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Candice : ma chérie bien docile

Chapitre 2

La masturbation interrompue

Trash
Candice avait quitté la maison depuis maintenant plus de deux heures. Et moi, j’avais une folle envie de sexe. Ma chérie n’étant pas là, j’avais sorti mon masturbateur. Enfin, l’un de mes masturbateurs. J’en avais plus de 6. Celui que j’avais choisi aujourd’hui imitait l’effet d’une sodomie. La gaine était plus serrée, et même si ça ne valait pas le cul de ma Candice, c’était quand même bien agréable.
Depuis plus de cinq minutes, je faisais des va-et-vient avec le masturbateur sur ma queue. Plus les minutes passaient, et plus j’accélérais la cadence. J’allais désormais bien vite, pas aussi vite que quand je défonçais le cul de ma Candice, mais assez vite pour me faire jouir. Je sentais mon jus monter, et alors que je m’apprêtais à jouir dans quelques secondes, la porte s’ouvrit brusquement.
— Ah bah ça va, tu te fais pas chier ! s’écria Candice. — Mais qu’est-ce que tu fous là ? — Ça serait plutôt à moi de te le demander non ? — Je me détends. C’est pas interdit à ce que je sache. — Je te détends pas assez ? C’est ça ? T’as besoin de le faire tout seul. — Mais non c’est pas ça. Mais t’étais pas là. Et j’avais vraiment envie de...
Je n’eus pas le temps de finir ma phrase qu’elle me rejoignit et s’assit sur le lit, juste à côté de l’endroit où j’étais allongé. Elle me prit le masturbateur des mains, et commença d’elle-même à faire des va-et-vient avec. Au début très lentement, puis de plus en plus vite. Tandis qu’elle accélérait la cadence, elle me fixa avec ses yeux de biche, et passa sa langue au-dessus de ses lèvres.
— C’est agréable ? me demanda-t-elle d’un air faussement innocent. — Ouais, continue. — C’est mieux que me faire l’amour ? — Oh nan. Quand même pas.

Candice retira mon sexe de l’objet et le posa sur le côté. Elle s’allongea sur le ventre devant moi, plaça sa tête au niveau de mon entrejambe, et prit instantanément mon sexe en bouche. Je n’eus même pas le temps de dire quoi que ce soit, qu’elle l’enfonça au maximum. Mon gland passa sa luette et vint se caler bien au fond de son gosier. Ses yeux virèrent au rouge, mais elle me garda en bouche. Je l’attrapai alors par les cheveux et commençai à faire des va-et-vient avec sa tête. Sa gorge faisait des bruits obscènes à chaque fois que mon sexe s’y enfonçait. Je fis bien une bonne vingtaine de va-et-vient, tout en allant de plus en plus vite.
J’avais l’impression qu’elle allait s’étouffer. Je lui prenais la gorge comme une chienne, et à chaque fois que mon sexe s’enfonçait dans sa trachée, je sentais sa luette qui massait délicatement mon gland.
Quand je sentis que j’étais sur le point de jouir, je retirai ma bite de sa bouche. Un immense fila de bave coula sur sa jupe, et elle se mit à tousser.
— Eh bah putain, t’as failli t’étrangler. — Putain. J’ai cru que j’allais mourir.
Son maquillage était complètement ruiné. Son mascara avait coulé, et son rouge à lèvres avait commencé à s’enlever. Mais elle n’était pas rassasiée pour autant. Elle m’enleva entièrement mon pantalon pour libérer complètement ma bite. Je l’attrapai par la taille et lui remonta la jupe pour libérer ses fesses. Elle portait une petite culotte noire en dentelle que je m’empressai de retirer.
— Qu’est-ce que tu vas me faire ? — Tu vas voir. Fous-toi à quatre pattes.
Ma chérie s’exécuta. Qu’est-ce qu’elle était bandante dans cette position. A quatre pattes comme une chienne, vêtue d’un petit débardeur noir, et d’une jupe à pois remontée au-dessus de ses fesses.
Je m’accroupis derrière elle, et commençai à lécher son anus. J’y passai bien deux bonnes minutes, alternant entre des mouvements circulaires avec ma langue, et des moments où je rentrais carrément ma langue dans son petit cul. Candice, elle, était aux anges. Elle soupirait de plus en plus fort, et sa main s’était glissée sur sa chatte qu’elle caressait désormais.
— Il m’a l’air bien serré ton petit cul aujourd’hui. — Ça fait longtemps qu’il n’a pas été visité, me rétorqua-t-elle d’une petite voix aguicheuse tout en remuant ses fesses.
Je ne me fis pas prier, et je saisis la bouteille de lubrifiant posée à ma droite. J’en versai une bonne dose sur le petit trou de Candice, et une bonne dose sur ma verge.
— Tu m’as empêché de finir ma branlette, crois-moi que je vais me servir de ton petit cul comme d’un jouet. Tu vas avoir du mal à marcher après ça. — Je demande que ça. Baise-moi bien.
Je plaçai ma verge devant son petit trou, et je commençai à pousser. Malgré mon anulingus d’il y a quelques minutes, l’entrée de son cul demeurait très étroite, et son œillet refusait de s’ouvrir.
— Cambre-toi bien ma puce, lui dis-je en posant ma main sur son dos pour lui faire signe de se baisser.
Elle avait désormais la position parfaite. Le dos creusé, la tête dans l’oreiller, et le cul bien relevé. Je me repris à pousser avec ma bite, et en forçant un peu, son petit trou céda enfin et s’ouvrit. Ma queue pénétra ses chairs, et en quelques secondes, ma verge se retrouva entièrement enfoncée dans son petit cul.
— Ouhhhhhhh, se mit-elle à geindre.
Je ressortis lentement ma bite en gardant juste le gland à l’intérieur, et me renfonçai à nouveau. Puis je lui saisis les hanches avec mes deux mains, et sans la prévenir, je me mis à la pilonner de toutes mes forces.
— Oh putain, oh putain, se mit-elle à crier.
Ma queue lui défonçait son petit fion. A l’intérieur, c’était très serré, et brûlant. A chaque fois que je m’enfonçais, je sentais le gland distendre ses chairs et se frayer un passage dans cet étroit conduit. J’avais l’impression que son anus était un écrin de velours qui massait mon gland. Candice criait comme une folle, mais heureusement, ses hurlements étaient étouffés par l’oreiller.
— Putain ce qu’il est serré ton petit cul bordel. Je vais tellement t’enculer que tu pourras même plus te lever.
Je continuais le matraquage de son petit cul durant de longues secondes qui pour Candice durent paraître interminables. Puis quand je sentis la sauce monter, je me retirai.
— On va changer de position, lui dis-je en la soulevant par la taille. Je la redressai un peu, pour qu’elle soit à quatre pattes, mais qu’elle se tienne sur les coudes. Je me plaçai au-dessus d’elle, de sorte que ma bite soit bien alignée avec l’entrée de son petit cul. — Il s’est bien élargi ton trou, hein ma chérie.
Candice passa ses doigts sur son anus, et constata les dégâts laissés.
— Putain, mais t’es une brute. Vas-y défonce-moi encore plus mon cul.
Je replaçai ma bite sur l’entrée, et poussai à nouveau. Cette fois encore, je ne me fis pas prier et je repartis dans un pilonnage bien rude. Candice gueulait comme une chienne et ses hurlements n’étaient plus étouffés par l’oreiller.
— Défonce-moi le cul putain. Baise-moi mon petit cul.
J’accélérai encore la cadence, et Candice arrêta de parler. Elle s’arrêta même de crier, ne lâchant que des petits gémissements et des soufflements.
— Tu fais moins la maligne hein maintenant.
Je l’enculai comme ça encore dix bonnes secondes, puis je me retirai de son trou.
— Encore, encore, gémit-elle. — T’en veux encore ? T’es vraiment une chienne affamée. Vas-y, écarte-moi le petit cul-là.
Elle passa ses mains derrière ses fesses qu’elle tenta d’écarter du mieux qu’elle pouvait. Je replaçai ma bite dans son trou et je l’enculai encore deux bonnes minutes. Ma queue était aux anges. Son fion n’était plus aussi étroit qu’au début, mais son conduit restait toujours aussi chaud et confortable. Quelle salope quand même ! Elle n’est jamais rassasiée. Je pourrais lui faire n’importe quoi qu’elle en redemanderait. La main de Candice s’était désormais glissée sur sa chatte, et il ne fallut même pas une minute pour qu’elle jouisse, et éclabousse le lit de sa mouille.
— Hmmm moi aussi faut que je me vide, dis-je en sortant ma verge de son petit derrière. Viens me finir avec ta bouche.
Candice s’approcha, et je n’eus rien besoin de dire, elle savait quoi faire. Elle me prit immédiatement dans sa gorge. Elle n’eut besoin de faire qu’une dizaine de va-et-vient. La pression qu’exerçait sa glotte sur mon gland me fit éjaculer. Candice se recula au moment de ma jouissance, et je lâchai cinq bonnes rasades de sperme dans sa bouche. Elle continua ensuite de me sucer. Puis enfin, elle libéra ma verge, et ouvrit grand la bouche pour me montrer tout le sperme qu’elle avait gardé. Elle joua avec quelques secondes, le laissant couler sur son menton, puis le ravalant, avant de finalement l’avaler définitivement non sans faire un bruit de déglutition bien obscène. Enfin, elle tira sa langue pour bien me montrer qu’elle avait tout avalé, et comme à son habitude, elle me fit son plus grand sourire d’allumeuse.
Elle était rassasiée pour aujourd’hui, comme la bonne petite chienne bien docile qu’elle était.
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