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Candice, sublime, perverse, trois fois plus jeune que moi...

Chapitre 1

Je tombe amoureux d'une bombe de 18 ans

Trash
Comme souvent j’ai mélangé réalité et fantasme ici. La partie... très sale est imaginaire, mais le contexte est réel et date d’il y a quelques années.
Je m’appelle Laurent et je suis photographe de métier. J’ai de nombreuses passions et le sexe est sans doute la plus dévorante d’entre elles. En ce moment, je ne vis pas avec une femme libertine, alors j’essaie de faire des rencontres via des sites échangistes, principalement sur Netpartouze.com. J’y ai créé une fiche homme seul mais hélas, c’est assez difficile de faire des rencontres... J’ai donc eu une idée : placer quelques photos de sexe que j’ai pris de temps à autre, sans les visages, pour montrer mes talents artistiques et favoriser des contacts. Un couple d’amis que j’avais photographié en train de baiser avec une petite étudiante (tellement jeune que j’avais vérifié sa carte d’identité avant d’accepter de la shooter) accepta même de figurer à visage découvert sur ma fiche et me mit un témoignage élogieux. Ce fut ce détail qui déclencha les premières demandes de shootings. Souvent, on me demandait si je faisais payer, mais je n’étais pas au boulot ! c’était gratuit; parfois, j’étais invité à baiser madame en fin de séance ce qui m’allait très bien. J’étoffais ainsi mes albums et multipliai les séances.
Un jour, je fus contacté par une jeune femme qui souhaitait poser nue pour moi. Son rêve était de faire du pornu et elle avait besoin d’un book. Pour une approche commerciale, j’aurais dû la faire payer, mais lorsqu’elle ouvrit ses photos privées pour me montrer son corps et son visage, j’acceptai sans broncher de la prendre gratuitement. Elle était magnifique, rousse avec des yeux verts translucides, une peau de lait, une taille de guêpe, de jolie petits seins; elle me faisait penser à cette étudiante dont je parlai plus haut et comme pour celle-ci, j’allais devoir vérifier son âge car elle me semblait gamine.
Nous avons pris rendez-vous. Mes états de service sur le site lui évitèrent d’être trop soupçonneuse et nous nous sommes rencontrés en bas de chez elle, dans un petit bistrot sympa des pentes de la Croix-Rousse. Je suppose que je lui ai inspiré confiance car après un café et de brêves présentations, elle me proposa de monter chez elle avec mon matériel - un gros reflex avec un flash pro et quelques accessoires pour avoir une belle lumière. Il faut dire que parler de cul dans le petit bistrot de son quartier n’était peut-être pas idéal ! Quelques minutes plus tard, j’entrai dans un petit studio à la décoration simple et assez neutre, ce qui était préférable pour les photos. Pendant que je déballai mon sac photo, je lui posais quelques questions - en commençant par son âge. Je lui indiquai qu’il me fallait prendre sa carte d’identité en photo, en cachant le nom, pour me prémunir de tout problème car elle ne semblait pas avoir plus de 16 ou 17 ans, toute menue avec un corps de danseuse. Elle en avait 18 - depuis deux mois... Elle m’avoua qu’elle regardait des films porno depuis ses 13 ans et qu’elle ne rêvait que de passer à l’action devant la caméra - chacun ses rêves, comme dirait l’autre !
— quel genre de films tu aimes ? lui demandai-je.— j’en ai tellement vu... j’aime bien quand des filles de mon âge font des trucs un peu chelou avec des types plus vieux.
J’avoue que la réponse me convenait tout à fait, j’avais presque trois fois son âge.
— Le genre Max Hardcore par exemple ?— J’aimais bien au début mais c’est toujours pareil, et trop pro, on y croit pas trop... et il est peu craignos avec son chapeau. J’aime bien qu’il leur pisse dessus par contre. Je préfère les films français un peu crades.
Je n’en croyais pas mes oreilles - 18 ans et elle en était déjà là ? Qu’est ce qui lui resterait à découvrir quand elle en aura 30 ? 40 ? La situation me convenait très bien mais en mon for intérieur, je la plaignais un peu et je me félicitai d’avoir des enfants plus grands qui avaient peut-être un peu échappé à l’envahissement pornographique dans leurs jeunes années.
— J’aime bien aussi quand c’est crade, répondis-je. Mais bon, je suppose que tu ne veux pas faire ce genre de trucs pour tes photos...— On verra...
Elle avait répondu avec un air étrange qui me permit tous les espoirs. J’allais peut être pouvoir la photographier en train de pisser dans la douche, une chose que je n’avais pas encore pu faire dans mes shootings jusque-là. J’avais aussi amené une petite caméra vidéo - elle accepta que je la laisse tourner depuis un coin de la pièce.
— Je filmerai quelques séquences, et te passerai le montage. Pour te faire engager dans le porno, ça peut aider.
Sa naïveté me touchait - en réalité, vu son physique de rêve et sa jeunesse, il lui suffisait de contacter n’importe quel producteur pour tourner le jour même. Elle n’avait nul besoin de mes images - mais peut-être le savait-elle; peut-être que cette séance était pour elle une sorte de test, pour confirmer son projet. Peu m’importait, j’allais voir une adorable minette faire des choses indécentes devant moi et c’était tout ce qui m’importait ! Je n’osais imaginer qu’elle voudrait que je participe - c’était finalement assez peu fréquent, mes modèles restaient des modèles et moi leur photographe, même quand il s’agissait d’un couple en train de baiser. Alors une petite de 18 balais... je ne me faisais pas trop d’illusions.
Candice, car c’était son prénom, s’était calée au fond d’un petit canapé clic clac et avait un peu écarté ses jambes. Elle me souriait d’un air de défi et je pouvais voir sa petite culotte blanche sous sa jupe en jean. Elle portait des petites bottines ajourées, elle avait les jambes nues. En haut, un t-shirt qui laissait apercevoir le nombril et sans doute pas de soutien-gorge car ses tétons pointaient terriblement sous l’étoffe. Elle semblait très excitée, et j’avais d’ailleurs l’impression de voir une petit tâche d’humidité sur sa culotte. Candice ferma les yeux et me demanda de commencer à la photographier. Elle ne semblait pas avoir besoin d’indications : je la voyais onduler, prendre des poses, et s’immobiliser périodiquement pour me laisser le temps de faire une image nette. Une vraie pro. Elle écarta très largement ses fines cuisses et fit remonter sa jupette; sa petite culotte de coton était distendue, mouillée et Candice passait un doigt tout au long de sa fente, jusqu’à l’emplacement de l’anus. Elle n’avait pas commencé depuis deux minutes que ma queue commençait à ne plus savoir où se loger dans mon pantalon, alors qu’habituellement, la concentration nécessaire à la réalisation de belles photos m’éloignait de l’excitation.
Elle souleva son bassin et de ses deux mains, fit glisser sa culotte le long de ses cuisses. Elle la laissa tendue entre ses genoux, dans une posture de petite fille qui va faire pipi accroupie. Ses mains glissèrent à nouveau le long de ses cuisses et, me plantant son regard dans le mien, Candice s’écarta largement le sexe qu’elle avait recouvert d’un très fin duvet clair. Telle une acrobate de la chatte, je la voyais pousser pour faire battre ses muqueuses, son vagin s’ouvrait comme si elle avait déjà mis bas trois portées de chatons. Elle ne devait pas s’enfoncer que des stylos dans la moule, cette petite catin. Ses deux auriculaires écartaient aussi son anus, que je voyais distinctement, adorable étoile dont je rêvais de lécher l’intérieur. Comme elle poussait assez fort sur sa chatte, le petit anneau pulsait aussi, dévoilant un peu de chair rose.
— J’ai envie de m’enfoncer des trucs dans le cul et dans la chatte… annonça t’elle dans un souffle.
Elle se leva, laissa tomber sa culotte à ses pieds, me l’envoya et sans oublier de marquer les petites pauses pour me permettra de la shooter, se dirigea vers une petite commode. Je ramassai la culotte et la mis dans ma poche. « Je la garde, ça me fera mes honoraires », lui dis-je. D’un tiroir, elle sortit plusieurs jouets : un plug en métal brillant, dont la partie « immergeable » était plus longue qu’à l’accoutumée, un gros gode dont le diamètre semblait comparable à celui d’une canette, et un spéculum. En voyant voyant le spéculum je sentis ma bite durcir encore un peu plus. Candice retourna au canapé, et exauça mon voeu inconscient.
— Ca me saoule d’être la seule à poil…
Je la considérai un instant avec un air mi-amusé, mi-reconnaissant, en essayant de masquer l’explosion de joie qui m’habitait. J’essayai d’oublier que je n’avais pas un corps de mannequin et que ma bonne cinquantaine se lisait sur les plis de mon petit ventre aussi nettement que sur le gris de mes tempes. Je retirai chaussures et chaussettes, jean, ouvrit ma chemise. Je récupérai la petite caméra qui continuait à tourner, et m’approchai de Candice, en boxer. Elle rit et s’approcha de moi. Elle passa sa main sur ma queue à travers le tissu.
— On dirait que la petite culotte ne va pas être ta seule rémunération, Don Juan !
Elle m’enleva mon boxer, je l’écartai du champ d’un mouvement du pied. Ma bite était dure et dressée. Elle n’était pas gigantesque mais assez large, avec un gland bien dessiné qui prolongeait une verge à la courbure parfaite. Je n’aurais pas échangé ma queue pour une plus grosse mais moins jolie. Candice parut s’en satisfaire, en tout cas, s’en saisit et commença à me branler, puis déposa un baiser sur mon gland, pressa la hampe, fair sortir la petite goutte de precum au bout du méat et le suça. Puis, elle me renvoya à mon appareil photo. « Au travail ! « lança t’elle joyeusement. Je reposai la caméra et repris le réflex. A partir de ce moment, je me branlai doucement entre les photos, en faisant attention de ne pas me faire jouir. Je me demandais si malgré mon expérience nettement plus fournie - en tout cas en durée - j’aurai quelque chose à apprendre à cette petite salope si menue mais tellement délurée.
Elle enleva le reste de ses vêtements pour ne conserver que ses bottines de chausse. Elle disposa sur le canapé un grand plaid clair, signe qu’elle anticipait quelques menus débordements. Puis elle se livra à une démonstration endiablée de tout ce qu’on peut faire avec certains objets et les orifices féminins. Le gode gros comme une canette disparut dans la chatte de Candice comme avalé par le gouffre de Padirac, elle avait la capacité de le faire aller et venir comme si c’était un tube de rouge à lèvres. Elle se l’enfonçait au fond du vagin, puis, sans les mains, l’éjectai d’une poussée qui lui écartait aussi le trou du cul. De mon côté, je ne perdais rien de ces images de rêve, sa chatte toute fraîche mais déjà tellement dilatée. Je demandai à Candice de garder son énorme gode quelques instants dans le con pour bien l’écarter, puis de l’éjecter et gardant sa vulve bien ouverte avec les doigts. Elle s’exécuta et je pus prendre, en disposant correctement mon flash, une splendide photo de sa cavité vaginale offerte; je distinguais tous les plis de son sexe, tous les méandres de ses chairs jusqu’à l’entrée de son utérus.
Je crois que c’est à ce moment, en contemplant le lieux le plus intime de son corps, que je suis tombé amoureux de la petite salope rousse.
— Attends, je vais prendre le speculum, tu verras encore mieux ! s’écria t-elle.
J’avais fait pas mal de choses en matière du cul et vu de nombreuses chattes écartelées par un speculum dans de films, mais je réalisai que je n’en n’avais jamais utilisé un, ni vu une fille en utiliser un en ma présence. L’objet était métallique et froid, avec ce côté médical. Candice me demanda si je voulais qu’elle se l’enfonce dans le cul ou dans la chatte. Dans la chatte pour commencer, lui dis-je, mais j’aimerais bien te voir le fond du cul aussi...
Elle utilisait l’objet avec expertise - quelques instants plus tard, le spéculum judicieusement disposé lui ouvrait la vulve d’une manière invraisemblable : elle avait visiblement l’habitude d’entraîner son con à la dilatation et j’aurais pu sans problème entrer mon poing dans sa moule sans même effleurer le métal (mais il est vrai que j’ai de petites mains, qui ont fisté un paquet de sexes féminins). Je récupérai ma caméra pour filmer tous les recoins de sa cavité, et m’en approchai suffisamment pour en sentir les effluves enivrantes. Elle sentait un peu la pisse et j’adorais ça. Sa chatte était bien humide, et Candice faisait des mouvements musculaires pour animer ses muqueuses qui roulaient et ondulaient. Je continuais à me masturber en filmant et je voyais ses yeux fixés sur ma bite. Je ne voulait pas la baiser encore, je me gardai donc d’approcher ma queue de sa chatte, d’autant que la tentation aurait été grande de l’enfiler sans préservatif - elle semblait si pure, si jeune, que je n’imaginais pas qu’elle puisse véhiculer quelque maladie que ce soit (et c’est ce genre de sentiment hâtif qui provoque des catastrophes : grossesse inopinée ou infection). Par contre...
— j’ai très envie de mettre ma main, Candice.— Mets ta main mon chéri.
Sa réponse tendre résonna comme une déflagration dans mon esprit. Ces mots tout simples me firent trembler de désir et d’amour, je ne connaissais pas cette fille et une relation paraissait pour le moins saugrenue avec une telle gamine plus jeune que mes propres enfants, mais je sentais bien que quelque chose vacillait en moi. Tout en maintenant la caméra de ma main gauche pointée sur l’antre trempée de la chatte dilatée de Candice, je présentai ma main devant l’orifice. Je la vis fermer les yeux et je la pénétrai avec mon poing. Délicatement, je vis les doigts de Candice agir sur la petite molette pour relâcher la pression du speculum, et de son autre main, elle le retirait doucement. je sentais le métal glisser sur ma main, et l’instant d’après, elle retira complètement l’objet et son vagin se resserra tout autour de mon poing comme une moufle humide. J’avais senti cela des dizaines de fois, mais le contact si étroit, si intime avec la minette d’une aussi délicieuse créature me propulsait au Nirvana. Je me sentis terriblement chanceux. Je remuais doucement ma main pour qu’elle puise se sentir branlée de l’intérieur. Après un moment, je la vis accélérer sa respiration; puis se cabrer et enfin, crier ce qui semblait une jouissance fulgurante - il faut dire que je venais de poser ma langue sur son petit clitoris rose. Un main dans la moule et le clito sucé, et c’en était fini de Candice !
Elle reprit ses esprits tandis que je retirai ma main avec tendresse. Elle était humide et sentait la chatte; a première chose que je fis est de la poser sur ma bite et me branler un peu en déposant les fluides de l’adorable nymphette sur mon dard. Candice ne se reposa pas longtemps. Elle se plaça à quatre pattes.
— Enfonce moi le speculum dans le cul, s’il te plait... bien à fond... ouvre le moi...
J’étais aux limites de l’éjaculation et il était temps que je retire ma main de ma bite. Je reposai la caméra car j’avais cette fois besoin de tous mes doigts pour mener à bien la délicieuse opération. Avec ma main gauche, j’écartai le trou du cul de candice, un délicieux petit trou en étoile, et je présentai le bout de l’ustensile sur l’anneau.
— Mouille le trou avant... intima t-elle.
Voilà un ordre que je me serais pas avisé de refuser. J’approchai ma bouche de son anus et déposai un baiser de salive à l’entrée de ses fesses. Avec ma langue, je garnis chaque petit repli de son trou d’humidité, jouissant de ce contact délicieux. Puis je posai le bout du spéculum qui entra dans le fondement de la jeune fille sans difficultés. Là aussi, il était évident que Candice devait se faire ramoner ou se ramoner plus souvent qu’à son tour. Une fois l’outil au fond de son cul, j’entrepris d’en écarter les deux parties avec la petite molette.
— Tu me dis si je te fais mal...— Vas-y...
Le cul de Candice s’ouvrait tranquillement, et je commençai à voir les parois de son conduit. Au bout d’un moment je pus voir assez loin dans ses entrailles. J’étais plus excité que jamais. Je pris le réflex pour faire quelques photo de la petite chérie ainsi harnachée, puis je repris la caméra pour filmer un peu. Candice mis la main sur l’appareil métallique et continua à visser pour se dilater davantage. Je n’en revenais pas de l’élasticité de son trou du cul. Elle s’était tellement ouvert le trou que je pouvais distinguer une petite crotte blottie dans les replis de ses sphincters.— Ca te plait ?— Tu n’imagines pas. Je suis comme un fou... avec qui fais-tu ces choses-là d’habitude ?
Elle parut hésiter. Puis elle se retourna doucement en veillant à garder l’entrée de son trou bien en ma direction. Elle se mit sur le dos, les pattes écartées en l’air, comme une grenouille de laboratoire, le spéculum planté dans le cul et sa cavité anale largement ouverte. Elle prit un air grave et, tout en se masturbant le clito, me dit la chose suivante :
— En fait, j’ai été déflorée par un cousin quand j’étais au collège. Lui était au lycée. Un jour, on nous a découvert en train de baiser dans le garage de sa maison. Ca a fait un tel scandale que nos parents ont arrêté de se voir. Les siens ont déménagé. Puis, mon père est décédé dans un accident de voiture - il avait pas mal d’argent et ma mère m’a élevée seule, en me surveillant de très près. Je n’avais pas le droit de sortir ni rien, et de toute façon avec la mort de papa je n’avais plus envie de voir personne. Je me suis réfugiée dans le porno sur internet et je n’ai plus baisé avec personne depuis mon cousin. Comme on vivait dans une toute petite ville, après mon bac il a fallu que je vienne ici, à Lyon, pour mes études d’infirmière. Ah oui, je t’ai pas dit, je fais ça comme études. Comme ma mère a l’argent de mon père, elle m’a acheté ce studio et finance tout. Dès que je suis arrivée à Lyon - il y a deux mois - et que j’ai eu mon appart, j’ai pu commander des jouets sexuels, je me suis inscrite sur des sites... je suis devenue une vraie obsédée en fait... sur Netpartouze, j’ai discuté avec deux trois mecs mais je les ai trouvé plutôt nuls après les avoir eu au téléphone. Il y en a un que j’ai sucé chez lui, mais il y a eu un truc un peu chelou, un pote au téléphone qu’il avait l’air de vouloir faire venir. J’ai rien contre l’idée d’un trio ou autre, mais mollo quoi, en fait j’ai pas pris une bite depuis celle de mon cousin, il y a quatre ans ! je veux maîtriser la situation. Je suis partie et il a commencé à être agressif, et du coup je suis devenue encore plus prudente. Et puis je suis tombée sur ta fiche. Tes photos m’ont excitée, tu avais l’air à la fois pervers et artiste... et puis... comment dire...
Je sentais qu’il y allait avoir un truc du genre "tu as l’âge qu’avait mon père quand il a eu son accident" ou un truc dans ce genre. Ca n’a pas loupé.
— J’ai plus mon père et j’ai besoin d’être rassurée, même si je peux te paraître complètement allumée du cul.— Mais le porno ? c’est vraiment ce que tu veux faire ?— J’aimerais bien faire comme ces filles qui ont leur propre site de cul. En fait, je cherche quelqu’un pour m’aider à faire ça. Plutôt que de me faire exploiter... avoir mon site, me faire filmer seule ou avec des mecs, tout ça... y’a pas mal de filles qui font ça avec leur mec.
Je commençais à voir le truc et je n’osai trop m’imaginer dans la situation du mec en question. Mais ça me plaisait plutôt - et je n’avais rien, mais alors rien, contre l’idée de faire des projets avec cette petite bombe qui n’avait en fait que très peu baisé pour de vrai et qui avait fait son éducation sexuelle avec des films porno plutôt du genre crade. J’avais l’impression d’avoir gagné au loto.
— J’ai envie que tu me baise, Laurent. Tout me plait chez toi...— Tu as conscience de l’âge que j’ai ?— Les jeunes de mon âge n’ont aucun intérêt... je te sens bien... je sais bien que je ne peux t’intéresser que pour des photos ou du sexe mais c’est déjà ça...
Je me demandais s’il fallait que je lui dise d’entrée de jeu que malgré son jeune âge, quelque chose vibrait en moi qui dépassait largement le seul désir sexuel. Je me contentai de lui dire qu’on parlerait de ses projets après, et que pour l’instant sa proposition de la baiser me dévorait l’esprit. Je vérifiai la position de la petite caméra - je ne voulais pas perdre une miette des images de moi, Laurent, 55 ans, baisant à couilles rabattues la plus adorable petite nymphomane du pays qui n’avait vu qu’un loup dans sa vie et dont j’allais être le premier homme véritable (même si, après ses révélations et sa tendance à baiser en famille, j’avais un peu l’impression que Candice allait baiser à la fois avec son amant et avec son père). Je récupérai dans ma poche une boite de préservatifs et j’en disposai deux ou trois près du lit puis je m’allongeai près d’elle. J’eus un coup au coeur lorsqu’elle vint se blottir littéralement contre moi - je m’attendais à ce qu’elle saute au paf mais non, c’est un élan de tendresse qui m’accueillit sur le paddock. Elle place sa tête dans le creux de mon épaule; presque intimidé, je posai mon bras sur son dos, et de mon autre main, je lui carressai les cheveux, la joue. Quelle situation étrange, alors que quelques minutes plus tôt, j’étais en train de lui enfoncer un spéculum dans le cul - spéculum qui lui dilatait sans doute encore le fondement car je ne l’avais pas vu l’enlever.
Après un moment de caresses, elle posa sa main sur ma queue qui bandait un peu moins mais qui ne demandait qu’à reprendre des couleurs, planta son regard translucide dans le mien, puis me fourra sa langue dans la bouche. Nous nous sommes embrassés passionnément tandis qu’elle commençait à me branler sérieusement, tandis que je lui caressais les seins et le duvet de sa chatte. Elle fit quelques mouvements pour venir présenter son vagin à ma queue; il faut être prudents, lui intimai-je. Elle fit la moue et me dit qu’elle n’avait pas baisé avec quelqu’un depuis des années et que je ne risquais rien. Je lui fit remarquer qu’elle ne savait rien de moi, de mes pratiques, et que je ne voulais pas non plus mettre en cloque la première gamine tout juste majeure venue. Ca me brisait le coeur car je ne rêvais rien davantage que de la fourrer sans capote, de sentir la pulpe de son sexe ensserrer mon gland nu. Mais j’enfilai rapidement un préservatif et me replaça entre ses cuisses. Elle glissa contre moi et je sentis ma queue entrer doucement à l’intérieur de sa vulve. C’était délicieux, mais ce bout de plastique gâchait clairement la fête. Je me dis que si nous allions plus loin dans cette relation, ce n’était que partie remise pour la défoncer à cru. Nous avons bougé un moment, profitant de cette pénétration pour continuer à nous embrasser. Elle me demanda si je voulais changer de position.
— J’aimerais que tu te mettes en 69 sur moi, mon bébé.
Ce petit mot affectueux était le premier pour moi, je me demandais s’il était bien choisi vu la différence d’âge. "Oui, je suis ton bébé, tu baises ton bébé mon chéri", répondit-elle. Au moins, c’était clair, elle était dans un trip un peu incestueux en rapport avec le père qu’elle n’avait plus. Elle retira ma bite de sa poche humide et vint me chevaucher, la chatte au dessus de mon visage, et ma queue dans la bouche. J’avais largement écarté mes cuisses pour lui offrir mon trou aussi bien que mon manche. Je constatai que le spéculum était toujours enfiché dans le trou de son cul, elle ne l’avait que desserré pour diminuer la dilatation. "Tu peux l’enlever si tu veux", me dit-elle.
Je retirai doucement l’objet de son anus; il était un peu maculé de merde, et ça m’excitait pas mal. Je passai ma langue sur les traces; elle dut deviner à mes mouvements ce que je faisais.
— tu le nettoies avec ta bouche c’est ça ?— oui...— montre moi comment il est...
Je lui présentai l’instrument qui présentait encore des salissures merdeuses. Elle me le prit et le mit dans sa bouche, en me regardant dans les yeux. Puis elle me tira la langue, me montra qu’elle avait pris un peu de merde dans la bouche, l’avala, et me dit :
— je t’aime.
C’était la plus délicieuse déclaration qu’on m’ait jamais faite, et la plus odorante aussi. Je perdai toute raison et répondit :
— je t’aime aussi petit bouchon.
Elle sourit de toutes ses dents - je la sentais heureuse.
— Tu aimerais que je te pisse dans la bouche ?— J’adorerais. Fais tout ce que tu veux avec tes trous, mon ange. Pousse.
Elle reprit ma bite dans la bouche, et quelques instants plus tard, je sentis qu’elle laissait aller un filet d’urine hors de son corps. J’avalai le breuvage, et de mes deux mains, je lui écartai largement la chatte et l’anus. Avec mon index, j’allai lui fouiller le cul. Je lui dis que je la sentais bien pleine. Elle me mit un doigt dans le trou aussi, puis commença à pousser. Je sentis une masse molle coulisser le long de mon doigt. Je poussai aussi, et je sentis que ma queue émettait un petit jet d’urine.
— tu pisses aussi mon chéri, elle est bonne ta pisse... dit-elle.
Je me laissai alors aller dans sa bouche, je sentais ma pisse couler le long de son cou et venir sur mon ventre, j’avais aussi son urine partout sur moi et je caressais la jolie crotte qui était dans son fondement tout en lui suçant le clitoris.
Nous avons joui tous les deux, en même temps. Candice reprit ses esprits, pivota et vint se coucher contre moi. Il flottait une odeur épicée de nos corps et de nos extravagances. Son vissage sentait mon sperme et mon urine. Je lui lapai la bouche et les joues comme un petit chat du lait, ça la faisait rire.
— Je veux qu’on recommence plein de fois, me dit-elle.— On recommencera.— Et puis on va faire tous les deux un test, je me ferai prescrire une contraception et on pourra faire l’amour pour de vrai.
Je commençais à me dire que "Candice et Laurent", c’est une chose qui allait peut-être exister. J’étais divorcé depuis quelques années, et je me doutais qu’un tel attelage allait faire jaser, mais je m’en fichais. J’avais envie de la revoir, j’avais envie d’être avec elle.
Nous nous sommes revus le lendemain, et le lendemain encore. Puis elle est venue dormir à la maison, et on en a fait une habitude. Dès que nous avons eu nos résultats de tests et elle sa pilule, nous avons baisé comme des lapins, peau nue contre peau nue, gland contre vagin humide. J’ai versé des litres de sperme dans ses conduits, je lui ai pissé dans la chatte, dans le cul, on a bu beaucoup de notre pisse. Nos jeux scato sont restés assez light, j’étais très amoureux d’elle et je ne voulais pas que nous allions aussi loin, aussi tôt. Mes amis regardaient cette créature comme une extraterrestre, on l’aurait dit sortie d’une publicité tant elle était improbablement jolie, menue, jeune. Un jour je lui ai donné les clefs de ma maison et elle a loué son appartement à une amie de l’école d’infirmières. Elle continuait ses études, mais me parlait de plus en plus souvent de son projet porno. Au début, j’avais envie de la garder pour moi, mais je savais qu’on ne garde pas un tel oiseau en cage.
Le début des aventures porno de Candice, sera pour un prochain chapitre...
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