(je vous conseille de prendre l’histoire au début...) Violette avait passé le test haut la main et sa personnalité comme son look décalé pouvaient faire merveille comme "permanente" du site. Son exigence de toucher 15% des bénéfices plutôt que 10% posait évidemment problème, mais nous avions résolu la question pour éviter de tout bouleverser : la petite Asperger était - comme on pouvait s’y attendre - une geekette bon teint et s’était proposée pour se charger de la maintenance et de la mise à jour du site. Voilà qui justifierait le petit bonus demandé. On sentait de toute façon que son esprit plutôt fulgurant ferait merveille pour trouver des moyens de booster notre lectorat de branleurs et de branleuses ! Le lendemain, à peine remis de nos émotions avec la jeune fille ultra-chaude, il nous fallait gérer le premier couple a qui nous avions donné rendez-vous, Kara et Philippe. Comme pour les deux hommes seuls, nous avions eu le nez fin de sélectionner deux couples. Le contact entre Candice et Kara ne s’est pas passé au mieux. La jeune femme était visiblement décontenancée de rencontrer une fille objectivement plus séduisante qu’elle, et devait avoir l’habitude d’être la reine de toutes les assistances. Après une conversation d’une petite heure où nous primes soin de ne pas trop en dire sur notre projet, nous donnâmes congé et n’avons jamais poursuivi avec eux. Je ne regrettai rien car Philippe n’était pas non plus à mon goût et ne correspondait pas vraiment à ce que dégageait ses photos. Comme nous n’avions pas prévu la rencontre suivante avant le lendemain, cette déconvenue nous offrit une petite pause sexe finalement bienvenue. Le vendredi fut vite là et le second couple, Emilie et Alexandre, se présentèrent à l’heure à la porte de la maison. Nous les conduisîmes directement au studio, que nous avions rendu de plus en plus confortable au fil des jours. Simple plateau photo modulable au départ, c’était devenu un petit lieu de vie dédié au sexe. Rien qui puisse les effrayer : si nous les avions sélectionnés, c’est que leur fiche couple était remplie de photos et vidéos à visage découvert, dans toutes les positions imaginables - y compris quelques photos uro. Alexandre se moquait d’être retenu. A 56 ans, il avait vendu son entreprise dix ans auparavant et vivait de ses rentes, n’avait pas d’enfant, n’en voulait pas avec sa jeune compagne, et vouait un culte à la pornographie et au sexe. S’exhiber et exhiber sa poupée étaient sa marotte : Dirtyroulette, Omegle et pas mal d’autres sites voyaient régulièrement le couple en pleine activité. Emilie semblait assez dominée par son homme - se rendait-elle vraiment compte de la trace pornographique indélébile qu’elle laissait derrière elle à un si jeune âge ? Alexandre nous expliqua qu’il avait rencontré Emilie lors d’un séjour à la campagne - elle était employée dans une maison d’hôtes, n’avait fait aucune études. Elle était ravissante, une beauté naturelle, petite avec une taille fine et une poitrine importante pour son gabarit et pour son jeune âge de 22 ans - même si je préférais les petits seins de nos autres camarades de jeu et de Candice, avoir une petite novice menue avec des gros seins permettrait de varier les plaisirs ! Rousse vénitienne avec des tâches de rousseur, elle avait aussi importé de son Ardèche natale un petit accent chantant. Alexandre, qui nous demanda de l’appeler Alex, nous chuchota qu’Emilie faisait à peu près tout ce qu’il lui demandait sans rechigner. Alors que je lui demandai pourquoi il n’y avait jamais personne d’autre qu’eux sur leurs images de profil, la réponse nous surprit : il ne l’avait encore jamais prêtée. Il en rêvait, mais - et cela nous amusa beaucoup avec Candice - recherchait un couple de même type qu’eux, cochon avec une grosse différence d’âge. Celà ne l’excitait pas du tout de voir Emilie avec un petit jeune; il voulait la voir couverte par un homme mûr comme lui, pour s’identifier. Je réalisai que j’étais dans le même cas : j’avais pensé que je serais jaloux d’un homme plus jeune, mais en réalité, j’avais envie de voir Candice se faire mettre par des hommes aussi âgés que moi, voire même davantage. Je ne lui en avais pas parlé, mais j’avais le désir de voir ma chérie baiser avec des hommes vraiment vieux; la voir faire de choses sales avec eux. Je gardai ce projet pour plus tard. Alex et Em étaient parfaits, mais il ne s’agissait pas pour nous d’associer tout le monde. Nous leur avons donc expliqué le principe du site, qu’il y aurait quelques permanents rémunérés mais que les autres partouzeurs seraient bénévoles. Nous avions cependant imaginé la possibilité pour les internautes de faire des cadeaux à tout le monde, permanents et récurrents, et Emilie s’enthousiasma de pouvoir recevoir des culottes, des godes ou des petits bijoux. En échange, les donateurs recevraient une vidéo smartphone coquine spécialement tournée par le ou la récipiendaire du cadeau. Le couple était ravi de ces dispositions. Nous avons également parlé médecine : le couple était venu avec deux tests récents et nous rappela qu’ils n’avaient encore échangé avec personne. Nous avons également produit nos tests mais en précisant que nous avions eu quelques aventures, mais avec protection pour ce qui est du seul homme concerné - Matthew. Cela sembla leur convenir et nous décidâmes de baiser au naturel. Pour plus de sécurité, nous leur avons passé deux cachets de Truvada, en leur expliquant la protection apportée par une prise en amont ou en aval d’un rapport non protégé. Avec Candice et compte-tenu de notre projet, nous avions décidé de suivre ce protocole préventif réputé extrêmement efficace - mais qui ne protégeait que de la pathologie la plus redoutée. Candice avait hâte de goûter à nos invités. Moi, j’étais dans mes petits souliers. J’avais très envie de baiser avec eux, et dans le même temps, je n’avais encore jamais vu Candice avec un autre homme. Je me demandai comment j’allais réagir. Candice se dirigea directement vers Alexandre, alors que je m’attendais à ce qu’elle commence par Emilie, suivant le schéma échangiste classique. Elle retira sa petite jupe, se retrouva en bas et culotte, se mit à califourchon sur lui et l’embrassa. Alex posa ses mains sur ses fesses tandis que je sentais mes boyaux se tordre tant la situation me perturbait. Je compris à ce moment là à quel point Candice était devenue mon soleil. Heureusement, sans même que je l’ait vue venir, Emilie vint se poser sur moi. Imitant Candice, elle avait aussi enlevé sa très courte jupe, et elle n’avait pas de culotte - une exigence permanente d’Alex, nous confiera-t-il. Alors qu’elle me donnait aussi sa bouche et que je sentait ma bite gonfler instantanément, je vis Alex donner des coups d’oeils furtifs en notre direction. j’étais prêt à parier qu’il vivait, comme moi, des sentiments contradictoire. Le jeu consista vite à agir de manière symétrique. Les deux filles nous déshabillèrent progressivement - chemise, chaussures, chaussettes, pantalon, et nous laissèrent en caleçon. Puis elles entreprirent de se désaper aussi - ou en tout cas d’enlever le peu qui restait. Emilie était vraiment désirable, avec sa peau de rousse, ses cheveux qui descendaient en boucles gracieuses sur ses épaules et dans son dos, ses proportions de gamine mais avec des seins de femme. Elle avait une chatte au naturel, juste tondue de près afin de laisser voir les méandres de son sexe. — Rapprochez-vous les garçons... ordonna Candice. Laurent, retire le caleçon d’Alexandre. J’adorais quand ma puce se transformait en grande ordonnatrice du cul. Je m’approchai d’Alex et lui retirai son caleçon. Candice ne m’avait finalement encore jamais vu avec un homme, sinon sur la vidéo avec Matthew. Je la vis du coin de l’oeil se branler comme une perdue, puis elle demanda à Emilie de venir lui sucer la chatte pendant qu’elle nous regardait. Elle se cala au fond d’un large fauteuil près du lit, écarta son sexe à fond avec les deux mains, dévoilant tous les détails de sa vulve à sa jeune alliée, laquelle vint lui brouter la foune avec délectation. Après avoir mis Alex entièrement nu, je découvrais sa magnifique bite, avec son gland bien dessiné, une belle raideur avec la courbure élégante et deux belles couilles bien pleines et dure. Je le masturbai, puis rapidement je vins engloutir le braquemart dans ma bouche. Il écarta largement les cuisses et je compris le signal. Je lui enfonçai profondément un doigt dans le cul et il poussa un râle de plaisir. — Mets-moi aussi des doigts dans le cul, demanda Candice à Em. Et fouille bien au fond.— Vous faites des lavements avant vos jeux, vous ? demanda Alex à Candice.— Viens me mettre les doigts au fond du cul si tu veux le savoir, répondit-elle. Je crois qu’Alex a compris le message, car l’instant d’après je le sentis pousser sur mon doigt. Une merde commença à coulisser le long de son conduit et effleura le bout de mon doigt. — Hmmm, fis-je, ça m’excite, ça...
— Je sens quelque chose, ajoura Emilie. De toute évidence, nous étions sur la même longueur d’onde. Ils avaient peut être remarqué que le sol et les revêtements du lit et des fauteuils avaient été choisis pour leur caractère insubmersible; toujours est-il qu’alors que la bite d’Alex continuait à aller et venir au gré des mouvements de ma bouche, je la sentis expulser un liquide chaud et âcre. Il me pissait dans la bouche sans prévenir, et c’était la première fois que je recevais l’urine d’un homme. Je me mis à bander encore plus fort dans mon caleçon. Candice vit la pisse déborder de ma bouche et cela suffit à déclencher son premier orgasme dans la bouche de la petite campagnarde perverse; puis elle ferma les yeux, se concentra et se vida la vessie sur Emilie. — Bois tout, petite pute, lui intima Alex. Emilie avalait tout ce qu’elle pouvait, tout en continuant à pistonner le cul de ma chérie. je vis celle-ci se concentrer en core davantage et je sus ce qu’elle préparait. Quelques secondes plus tard, Emilie retira ses deux doigts du cul de Candice, souillés de merde tandis qu’un long colombin bien moulé sortait du trou de celle-ci. Cette vision fit éjaculer Alexandre dans ma bouche. — Vous avez tous les deux bien joui, à nous maintenant, déclarai-je en direction de la rouquine des champs. Emilie, étale toi la merde de Candice sur la chatte s’il te plait et vient te mettre sur le lit. Emilie s’exécuta. Elle s’offrit à moi, jambes écartées, le sexe recouvert des excréments de Candice. Je m’approchai d’elle, retirai mon caleçon, dévoilant ma queue qui fit belle impression sur le couple. Malgré ma bandaison de tous les diables, après une courte méditation j’envoyai sur le corps de la belle des prés un jet dru de pisse bien jaune, que je dirigeai sur sa chatte, ses seins, son visage; — Ecarte-toi le cul. Emilie releva encore plus ses jambes, les pieds bien en l’air, et s’écarta le cul avec les doigts. Je m’avançai, et, cessant de pisser un instant, lui enfonça ma queue dans l’anus. Après l’avoir besognée quelques instants, je lui pissai le reste de ma vessie dans le trou de balle, puis je ressortis ma queue et lui demanda de se mettre à quatre pattes. Une fois la jolie rouquine retournée, je lui enfonçai ma queue dans le vagin et lui demanda de pousser de toutes ses forces sur son trou du cul. Je l’entendis forcer comme une folle et j’eus du mal à conserver ma bite dans son sexe tant ses contractions tendaient à l’en faire sortir. Puis je vis l’anus s’ouvrir et expulser d’abord un bon jet de pisse marron, puis une déferlante de merde bien liquide avec quelques morceaux, dont une bonne partie vint s’échouer sur ma queue puis entra, à la faveur des mouvements de celle-ci, dans sa chatte. Candice, pendant ce temps, s’était approchée du lit, avait récupéré une partie de la merde d’Alexandre et s’en badigeonnait la vulve. Elle escalada le mari d’Emilie, vint placer sa chatte au dessus de la bouche de l’homme qui lui lécha la moule sans se faire prier, pleine de ses propres déjections. A cette vue, également excité par le fait que j’étais en train de bourrer le con de la petite ardéchoise de merde, je déchargeai comme un salaud mon sperme dans sa cavité. Nous avions joui comme des fous, heureux de ce premier épisode que nous n’attendions pas aussi délicieusement dégueulasse pour une première fois. — Nous n’avons pas exploré toutes les positions en tout cas... il va falloir recommencer ! se plaignit Alex.— En effet, tu ne m’as pas mis ta queue dans mes trous, confirma Candice, et je suis sûr que comme moi Emilie aimerait vous voir vous enculer et vous chier dessus.— Et Laurent n’a pas chié, protesta Emilie. Et je n’ai pas joui ! C’est vrai, Em n’avait pas joui. — Ok Emilie, couche toi par terre. Candice, viens la lécher et lui doigter le cul jusqu’à ce qu’elle jouisse. Les deux filles s’exécutèrent. J’enjambai Emilie, m’accroupis au dessus de sa poitrine. Alex se branlait devant le spectacle, sans doute prêt à lâcher à nouveau la purée. Je poussai de toute mes forces, et chia abondamment sur la gamine. Je viens me frotter le cul sur ele pour bien tout étaler sur son corps, sur mon cul et mes couilles, puis je vins placer mon anus sur son visage. Elle me nettoya avec application le trou, avalant manifestement ce qu’elle pouvait. C’en était trop pour Alex, qui vient se positionner près de la chatte d’Em et donc de la bouche de Candice, et éjacula pour la seconde fois. Emilie se cambra d’un coup, jouissant comme une folle, barbouillée de merde de la tête à la chatte. — Ces films seront visibles sur le site, demanda Alex.— Dans une section spéciale, oui. Il faudra que nous fassions aussi des baises moins crades pour la partie "normale". Après s’être lavés tous ensemble dans une grande douche - non sans avoir, à nouveau, mis nos bites dans des chattes et des culs (mais pas encore de sodo entre hommes, on gardait ce dessert pour plus tard), le tout sous l’oeil de caméras placées dans la pièce d’eau, nous sommes allés débriefer dans un proche restaurant. Au vu des regards quelque peu suspicieux de nos voisins de table, nous en avons conclu que soit ils désapprouvaient l’union de deux hommes mûrs avec des filles qui semblaient tout juste majeures, soit que nous émettions autour de nous les effluves résiduelles de nos ébats récents. Ou alors, ils se sont aperçus que les deux hommes mettaient régulièrement leurs doigts dans la chatte des demoiselles. Qui sait !
