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Candice : ma chérie bien docile

Chapitre 1

Le retour du shopping

Trash
— Attends je vais te montrer.
Candice, ma copine, était revenue toute joyeuse de son shopping. Et elle tenait absolument à me montrer ses achats.Je n’y voyais aucune objection. J’adore quand elle me montre ses nouveaux vêtements. Ça me permet de la découvrir dans de nouvelles tenues, et de mater un petit coup au passage.Candice est vraiment une fille sublime. Plutôt grande, elle est surtout toute fine. Une vraie silhouette de princesse, avec une jolie petite paire de seins, et des belles petites fesses que j’adore caresser. Candice a aussi un visage d’ange, et ses yeux de biche feraient craquer n’importe qui. Elle est de plus, coiffée d’une magnifique chevelure blonde qui lui arrive un peu en dessous du cou.
Elle revint quelques minutes plus tard, vêtue d’un bikini deux pièces noir. J’étais bouche bée, et je devais me retenir de ne pas lui sauter dessus.
— T’es sublime ma puce.
Elle me fit un grand sourire qui illumina son visage, puis se retourna pour me montrer le rendu vu de derrière.J’avais envie de la plaquer au sol, et de lui arracher son maillot pour lui fourrer ma queue bien au chaud dans son petit derrière.Je sentais que ma bite commençait à durcir dans mon caleçon.
— Tu vas me faire craquer hein tu sais.
Elle s’assit à côté de moi et m’embrassa à pleine bouche. Elle en profita pour poser sa main sur mon entrejambe pour me caresser un peu. J’étais désormais dur comme de la pierre.
— Hmmm... C’est moi qui te mets dans un état pareil mon chat ?
Je m’apprêtais à lui saisir les seins avec ma main gauche, mais elle anticipa mon mouvement et m’attrapa la main avant que je n’aie eu le temps d’atteindre mon but.
— Attends que je te montre le reste. Elle se leva et quitta la pièce, me laissant en plan, au maximum de mon érection.

Elle revint deux minutes plus tard, cette fois-ci vêtue simplement d’un legging vert, et d’un petit haut décolleté blanc et bleu, qui me laissait une vue plongeante sur ses seins. Là aussi, elle se tourna, me laissant admirer la cambrure de ses fesses.
— Ça te plaît ? Me demanda-t-elle en prenant un air innocent.— Viens.
Elle s’approcha, se retourna à nouveau et commença à frotter ses fesses contre mon entrejambe.
— Il te plaît mon petit cul ?— Je vais te le détruire ton petit cul.
Candice s’agenouilla devant le canapé, et posa chacune de ses deux mains sur mes cuisses qu’elle commença à caresser, avant de s’approcher de mon sexe qu’elle se mit à masser à travers mon pantalon.Je plaçai ma tête en arrière, profitant de ce sublime massage. Mais Candice ne comptait pas se contenter de si peu. Elle me déboutonna mon jean, et descendit ma braguette, avant de baisser mon pantalon et mon caleçon.Ma queue jaillit, dure comme du béton.Candice se lécha les lèvres, heureuse et impatiente à l’idée de s’occuper de ma queue, comme la bonne petite chienne qu’elle était.
Elle approcha ses douces lèvres de mon sexe qu’elle prit rapidement en bouche. En parallèle, elle plaça sa main droite sur mes couilles, et entama un délicieux massage.Sa bouche suçait mon gland, et descendait un ou deux centimètres en dessous. Soudain, elle sortit mon sexe de sa bouche et remit ses cheveux en arrière.Elle revint bientôt vers ma queue, et la prit à nouveau en bouche, tout en relevant sa tête pour être bien au-dessus de mon sexe.Elle descendit alors encore plus loin, enfonçant mon sexe dans sa gorge. Son gosier était incroyablement chaud, et incroyablement doux. Maintenant ma queue enfoncée, elle leva ses yeux de biche vers moi, et me lança son regard habituel. Son regard qui me signifiait qu’elle était entièrement soumise et dévouée à mon plaisir.
— C’est bien ma puce, t’es vraiment une bonne petite chienne.
Elle baissa les yeux, et entreprit des va-et-vient avec sa bouche. Elle allait encore un peu plus loin, et je passai ma main dans ses cheveux pour la caresser. Puis j’appuyai sur le haut de son crâne pour la forcer à aller encore plus profondément. Et bientôt, ma bite força sa luette, et s’enfonça entièrement dans sa gorge chaude. Je maintenais ma main sur sa tête pour l’empêcher de se libérer.Elle leva à nouveau ses yeux pour me lancer un regard noir. Ses yeux viraient peu à peu vers le rouge, et Candice manquait de s’étouffer. Elle semblait au bord de la nausée.
— Je suis désolé poupée, mais va falloir assumer maintenant.
Elle faisait des bruits de gorge et de déglutition. Elle luttait pour supporter l’intrusion de mon pénis dans sa petite gorge, et bientôt, elle se mit à taper contre ma cuisse avec sa main, pour essayer de se dégager de mon étreinte, mais n’y parvenait pas. Je maintenais fermement sa tête.Après encore quelques secondes, je décidai de la libérer, pour la laisser respirer un peu.Elle libéra sa bouche de mon sexe, et prit une grande inspiration. Un flot de salive coula de sa bouche, s’écrasant sur son décolleté et son legging.
— Oh putain ! s’écria-t-elle.— Je suis fier de toi ma chérie. Tu me donnes beaucoup de plaisir.
Je n’eus pas à attendre longtemps, et elle replaça mon sexe dans sa bouche. Je n’eus rien besoin de faire, qu’elle enfonça ma verge entièrement dans sa gorge.
— Ah merde ma puce. C’est vraiment trop bon.
Elle entama des va-et-vient. Ma queue était bien au chaud, sa luette massait mon gland et ma chérie se remit à me caresser les couilles avec sa main.Ses yeux redevinrent rouges assez vite, et des larmes commencèrent même à couler. Mais ma Candice tint bon. Elle continua de me sucer divinement bien, mettant entièrement à profit sa gorge pour mon plaisir, mais comme une bonne soumise, elle tenait le coup.Elle recula un peu la tête, sortant mon sexe de sa gorge, tout en continuant à me sucer. Elle désirait sans doute souffler un peu.
— Allonge-toi sur le canapé, lui ordonnais-je.— Tu veux faire quoi ?— Tu vas voir.
Elle s’exécuta, s’allongeant sur le dos.
— Recule-toi un peu. Mets ta tête à l’extrémité du canapé.
Candice obéit une fois de plus.Je m’approchai d’elle, me baissai un peu, en dirigeai mon sexe vers sa bouche. Elle ouvrit grand, et j’enfonçai à nouveau mon sexe dans son gosier. À nouveau, ma verge passa sa luette, et vint s’écraser bien au fond de sa gorge. Mes couilles, elles, vinrent se poser sur son nez.Je commençai alors des va-et-vient dans son précieux fourreau. De ma position, je pouvais voir ma queue déformer sa gorge.La position permettait une meilleure intrusion de mon sexe, j’accélérai donc mes mouvements, et je me mis à lui baiser littéralement la bouche.Elle se remit alors à faire des bruits de gorge, et de la bave coulait sur son menton.Elle recula un peu et approcha ses mains de mes cuisses, pour se libérer, mais je lui attrapai fermement les poignets pour la repousser, et me renfonçai au fond de sa gorge.
— Nan, nan, nan ma puce. C’est sans les mains, et jusqu’au fond.
Je repris ma baise de sa bouche, renfonçant à chaque fois mon sexe bien au chaud dans sa petite gorge. Elle prenait bien soin de faire passer sa langue sous mon sexe pour faciliter l’intrusion de mon pénis.Je lui caressai la joue, puis lui donnai une petite claque. Elle sursauta.Je lui saisis ensuite le cou avec mes deux mains, sans appuyer trop fort pour ne pas l’étrangler, et j’accélérai à nouveau mes mouvements. Tandis que le bruit de mon sexe qui s’enfonçait dans sa gorge était de plus en plus fort, de la salive s’échappait de sa gorge, ses yeux viraient aux rouges, et des larmes coulèrent de ses yeux. Mais je m’en foutais. Je ne pensais qu’à mon plaisir, et aux sensations incroyables que me faisait ressentir la pression de son gosier sur ma verge.Elle était entièrement soumise à moi, mais avait maintenant de plus en plus de mal à tenir.
— Encore un petit effort ma chérie. Je vais venir.
Je sentis mon jus monter, et quelques secondes plus tard, j’explosai. Des flots de sperme pulsèrent de ma bite et vinrent inonder sa luette et s’écouler dans sa gorge.Candice était au bord de l’étouffement. Elle donna de grands coups contre mes cuisses avec ses mains, mais je ne cédai pas et maintins ma queue enfoncée au fond de sa bouche.Ma chérie tenta tant bien que mal de gérer tout ce sperme, mais la tâche était impossible. Elle en avala une partie, mais le reste s’écoula par le coin de ses lèvres et par son nez.Finalement, alors que ses yeux étaient rouges, que son maquillage avait coulé, ruiné par ses larmes, et que je m’étais entièrement vidé, je sortis mon sexe de sa bouche, la libérant enfin.
— C’était parfait ma puce. Une bonne petite salope bien docile.
Candice resta allongée. Elle respirait fort, et essuyait les larmes et le sperme de son visage.
— Je t’avais dit que tu devrais assumer.
Elle me répondit avec son plus grand sourire. Elle avait eu ce qu’elle voulait.
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