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Candaulisme et douce soumission

Chapitre 3

Enfin cocu

Avec plusieurs hommes
Je baisse la tête en répondant.
-Oui...
-Sur le coup, tu me donnes plein d’idées. Mais, je ne vais pas trop tarder. Enzo m’attend pour 23 heures.
-Quels genres d’idées te sont venues à l’esprit ?
-Et bien disons que tu pourrais être mon cocu soumis. Enzo ne le voudra jamais. Mais cette possibilité s’offre à nous, puisque tu m’y sembles sensible.
Avant de répondre, je sens mes joues chauffer.
-C’est vrai. Je reconnais que de t’imaginer te faire prendre devant moi, m’exciterait sans aucun doute.
-Tu es un mec vraiment ouvert Merlin. Je t’adore.
-Quelle superbe soirée tu m’as fait passer en tout cas.
-Toi aussi. Je ne m’attendais pas du tout à cette tournure.
Elle s’habille tranquillement. Elle ressort encore plus magnifique lorsqu’elle rajuste sa robe et son petit haut noir. Puis, après un dernier baiser, elle repart chez elle.Je me couche presque immédiatement, mais avec difficulté pour m’endormir.
*** La décision ***

Toute la nuit je reste agité. Je me réveille fatigué et pourtant de bonne humeur. Je pars au travail comme d’habitude. Dès lors, je réussis à finaliser quelques dossiers. Aider à rendre quelques personnes plus heureuse me ravit. Le soir, je réponds au couple en envoyant la lettre en recommandé. Je leur adresse une réponse favorable. Je marche tranquillement de la poste vers chez moi, mon téléphone en main. Je décide d’appeler Madison, pour l’aviser et la remercier.
-Coucou Madison, je ne te dérange pas ?
-Hey Merlin, non du tout. Tu peux parler. Je me suis mise à l’écart.
-Je t’appelle juste pour t’annoncer que j’ai répondu oui.
-Trop cool ! Tu ne vas pas regretter, j’en suis certaine.
-Héhé. J’ai un peu la trouille tout de même.
-Ah bon ? un grand gaillard comme toi, fais moi rire.
-Cela arrive même aux plus forts. Quand je repense à notre soirée, j’ai tellement envie de toi.
-Ahah, filou, moi aussi ! Mais, Enzo et moi avions prévu de longue date quelques sorties cette semaine. Je ne pourrais pas. Désolée.
-Je comprends. Ce n’est que partie remise !
-Oui ! Je te recontacterai. Je te fais des gros bisous Merlin. Je dois filer.
-Gros bisous Madison.
Les journées au travail s’enchainent et se ressemblent. Nous sommes vendredi et je n’ai toujours pas de nouvelles du couple, ni même de Madison. Elle me manque. Je décide d’aller manger au restaurant et de faire un bowling avec des ami(e)s. Au moment de partir, je reçois l’appel d’un numéro inconnu. Je décroche et une douce voix féminine s’adresse à moi.
-Bonsoir, Monsieur Merlin, c’est Alysée.
Mon cœur s’emballe immédiatement et mon estomac se noue.
-Bonsoir Alysée.
Silence... Je ressens une certaine gène qu’elle doit percevoir vu qu’elle ajoute :
-Monsieur Merlin, aucune gêne entre nous. Nous avons bien reçu le contrat. Merci à vous, pour votre confiance et surtout pour votre discrétion. Seriez-vous disponible ce week-end, pour un premier contact à trois ?
-Je suis effectivement disponible ce week-end.
-Il s’agira d’un repas à notre domicile. Terence et vous pourriez ainsi faire connaissance. Disons dimanche à 11 heures, si cela vous convient.
-C’est parfait Alysée. C’est noté.
-Super. Comment voulez-vous que je sois habillée ?
Décidément, cette femme me surprend vraiment. Sa voix est naturelle et limite enjouée. Je réfléchis quelques instants avant d’ajouter :
-Ai-je toute latence quant à votre tenue vestimentaire ?
-Totale. Mon époux n’a aucun mot à dire. Et je vous donne carte blanche.
-Serions-nous seulement tous les trois ?
-Tout à fait.
-A plus tard Alysée. Je vous enverrai la tenue que je souhaite par SMS.
-Très bien Monsieur. A dimanche.
Je raccroche. Prendre le rôle d’un dominant me parait plutôt difficile. Cette soumission consentie reste particulière. J’imagine Alysée dans une tenue classe, mais très indécente. Malgré tout, n’ayant plus le temps de penser à ceci, je me rends à mon véhicule, pour me conduire au restaurant.
Les ami(e)s m’y attendent. Après un bon repas, nous nous dirigeons vers le bowling. La soirée se passe tranquillement et agréablement. Mon score désastreux ne m’empêche pas de conserver le sourire. Je ne sors qu’avec des couples, étant le seul célibataire du groupe. Mais qu’importe, même si les remarques concernant mon célibat fusent régulièrement. Je les avise me complaire dans ma situation. Qu’elles ou ils ne doivent pas s’apitoyer sur mon sort. Ahah, mon sort ! Je ne m’appelle pas Merlin pour rien.
Je chante et je regagne ma petite maison. Je mets de la musique avant de m’asseoir sur le canapé, un petit verre de sirop de menthe en main. J’allume mon ordinateur et je commence à chercher des tenues pour femmes et hommes. Après quelques clics sur différents sites, je remarque une superbe robe rouge avec un décolleté plongeant en dentelle. La manequin possède le même style de corps qu’Alysée. Il demeure aiser de se projeter, de l’imaginer. Ouverte sur les côtés, elle se classe dans les lingeries. Elle va être d’une sensualité incroyable dedans !Je choisis une tenue pour son époux. Je lui propose une chemise cravate en haut selon ses choix, un caleçon large en dessous, pas de pantalon. Je souhaite qu’il porte des chaussettes et surtout des pantoufles, afin de lui apporter une petite dose d’humiliation. Les cocus semblent adorer ça. J’ajoute qu’il devra porter un anneau à la base de la verge à mon arrivée. Je déciderai seul du moment où il pourra jouir, ou pas.
J’envoie le lien à Alysée. Je précise qu’elle ne devra porter aucun dessous, éventuellement des bas autoportants de type collant ou en laine. Je lui laisse le choix. Elle me répond presque immédiatement, visiblement ravie. Ils disposent du samedi pour pouvoir acheter ce qu’il faut.
Le samedi se déroule longuement. Je pars faire un peu de sport. Je cogite et je tourne en rond. Je ressens une sorte de stress, un peu de celui que nous affecte avant un examen important. Le soir, je réalise un petit tour complet de ma personne, afin d’apparaitre le plus présentable possible. Pour me changer les idées, je regarde un film d’action, puis je me couche assez tôt. Contrairement aux nuits précédentes, je dors comme un bébé. Je me réveille vers 8 heures en m’étirant et en baillant comme un petit chat. Le temps de prendre le petit déjeuner, de me préparer, la matinée passe très rapidement. Je me retrouve sur le départ vers 10 heures 20 minutes, habillé, d’un jean blanc, d’une chemise noire et d’une veste grise. Je porte des chaussures noire. Je ne souhaite pas arriver en retard à ce premier rendez-vous.
*** L’invitation ***

Je me stationne devant une belle demeure de maître. Elle est bâtie en pierre et possède un toit en zinc gris. Elle se situe dans un quartier chic, excentré de la ville et bien arboré. La clôture est en pierres. Un grand portail en fer forgé donne accès à un petit chemin goudronné vers un autre bâtiment, certainement des garages. Non loin, se trouve un petit portillon. Il s’ouvre directement au jardin. Il permet de se diriger vers l’entrée de la bâtisse. La maison est entourée par plusieurs arbres bien taillés et visiblement très bien entretenus. Je décide de sonner. Je n’ai pas besoin d’attendre longtemps qu’une voix féminine me répond.
-Bonjour, Monsieur Merlin. Entrez par le petit portillon.
J’entends le clic. D’un pas décidé, j’entre dans la propriété. Cette petite boule au ventre vient à nouveau me tirailler. Cette sensation de se diriger vers l’inconnu demeure toujours pleine d’émotions. La porte d’entrée en bois massif est superbe. Pour y accéder, il faut monter un escalier en pierre, entouré par deux belles colonnes de marbre blanc et gris, ainsi que d’une rampe en fer forgé dorée. Pas le temps de toquer que la porte s’ouvre. Dès lors, je me retrouve face à Alysée, habillée exactement dans la tenue indiquée. Elle m’accueuille radieuse et splendide. Je remarque qu’elle porte des bas blanc opaques et assez épais. Elle est juste sublime ! Je lui fais la bise. Elle sent vraiment bon.
-Bonjour Alysée. Vous êtes resplendissante !
-Ohhh Merci Monsieur. Suivez-moi.
Nous entrons dans un large hall d’accueil. Alysée se dirige vers la première porte à gauche. Il s’agit d’un grand salon à plafond haut, agrémenté par diverses moulures en plâtre. Deux grandes porte-fenêtre en bois très lumineuses, comme il n’en existe plus dans les constructions modernes, se situent sur le mur gauche de la pièce. Elles permettent de se rendre sur une belle terrasse.Sur la droite, je remarque une table avec trois couverts. Des apéritifs et différentes préparations sont posés. Je ressens immédiatement l’envie d’y gouter. Au fond de la pièce, se trouve un grand canapé qui semble moelleux et deux fauteuils. Entre ceux-ci, une table en verre moderne. Je constate la présence d’une belle cheminée à foyer fermé, en fonctionnement. La pièce est chaude et accueillante. Je note la présence d’un grand miroir mural. La pièce secrète où Terence peut se rendre doit se trouver juste derrière.Par ailleurs, celui-ci est assis sur un des fauteuils. Très vite, il se lève, habillé dans la tenue que j’avais préconisée. Il se dirige vers moi, de bonne humeur et me tend une main chaude et ferme. Le contact passe bien immédiatement. Il se montre très bel homme. Je n’arrive pas à lui donner d’âge, dans la quarantaine, je dirais. Il se présente à moi, un sourire radieux et vraiment chaleureux.
-Bonjour Monsieur. Je suis Terence.
Ils m’apparaissent réellement contents de ma présence. Je me sens beaucoup mieux et somme toute à l’aise.
-Bonjour Terence. Enchanté.
Alysée nous regarde en souriant. Elle parait presque amusée en fait. Nous nous retournons tous les deux vers elle. Elle ajoute :
-Maintenant que les présentations sont faites, installons-nous autour de la table. J’ai faim, et je suppose que vous deux aussi.
Terence ne dit rien et semble attendre que je parle.
-Alysée, je m’en remets à vous. Où souhaitez-vous que je m’assoie.
-Juste à côté de moi. Terence restera en bout de table le temps du repas.

A peine a-t-il entendu son épouse qu’il se dirige directement vers la chaise indiquée. Je prends place à côté d’Alysée. La conversation se fait naturellement. Ce couple est d’une gentillesse et d’une bienveillance totale. Ils avouent qu’il s’agit d’une première pour eux, et demeurent ravis de ma présence. Je leur confirme qu’il en est de même pour moi. Je leur parle de moi, ma vie, mon métier et de ma relation avec Madison. Ils me racontent leur rencontre et comment leur couple a décidé d’évoluer vers une relation plus libertine et ouverte.
Je me permets parfois de caresser tendrement Alysée. Elle me caresse parfois timidement, parfois de manière plus osée. L’attirance semble totalement partagée.Nous abordons en définitive les sujets ayant trait au sexe. Terence me confirme les propos tenus par sa femme lors de notre première rencontre. A leur demande, je leur fournis les résultats des différents tests sanguins attestant de ma bonne santé. Ils font de même. Je leur précise que mettre un préservatif ne me pose aucun problème et que j’y vois même une totale marque de respect. Sachant que tout est ok, ils demeurent plus enclin à le faire sans.Nous parlons de nos désirs divers. Alysée fait part de son envie d’être regardée par son époux, de susciter une jalousie positive et intense. Je retiens que Terence semble tenté en plus par une expérience bisexuelle plutôt soumise. Nous convenons bien evidemment d’un mot d’arrêt à utiliser au besoin.
Au bout d’un moment, Alysée se met débout et me demande sans aucune retenue :
-Il devient urgent que je m’occupe de votre bite Monsieur ? Me permettez-vous ?
Sans répondre et sans faire ressortir de surprise, je vais me placer sur le canapé, les jambes légèrement écartées. Puis, je lui fais un petit signe d’approcher. Elle s’exécute lascivement.
-Très bien Alysée, je suppose que vous êtes une bonne suceuse. Montrez-moi ce que vous savez faire. Aimez-vous les mots obscènes ?
-Terence ne m’en dit jamais, je suis curieuse Monsieur. Je m’imagine bien en dire aussi.
-Bien. En plus d’être curieuse et ouverte, je vous souhaite pompeuse et très salope. Eclatez-vous !
-A vos ordres, Monsieur.
Terence regarde la scène. Fasciné. Ainsi, sa femme s’approche de moi. Elle se met à genoux. Puis, elle commence à me retirer les chaussures, le pantalon, lentement. Elle me fixe dans les yeux de manière coquine lorsqu’elle retire mon boxer. Ses mains caressent l’intérieur de mes cuisses. Elles remontent sur mon sexe en douceur, puis redescendent. Elle commence à lécher avec le bout de la langue ma verge qui durcit très vite. Elle la promène délicatement. Elle fait des succions un peu partout. Il demeure impossible de résister à une telle fellation. Je décide de la mettre à l’épreuve. Même si mon érection traduit déjà l’état dans lequel elle me met.
-C’est tout ce que vous savez faire ?
-Monsieur souhaite que je sois sa petite catin ?
-Oh oui, soyez ma douce petite pute.
Je jette un œil sur Terence et j’aperçois qu’il n’a pas un bon angle de vision. Je l’invite à venir prendre place sur un des fauteuils pour qu’il puisse se délecter réellement de nos ébats.Alysée entreprend alors une fellation exquise en jouant du regard. Elle passe du mien à celui de son époux. Je l’invite à retirer son caleçon. Il bande dur. Il saisit alors un anneau qu’il place à la base de sa verge. De voir cet homme excité m’émoustille davantage. Je caresse la tête de son épouse et je l’accompagne dans ses mouvements de succions intenses. Terence commence a se masturber. Je ne dis rien.
-Regardez Terence. Votre épouse se comporte comme une vraie petite salope ? Elle mérite une récompense n’est-ce pas ?
Il se tortille tout en continuant à se masturber. L’anneau maintient l’érection de sa verge devenue très rouge. Il empêche l’éjaculation.
-Oui, elle mérite une récompense.
-La récompense de se faire baiser devant son cocu ? Cela vous excite Terence, vous voulez que je la baise et que je la fasse crier ?
-Oh ouiiii Monsieur, j’ai envie. Faites de moi un bon cocu.
Il semble dans un état très intense d’excitation. Moi aussi d’ailleurs ! Alysée en joue. Elle me pompe goulûment. Il devient presque impossible de me retenir. Elle sent sans aucun doute ma verge palpiter dans sa bouche. Pour couronner le tout, elle accélère même les mouvements de va et viens.
-Alysée a son mot à dire. Elle décide après tout ! Méritez-vous de l’être ?
Elle ne répond pas. D’un seul coup, elle serre ses joues autour ma queue. Je ne peux résister... J’éjacule plusieurs fois en gémissant. Mon corps se raidit. Le plaisir s’avère très intense.
-Oh putain. Trop bon ! Alysée ouiiiiii ! Regardez bien petit cocu comme votre femme se révèle une suceuse née !
Je lui caresse tendrement la tête et les joues. Elle est trop belle. Quelques goutes de sperme coulent encore le long de son menton. Elle me sourit et va les récupérer avec ses doigts. D’initiative, elle se lève et s’approche de Terence pour les lui faire lécher. Il semble réellement apprécier. Elle l’embrasse ensuite en me fixant dans les yeux. J’ai à nouveau une érection. Terence fixe mon sexe. Découvrir le sexe à plusieurs m’excite réellement. Je me sens débridé. Sans attendre, j’ordonne à Terence :
-Venez préparer ma queue en bon cocu que vous êtes ! Venez me sucer Terence. Votre femme appréciera davantage de se faire prendre.
Alysée le prend par la main. Elle attrape sa tête et le fait s’approcher de ma queue. Il hésite un peu au début, limite il résiste. Il finit par me prendre en bouche. La fellation est au départ maladroite, demeurant une première pour lui comme pour moi. Pourtant, il s’améliore et je me sens durcir dans sa bouche chaude et entreprenante. Alysée le guide dans les mouvements. Elle semble très excitée. De temps en temps, elle caresse le sexe de son époux ou vient attraper mes testicules avec son autre main. Je finis par bander très dur. Alysée se lâche complètement.
-Il aime ça mon cocu de pomper mon amant ! Tu veux qu’il me prenne, regarde comme il est dur ! Ta bouche lui fait de l’effet sale cochon de mari !
-Oui ma chérie. je n’attend que cela de voir une autre queue te prendre. Je veux te voir jouir !
-Si c’est ce que veux, d’être très cocu, tu vas être servi ! Retourne t’assoir et regarde un vrai homme me prendre !
Elle tire sur ses cheveux pour qu’il s’arrête de me pomper. Il obéit immédiatement et retourne se positionner sur le fauteuil. Alysée se place sur moi et introduit directement mon sexe en elle. Elle pousse un cri et commence à bouger son bassin. Terence gémit en la regardant.
-Oh ma chérie. Tu me fais quoi là. Tu me fais cocu ma petite salope !
-Te voilà cocu mon amour ! Tu vas en redemander, j’en suis certaine !
Je baisse le haut de sa robe et je caresse ses seins. J’embrasse son cou. J’embrasse ses lèvres. Elle ferme les yeux et savoure ce moment très sensuel. Elle est délicieuse. Sa peau est chaude et douce. Ses fesses sont plutôt fermes et musclées. Ses bas m’excitent. Je lui retire sa robe pour admirer son corps magnifique. Je la laisse me chevaucher un moment. Puis, d’un seul coup, je la retourne pour me placer au-dessus d’elle. Elle écarte les jambes au maximum. Terence ne peut que constater mon sexe qui entre et ressort du vagin de son épouse. Cette dernière est trempée. Il appert dans le même état d’excitation qui moi. Je lui dis :
-Retirez votre anneau le cocu, vous avez le droit de jouir aussi.
-Oh merci Monsieur ! Je n’en peux plus !
Alysée me sollicite de la démonter, d’y aller plus fort. Je continue de la prendre avec vigueur. Je commence à lutter de me retenir. Je l’admire prendre du plaisir et je regarde Terence également, au bord de la jouissance. Elle souhaite que je la remplisse, pour faire cocu son mec, afin de le rendre très jaloux.Nous gémissons tous les trois ensemble. Je me libère en elle. Mon éjaculation dure plusieurs secondes. Le plaisir ressenti se présente ultime.Terence jouit très rapidement après moi et arrose son ventre. J’ordonne à Alysée de plaquer sa chatte sur la bouche de son époux, afin que celui-ci la nettoie. Il le fait sans geindre et il prend carrément du plaisir.
Ce premier moment à trois restera inoubliable.
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