un homme, sans verre.Je baissai les yeux, mon regard avait eu le temps de photographier la scène, deux gros seins un peu lourds, un ventre légèrement bombé et des cuisses grasses, mais le tout harmonieusement dessiné.Sonia disparue et j’entendis le jet de la douche couler, Satan, le chien de Sonia venait de faire son apparition dans le salon.Je faillis m’en étouffer, c’était un véritable monstre, une puissance mâchoire aux crocs acérés montée sur soixante kg de muscle pour pas loin de cinquante centimètres de haut.La bête s’approcha de moi pour me renifler, tétanisé, je n’osai bouger de peur de me faire dévorer sur place.
C’est à ce moment là que Sonia arriva dans le salon, une serviette de bain couvrait son bas ventre et la naissance de ses seins.Elle donna un ordre sec au chien qui baissa la tête pour disparaître à jamais du salon, je repris ma respiration.Sonia esquissa un sourire devant ma panique et s’approcha de moi la main tendue vers mon visage, comme pour me rassurer, tel un enfant apeuré que j’étais.
Je goûtai la caresse à sa juste valeur, elle venait de me sauver d’une mort affreuse.Si proche l’un de l’autre, je pouvais sentir la fraîcheur de son corps et le léger parfum discret du déodorant, quelques gouttes d’eau perlaient encore sur ses seins.Je ne pus dissimuler mon envie, j’avais la verge en feu, mes mains se posèrent sur ses seins pour les malaxer comme un boulanger ses tétons étaient déjà bien durs.Ma bouche en saisit un entre mes dents, tandis que ma main disparaissait sous la serviette de bain qui tomba à terre, pour rencontrer l’épaisse toison de son pubis.Je fis disparaître deux doigts dans le vagin, puis me saisit du clitoris gonflé et le pinçai modérément, la vulve de Sonia enfla au bout de deux bonnes minutes d’attouchements et un liquide visqueux dégoulina sur ma main.
Elle avait jouit en silence, sous le plaisir mécanique de mes doigts.
Il y avait longtemps que l’on n’avait pas violé son intimité, si ce ne sont les diverses masturbations auxquelles elle se livrait de temps en temps pour faire taire le feu de son ventre.Ses jambes se dérobèrent sous elle, elle tomba sur les genoux, secouée par un orgasme, elle reposa le visage sur la moquette, offrant sa croupe à ma vue.Les doigts toujours coincés dans la vulve, je les présentai entre ses fesses et ouvris l’intimité de son anus qui éclot comme une orchidée.Sonia poussa un râle, j’en profitai pour me saisir de la bouteille de soda et d’un geste, je violai ses fesses, le goulot disparu d’un seul coup, absorbé par le rectum, qui bu le restant du contenu.Le liquide pétillant provoqua chez elle une délicieuse sensation, ses reins se remplissaient et la pression de la bouteille se fit plus insistante, je l’avais enfoncé à moitié.Sonia sentit ses seins tuméfiés lui faire mal, tandis que son vagin éjacula son suc, elle venait encore d’avoir un orgasme comme jamais elle n’avait connu auparavant.La bouteille de soda retirée, ma verge prit aussitôt sa place, le rectum se referma lentement sur moi et je sentis les délicates parois m’emprisonner.A grands coups de rein, je martelais Sonia qui sans retenue, criait son bonheur à qui voulait bien l’entendre, je jouis à grandes saccades de jets brûlants et me retirai d’un seul coup.Sonia roula, le dos sur la moquette, ses jambes s’écartèrent et je voyais couler de son anus le soda et ma liqueur.Je m?installai alors entre ses jambes et je la clouai au sol, tel un papillon, en m’enfonçant au plus profond d’elle-même, elle releva ses jambes à la verticale dans un écart de 140?.Son vagin sous la pression se gonfla et elle me sentit m’abandonner en elle tandis que son anus se dilatait encore une fois pour restituer ce que ses entrailles avaient absorbé.Sonia n’en pouvait plus, la jouissance lui faisait mal, son ventre distendu réclamait pourtant d’être martyrisé, je me retirai de sa vulve et plongeai mes doigts dans son vagin offert et béant.Existé par la vue de mes trois doigts enfouis dans son ventre j’y glissai les deux autres sans soucis et à ma grande surprise, je forçai un peu le passage et ma main viola son ventre, ma main fut absorber entièrement par sa vulve.A grands coups de piston, je voyais ma main aller et venir dans le ventre de Sonia qui hurlait de plaisir, les lèvres de son vagin ouvertes au maximum formaient un Foureau étroit.Les cris de Sonia se faisaient plus bruyants, aussi pour la faire taire, on ne sait jamais, les voisins pourraient se méprendre sur l’intensité des cris, j’enfouis sa verge dans sa bouche ouverte, jusqu’à la glotte.Sonia eut un haut le coeur, elle m’aspira et je sentais sa langue sur mon gland.
Une giclée de sperme vient tapisser sa gorge et je finis d’éjaculer sur ses seins et sur son ventre.Je me relevai et contempla Sonia, allongée et tremblante sous le plaisir de la chair, son vagin dilaté luisait sous la lumière de la salle de bain et les traces de ma semence sur son corps trahissaient ma propre jouissance.Je déposai un baiser sur son front, la laissant allonger et repue pour m’éclipser, la marche allait me faire grand bien.
J’allumai ma cigarette, j’aimais bien fumer après avoir fait l’amour et j’en profitai pour la fumer sur le palier de sa maison.
J’entendis alors le chien aboyer et je passai la tête dans l’entrebâillement de la porte d’entrée, on ne sait jamais, et si elle avait eut un malaise.
Je regardais le monstre approcher à pas feutrés de sa maîtresse, Sonia remua, elle s’apprêtait à se lever, j’étais rassuré.La truffe humide du chien s’approcha de la bouche de sa maîtresse et sa langue rappeuse entrepris un nettoyage en bonne et due forme.Attiré par l’odeur du sperme, il enfouit sa truffe dans la vulve, sa langue lécha le long de la fente, le clitoris sous le plaisir du contact grossit de plus belle et provoqua une onde de chaleur dans les reins de Sonia qui se mit à jouir.
Je n’en revenais pas, tétanisé par la séquence qui se déroulait sous mes yeux, cette femme venait de prendre son pied sous les coups de langue de son chien.
Je ne pus détacher mes yeux de la pièce, du chien et de la femme, excité comme quand je regardais des films XSatan abandonna le vagin pour lécha le ventre de Sonia maculé de sperme, son museau remonta jusqu’aux seins de Sonia dont les tétons n’avaient pas désenflé, et d’un coup la verge distendue du monstre pénétra le vagin offert et lubrifié, guidée par Sonia.Sonia monta le bassin pour faciliter l’entrée du sexe de Satan dans ses entrailles et connue un orgasme pendant que le chien se vidait en elle, en de violents coups de rein.Sonia repue, roula sur le ventre pour saisir sa serviette et s’éponger le visage, elle était en feu, son bas ventre lui faisait mal, dégoulinant du sperme du chien.Elle se mit sur les genoux demeurant un instant sur trois pattes pour essuyer son entre-jambe, avant d’aller prendre une douche salvatriceSatan vint coller sa truffe entre les fesses de Sonia et d’un coup d’arrière train, posa les pattes avant sur les épaules de sa maîtresse qui sous le poids bascula, son visage atterrit sur la moquette.Cette position fit relever les fesses de Sonia et Satan en profita alors pour la sodomiser profondément comme il le faisait avec les chiennes du quartier.Quelques allers et venues, suffirent à faire gonfler son noeud, il remplit les reins de Sonia qui goutta le plaisir soudain, son ventre s’enflamma, son vagin s’ouvrit pour laisser couler le fruit de sa jouissance.Je n’osai rentrer dans la maison pour me soulager de nouveau dans la bouche de Sonia, fasciné par l’acte bestial, je devais garder ce secret pour moi et moi seul.
Heureusement que l’infirmière habitait à deux pas de l’hôpital, car la pluie tombait et il fallait que je récupère ma voiture, je reviendrai voir mon pote le lendemain.
Armitage
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