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Candaulisme surprise

Chapitre 2

SM / Fétichisme
Dans la queue pour aller à la cantine j’entends une voix m’interpeler. C’est Pauline qui semble profiter de ma présence pour remonter la file. — Dit donc toi. Tu t’es enfui l’autre soir. Quand je suis sortie de la douche tu n’étais plus là. Me dit-elle, suffisamment bas pour que les collègues autour n’entendent pas.— Je suis désolé, le taxi est arrivé et je ne voulais pas le faire attendre.Elle soupire en souriant puis reprend. — Ce soir tu es disponible ?Je n’ai même pas le temps de répondre qu’elle me coupe : — Viens chez moi. 19H30, ce sera ouvert tu n’auras qu’à entrer.Durant tout le repas nous ne mangeons pas à la même table mais je ne peux m’empêcher de lancer des regards en sa direction, qu’elle remarque évidemment. Lors de notre dernière soirée j’ai vraiment eu la sensation de rencontrer quelqu’un d’autre que la Pauline rencontrée au travail. Aujourd’hui je scrute les moindres détails qui auraient pu me mettre la puce à l’oreille les détails qui auraient pu la trahir. Mais la Pauline rencontrée le soir ne semble pas déborder sur la Pauline du jour. Je crois que j’ai très envie de la revoir, cette Pauline du soir. 19H30, j’entre chez Pauline. Son conjoint ne semble pas être là. — Je t’attends dans la chambre ! Me crie Pauline.Je m’avance, pousse la porte et découvre Pauline allongée sur le lit. Totalement nue elle porte simplement autour du cou un collier fait de cuir et de chaînettes se terminant par deux lanières. Je me déshabille et la rejoins sur le lit. — Attrape les lanières. Me dit-elle.Quand je tire sur celles-ci, le collier se resserre sur le coup de Pauline. Cela semble lui plaire puisqu’elle se met à se masturber. Je me mets alors à alterner les phases de serrages avec des intervalles de respiration. Après une phase d’apnée un peu plus longue que les autres je me précipite pour desserrer le collier par peur d’y avoir été un peu trop fort cette fois-ci. Mais Pauline me reprend : — Encore ! Dit-elle d’une voix rendue rauque par les serrages successifs. Je serre alors un peu plus longtemps… Puis, ne semblant toujours pas faire souffrir ma partenaire je décide de serrer plus fort. Ses yeux commencent à s’humidifier et sa main s’agite sur son clitoris. Alors je reprends de plus belle. Surpris par ce plaisir sadique, je suis d’humeur à expérimenter. Son coup est cette fois réduit au tiers de son diamètre habituel. Ses yeux coulent, entraînant avec eux le maquillage noir. Soudain, je conjoint de Pauline fait irruption dans la pièce. Après un cri de surprise je vois sur ses lèvres se dessiner un silencieux « désolé » puis il quitte la pièce. Pauline, les voies respiratoires obstruées se contente de lever les yeux au ciel.Enivré par la situation je me laisse prendre au jeu et inflige une gifle à ma partenaire. Un sourire d’approbation s’affiche alors sur son visage. Je n’ai pas lâché les lanières pour autant. Les artères de son cou sont maintenant saillantes et ses yeux injectés de sang. Quand, par souci de survie, je relâche soudainement la pression, Pauline tente immédiatement de reprendre sa respiration. De grands râles raclent sa gorge glaireuse et petit à petit elle retrouve sa voix. — Je vais aller voir mon conjoint, il n’est pas censé entrer comme ça dans la chambre normalement.N’étant plus surpris de rien venant de Pauline, je la regarde sortir de la chambre et se diriger vers le salon, où poser nue devant la baie vitrée ne semble pas la gêner. J’écoute à la porte la conversation de Pauline et son conjoint : — Tu n’avais pas reçu mon message ? Demande Pauline.— Si, désolé j’avais totalement oublié… Répond le conjoint.— Je vois quand tu mens. Tu voulais me voir faire, salopard.— Non je… vraiment…— Je t’avais prévenu pourtant. « Ce soir je me fais baiser, ne rentre pas dans la chambre. » Sinon ?— Sinon je serais encore puni… Complète le conjoint. À l’écoute de cette conversation lunaire je suis honnêtement plus amusé que surpris. Puis Pauline se met à chuchoter, si bien que je peux entendre sa voix mais je ne distingue plus aucun des mots qu’elle prononce. Je m’avance vers la porte et jette un œil voyeur au salon. Pauline se trouve debout face à son conjoint qui lui est assis, droit comme un « i » sur une chaise à côté du canapé. Pauline parle mais c’est inaudible, je présume que son conjoint lit sur ses lèvres. Il se contente de hocher la tête en signe d’acquiescement de façon régulière. Pauline a l’index qui pointe en la direction de son homme. Soudain elle lève une main au ciel, puis sans quitter son conjoint des yeux elle me fait signe de venir. Je pensais avoir été plus discret mais visiblement ma position n’était pas restée secrète…  De son autre main elle ferme les rideaux électriques en appuyant sur le bouton. Sans arrêter de soutenir le regard de son conjoint Pauline s’adresse à moi :
— Il semblerait que l’on ait un petit curieux qui voudrait voir sa chérie se faire baiser.Je ne réponds pas. — Tu serais d’accord pour exaucer son souhait ?Je n’ai pas le temps de répondre qu’elle relance : — Sinon on peut continuer nos affaires dans la chambre et laisser cet homme se branler dans le salon tu sais, ne te sent surtout pas obligé !— Attend-moi. Dis-je à demi-mot.Je retourne à la table de chevet sur laquelle j’avais repéré une boîte de préservatifs. À mon retour dans le salon Pauline m’attend, cambrée au possible, les mains posées de part et d’autre des cuisses immobiles du conjoint. Je pénètre le sexe humide de Pauline d’une traite. Chacun de mes coups de reins lui arrache un râle exagéré, sans doute veut-elle impressionner son conjoint. Elle porte toujours son collier à chaînettes, celles-ci tombent jusqu’à frôler le dessus des mains du conjoint. Il n’est pas autorisé à y toucher, toujours droit comme un piqué ses paumes de mains sont posées sur ses cuisses. Une goutte de sueur coule le long de son front et s’arrête à la pointe de son nez. Il n’est pas le seul à avoir chaud ; nos corps sont bouillants et la sueur déferle des épaules, du dos et des fesses de ma partenaire pour converger dans le creux de ses reins cassés. L’acte s’achève sur des gémissements beaucoup trop aigus de Pauline. Elle n’a pas lâché le conjoint des yeux durant tout ce temps.— Va lui indiquer la salle de bain. Ordonne Pauline à son conjoint qui se lève aussitôt.À mon retour de la douche je retrouve Pauline sur le balcon. Son fessier nu me donnerait presque envie d’un second round, mais elle ne semble plus être excitée. — Tu peux dormir avec moi si tu veux. Me propose-t-elle.Je reste silencieux un moment. J’ai mille questions en tête mais je ne parviens à en formuler aucune. — Non… Je vais rentrer… C’est gentil. Pauline hausse les épaules puis me dit : — Tu vas faire un déçu…S’en suit un petit ricanement que j’ai du mal à situer dans sa gamme d’émotion. Ne changeant pas d’avis je me dirige vers la porte et leur souhaite une bonne fin de soirée.
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