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Capucine

Chapitre 5

Trash
CHAPITRE 5
Au petit matin, alors que Capucine était tendrement allongée la tête au creux de mon épaule, reposée, je lui posais une question :
— Dis-moi ma chérie tu vois souvent Juliette, ma cousine ? — Oui c’est ma meilleure amie et aussi mon amoureuse lesbienne.— Elle est vierge ?— Pourquoi tu veux la dépuceler ? Alors c’est trop tard car un connard l’a déjà fait !— Un connard ?— Oui il s’y est pris comme un manche et lui a fait très mal. Depuis elle ne veut plus qu’un homme la touche. Elle préfère les femmes mais, vues nos conversations, elle est amoureuse de toi, elle reprendrait le bon chemin si tu lui faisais l’amour.— Tu vas lui raconter pour toi et moi ?— Elle le sait déjà, je lui ai envoyé des SMS pour tout lui narrer. Elle n’a qu’une hâte c’est d’avoir les détails de ma propre bouche. Elle rêve de se faire sodomiser par toi pour la première fois. Elle est un peu jalouse que ce soit toi qui m’aies dévirginisée alors que tu aurais pu le faire pour elle. Mais elle n’a pas osé te le demander, la peur que tu la rabroues, c’est ta cousine, donc de l’inceste. — J’avoue que si elle est consentante, et toi aussi, je me laisserai bien tenter pour une séance à trois. L’inceste ne me fait pas peur… sauf si ses parents le découvrent !— Tu n’es qu’un vieux cochon libidineux qui ne pense qu’à baiser !— Oui mais moi je n’ai pas la queue en tire-bouchon… et tu es tellement assoiffée de sexe que tu ne peux pas te passer de moi. J’ai tort ? Dis-je en riant.— Non tu es devenu ma came ! Tu as gagné ! Je vais l’appeler pour qu’on se voit aujourd’hui et je vais faire en sorte que ce soir tu puisses nous avoir toutes les deux dans ton lit.— Voilà un bon programme ! J’approuve… Il va falloir que j’assume…
Je passe sur les détails qui suivirent et qui n’ont aucun intérêt pour en venir à la soirée où j’allais pervertir ma cousine Juliette avec la complicité de sa meilleure amie, qui était aussi depuis peu ma maîtresse.
Ne voulant pas avoir de défaillances et assumer mon rôle de mâle dominant, je pris une heure avant leur arrivée que Capucine m’avait confirmée, un comprimé de Cialis 20 Mg dont l’action permettait d’avoir des érections soutenues pendant plus d’un jour et demi.
À l’heure dite je les vis arriver juchées sur le scooter de Capucine. Après l’avoir garé, elles ne tardèrent pas à entrer dans le living où je les attendais. Capucine vint immédiatement me rouler une galoche pour montrer à Juliette que j’étais sa possession.
— Bonjour ma puce dis-je à Juliette qui me claquait une bise sur chaque joue. Alors ? Il paraît que tu es amoureuse de moi, ton cousin ? Pourquoi ne me l’as-tu pas dit on ne se cache rien d’habitude ? Tu aurais pu au moins me faire des avances, me montrer que tu n’étais pas indifférente à mon charme. Tu avais peur de quoi ?
Juliette rougit comme une pivoine.— J’avais peur que tu me rabroues parce que c’était mal. Un cousin et sa cousine ne peuvent pas avoir une aventure sexuelle c’est de l’inceste.— Oui c’est vrai mais si ce n’est pas forcé, que les deux sont consentants, où est le mal ? Les problèmes que ça créé sont liés uniquement à la consanguinité. Maintenant il y a la pilule et l’avortement est possible en cas d’accident. Tu as envie de faire l’amour avec moi ?— Oui me répondit Juliette tremblante.— Je croyais que tu n’aimais plus que les femmes depuis qu’un soudard t’avait vaccinée d’avoir des rapports sexuels avec un homme ?— Oui c’est vrai mais Capucine m’a expliqué comment ça s’était passé avec toi et comment je pourrai redevenir bisexuelle car tu pouvais être doux, même dans une attitude dominatrice. Tu veux bien me remettre dans le droit chemin ?— Qu’en pense-tu Capucine tu as maintenant ton mot à dire ?
Elle répondit à ma demande en pressant Juliette dans ses bras pour l’embrasser tendrement. Leurs lèvres se joignirent, leurs corps se serrèrent, leurs mains s’activèrent pour se déshabiller mutuellement. Une fois nues elles pressèrent leurs poitrines l’une contre l’autre, sauvagement en s’étreignant les fesses, puis elles se doigtèrent mutuellement. Ce spectacle, magnifique, tant l’érotisme qui se dégageait de cette scène, était grandiose, me fit bander immédiatement.
Leurs corps, différents, l’une Capucine brune aux formes pleines, grande 1 m 75, l’autre Juliette, blonde, petits seins, 1 m 68, en communion totale, roulèrent par terre pour finalement se retrouver tête-bêche et se gougnotter mutuellement. Juliette se retrouvait les fesses tendues au-dessus de la tête de Capucine qui lui rentrait sa langue profondément dans la chatte.
Elle me fit signe d’approcher. Je me déshabillai, la verge tendue par le désir que me procurait le fait que j’allais, pour la première fois, enconner ma cousine au petit cul si désirable.
— Vas-y baise là cette petite salope en rut ! Montre lui ce qu’est une vraie queue d’homme ! Montre lui comment, moi aussi, tu m’as faite jouir avec ta bite…Capucine était déchaînée, il faut dire, pour sa défense, que ça se comprenait car la langue de Juliette lui travaillait la rosette avec virtuosité.
Je m’agenouillai derrière les fesses de Juliette et lui fit écarter les cuisses. Je fis glisser mon gland entre les lèvres de sa chatte sentant au passage la langue agile de Capucine qui lui travaillait son clitoris et je m’enfonçais en elle, facilement, tant elle mouillait. Juliette couina montrant qu’elle appréciait mon intromission. J’attrapais ses petits seins pour lui triturer les tétons et je mis à défoncer sa chagatte à grands coups de bassin. J’étais infatigable tant je n’avais jamais espéré pouvoir un jour lui perforer le minou. Son étroit vagin, doux, chaud, peu sollicité depuis sa défloration désastreuse, pressait ma queue faisant augmenter la pression de mon sang dans mon pénis. C’était divin car je profitai de son corps au maximum, elle était réceptive au plus haut point car elle eut plusieurs orgasmes alors que je ne me sentais pas du tout prêt à finir. Je voulais la terrasser de plaisir pour que ce moment soit inoubliable pour elle. Les lèvres de Capucine courraient sur mon vit dès qu’il ressortait de la foufoune de Juliette.
— Continue cette salope n’arrête pas de mouiller. Elle qui n’aimait pas les hommes tu es train de lui faire regretter. Pas vrai Juliette ?— Humpfff – elle bouffait la chatte de Capucine - oui Hervé est un sacré amant. Je me demande comment j’ai pu me passer d’une bonne bite d’homme jusqu’à présent. Je préfère ça aux godemichets. Tu as de la chance de l’avoir conquis. Tu me le prêteras ?— Tout ce qui est à moi est à toi, mais à condition que tu sois toujours mon amoureuse. — Dites les filles ça ne vous gênerait pas de me demander mon avis ? Je continuai à tringler Juliette au même rythme.— Oh mon chéri, dis oui ! Promets de nous baiser toutes les deux !— J’aurais du mal à m’en passer maintenant que je découvre les possibilités de ma chère cousine. Tu aimes ça la bite petite salope ? — Oh oui Hervé j’aaaadore !— Tu veux qu’il t’encule toi qui ne l’as jamais fait ? dit Capucine— Maintenant qu’il m’a bien faite jouir de la chatte je veux bien tenter.— Tu as bien suivi mes instructions en te faisant un lavement et en t’enduisant l’anus pour ne pas morfler ?— Ouiii dit Juliette en continuant à jouir de son con.— Vas-y mon chéri tu peux profiter de son cul ! Éclate-le-lui !
Dynamisé par ces propos crus qu’on n’aurait pas pensé voir sortir de la bouche de jeunes filles de leur âge, je dirigeai mon gland, déjà bien lubrifié par les sécrétions de sa minette, vers l’anus inexploré de Juliette. Par petits à-coup je déflorai son trou de balle jusqu’au moment où mes couilles atteignirent ses fesses signifiant que j’avais atteint mon objectif, la pénétrer totalement.
Ce ne fut que le commencement d’une sarabande infernale où, pendant de très longues minutes, je massacrai alternativement son cul et son abricot, plongeant par moment ma bite dans la gorge de Capucine que je faisais étouffer à chaque fois. Elles poussaient toutes les deux des cris de gorets qu’on égorge sous mes actions et leur gougnottage commun.
Rendu très endurant par le Cialis pris, mon vit était dur comme du fer et perforait les trous de Juliette sans relâche jusqu’au moment où, n’y tenant plus, après qu’elles aient eu de multiples orgasmes, j’éjaculai pour finir dans la bouche de Capucine qui avala tout sans en perdre une seule goutte.
Nous nous désaccouplâmes et retombâmes inertes sur le sol, épuisés.
— Alors ma puce tu as aimé te faire défoncer par ton cousin ?— Oui c’était divin ! On recommencera ?— La nuit ne fait que débuter j’ai encore pleins d’idées pour de petites salopes comme vous… Et toi Capucine ?— Moi il m’a juste manqué ta queue en moi mais j’ai aimé te bouffer les couilles et sucer le clito de Juliette pendant que tu l’enculais. J’ai aimé aussi comment tu sortais de son cul pour plonger ton vit au fond de ma gorge. J’ai aussi beaucoup aimé la fin quand tu t’es répandu en moi me réservant le final… Je t’aime !— Bon ce n’est pas tout mais l’amour ça creuse on va faire une petite dînette et on remet ça après. D’accord !— Ouiiii dirent-elles à l’unisson. Debout !
Elles se relevèrent et j’en profitai pour claquer leurs divins petits culs ce qui leur fît pousser de petits couinements de femelles excitées.
— Au fait, Juliette, ta mère sait que tu passes la nuit chez moi ?— Oui elle sait que j’aime bien venir ici pour profiter de la piscine couverte. Si elle savait que je suis venue ici ce soir pour me faire troncher par mon cousin, dit-elle en riant.
Ce ne fut qu’une collation rapide car je les sentais fébriles avec l’envie de remettre ça au plus vite. Elles étaient vraiment déchaînées… D’ailleurs Juliette ne put tenir, prétextant qu’elle n’avait pas goûté à mon sexe et que nous en étions au dessert, elle prit une bombe de crème Chantilly dans le frigo et me couvrit le sexe et les couilles de cette préparation. Elle vint ensuite déguster ce dessert improvisé en me léchant comme si c’était un café liégeois ou une glace italienne. Inutile de vous dire que je bandais immédiatement. Mais je ne voulais pas lui laisser l’initiative de me mener au plaisir, il fallait que je l’avilisse comme j’avais commencé à le faire pour Capucine.
Il fallait que je possède sa gorge comme j’avais possédé son sexe et son cul. Elle était à genoux, je lui fis mettre sa tête en arrière pour qu’elle repose sur l’assise d’une chaise. Me tenant au dossier je fis lentement entrer ma bite dans sa bouche jusqu’au moment où je sentis une résistance montrant que j’avais atteint le fond. Elle commençait d’ailleurs à hoqueter, je me retirai légèrement puis me renfonçait un peu plus profondément.
— Avale bien ! Respire ! Allez encore un effort ! Tu y es presque il reste quelques centimètres ! Voilà c’est bien j’y suis ! Tu sens palpiter mon gland dans ton larynx ?— Houmphhh, Houmphhh
Capucine observait avec intérêt sa copine se faire massacrer la bouche. Ça devait lui faire de l’effet car elle se branlait le minou. Elle vint nous rejoindre et s’accroupit derrière moi pour venir me prodiguer un anulingus tandis qu’elle caressait les seins de Juliette. Sa langue virevoltait dans mon anus pour s’y introduire par à-coup. Juliette pleurait, bavait, reniflait tant une « gorge profonde » est dure à supporter mais elle ne protestait pas, comme Capucine, elle était domptée.
Dans une ultime poussée je crachai ma semence la faisant étouffer une dernière fois. Elle avala tout sans en perdre une goutte. J’entendis Capucine pousser un cri me signalant qu’elle avait atteint la jouissance qu’elle s’était donnée seule.
— Alors mes petites cochonnes je vois que vous êtes désormais bien obéissantes avec moi, aussi on va aller un peu plus loin dans votre débauche.
— Plus loin dit Juliette ?— Oui tu es prête ? Alors je vais encore jouer de vos corps. Allez, hop, dans ma chambre !
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