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Canicule

Chapitre 1

Hétéro
La canicule peut faire des ravages de différentes manières, comme par exemple provoquer l’embrasement nos sens, plutôt que l’atmosphère. C’est ce qui arriva ce jour-là, lorsque je décidai de lui faire une surprise…
Tout commença comme nous avions souvent l’habitude de le faire, par cette sorte de rituel de ma main posée amoureusement sur sa cuisse, tandis que nous faisons route vers notre antre de perdition. Je décryptais à l’aveugle et avec une infinie tendresse les pores de sa peau délicieusement hâlée. Je pinçais de temps à autres son épiderme pour lui témoigner mon impatience, mais rien qui ne devait me déconcentrer au-delà du raisonnable durant le trajet. Sauf peut-êtrequelques baisers volés agrémentés du jeu de nos langues gourmandes, à la faveur de plusieurs arrêts aux feux tricolores …
Arrivés sur place je lui tendis un masque avant de sortir de la voiture. Elle ne sembla pas étonnée et le prit sans poser la moindre question quant à son usage. Pour une fois je la suivis au lieu de la précéder, en lui indiquant l’escalier à emprunter et qui menait au vertige de nos retrouvailles. Je voulais prendre le temps de l’admirer dans sa démarche chaloupée qui me troublait au plus au point. Elle se mit à gravir les premières marches et ma main ne put s’empêcher de caresser le galbe de son mollet aux muscles saillants, brunis par le soleil estival. Je me laissais docilement entraîner par la fluidité de ses longues jambes fuselées avalant les marches, et toutes mes pensées …
Le sésame nous ouvrit enfin la voie vers la luxure et notre antre plongé dans la pénombre. Elle prit soin de mettre son masque avant d’y pénétrer, puis je refermai la porte sur le huis clos de nos jeux sulfureux.Alors que je pouvais jouir pleinement de mes cinq sens, elle s’attaqua immédiatement et sans aucune hésitation, aux boutons de ma chemise. La boucle de ma ceinture céda tout aussi rapidement à ses avances et je dus tempérer ses ardeurs pour ne pas être abusécontre le mur jouxtant la porte d’entrée !
Mes mains prirent possession de son corps, tout comme mes lèvres saturant sa peau de baisers incandescents. L’effeuillage se poursuivit dans la ferveur de cette impatience mise à dure épreuve. J’ôtai son petitdébardeur pendant qu’elle s’affairait sur d’autres boutons, ceux de mon pantalon. Le zip de sa jupe glissa sans entrave, avant de l’envoyer balader à l’écart. Elle s’amusa à pétrir ma vigueur quelques instants au travers des mailles distendues de mon slip, puis s’en débarrassa avant d’en engloutir le contenu. Je frissonnais sous les assauts de sa langue, les pincements incisifs de ses dents, tout ce qui était à même de me propulser vers l’extase …
Elle avait une façon toute particulière de murmurer à mon gland des mots tendres et sirupeux, nectar de mon excitation. Soudain, elle me rongea le frein avec beaucoup de persuasion et je finis par la coller au mur pour mettre en œuvre mon plan maléfique. Ma main caressa longuement son échine de bas en haut, pour revenir ensuite à son point de départ. Je me délectais de la cambrure de ses reins se creusant davantage au passage de ma paume, tout comme la vision de son shorty blanc en dentelle, moulant son fessier à la perfection. Je regrettais presque de devoir l’ôter, car j’aurais eu plaisir à en abuser plus longuement. Mais ce n’était pas au programme …
Mes doigts crochetèrent les agrafes de son soutien-gorge qui sautèrent l’une après l’autre, libérant ses jolis seins de leurs coques protectrices. Je pétris une dernière fois son « cul d’enfer » et l’invitai à se retourner afin de poursuivre mon emprise. Elle releva tout naturellement ses bras au-dessus de la tête, en parfaite adepte de la soumission. Sa poitrine arrogante pointait en ma direction deux superbes tétons qu’il me fallait sur le champ satisfaire. Chacun d’eux se vit recevoir en hommage une pince au vivifiant mordant qui fit gémir de surprise mon adorable Diablesse …
Son corps se vrilla sous le trouble incandescent de cette douloureuse sensation de bien-être qui peu à peu la plongeait dans une autre dimension. Elle était si belle sous mon emprise, et il ne tenait qu’à moi de parfaire mon œuvre pour qu’elle devienne sublime. Mon pouce entraîna vers sa cuisse la dentelle du délicat shorty qui finit sur ses chevilles. Je contemplai sa toison brune soigneusement taillée en triangle, comme nous l’avions imaginé ensemble. Une belleréussite que mes doigts se mirent à effleurer. Son poil était court et la caresse soyeuse, à l’image de son abricot que mon majeur pénétra sans vergogne …
L’annulaire suivit de près pour mettre fin à la tourmente. Il n’était pas question de la faire jouir puisqu’elle n’aurait même pas le temps ni la volonté de s’abandonner. C’était bien pire que cela, bien plus jouissif encore. Une déferlante sauvage que rien n’arrête et qui emporte tout sur son passage. Mes doigts s’activèrent tandis déjà l’orgasme gronda. Quelques secondes de fureur suffirent pour que les éléments se déchaînent dans un long râle primitif. L’insondable jouissance fusa en chaudes salves extatiques qui éclaboussèrent nos jambes, tout comme le sol de venu dangereusement glissant …
Ma main quitta son sexe chauffé à blanc et répandit sur son torse et son ventre, le fruit juteux de son abandon. Sur mon avant bras ruisselait le même fluide bienfaisant, tout comme le long de ses cuisses. Haletante, elle dut se soumettre sans devoir reprendre son souffle, à mon adorable perversité. Je la guidai dans ce sens, vers la suite des événements …
Encore vibrante des spasmes qui l’avaient ébranlée, je lui fis prendre une nouvelle posture, debout, les jambes légèrement écartées. Je scrutais dans l’ombre de mes chinoiseries sa silhouette auréolée d’une subtile lumière ambrée qui dévoilait de nouvelles facettes de son charme troublant. Sa cambrure d’une rare insolence guida tout naturellement mon regard vers l’arrondi de son fessier aux moelleux hémisphères entrouverts sur un monde de délicatesse et de draperies finement ciselées. C’est alors que je m’aperçus que j’avais négligé un aspect fondamental de mon emprise. Il me fallait réduire davantage encore ses degrés de liberté, afin de parfaire mon scénario au sommet duquel j’allais la placer …
Je fixai donc à ses poignets réunis dans le dos, des bracelets l’obligeant à mieux contrôler son équilibre, tout en réveillant son excitation. Quant à son centre de gravité, je prévoyais de le déplacer au zénith du tourment que j’avais spécialement conçu pour elle. Le plus discrètement possible je glissai entre ses jambes largement ouvertes sur l’inconnu, mon appareillage soigneusement tenu secret. Je l’invitai ensuite à se laisser choir lentement pour prendre contact avec la réalité du maléfice dressé à son encontre. Ses lèvres soyeuses coiffèrent avec une redoutable précision le dôme lisse du mystérieux intrus …
La froideur du phallus sur lequel elle n’hésita pas un seul instant à s’empaler contrastait violemment avec l’incandescence de son antre en fusion. Mais cette sensation ne pouvait qu’exacerber ses sens et rendre la pénétration des plus délicieuses. Elle s’attendait probablement à tout, sauf à cette nouvelle expérience peaufinée dans les limbes de mon esprit diabolique. Ce qui me surprit le plus, c’est sa manière d’user et d’abuser de ce totem élevé à sa jouissanceexclusive. Elle imprimait avec une facilité déconcertante un rythme de va-et-vient que seul son bassin était à même de mettre en branle, face à l’immobilisme de ce qui ne s’avérait être qu’un vulgaire gode ventousé sur un tabouret …

J’admirais en contre-plongée sa vulve pieuvrant avec appétence le phallus docile pour l’enrober de son fiel, avant de le recracher dans un râle de contentement. Habituellement, cette pratique était un supplice contre lequel je devais lutter en permanence, lorsqu’elle décidait de me chevaucher en Sauvageonne. Cette fois-ci je pouvais jouir de cette vision sans risque de défaillir au cinquième coup de rein …
Epousant la courbure de son corps enfiévré, livré à l’emprise du démon de silicone, je mordillais amoureusement sa nuque irisée de perles de sueur. Mes mains se refermèrent en étau sur ses seins frémissants que je me mis à pétrir avec ferveur, rendant insoutenable le mordant des pinces enserrant ses tétons. Mais pour la libérer de cette torture, il fallut lui en infliger une autre. Je fis diversion quelques instants en massant la hampe turgescente de son clitoris délicieusement bandé. Empalée jusqu’à la garde sur le phallus emplissant son ventre de sa ténébreuse vigueur, elle se soumit au jeu incessant de mes mains et de mes doigts, sans lutter …
Lorsqu’elle sentit les pinces se figer entre mes doigts, son corps se tétanisa. Elle savait ce qui l’attendait pour l’avoir vécu plusieurs fois en ma compagnie, notamment ce jour où je m’étais amusé à titiller ses sens au moyen d’une cinquantaine de pinces. Je les avais judicieusement placées au niveau des avant bras, de la poitrine, du ventre, de son sexe, jusqu’à l’intérieur de ses cuisses, sans oublier son le point d’orgue de mon emprise, son clitoris. Reliées entre elles par deux ficelles, elle découvrit l’embrasement provoqué par le retrait simultané de la moitié des pinces. L’effroyable sensation de brûlure, et sa furtivité bienveillante …
Je n’avais que deux pinces à retirer, mais elle se préparait déjà au pire. Allais-je les ôter l’une après l’autre ? Avant même qu’une esquisse de réponse fuse de ses neurones englués par l’extase, j’ôtai les deux pinces en même temps, lui arrachant du fond de la gorge, une interminable plainte de soulagement …
Il manquait à ce stade une touche finale pour que le tableau soit parfait. Je retirai sans préavis le tabouret en laissant mon adorable victime en équilibre instable, assise sur le néant d’un immonde ressenti. M’ancrant fermement à son corps pour affronter l’ultime tempête, mes doigts prirent possession de son sexe comme eux seuls savent le faire. Immédiatement, son vagin s’engorgea et fut vite saturé de chaude jouissance qu’elle ne put contenir au-delà de quelques secondes. Un torrent bouillonnant fusa au travers de mes doigts et inonda généreusement le sol. Sa tête lovée au creux de mon épaule, la tiédeur de mon souffle balaya son visage jusqu’au dernier spasme …
Lorsque mes doigts quittèrent son sexe de nouveau ébranlé, une chaude ondée finit de ruiner le sol transformé en patinoire. Plus haletante que jamais, je la recueillis au creux de mes bras transformés en îlot de tendresse, me disant que les réjouissances étaient loin d’être terminées …
Mon œil lubrique scintillait dans la pénombre, fixant les quarante lanières de cuir du long martinet …
L’effet de surprise étant consommé, je décidai de lui ôter enfin son masque afin qu’elle puisse jouir de toutes ses facultés. Mon emprise quant à elle ne devait nullement se relâcher, c’est pourquoi je maintins ses poings liés dans le dos, tout en l’entraînant vers notre nouvel espace de découverte. Comprenant la nature de ce qui allait suivre, elle adopta sans que j’aie besoin de le lui rappeler le type de posture que j’attendais d’elle. Mon Indolente s’agenouilla sur le bord du lit puis bascula vers l’avant, la croupe joliment offerte et le visage enfoui dans les draps. L’excitation et l’inconfort allaient de pair pour renforcer le trouble qui ne cessait de l’envahir, et la combler …
Je contemplais son intimité affichée en toute impudeur, dont chaque secret m’était devenu familier au fil de mes indécentes explorations. Sur sa peau ruisselait encore les souillures de cette folle jouissance qui avait fusé en abondance d’entre ses chairs sollicitées à l’extrême. Je distinguais très nettement les palpitations de sa vulve béante d’impatience d’être à nouveau possédée. Je n’avais qu’une envie, y scotcher mes lèvres et la fouiller de ma langue insatiable, friant de sa déliquescence. M’agenouillant à mon tour devant son divin autel, je rendis un gourmand hommage à la fiévreuse moiteur de son arrogance, dégoulinante d’une substance mielleuse qui me collait aux naseaux …
Ancré fermement à ses cuisses, je sondai son con et son cul avec la même ferveur, tandis qu’elle ahanait fébrilement sous le joug de mes incursions endiablées. Je ne tenais pas à lui laisser espérer le meilleur de mes jeux de langue, et encore moins la faire jouir. Je la délaissai soudain, pantelante de désir, pour m’adonner au voluptueux échauffement de ses hémisphères. Elle n’eut probablement pas le temps d’apercevoir le chat à quarante queues suspendu en hauteur, juste à portée de main, et qui miaulait d’impatience …
Dans un silence presque religieux, je saisis le manche de cuir et me mis à caresser les longues lanières de cuir, me demandant brièvement sur quelle fesse allait s’abattre ma première frappe. Elle devait être précise afin de créer une nouvelle surprise, vivifiante à souhait. La multitude des lanières claqua sèchement sur sa fesse droite, arrachant à mon Arrogante un râle de plaisir à peine dissimulé. Son fessier se contracta puis s’ouvrit de nouveau, comme un appel au délice du fouet. Je vis alors son petit orifice se dilater, exalté par le souffle de mes caresses incendiaires …
Alors mes frappes s’enchaînèrent en tentant de satisfaire au plus près sa curiosité. Son adorable cul devint écarlate sous la déferlante des frappes successives. J’embrasais l’arrondi de sa croupe, sans négliger ses orifices étrangement avides de cette sombre délectation. Une fois encore je mis un terme à la sulfureuse tentation du renoncement. Je voulais jouer de toutes les nuances de ses cris, mêlant à l’ivresse de mon emprise, les douces brûlures intestines de l’inconnu …
J’abandonnai entre ses mains toujours crispées dans son dos, l’instrument de torture devenu encombrant. Quelle image troublante de la voir ainsi frémissante et haletante dans cette inconfortable posture, en possession de l’arme qui l’avait faite tant vibrer. Je revins à la charge de son petit œillet bien trop accueillant pour ne pas en abuser plus longuement. Ma langue le pénétra sans vergogne et sonda son rectum de fond en comble. S’il y a bien une chose, certes parmitant d’autres, contre laquelle elle ne pouvait lutter, c’était le fait de la baiser ainsi. Je tournoyais dans son cul comme aucun phallus ne pouvait s’imaginer le faire, et cette forme d’intrusion la rendait folle à lier ! Heureusement, elle l’était déjà …
Décidant de varier les plaisirs, je sautai d’un orifice à l’autre et léchai sa fente liquoreuse avec une infinie gourmandise. De longs filets crémeux s’écoulaient en un flux continu, engluant ses lèvres et l’intérieur de ses cuisses. Son excitation hors norme faisait d’elle un festin de choix dont je ne saurais en ignorer l’attrait. Au contraire, elle me rendait définitivement insatiable de son corps, avide de sa chair, et dingue du moindre de ses débordements …
Je pense avoir eu l’intention de la faire jouir à cet instant précis, surtout quand mon majeur suivi de mon annulaire s’engouffra dans sa chatte gorgée de miel. Deux ou trois borborygmes vaginaux plus tard, elle me gicla de nouveau sur les cuisses ! Je claquai tendrement son cul pour manifester mon approbation et répandis sur son épiderme la douce tiédeur de son abandon. J’en profitais au passage pour glisser mon pouce dans son œil de velours, tout en affolant de mes autres doigts la hampe ô combien bandée de son clitoris …
Il était temps pour moi d’oublier les affres de la domination pour consumer mon emprise de manière plus charnelle, plus fusionnelle encore. M’exposer au pire pour vivre le meilleur, l’ivresse d’une jouissance qui me ferait courir inexorablement à ma perte !
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