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Le Canapé Beige

Chapitre unique

Orgie / Partouze
PUTAIN de canicule. Ma douche ne m’a ni rafraîchi, ni calmé. Je récupère mon smartphone sur la table basse du salon et me laisse tomber sur le canapé. Je continue de mater cette vidéo avec Rebel Rhyder que je regarde en boucle depuis des jours. La blonde s’enfile des sextoys de plus en plus gros, en souriant. Rebel est si adorable, et si perverse, à la fois. Elle me rend dingue. C’est la plus salope des pornstars que je connais. À part Veronica Avluv ou Gina Gerson, peut-être. Ces filles ont des trous élastiques qui me rendent fou. Et elles avalent des litres de sperme, de salive et de pisse. Elles m’obsèdent. Le porno m’obsède. J’ai raté mes examens à cause de ça. J’en mate même en cours, en me caressant discrètement. C’est assez facile. Sauf au moment de l’éjaculation. Jouir discrètement, je sais le faire. Mais comment cacher la grosse tache que fait tout ce sperme, qui suinte derrière ma braguette ? Et aucun déodorant ne masque efficacement son odeur. Dans le bus, j’ai connu des moments gênants. Des regards appuyés de personnes outrées.
— Ne t’assieds pas tout nu sur mon canapé ! Tu vas faire des tâches !— Je viens de me doucher, maman.
Elle est entrée en trombes et comme d’habitude, court dans tous les sens, toujours à la recherche d’un truc, un machin. Ma nudité ne la gêne pas. La sienne ne me gêne pas non plus. N’allez pas croire que je suis en train de vous raconter une histoire d’inceste. Très peu pour moi. Les mecs qui fantasment sur leur mère me font pitié. Non, c’est juste qu’Angèle et moi, on ne se cache rien, depuis que papa nous a laissé tomber.
— Tu sais combien ça vaut un canapé comme celui-là, mon chou ?— Mille trois cents euros. Tu me le répètes tous les jours.— Tout à fait. Alors mets une serviette sous tes petites fesses, tu veux bien? Et ne te masturbes pas toute la soirée. Tu as commencé à réviser pour ton examen de rattrapage ?— Non, mais… Regarde ce qu’elle fait, maman. Tu pourrais t’enfiler un machin aussi gros, toi ?— C’est une professionnelle, dit-elle, en jetant un œil sur mon écran. Elle s’entraîne tous les jours et utilise des lubrifiants adaptés. À ce propos, tu as des rougeurs sur le pénis. Je vais te chercher une crème.
Elle file dans la salle de bain. Je l’entends farfouiller dans ses produits de beauté. Puis elle revient.
— Tiens, mon chou. C’est une crème contre les irritations annales, mais ça fera l’affaire. Mets en bien partout. N’oublie pas le prépuce. Et pense à te laver les mains. Tu ne crois pas que tu devrais consulter un médecin pour ton problème d’addiction au porno ?— Je me sens bien comme ça, maman.— Écoute, je dois filer. Tu seras seul ce soir. Ça m’ennuie de t’abandonner comme ça. Mais cette pauvre Léonie… Je ne peux pas la laisser seule après ce qui vient de lui tomber dessus. Découvrir que son mari est gay et zoophile. Tu te rends compte ?— Je ne suis plus un enfant, maman. Je sais me démerder. Tu peux aller retrouver ta copine. Et même passer la nuit chez elle, si tu veux. Fais-lui des bisous sur la chatte de ma part.— Petit coquin, va ! Très bien. Je file m’habiller et je te laisse te… démerder.
Elle m’embrasse sur le front, caresse ma joue. Sur l’écran, Rebel enfile trois godes dans sa chatte, qui fait des bruits de pets. Elle tire la langue. Sa salive coule entre ses seins. J’éjacule sur le ventre de ma mère.
— Heureusement que je n’ai pas encore enfilée ma robe. Bonne soirée, mon chou.
Seul dans la maison, je me mets à ruminer. Je pense à mes amis de la fac, qui doivent être en train de se faire sucer sur une plage naturiste dans le sud, ou de baiser dans la mousse d’un club à Ibiza. Et moi, je suis seul ici, avec mes pornos. Je me sens minable. Ma queue me dégoute. Je n’ai plus envie de me toucher. Je commande une pizza. J’allume la télé du salon et lance la vidéo d’un porno tchèque avec un harem — trente salopes pour une seule bite — mon fantasme. J’ouvre au livreur, sans prendre la peine d’enfiler mon short. Il se penche pour regarder le grand écran, qu’on peut voir depuis l’entrée.
— Vous êtes tout seul ?— De quoi j’me mêle, lui demandé-je, surpris par son audace.— Moi aussi j’aime les harems. J’en ai un.— Ah ouais ? Sans déc’ ?— Pas un grand comme celui de ton film. Seulement trois filles.— Bien sûr…— Tu me crois pas ? Mes garces, elles aiment bien se frotter à de nouvelles queues. Je finis dans une heure. Si t’es d’ac’, on vient chez toi et on fait la fête.— Ouais. OK. J’suis d’ac’… — À tout à l’heure, alors… J’espère que tu as ce qu’il faut en alcool. Mes garces aiment bien siffler un bon whisky, ou du Champagne si t‘en as.
Je referme la porte, persuadé d’avoir rencontre le mythomane le plus perché du coin. Je m’affale sur le canapé, avec le carton gras de la pizza sur mes genoux. Sur l’écran, le mec se fait chevaucher par une fille avec une poitrine superbe, pendant qu’une autre lui titille les tétons en lui fourrant sa langue dans sa bouche. Et toutes les autres femmes le caressent, suçotent et mordillent la peau de sa poitrine, son ventre, ses cuisses et ses couilles. Je me mets à bander. J’ai envie d’enrouler le reste de ma pizza autour de mon sexe, et de me branler dedans. Et puis je pense au livreur. Et si c’était pas un mytho ? Et s’il avait réellement un harem ? Et s’il se pointe comme promis avec trois filles ? Je décide de garder mon sperme dans mes couilles — au cas où — et de reprendre une douche.
J’ai dû m’endormir, car la sonnerie de l’entrée me réveille. Je me rends compte qu’il est bien imprudent de ma part d’aller ouvrir ainsi, en pleine nuit, sans même savoir qui est derrière la porte. Certes, j’ai une petite idée de qui cela peut être. Je ne fais qu’entrouvrir la porte et aussitôt, un petit groupe s’engouffre dans la maison. Mon livreur et… trois filles ! On se fait la bise et les présentations d’usage.
La première dit s’appeler Becky. Elle est très mince et porte de longs dreadlocks rouges. Elle porte un minishort déchiré et un haut rose sous lequel pointe des petits seins.
La seconde se présente sous le nom de Sabrina. Son regard est aussi noir que ses longs cheveux. Elle a le genre de poitrine que l’on qualifie d’opulente, sous son tee-shirt troué des Ramones, et des hanches larges sous sa jupe en simili cuir râpé.
La troisième se cache sous un sweat à capuche. Elle ne porte rien d’autre. Elle passe devant moi, le visage caché et les fesses à l’air. Elle va s’asseoir sur le fauteuil beige, en face du canapé, dans une position qui ne cache rien de son intimité. Je ne peux m’empêcher de regarder entre ses cuisses, ses lèvres charnus couvertes d‘un léger duvet.
Je me laisse tomber à genoux et hume son odeur salée. Mais alors que j’en approche ma bouche, elle me repousse en posant son pied sur mon visage. Je tombe en arrière et heurte la table basse.
— Melody, elle est pas de bonne humeur ce soir, me dit le livreur. Au fait, moi c’est Kevan. Comme Kevin mais avec un a.— Enchanté, Kev… euh Kevan. Moi c’est…— Julien. Je sais. Tu nous offres à boire ?— J’ai du Jack et j’ai trouvé ça dans la chambre de ma mère.— De l’Absinthe ? Excellent. Tu as de la musique, aussi ? Pas de la soupe, hein. Du Rock. Du Metal.— Samantha Fish, vous connaissez ?— Putain, mais j’adore Samantha Fish ! Mets-nous Faster. J’adore baiser sur ce morceau.
Je lance le clip sur l’écran. Samantha gratte sa guitare. Elle est vêtue de cuir rose. Puis, elle drague un mec, à l’américaine, au volant de sa voiture. Sabrina et Becky se mettent à danser, en se passant la bouteille de Jack. Sabrina fait mine de lui mettre le goulot de la bouteille dans la chatte. Alors Becky retire son minishort et laisse sa copine la pénétrer ainsi. Puis, elles me regardent et me passe la bouteille. Le temps de porter à mes lèvres cette bouteille sortie de sa chatte, me voilà raide comme jamais. Je contemple la plus belle érection de ma vie. Les veines de ma queue sont surgonflées et elle prend une couleur violacée. Sabrina me prend la bouteille des mains, en avale quelques gorgées, puis la propose à Melody. Sous sa capuche, elle se contente de faire non en secouant la tête. Je ne vois pas ses yeux, mais la moue de sa bouche montre qu’elle fait clairement la gueule.
Kevan tape dans les mains. Sabrina et Becky se débarrasse du peu de fringues qu’elles portent. Puis elles se mettent à quatre pattes, côte à côte, sur le canapé beige, en position offerte. Becky est la première à se faire prendre. Kevan la pénètre sans ménagement. Elle gémit, elle l’encourage, il donne des coups plus forts, elle en redemande. Il s’extrait, donne une claque sur ses maigres fesses et se place derrière Sabrina. Il frotte d’abord sa queue sur sa fente et son anus. Il la pénètre enfin, avec douceur. Ses va-et-vient sont plus lents. Elle ronronne. Je devine que c’est ainsi qu’elle aime être prise.
— Hey, Julien ! Tu attends quoi pour t’occuper de Becky ?— Arrête de te branler Juju, ajoute la fille aux dreadlocks rouges. Viens me baiser. Baise-moi ! Baise-moi FORT !!!
À ce stade du récit, je dois vous avouer que j’ai eu peu de relations sexuelles. Quelques pipes, et de très rares pénétrations. C’est pour cette raison, qu’au moment de pénétrer Becky, j’ai eu une petite hésitation. Et ma queue s’est ramollie. Oh, pas totalement. Elle est restée suffisamment dure pour la pénétrer. Néanmoins, ce n’est qu’avec une demi-molle que j’entame mes mouvements en elle. Elle m’encourage à y aller plus fort. J’obtempère, mais ma queue se plie et glisse au dehors. Je la rentre, recommence mes mouvements. Elle glisse encore. Je suis en train de vivre la plus belle expérience sexuelle de ma vie, et je suis incapable d’avoir une érection complète. Je regrette de m’être masturbé toute la journée. Si j’avais su ce qui m’attendait. Je commence à perdre confiance en moi.
— Sabrina a une super technique pour faire bander, me dit Kevan.
Sabrina se retourne, s’assied sur le canapé et empoigne nos deux pénis. Elle presse nos glands l’un contre l’autre, les frotte en les pourléchant goulument. Le bout de sa langue se presse contre mon urètre et me procure des sensations que je ne connaissais pas. Je n’avais jamais songé à frotter ma queue contre celle d’un mec. Je me rends compte que j’aime bien ça. Et que ça m’excite. Ma queue retrouve rapidement sa raideur et sa couleur cramoisie.
Je retourne en Becky, bien raide cette fois et peut enfin la prendre comme elle le souhaite. Avec force, avec brutalité. J’empoigne ses hanches et donne des coups de reins de plus en plus violents. Le mouvement de ses dreadlocks rouges sur son dos me fait penser aux vagues de l’océan. Mes mains pressent ses petits seins. Elle me demande de lui faire mal. Je lui pince les tétons — deux grosses boules bien charnues — et elle hurle de plaisir. Simultanément à ses cris, son vagin se contracte et mon plaisir augmente. Voilà encore une sensation que je ne connaissais pas.
— Tu veux bien qu’on échange ? me demande Kevan, en posant une main sur mon épaule.
Je m’extraie de Becky. Je prends la place de Kevan au cul de Sabrina. Ses fesses sont bien plus charnues que celles de Becky, avec un peu de cellulite. J’ai envie de les embrasser. Alors je les prends à pleines mains et je les couvre de baisers, en les pelotant. Puis j’enfonce mon visage entre ses deux sphères. Je sens son odeur de femelle bien chaude. Elle sent la chatte, le cul et la cyprine. Et un peu le pipi. Je m’enfonce doucement en elle, comme j’ai vu Kevan le faire. Je la prends avec douceur et elle se met à ronronner comme une grosse chatte. Je me penche un peu et commence à jouer avec ses seins. Dans mes mains, ils me paraissent encore plus gros. Son corps potelé est vraiment très agréable à caresser, à masser. Des seins, je passe à ses poignées d’amour. C’est si bon.
Derrière le canapé beige, il y a une grande fenêtre ouverte. En face, il y a la maison de madame Corbière. Ses fenêtres sont également ouvertes. La maison n’est pas éclairée. Dans l’obscurité de son salon, on peut voir deux petits disques lumineux, de la taille des lentilles d’une paire de jumelles. Ma voisine a pour habitude de nous espionner ainsi, ma mère et moi, quand nous sommes nus dans le salon. J’espère que madame Corbière se régale du spectacle que nous lui offrons.
Mon téléphone sonne alors que Kevan me retape sur l’épaule. J’enfile Becky en répondant à ma mère.
— Tout se passe bien, mon chou ? Qu’est-ce que tu fais ?— Je suis avec Kevan, le livreur de pizzas et on baise son harem.— Écoute, Julien. Arrête le porno pour aujourd’hui et va te coucher.— D’accord, maman. Bonne nuit.— Bonne nuit, mon chou.— Elle a l’air trop cool ta mère, me dit Kevan. Tu crois qu’elle accepterait de rejoindre mon harem. Je rêve d’avoir une MILF.— Je baise pas avec ma mère.— Évidemment. Je parle pas pour toi. Laisse tomber…
Je jette un œil derrière moi, vers Melody, toujours sur son fauteuil. Deux doigts vont et viennent dans son vagin, tandis que l’autre main frotte son clitoris. J’ai envie de me jeter sur elle, de lui arracher sa capuche pour découvrir enfin son visage. Et de lui fourrer ma queue dans la bouche. Cette idée m’excite et me rend brutal.
— Hé, attention ! crie Sabrina. Vas-y doucement, avec moi.— J’en peux plus, dis-je. Il faut que je crache ma sauce, maintenant.— Super idée, mec, me répond Kevan.
Becky et Sabrina se mettent à genoux devant nous, joue contre joue, langue contre langue. Kevan est le premier à partir. Il éjacule une ligne de sperme bien grasse qui s’étale sur les deux langues, et s’étire jusque sous l’œil de Sabrina. Je me branle avec frénésie. C’est si bon, putain. Sabrina me suce une couille. Becky me lèche l’autre. J’ai un peu du sperme de Kevan sur mes bourses. Ça m’excite. J’explose. Ça gicle. Dans tous les sens. L’orgasme est si intense qu’il me fait un peu mal. J’éclate de rire. Je n’ai encore jamais vécu ça (et peut-être que je ne revivrais jamais ça). De grosse gouttes de foutre se crashent sur les visages des filles. Jusque dans leurs cheveux, leurs yeux, leur nez, leur cou. La semence coule vers leurs poitrines.
Elles s’embrassent, gluantes, reliées par des filets de nos spermes mélangés. Becky lèche le visage de Sabrina. Fière, elle nous montre sa bouche pleine, puis se gargarise. Elle crache tout dans la bouche de Sabrina, qui n’attend que ça. À son tour, Sabrina nous montre sa bouche pleine. Au milieu d’un lac blanc, on peut voir surgir sa langue rouge, tel le monstre du Loch Ness. Puis Sabrina ouvre des deux mains la bouche de sa copine et lui rend le sperme. Elles s’embrassent en le laissant couler. Elles l’étalent sur leurs visages, se lèchent encore, puis recommencent à s’embrasser. Pour finir, elles se l’étalent sur le corps, des seins au nombril et s‘enlacent.
Je m’écroule sur le canapé. Kevan, Becky et Sabrina ramassent leurs fringues, les enfilent à la va-vite, se dirigent déjà vers la sortie.
— Il faut qu’on y aille. Merci pour la fête, Julien. C’était super. À la prochaine. Commande une pizza, si tu veux nous revoir.
Avant même que je puisse répondre, ils sont déjà sortis. Je me retrouve seul avec Melody. Lentement, elle se lève et vient vers moi. Va-t-elle enfin me montrer son visage ? Elle se penche vers moi et j’essaie alors de voir ses yeux. Ses mains se dirigent vers mon sexe. Elle presse mon gland entre deux doigts. Elle en fait sortir l’ultime goutte de sperme, qu’elle porte à ses lèvres. Elle se lèche les doigts puis s’en va à son tour, rejoindre ses amis. Quelle fille étrange. Je me demande si elle se promène aussi ainsi en plein jour, sans rien sous la ceinture. J’aurais voulu lui parler, lui demander pourquoi elle montre son vagin et cache son visage. J’espère bien la revoir. Bientôt. J’en suis sûr.
Me voilà à nouveau seul, sur le canapé beige. Il est humide et poisseux, taché de tous nos fluides corporels. Il y a une petite flaque de sueur au milieu. Des traces de cyprine, sur les bords. Et des gouttes de sperme, un peu partout. J’ai si chaud. Il me semble que ma tête va exploser, que ma queue est en feu. Je suis essoufflé, éreinté, mais heureux comme jamais.
J’ai envie d’une pizza. Pas vous ?

Note de l’auteur :L’idée m’est venue, en écrivant ce texte, de consacrer une nouvelle entière au personnage de Melody. Si cette idée vous plait, si vous souhaitez lire son histoire, un récit porno radicalement anticonformiste comme j’aime en écrire, merci de me le faire savoir dans les commentaires.
Merci de m’avoir lu.
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