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Campus WEB TV

Chapitre 2

Petite bêtise

Divers
Mardi 12 Décembre, 23h05
— Charlie, t’enfuis pas comme ça. Tu ne veux pas connaitre l’audience ?— Demain, je regarderai demain. J’ai trop envie.— Qu’est-qui t’as excité à ce point… S’il te plait, dis-le-moi.— Ça… Cette fille qui ne connait pas son corps. Lui expliquer comment le découvrir, lui expliquer ce qu’est son vagin, comment jouer avec son petit bouton. Ça me rend folle, je voulais lui montrer. Maintenant, laisse-moi, j’ai besoin d’aller me calmer.— Je veux te regarder faire. Ca me manque vraiment. S’il te plait, juste te regarder. Je te promets que je n’essaierai pas de te toucher… Juste regarder, ok ?
Ses yeux pétillent de plus en plus. Elle m’avait avoué qu’elle ne voulait pas de sexe avec moi, pas tout de suite en tout cas. Elle m’avait avoué qu’elle voulait redécouvrir son corps qu’elle avait laissé de côté depuis trop longtemps. Cette émission lui redonne ces envies.
Elle me regarde, semble hésiter. Je lui dis : « s’il te plait », elle prend sa respiration, celle-ci devient plus courte. Elle retire ses chaussures, baisse son pantalon et son string en même temps et s’assoit sur la table. Elle me fixe du regard, ses doigts glissent entre ses cuisses. Elle est belle ; ses lèves s’humidifient ; j’imagine ses tétons pointer, bien trop cachés par sa veste. Elle se laisse aller, je regarde. L’envie est bien trop présente.
Je rêve de me mettre entre ses cuisses, de la pénétrer violement comme souvent elle a aimé. Je rêve de glisser ma langue dans sa bouche qu’elle dévorera. Je rêve de pétrir sa poitrine pendant qu’elle me dit « plus fort ». Une promesse est une promesse, alors je regarde, et écoute ses gémissements s’amplifier petit à petit. Bientôt, sa bouche s’ouvrira ; bientôt, ses yeux se fermeront ; bientôt, elle fera trembler les murs car ses orgasmes sont de vrais cataclysmes.
Je la regarde m’offrir tout ce plaisir qu’elle se donne. Elle est belle.

Jeudi 21 Décembre, 22h55
Elle va le faire, je sais qu’elle va le faire. Elle ne voulait pas hier, est devenue hésitante avant l’émission de ce soir suite à la lecture de nombreux commentaires, mais elle s’est préparée tout de même. Elle va le faire... je vois qu’elle est excitée et donc c’est certain, elle va le faire. Elle est déjà toute rouge, ça trotte dans sa tête.
"Avant de clore cette édition, Magalie m’a recontactée suite aux conseils que je lui avais donnés concernant certaines techniques pour réaliser une bonne fellation. C’était, si vous vous souvenez bien, il y a deux semaines de cela. Et bien, son message est court, mais très éloquent : son amoureux est aux anges.
Messieurs, au risque de me répéter, je ne fais pas de démonstration, ni de strip-tease, et il est inutile de m’envoyer des photos de vos attributs.
Sur ce, je vous souhaite à tous un très joyeux noël. Merci encore pour votre fidélité et faire exploser à chaque fois l’audimat. Nous nous retrouvons dans quinze jours pour la première édition de la nouvelle année.
Laurent, je te laisse le dernier mot pour cette année. En attendant, petit clin d’œil à l’équipe de rugby pour ce cadeau un peu spécial, mais que je vais vous dévoiler dans quelques instants. Bonne soirée à tous, et bonnes fêtes de fin d’année.
C’était Charlotte pour Campus Web TV. Laurent, à toi."
Je coupe alors son micro, j’allume le mien, Charlotte se lève et retire sa veste de tailleur qu’elle avait gardée bien fermée jusque-là... Elle le fait... Elle se montre dans ce déguisement de mère noël très sexy, une robe bustier, les bottes qui vont avec, rien d’autre.
Elle ne s’attarde pas devant les caméras. J’ai à peine le temps de souhaiter une bonne fin d’année à nos très nombreux auditeurs qu’elle se jette sur moi :— Baise-moi. Je suis super chaude là.— Je vois ça. Tu n’as même pas mis un petit string ? — On s’en fout, personne ne peut voir. Baise-moi maintenant.
Elle m’embrasse de façon torride tout en déboutonnant mon pantalon. J’ai l’impression que j’ai oublié quelque chose. Je ne me souviens pas de quoi. Tant pis, ça ne doit pas être important, elle a déjà ma verge dans la bouche tout en retirant les lacets de mes chaussures. J’aime lorsque Charlotte est dans cet état, prête à toutes les perversions sexuelles.
— Laurent, vas-y plus fort, j’ai envie d’encore plus de sensations.— Retourne-toi. Je change de trou, t’es trop mouillée par là.— ... Vas-y doucement, ça fait longtemps que... Ho merde... T’es déjà en entier dedans ?... La vache... J’avais oublié à quel point c’est bon de se faire enculer... Mmmhhhh, c’est bon... Continue comme ça...— Branle ton clito en même temps, j’ai envie de t’entendre gémir.— Ho oui, gros cochon. Dis-moi que t’aimes les chiennes qui se branlent en se faisant enculer... — T’es la plus salope des mère noël que j’ai baisé.
Et c’est là où je me félicite d’être allé me masturber juste avant l’émission. Sans ça, je n’aurais jamais tenu plus de cinq minutes. Mais là où je suis le plus content c’est que Charlotte me démontre tout l’amour qu’elle a encore pour le sexe. C’est délicieusement torride. Je suis en sueur, essoufflé. Je la regarde assise sur le sol, adossée contre le mur, ne portant plus que les bottes, récupérant de ses doigts le sperme qu’elle a sur le ventre, commençant à se caresser son adorable petit bouton avec.
Je regarde l’heure, il faut qu’on ait quitté les lieux avant minuit sinon le gardien va encore gueuler. Il nous reste dix minutes. Charlotte gémit grâce à ses propres caresses, je la regarde, je veux encore la voir jouir. Ca va bientôt arriver : sa respiration s’accélère, ses doigts s’agitent sur son clitoris, son souffle est plus court, ses gémissements se transforment en petits cris. Putain, le truc que j’avais oublié : les caméras sont toujours online – pas grave, on n’est pas devant -, mais mon micro l’est aussi. Je me précipite pour appuyer sur les boutons alors que Charlotte m’annonce à travers ses gémissements de plus en plus forts qu’elle est en train de jouir.
Elle se calme, je n’en mène pas large. Je sens qu’elle va me gueuler dessus. Mais avec un peu de chances, tout le monde avait coupé à la fin de l’émission. Je ne lui dis rien, je vérifie, je regarde sur l’ordinateur : 2 743 connectés... Putain, une bonne centaine de plus que durant l’émission. Je suis en train de stresser à mort là. Les commentaires ?... Ha oui, ils ont bien entendu... Ho merde, ho merde, ho merde, je suis mort.
— Tu fais quoi ? Ca te dis qu’on remette ça chez moi ?... Ben quoi ? Ca ne va pas ?— Charlie... Ma petite Charlie chérie...— Quoi ? T’as fait quoi comme connerie ?— Heu... J’avais oublié de fermer le micro.— Tu te fous de ma gueule ?
L’air strict et sérieux, plus un mot, le calme avant la tempête. Tempête ? Non, ouragan.
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