Environ 5 minutes plus tard, Sarah ressort des toilettes. Dés que son regard va croiser celui de Philipe, les deux vont avoir une énorme surprise. Sarah découvre que son ami et parti, laissant son bel homme mûr seul dans le jacuzzi. Philipe, lui, découvre le corps de la jeune fille, totalement nue. Elle a son maillot de bain à la main. La sensation est exquise. Elle peut sentir un léger courant d’air sur le bout de ses tétons, qui pointent déjà. Elle ne savait pas qui serait présent dans la pièce en sortant des toilettes, elle aurait pu croiser n’importe quel inconnu venu se prélasser dans l’eau chaude. Mais cette idée d’inconnu, de peur de se faire surprendre nue l’excitait au point de la faire mouiller. Le premier regard échangé fût bestial, avant de s’adoucir et de devenir joueur, presque arrogant. Avec douceur, Sarah rejoint le jacuzzi à quelques mètres de la porte des sanitaires, et entrait délicatement dans l’eau. Au moment d’enjamber le bord du bassin, elle fit un arrêt d’une seconde. Elle savait très bien qu’il avait une vue sur sa chatte, et qu’il regardait, la bouche presque ouverte. Malgré les bulles, la jeune brune pouvait apercevoir le maillot de bain de son homme totalement déformé. Elle s’allonge dans l’eau, et quelques secondes passèrent sans qu’aucun des deux ne disent un mot, ni s’adressent un regard. Chacun était dans ses pensées. Sarah, elle, s’imaginait folle. Ella un moment de recul intérieur. Qui aurait-elle pu croiser ? Et si ses parents étaient dans le coin ? Que diraient-ils, en la voyant nue, sont 95D pointant vers un homme de 32 ans ? Soudain, cet homme rompu le silence, et parla de manière assez crue. Sarah adore qu’on lui parle comme ça. Elle aime se faire insulter, qu’on lui parle cash. — Les jeunes de ton âge sont vraiment toutes des petites salopes.— Qu’est-ce que tu en sais ?— Tu t’es vue ? Tu as 18 Ans, j’en ait 32, on se connait depuis 5 minutes et tu es nue, dans un jacuzzi !— Et qu’est-ce que ça vous inspire, monsieur ?— Que tu vas prendre cher… A cet instant, l’homme se lève en grognant. Sarah pense à le calmer, et à radoucir le jeu. Elle aimait bien ce jeu de regard et de séduction, avec une tension sexuelle à son comble. Mais elle ne peut pas arrêter la machine, la bête d’excitation qui surgit hors de l’eau. En une demi-seconde, l’homme, désormais debout face à la jeune femme, tire sur l’élastique de son maillot de bain et fait jaillir une queue imposante. Selon Sarah, elle devait mesurer une quinzaine de centimètres pour une épaisseur très respectable ! Il fit quelques pas, et avança son bassin vers la bouche de ma copine. — Aller, suce, salope, tu n’attends que ça !— Attend, pas si… Pas le temps de réponde, l’homme pince le nez de Sarah. Pour respirer, pas le choix, elle est obligée d’ouvrir la bouche. Philipe saisit alors la tête de ma douce entre ses deux mains et commence à lui baiser la bouche. Elle, pourrait fermer la bouche, mordre la bite de l’inconnu, mais elle ne veut pas. Ce traitement bestial, violent, à la limite de l’agression, ça l’excite, elle l’a souvent rêvé, parfois simulé avec moi. Ce traitement dure plusieurs minutes, sans qu’elle ne puisse rien y faire, appart aimer, aimer se faire baiser la bouche. Sans trop y réfléchir, elle pose sa main gauche sur la fesse de son dominateur, et descend sa main droite vers sa chatte. C’est la première fois qu’elle se masturbe dans l’eau. Elle commence à se donner du plaisir, en se rappelant que n’importe qui peut arriver n’importe quand dans la pièce. Elle imagine le spectacle d’un oeil extérieur ! Une jeune pute de 18 ans, allongée nue dans un jacuzzi, en train de se faire violer la bouche par un trentenaire, le slip de bain à mi-cuisses, elle en train de se toucher, lui de jouir d’une voix rauque et rugissante. Ces pensées, associées à ses caresses, elle sent que le plaisir est en train de monter, doucement mais surement. Mais elle n’a pas le temps de venir. Elle sent tout d’un coup le membre de son amant grossir dans sa bouche. Elle peut distinguer les veines qui grossissent, jusqu’a la libération finale. L’homme, la queue plantée dans la gorge de Sarah, déverse des coulées de sperme chaud. Elle avale consciencieusement, elle adore le goût du sperme. Philipe se retire doucement de la bouche de Sarah. Son regard change soudain, il a peur d’avoir été trop loin, trop vite, trop brusque. Dans les yeux de ma copine, il cherche une réponse. Il redoute un regard de haine, de mépris ou de choc. Rien de tout ça, soulagé, il voit un regard coquin, provocateur et satisfait de ma femme qui vient de se faire abuser, pour son plus grand plaisir. Il prend quelques secondes, pour profiter de son orgasme, violent et libérateur. « Il devait surement attendre ça depuis longtemps le cochon ! » pensa-elle. Il sorti de l’eau, remonta son slip de bain et se dirigea naturellement vers la porte, sans un mot ni un regard pour elle. Laissée en plan avant son orgasme, elle est restée sur sa faim. De peur de ne rencontrer personne d’autre, et d’envie d’aller plus loin avec son bel étalon, elle dit maladroitement le numéros de sa chambre à Philipe. Pas une réaction, pas un regard, il part sans se retourner. En remettant son maillot de bain, les questions étaient nombreuses. Quelqu’un les a vu ? Quelqu’un les a entendu ? Allait-elle le revoir ? Ce plaisir à se faire abuser est-il malsain ? En tout cas, elle pensa à ma réaction et à mon plaisir quand elle allait me raconter cette histoire. Rien que cette idée l’excita de nouveau, assez pour que sa main redescende vers son entre-jambes, pour finir ce qu’elle avait commencé quelques minutes plus tôt…
