Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 267 J'aime
  • 7 Commentaires

Candaulisme en duo

Chapitre 3

L'acceptation

Voyeur / Exhibition
Après ce début de semaine épuisant et riche en émotions, j’ai étonnamment réussi à reprendre mon rythme de travail normal vendredi. J’avais hâte d’être en week-end, bien sûr, mais j’ai tout de même réussi à me concentrer sur mes tâches comme à mon habitude.En rentrant, j’ai découvert que Léa avait tout préparé à l’avance pour m’emmener camper près d’un lac, à quelques dizaines de kilomètres de chez nous, en ajoutant que des amis devaient nous y rejoindre le lendemain. Une attention qui m’a particulièrement touché.
Le soir, elle m’a invité à un bain de minuit dans le lac, où elle s’est délestée intégralement de ses vêtements, joueuse. Je l’y ai rapidement rejointe, dans le plus simple appareil également. La température est rapidement montée entre nous malgré la fraîcheur de l’eau, et j’en ai profité pour titiller entre mes doigts ses tétons que le froid et l’excitation faisaient furieusement pointer.Toujours aussi légère, j’ai fini par la porter dans mes bras pour l’amener à la tente, où elle m’a passionnément fait l’amour à deux reprises. Pour la seconde, elle m’a demandé de la sodomiser, une pratique que nous pratiquons peu mais apprécions beaucoup une fois de temps en temps.
Nos amis nous ont rejoints le lendemain pour le repas de midi, et sont restés jusqu’au jour suivant, dimanche après-midi, où nous sommes tous repartis. J’admets m’être laissé aller à un instant de paranoïa: si ma fiancée me trompait avec un homme, pouvait-elle le faire aussi avec un autre, un de nos amis présents peut-être? Mais à chaque fois que je l’observais, elle n’avait d’yeux que pour moi. Elle me regardait comme aux premiers jours de notre amour. Mes inquiétudes se sont dissipées comme elles sont venues.
Ce week-end était parfait. Je ne voulais pas qu’il s’achève, alors sur la route je lui ai proposé un détour vers un restaurant que j’avais trouvé près du lac. Nous y avons passé une excellente soirée et sommes rentrés tard, pour nous coucher immédiatement après une bonne douche à deux, épuisés mais heureux, dans les bras l’un de l’autre.
Mon amour était très excitée ce lundi matin. Peut-être en anticipation de ce qui l’attendait ce soir… Elle m’a retenu au lit quand le réveil a sonné, m’embrassant passionnément avant de disparaître sous les draps. Mon sexe s’est tendu presque instantanément quand elle l’a pris en bouche, et elle a usé de tout son art pour me faire jouir le plus vite possible, ce que, je dois l’admettre, elle a bien réussi à faire. En effet, seulement quelques petites minutes plus tard, ses lèvres bien serrées autour de mon membre, elle avalait une par une les giclées de sperme que j’envoyais au fond de sa bouche.— Mmh, merci mon amour! a-t-elle feulé en se léchant les lèvres avant de m’embrasser.— Merci à toi mon cœur! Quel agréable réveil…

La matinée s’est déroulée, midi est arrivé et, attablés à notre restaurant habituel, je raconte dans les grandes lignes notre week-end à Caroline. Elle a également passé un excellent week-end: Pascal l’a emmenée au théâtre, un plaisir trop rare qu’elle adore. Elle a aussi, comme moi, eu droit à un bon restaurant ainsi qu’à une belle nuit d’amour.
— Tu y comprends quelque chose, toi? me demande-t-elle en conclusion.— Je n’ai aucune certitude, mais des idées… Peut-être fausses, je n’en sais rien. Je pense aux… difficultés, que vous pouviez avoir, ton mari et toi, et que Léa n’a pas du tout avec lui. Je pense à cette… cette “facette” de Léa que je vois quand ils sont ensemble, que je n’avais jamais vue avant, aux choses qu’il lui fait et que je ne serais pas vraiment capable de lui faire. J’ai l’impression qu’ils recherchent une certaine forme de plaisir ensemble, qu’ils ne peuvent pas avoir avec nous. Mais ils nous aiment toujours, et comme désormais ils ont trouvé le moyen d’avoir cette forme de plaisir ensemble, ils sont plus épanouis, ils apprécient encore plus leur temps et leur plaisir avec nous…
Je me sens un peu brouillon dans ma théorie, mais elle semble comprendre.
— Je n’avais pas vraiment pensé à ça, mais… ça fait sens, je crois.— Je crois aussi. Par contre, pour le reste, je n’ai pas d’idée.— Le reste? Tu veux dire… nous deux?
— Oh non. De mon côté en tout cas, c’est assez évident: je vis cette situation avec toi, je t’apprécie beaucoup, et tu es très belle… et très douée.
Elle rougit légèrement.
— Merci… Je dois dire que tu n’es pas mal non plus!— Merci! je rougis à mon tour. Non, je parle du fait qu’on aime regarder. C’est bizarre, non?— J’y ai pensé. Je pense que, même s’il y a de la jalousie, on aime les voir prendre du plaisir, tout simplement.
Je réfléchis un instant à cette idée. C’est vrai qu’à chaque fois que je vois mon amour subir les assauts de son amant, je la trouve à chaque fois terriblement belle, et bandante… Quelque part, je dois simplement aimer la voir jouir.
— C’est vrai… Mais je devrais me sentir plus jaloux que ça quand même! Surtout vu comme il est gaulé…— Franchement, ne le sois pas. Je te l’ai dit, c’est trop gros pour moi, souvent ça me fait mal… Et d’après ce qu’il m’avait dit à l’époque, c’était le cas de ses ex aussi. Ça n’a jamais été facile pour lui de ce point de vue-là, et… Mince…— Quoi?— Je crois que tu as raison sur eux. C’est étrange à dire mais… je suis content qu’il ait trouvé Léa. C’est mon chéri, l’amour de ma vie, et j’étais frustrée de ne pas pouvoir lui apporter cette seule chose qui lui manquait. Mais grâce à elle, maintenant, il peut l’avoir, alors…
Cette phrase reste en suspens, et fait écho en moi. Je repense à la baisse de libido que nous avons eu, Léa et moi, il y a quelques temps, et au renouveau actuel de notre vie sexuelle.Ce n’est pas encore naturel, mais nous sommes en train de nous y habituer, de trouver notre compte dans cette étrange situation.
— Alors, on continue comme ça?— Si tu veux bien, moi aussi…— C’est bizarre à dire mais… oui, j’en ai envie!— 20h45 ce soir chez moi?— Oui madame! Et je vais résilier mon abonnement à la salle…— Ne t’inquiète pas, je me charge de te faire faire du sport! s’amuse-t-elle.

"La voie est libre! Tu peux rentrer directement.", dit le SMS de ma maîtresse alors que je suis en train d’arriver. Cette dernière précision m’intrigue, mais je m’exécute.— Monte! l’entends-je m’appeler depuis l’étage. Curieux de ce changement d’habitude, c’est avec étonnement que je la trouve dans la chambre conjugale, debout près du lit.— J’ai pensé qu’on pouvait… s’installer plus confortablement. J’espère que ce n’est pas trop…Rougissante, elle pointe le mur opposé, où je découvre une belle grande télé murale. Elle y a branché le PC et déjà tout connecté, j’y découvre en grand l’image de ma propre chambre conjugale, vide pour le moment. Elle-même s’est superbement apprêtée: fraîchement sortie de chez le coiffeur, elle s’est vêtue d’une splendide robe du même rouge que ses lèvres. Mon regard se perd plusieurs secondes sur elle et je peine un instant à reprendre mes esprits.
J’adore ce qu’elle a préparé. Je suis déjà excité de voir ce que ma petite caméra va nous montrer dans ces conditions, mais encore plus d’avoir les faveurs de la magnifique femme qui me fait face, dans le confort d’un lit.Pris d’un élan de désir brut, je la rejoins d’un pas et l’embrasse directement sur la bouche. Nos langues se mêlent pendant de longues secondes.— C’est parfait! lui chuchoté-je en rompant notre baiser.
Elle rougit et soupire déjà de désir, et je ne dois pas être mieux. Je louche sur le sublime décolleté qu’elle a trouvé pour mettre sa poitrine en valeur, et je meurs d’envie de disparaître sous sa robe pour me nourrir de son sexe.
Espiègle, elle soulève justement cette robe, rien qu’une seconde. Juste assez longtemps pour me faire savoir qu’elle ne porte rien en dessous.
— Excusez-moi belle dame, je n’ai pas eu le temps de voir, pouvez-vous recommencer s’il vous plaît?
Elle rit élégamment et se prend au jeu.
— Vous d’abord, jeune homme! Ignorez-vous donc tout des usages de la galanterie?— Mille excuses! Comment puis-je vous être agréable?— Et bien, dévoilez-vous à mes yeux, que je vous admire!
Je m’exécute, débarrassant lentement mon torse de la chemise qui l’habille, et que j’ai enfilée spécifiquement avant de venir pour cette soirée. J’en détache un bouton à la fois en prenant mon temps, sous les yeux de la gironde brune qui n’en perd pas une miette.
— Mmh… Et le bas! fait-elle en se mordillant les lèvres.
Je fais glisser lentement, très lentement, mon pantalon vers le bas, lui laissant le temps d’apercevoir que je suis nu dessous avant de révéler ce qu’il habille.
— Ohh, les grands esprits se rencontrent…
Je suis déjà dur, mon sexe jaillit quand le pantalon descend suffisamment et tombe à mes pieds.
— C’est moi qui te fait cet effet? — Qui d’autre? Alors, je peux voir, maintenant?
Pour toute réponse, elle soulève plus longuement sa robe, me révélant ce que j’avais seulement aperçu: sa jolie vulve, nue, que je crois deviner déjà luisante de désir, au pubis velu qu’elle a apparemment entretenu récemment.
— Woaw… Ça donne envie.— Profites-en, c’est tout à toi ce soir.— Et le reste?— Viens le chercher! fait-elle en se retournant, m’invitant à délier les lacets de la robe dans son dos.
Je prends le temps de la débarrasser de cette entrave, admirant sa peau se dévoiler sous mes yeux, frôlant son dos de mes doigts, puis fais glisser le tissu délicatement sur ses épaules que j’embrasse avec douceur. Mes mains déshabillent lentement, très lentement ses seins, et je m’accorde pendant un bref instant la faiblesse de les caresser au passage. Ma maîtresse soupire déjà de plaisir. Puis elle se redresse pour me permettre de la débarrasser de cet encombrant mais unique habit. Je laisse tomber la robe au sol, n’ayant d’yeux que pour la sublime nudité de cette femme, que je peux enfin admirer à l’envi.
— Je te plais?— Tu es magnifique…— Viens là… m’invite-t-elle, les bras écartés pour m’accueillir entre eux.
Je m’installe contre elle et nous nous embrassons. Ma main glisse vers son sein, qu’elle ne parvient pas à tenir entièrement tant il est volumineux. Je le caresse longuement, il est très doux, très agréable sous ma main. Son téton rose pointe beaucoup, je me plais à le faire rouler entre mes doigts. Elle y semble très sensible, ce qui n’est vraiment pas pour me déplaire.Ma bouche se joint à l’effort, s’attaque à l’autre sein, l’embrasse, le goûte, lèche le mamelon, aspire le téton. Elle me laisse faire pendant plusieurs minutes, et m’encourage par murmures.
— J’ai déjà envie de toi, bébé… soupire-t-elle finalement. Tu veux bien…?— Oui ma beauté, j’ai envie de toi aussi…
Elle me fait m’allonger, vient s’installer sur moi, face à moi et à l’écran, sur lequel toujours rien ne se passe. Elle s’empare de mon sexe qu’elle sait si bien faire réagir, y fait quelques délicieux allers-retours avec sa main si douée, avant de le pointer entre ses cuisses et de faire descendre lentement son corps sur lui. Je gémis longuement du délice de cette lente pénétration, de m’insérer dans cette étroite chatte trempée. Elle soupire également son plaisir en regardant ma queue disparaître en elle, centimètre par centimètre.
— Mmh, c’est si bon… j’adore te sentir en moi…— J’adore aussi… oooh, oui, vas-y, bouge comme ça!
Elle commence à onduler au-dessus de moi. Je suis fasciné par la vue de ses seins si ronds rebondissant sous l’effet de ses mouvements. Parfois elle se penche un peu sur moi pour prendre appui, et j’en profite pour gober un de ses tétons, le mordiller doucement et lui arracher un gémissement.Après cinq minutes, je sens déjà approcher l’orgasme, mais ne veux surtout pas laisser ma partenaire en reste. Je glisse alors une main entre nous pour masser son clitoris avec mon pouce.
— Ahh, non, bébé, arrête, si tu fais ça je vais jouir…— Vas-y ma belle, c’est ce que je veux, vas-y! je l’encourage en appuyant au contraire ma caresse.
Quelques secondes de plus suffisent en effet à ce qu’elle s’immobilise sur moi, foudroyée par un premier orgasme qui lui coupe un instant le souffle. Les yeux rivés sur elle, je ne perds pas une seconde de ce spectacle divin.
Elle s’effondre sur moi et m’embrasse à pleine bouche.
— C’est si bon avec toi… mais, tu n’as pas joui?— Pas encore, mais rien ne presse!— Oh si! Laisse-moi faire…
Elle se relève, se place à genoux entre mes jambes, où ses merveilleuses mains s’emparent de mon sexe trempé de sa mouille. L’une le masturbe avec le talent que je lui connais, l’autre manipule mes bourses avec assurance et délicatesse. Elle est décidément incroyable à ça… Nous nous regardons dans les yeux pendant qu’elle me branle, attentive à mes réactions. Et des réactions, elle m’en cause! Elle a l’intention assumée de me faire venir rapidement, et sait très bien comment y parvenir… je ne tiens pas une minute de plus avant d’éjaculer dans un cri de plaisir, sous son regard satisfait.
Attentionnée, elle nettoie rapidement le sperme qui s’est déversé sur mon ventre. Puis nous nous allongeons l’un contre l’autre, sous les draps.
— Ils en mettent du temps ce soir… Ah!
Comme s’ils avaient attendu qu’on les réclame, nos conjoints font enfin leur entrée dans la chambre et sous l’œil de la caméra. Plus exactement, Léa, seulement vêtue de sa culotte, est agrippée au torse nu de son amant qui la porte comme si elle ne pesait rien, ses fesses dans les mains. Ils ne rompent leur torride baiser que quand il la dépose sur le bord du lit, où elle s’assoit pendant qu’il défait sa ceinture. La queue massive du quadragénaire sort comme un diable de sa boîte, devant le visage de ma fiancée qui l’embouche immédiatement.
— Mmh… Enfin! J’en avais trop envie…— Ça t’a pas suffi de l’avoir pendant la pause?
Nous nous regardons un instant, surpris. Ils baisent aussi au boulot, les obsédés!
— Oh non! Je veux de la bite aujourd’hui, j’en ai trop envie. Je veux avaler du foutre à n’en plus pouvoir, j’ai eu celui de mon amoureux ce matin, et maintenant je veux le tien!
— Tiens donc! Tu m’avais caché que je n’étais pas la première de la journée! prétend s’offusquer ma maîtresse.— T’inquiète pas, j’ai encore largement de quoi te satisfaire ma belle! lui rétorqué-je tout en m’emparant de son clitoris entre mes doigts, lui soutirant un gémissement de plaisir.
Sans plus de tergiversations, Pascal prend ma Léa par les cheveux d’une main et pénètre avec force sa petite bouche. Il reste fiché quelques secondes au fond de sa gorge pour affirmer son autorité, clamer sa propriété sur cette bouche accueillante, avant de se retirer. Il y replonge ainsi plusieurs fois, sous les gémissements approbateurs de sa maîtresse.
— Oui comme ça, vas-y! Mmph! Oui! Mrgl… Oh putain c’est bon, je veux vos bites mes chéris!— Et ton fiancé aussi il te baise ta petite bouche comme ça?— Non, ça y’a que toi qui peut me baiser comme ça! Continue, vas-y plus fort!
Mon amour est particulièrement chaude et vulgaire aujourd’hui. Cela m’excite tellement que je suis déjà à nouveau raide comme un piquet. Ma main entre les cuisses de Caro est dégoulinante de cyprine, j’en déduis qu’elle est aussi excitée que moi.
— Qu’est-ce qu’elle me donne chaud ta chérie ce soir! Elle en veut… Moi aussi ça me donne envie…— Envie de? je l’interroge, jouant avec son habituelle réserve.— De ça…— De quoi?— De te sucer, voilà, tu es content? réplique-t-elle, faussement agacée.
Je soulève le drap pour offrir à sa vue mon sexe dressé.
— Tu peux si tu veux…— Dis-moi de le faire…
Je suis un instant surpris. Décidément, Léa nous inspire aujourd’hui…
— Suce-moi ma belle… Suce-moi pendant que ma fiancée suce ton mari…
Langoureusement, elle me prend en bouche. Elle n’a même pas besoin de me demander de ne pas faire comme eux, nous savons tous deux que nous n’avons pas envie de ça, c’est leur truc. À la place, elle me suce avec une extrême douceur, la tête de côté pour pouvoir continuer à regarder l’écran. Je lui caresse la tête de temps en temps. Elle fait durer, j’en profite longuement.
Pascal, lui, a lâché la chevelure rousse de sa jeune amante, mais cela ne l’empêche pas de se baiser la bouche elle-même. Quand elle a besoin de reprendre sa respiration, elle cesse ses mouvements de tête, garde seulement le gros gland entre ses lèvres, et branle furieusement l’énorme membre, que ses deux petites mains suffisent à peine à enserrer complètement. Comme toujours, son amant est endurant, et ce n’est qu’après un bon quart d’heure qu’il finit enfin par montrer des signes de faiblesse.
— Ça vient… Ohhh, ça vient ma puce!— Oui! s’interrompt sa partenaire d’adultère. Jouis dans ma bouche, chéri, force-moi à avaler tout ton foutre, donne-le moi!— Oui, tiens! Avale, petite cochonne, avale tout mon jus!
Tout en gémissant des obscénités, il s’empare à nouveau de la chevelure rousse de ma fiancée et tire dessus pour la forcer à le prendre le plus loin possible. Dans un râle, il jouit enfin. Sur le grand écran, nous distinguons chaque contraction de sa queue déversant avec force sa semence au fond de la gorge de mon amour. À chaque fois, nous la voyons distinctement déglutir la nouvelle giclée de sperme.
Elle garde longuement l’objet en bouche, même une fois la jouissance de l’homme arrivée à son terme. On devine sa langue nettoyer soigneusement le gland rétrécissant entre ses lèvres. Elle semble réticente à relâcher l’objet: décidément, elle a une envie de bite insatiable aujourd’hui!
Ils s’allongent côte à côte un long moment après cela, délicatement enlacés. Caroline a interrompu sa fellation et vient faire de même. J’en profite pour m’emparer d’un de ses seins, dont je ne me lasse pas.
— C’est tellement bon avec toi ma puce… chuchote le grand blond à ma petite rouquine. Je voudrais pouvoir faire ça tout le temps…— Moi aussi, chéri! J’aime avoir quelqu’un pour me faire ça, j’aimerais que ça dure toujours.
Ici, j’ai pris l’épouse de Pascal dans mes bras et l’embrasse langoureusement. Elle répond très positivement à ce baiser, elle s’échauffe à nouveau.
— Fais-moi encore l’amour…
Je n’ai qu’une envie, lui obéir. M’insérer en elle, onduler sur ce corps voluptueux, lui arracher des soupirs de plaisir, me déverser en elle… Mais alors que je me prépare à m’installer sur elle…
— Merde, c’est déjà cette heure-là? s’écrie Léa.
Nous regardons immédiatement l’heure tous les deux. Elle a raison, le temps est passé terriblement vite, je suis sensé rentrer dans une demi-heure. Merde!
— C’était trop court… soupire Pascal, déçu, en sortant de la chambre.
Je peux lire dans le regard de ma partenaire qu’elle est d’accord avec son mari… et moi aussi.Je suis en train de me résigner quand une idée salvatrice me vient. Je m’empare en hâte de mon téléphone et rédige un message à toute vitesse. Caro le lit à côté de moi et approuve visiblement.
Le message part. Le téléphone de Léa s’allume sur sa table de nuit… Oui! Elle l’a vu.
— Chéri! s’écrie-t-elle soudain, ragaillardie. Reviens!
Nous le voyons réapparaître à l’entrée de la chambre, l’air interrogateur.
— Il vient de m’envoyer un message, il est parti boire des coups avec des potes… On a deux bonnes heures devant nous!
Il lui saute dans les bras pour l’embrasser. De mon côté, j’ai également droit à un baiser et à un murmure prometteur de ma maîtresse:— Bien joué! Je trouverai un moyen de te récompenser pour ça…
Rallongés l’un contre l’autre, le grand blond est redevenu dur, ce que n’a pas manqué de remarquer ma compagne, que ses envies n’ont pas quittée. Ni une ni deux, la voilà de nouveau avec son membre en bouche…
— J’ai envie de ta petite chatte, ma puce…
Elle prend soudain un ton embarrassé.
— Désolé chéri, je peux pas aujourd’hui… C’est la mauvaise période du mois, c’est trop sensible…
Mince… Je ne l’avais pas vu, ça a dû commencer aujourd’hui.
— Oh, désolé… Pas grave, ta petite bouche d’ange me convient très bien!— Ou alors… tu pourrais…
Elle marque une pause.
— Tu pourrais m’enculer…
Sa bite devient droite comme un i à cette proposition. L’occasion pour elle, et pour nous, de se rappeler la taille de l’engin qu’elle se propose d’accueillir dans son fondement…
— T’es sûre? Je veux pas te faire mal…— Je suis sûre! dit-elle d’une voix assurée en le branlant doucement. Je veux t’accueillir partout, y compris dans mon cul!
Heureusement, nous avons une bouteille de lubrifiant à disposition, elle s’en empare et la lui tend.
— Je te fais confiance, viens!
Il reste hésitant, mais lui fait confiance à son tour. Il s’empare donc de la bouteille et commence à lubrifier généreusement le petit trou de la jeunette et son immense queue. Il se rassure un peu en constatant que son pouce rentre sans difficulté. Après tout, elle a tout de même l’habitude de pratiquer la chose avec moi.
— Ohh ouiiii, soupire-t-elle à peine le gland posé sur l’œillet. Vas-y chéri, n’aie pas peur. Tout mon corps est fait pour t’accueillir. Même mon cul…
Il commence alors à pousser doucement. L’anus doit s’écarter largement pour laisser passer le gland massif. Le grand blond est très attentionné, il s’insère lentement dans ma fiancée, qui souffle doucement pour s’habituer. Caro et moi ne quittons pas la scène des yeux.
Encore une fois, nous avions sous-estimé les capacités de Léa. Il ne faut que quelques instants à l’immense mandrin pour pénétrer entièrement entre les fesses de ma compagne, qui semble déjà gémir de bonheur.Elle encourage rapidement son amant à commencer ses mouvements en elle, ce qu’il fait. Très vite, elle se met à gémir d’une voix aiguë.
— Mmh! Ooh! Ouiii! Tu aimes?— C’est génial ma puce! C’est tellement serré… comment tu fais?— Je suis faite pour ta queue mon chéri! Tu peux me prendre comme tu veux, je pourrais toujours t’accueillir, je suis faite pour toi!— Ohh je t’adore. C’est trop bon, putain! Ça va toi?— Oui j’adore, t’es tellement gros, tellement bon! Vas-y chéri, baise-moi bien le cul maintenant!
Le bassin de l’homme claque fortement sur les fesses écartées de la femme quand il s’insère d’un coup au fond. Elle accueille ce mouvement avec un cri. Puis un autre. Puis un autre. À nouveau, elle s’habitue vite au sexe qui la baise, et il finit par la sodomiser à un rythme soutenu, dans un concert de cris quasi hystériques.
— Aaahh! Ouiiii! Ohhh ouiii! Oh putain ta grosse queue m’encule toute entière et j’aime çaaaa! T’es si bon chéri, oui! Oui! Tu peux me prendre quand tu veux, comme tu veux, je suis à toi! Ma chatte est à toi, mon cul est à toi! Encore! Encore! — Mmh! Bordel t’es tellement bonne ma puce, tellement incroyable! Ohh! Je voudrais te prendre tous les jours, tout le temps! Mmh, ohh, c’est si serré, je vais déjà venir, c’est dingue, je vais jouir, ma puce!— Oui, vas-y, remplis-moi le cul de ton foutre chaud, vas-y!
Dans un ultime claquement, il plaque soudain étroitement son bassin contre les petites fesses qui l’accueillent, enfonçant la totalité de sa longueur dans les entrailles de mon amour, et s’y immobilise. Elle semble sentir les éjaculations se répandre en elle, le grand pieu de chair secoué de spasmes entre ses fesses, et cela lui déclenche un orgasme pareil à nul autre. Elle laisse échapper des couinements sonores à chaque secousse, des larmes coulent sur ses joues.
À bout de forces, ils s’effondrent sur le côté, serrés l’un dans le dos de l’autre. Le membre de Pascal réduit doucement et finit par être expulsé naturellement du petit trou dilaté de Léa. Quand il approche son visage pour l’embrasser, il sent les larmes sur ses joues et panique.
— Oh non, je t’ai fait mal?Elle le rassure immédiatement, visiblement encore éprouvée mais comblée.— Pas du tout mon chéri. C’était… indescriptible. Quand tu es venu… j’ai joui plus fort que jamais, c’était fou. Les larmes sont sorties toutes seules… j’ai jamais ressenti ça…— Alors, tout va bien? — Oui, tout va bien, mieux que bien, même! Ffouh, je vais mettre du temps à m’en remettre…
Toute la brutalité et la vulgarité dont ils faisaient preuve pendant le sexe ont désormais disparu, remplacées par une immense tendresse. Il la câline, la caresse avec une infinie douceur, l’enserre délicatement dans ses grands bras pour qu’elle s’y repose.Elle semble même s’endormir à un moment. Il en profite pour s’éclipser quelques minutes. Quand il revient, il la réveille en lui caressant le visage.— Viens ma puce, je t’ai fait couler un bain. Je vais bien m’occuper de toi!Elle le regarde avec reconnaissance et beaucoup d’affection., et hoche la tête faiblement. Il la soulève alors du lit dans ses grands bras puissants et l’emmène hors de notre vue.
— Woah… souffle Caro. C’était… intense.— Tu l’as dit!— Je n’en reviens toujours pas de sa capacité à l’accueillir comme ça… Je n’ose même pas imaginer prendre simplement son bout par derrière…— Elle doit avoir raison, elle est faite pour l’accueillir… je lâche, avec un brin d’amertume.Ma gironde compagne semble le remarquer et se penche vers moi.— Mais tu sais qui est faite pour t’accueillir? chuchote-t-elle en me regardant dans les yeux.
Je la regarde et me rappelle son infinie beauté, la volupté de son corps… et la douceur de sa chatte. Je reprends instantanément de la vigueur, et m’empare de ses lèvres comme un affamé.
— Je te veux, Caro, tu es si belle, si désirable, j’ai tellement envie de toi! je soupire entre plusieurs baisers brûlants de désir.— Prends-moi alors, je suis toute à toi, viens!
Je rentre immédiatement en elle, en un seul, simple mouvement qui me semble aussi naturel que respirer. Nous lâchons ensemble un long gémissement, tout au délice d’être à nouveau unis ainsi. Mon sexe se fond dans le sien, ma bouche et la sienne se confondent, nos mains s’étreignent.
C’est ma troisième fois de la journée, alors je lui fais l’amour de longues minutes sans venir trop vite. Je la sais sensible et m’en inquiète, mais elle me rassure entre deux soupirs:
— Oh non ne t’inquiète pas bébé, continue! Nous sommes faits pour nous emboîter toi et moi… Mmh! Ça ne fait pas mal du tout, c’est juste… si bon…
Et pour confirmer ses dires, elle verrouille ses jambes autour de moi pour m’empêcher de sortir d’elle. Ainsi encouragé, je la prends avec une intensité renouvelée, l’amène à haleter de plaisir. Étroitement serrée dans mes bras, je sens son corps tendre et doux contre le mien, ses gros seins remuer sous mes assauts. Je m’empare de ses mamelons, tantôt avec les doigts, tantôt avec les lèvres, et je les masse, les pince, les aspire. Quelques minutes de ce traitement suffisent à l’amener aux portes de l’orgasme.
— Oui, oui, oui… Ça y est presque, bébé, ça vient… Encore… Mmh oui, ça vient, ça vieeeent!
Elle me bloque au fond d’elle à ce moment, m’empêchant totalement de sortir ou même de bouger, alors qu’elle se fige dans mes bras, incapable d’émettre un son pendant quelques secondes.
Une fois ses esprits récupérés, elle me repousse doucement, et je sors d’elle docilement, comprenant qu’elle est trop sensible pour continuer à m’accueillir pour le moment. Elle me couve un instant, me couvre de baisers et de caresses. Puis, elle remarque mon sexe toujours dressé.
— Lève-toi, mon beau… me demande-t-elle doucement.Intrigué, j’obéis et me met debout devant elle, entièrement nu, la queue tendue pointant toujours fièrement vers elle.
— Je t’avais promis une récompense…
En guise de récompense, je la regarde se saisir de ses deux gros seins entre ses mains et les presser autour de mon sexe dressé, encore très lubrifié par sa mouille. La sensation est divine. Elle parvient à leur imprimer un mouvement de va-et-vient qui me masturbe délicieusement pendant quelques minutes, et le plaisir que je ressens est incomparable. Elle ajoute sa bouche sur mon gland au bout d’un moment pour m’aider à venir plus vite, une technique qui porte rapidement ses fruits.
— Ohh, qu’est-ce que c’est bon! Je vais bientôt venir, ma belle…— Tu aimes? Tu aimes mes seins?— Ils sont parfaits, je les adore…— Tu veux jouir dessus? Vas-y bébé, jouis sur mes seins, ils sont pour toi, vas-y!
Je rêvais d’avoir le droit de faire cela. Il suffit donc qu’elle me branle quelques secondes de plus en direction de sa sublime poitrine nue pour que ce qui me reste de sperme s’y déverse en quelques petites giclées. J’observe longuement cette vision magnifique et puissamment érotique pour l’imprimer dans ma mémoire.
Quand je suis enfin vidé pour de bon, elle se relève et m’embrasse, et j’accueille avec délice son baiser.— Ça t’a plu? — J’en rêvais, et c’est encore mieux… Tu es magnifique… Viens, je vais te nettoyer un peu, lui dis-je en l’emmenant vers la salle de bain.
Nous prenons une douche ensemble pendant un petit quart d’heure. Comme promis, je m’occupe d’elle, je la lave soigneusement. Je reste sage jusqu’au bout, du moins jusqu’à la sortie de la douche, au moment où je vais chercher une serviette pour la sécher. Je la vois m’attendre, nue, et je la trouve si belle que mon envie s’éveille à nouveau. Je la fais alors s’asseoir sur le bord de la baignoire et me mets à genoux devant elle. Elle devine rapidement mon intention et accepte en écartant les jambes. Sa vulve s’ouvre en même temps, prête à accueillir mes caresses. Je l’embrasse tendrement, longuement, enfouis mon nez dans cette pilosité fournie que j’aime tant. Mes lèvres caressent et embrassent, aspirent et sucent, ma langue lèche et pénètre, goûte allègrement ses fluides de longues minutes durant, jusqu’à arracher un dernier orgasme à ma compagne.
J’embrasse doucement ses cuisses, son ventre, pendant les quelques secondes qu’elle met à se remettre.
— Mmh, c’est si bon quand tu me fais ça… Merci… Viens m’embrasser, maintenant…
J’obéis avec plaisir, la prends dans mes bras et l’embrasse tendrement.Nous terminons de nous sécher puis retournons au lit. Nous trouvons sur l’écran Pascal en train de déposer Léa, toute propre, toujours épuisée apparemment, délicatement sur le lit.
Une légère inquiétude me prend. Caroline la remarque rapidement et m’interroge.
— Ça ne va pas? Quelque chose t’a dérangé?— Pas dérangé… Un peu perturbé, peut-être. C’est Léa… cette soirée qu’elle a passée, ce plaisir fou que ton mari lui a donné… je ne l’ai jamais vue comme ça, aussi comblée. Je crois que je pourrai jamais la combler comme ça… Ça m’inquiète. Et si elle se lassait de moi?
Elle met quelques secondes à me répondre, sincèrement préoccupée par mon trouble.
— Je ne peux pas te répondre à sa place, je ne suis pas elle. La seule chose que je peux te dire, c’est que moi je n’ai jamais autant aimé le sexe qu’avec toi, tu m’as déjà fait des choses merveilleuses et j’ai déjà envie d’être jeudi prochain pour y avoir droit à nouveau. Mais cela ne m’empêche pas d’aimer mon mari de tout mon cœur, ni d’aimer qu’il me fasse l’amour. Rien ne pourra le remplacer dans mon cœur, même si un autre homme m’apporte plus de plaisir… Et je ne peux pas te l’affirmer avec une certitude absolue, mais je pense que Léa ressent les choses de la même manière. Fais-lui confiance!
Ses paroles me font du bien, me réchauffent le cœur. Mes inquiétudes sont encore là, mais je me sens capable de passer outre.
— Merci. Vraiment.— Ne me remercie pas, tu m’as bien aidé toi aussi.
Nous nous embrassons.Sur l’écran, Pascal se prépare à partir, signe qu’il est également temps pour moi de m’éclipser.
— Jeudi prochain, alors? je lui demande avec un sourire en coin.— Si tu veux bien, bien sûr…— J’ai hâte!

Léa dort à poings fermés quand je rentre. Je dépose un baiser sur son front avant de me préparer à aller me coucher.Quand je m’allonge près d’elle, elle me prend étroitement dans ses bras.— Tu as passé une bonne soirée? grommelle-t-elle dans un demi-sommeil.— Oui, très. Et toi?— Super. Mais tu m’as manqué.— Tu m’as manqué aussi mon amour.— Je t’aime, murmure-t-elle en se rendormant dans mes bras.— Je t’aime.
Nous avons passé une soirée parfaite tous les deux. Nous nous aimons plus que jamais. Tout va bien.
Diffuse en direct !
Regarder son live