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Capucine

Chapitre 8

Trash
Il y a maintenant plus d’un an et demi que j’ai publié l’épisode numéro sept des aventures de Capucine. Un peu déçu de l’accueil fait à celui-ci, différent des autres, j’avais décidé de mettre en attente la suite du récit mais, de ne pas trop tarder néanmoins. Certains évènements m’ont empêché de poursuivre. Aujourd’hui je suis prêt à vous présenter la suite. Je vous recommande de lire à nouveau ; ou de découvrir ; les anciens chapitres pour vous remettre dans le bain.Bonne lecture.
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Le lendemain matin je fus réveillé par deux bouches coquines, l’une absorbait mon sexe et le pompait allégrement, l’autre parcourait mon corps nu me donnant des frissons. A ce régime je ne tardai pas à bander et j’appréciai ce traitement qui allait devenir mon quotidien…J’aurais aimé que ce moment dure plus longtemps mais nous avions un emploi du temps chargé et, à regret, après une claque sur les fesses de Capucine et Juliette, je leur dis :
— Allez à la douche mes petites salopes ! Frottez bien vos minous et faites-vous un lavement pour être bien propre pour le pierceur. Je ne voudrais pas qu’il soit incommodé par vos senteurs intimes et vos flatulences. N’en profitez pas pour vous gouiner. Je vous connais trop désormais.
J’avais pris rendez-vous dans un cabinet spécialisé où je serai certain que toutes les règles d’hygiène seraient respectées. Les aiguilles utilisées étaient à usage unique et les outils stérilisés selon les règles de l’art. J’avais émis le désir que les zones percées ne soient pas insensibilisées car il fallait que pour m’appartenir définitivement elles acceptent de souffrir me montrant ainsi qu’elles s’abandonnaient intégralement à mon bon vouloir. Le tatouage de mes initiales sous leur téton gauche confirmerait qu’elles étaient ma propriété.
Deux heures plus tard elles étaient toutes les deux équipées. Elles avaient souffert tout particulièrement lors du perçage de leur téton mais Jean, le pierceur, professionnel avéré, avait été d’une efficacité redoutable ce qui fait que la douleur, violente ; selon leur dire ; fut juste fugitive lors du transpercement du tétin.
J’appréciais le travail fait avec art ; deux anneaux pendaient de leurs seins, le capuchon de leur clitoris était percé et équipé d’un Barbell droit pour les exciter en permanence. Au dernier moment, sur les conseils du pierceur, j’avais fait équiper les grandes lèvres de leur sexe de deux anneaux qui, réunies par un cadenas, me réservaient l’accès unique à leur puits d’amour.
Au moment de partir je dis en aparté à mes deux chéries :
— Je crois que pour remercier Jean vous devriez lui faire une petite gâterie ça me semblerait normal non ?
Elles me regardèrent avec étonnement ; c’était la première fois que je leur demandai de s’occuper d’un autre homme que moi. Mais aucune ne bronchât et c’est, de concert, qu’elles débraguettèrent Jean pour le sucer alternativement et l’amener à la jouissance dans leurs bouches grandes ouvertes.
Près de trois mois s’écoulèrent avant que la cicatrisation soit complète, on était dans la norme. Les possibilités de leur faire l’amour pendant cette période furent limitées. J’utilisais uniquement leur bouche et leur cul pour me satisfaire. Elles ne pouvaient se gouiner, leurs seins et leurs chattes risquaient l’infection. Elles s’excitaient en s’embrassant à pleine bouche et, faute de pouvoir aller plus loin, se retournaient vers moi pour que je les encule alternativement et que j’éjacule ensuite dans leurs bouches affamées.
Je profitai de ces moments pour bien les initier aux gorges profondes et améliorer leur technique. Elles étaient désormais capables d’avaler les plus gros chibres qu’elles seraient susceptibles de trouver dans les partouzes où je comptais les amener. J’avais utilisé pour ça les énormes godemichets que j’avais pu trouver sur le marché. Ceux-ci me servirent aussi pour assouplir leur anus. Il devint alors fréquent que, sortis de leur cul, elles aient à les nettoyer en les avalant jusqu’à la garde. Ça les obligeait ainsi à se faire de nombreux lavements pour garder leur ampoule rectale la plus propre possible.
Vint le jour où, après une visite chez le pierceur, elles furent toutes les deux reconnues « bonnes pour le service ».
En prévision de ce qui nous attendait j’avais pris du Cialis pour être capable de suivre le rythme qu’elles ne manqueraient pas de m’imposer. Je ne fus pas déçu…
À peine dans la voiture, Capucine sautât sur moi pour m’embrasser à pleine bouche. Elle saisit ma main gauche et l’amenât sur son minou, libre de toute culotte ; elle avait prévu son coup. Je m’empressai de la doigter et à peine l’eus je touché qu’elle fût prise d’un orgasme irrépressible tant elle attendait ce moment depuis plus de trois mois. Juliette, frustrée, dit alors :
— C’est dégueulasse vous auriez pu attendre d’être à la maison pour que qu’Hervé puisse s’occuper aussi de moi.— Ne crains rien, ton tour va arriver lui dis-je en me tournant vers elle. Tu seras la première à prendre ma bite en entier dans ta chatounette. Je vais t’enfiler debout dès la porte fermée. Tiens-toi prête ! — C’est pourtant de moi que tu es amoureux dit Capucine en branlant ma bite durcit à travers mon pantalon. C’est moi que tu dois baiser la première !— Bon OK. Je vous enfilerai toutes les deux. Dès notre entrée dans la maison vous vous mettrez, après avoir retroussé vos robes, l’une au-dessus de l’autre pour que je puisse avoir vos sexes en vue et que je puisse aller de l’un à l’autre sans difficulté. Je vais vous bourrer bien à fond. En attendant, branlez-vous et jouez avec le Barbell au-dessus de vos clitos !— Mais depuis leur pose on est excitée en permanence ! Dit Capucine. C’est incroyable l’effet que ça nous fait !— Bon on arrive, préparez-vous !
À peine la porte fermée, Juliette se met à genoux sur le carrelage de l’entrée et relève sa robe. Capucine, finaude, enlève sa jupe et son chemisier et se retrouve entièrement nue ; elle n’a pas de soutien-gorge. Elle se positionne au-dessus de Juliette.J’éjecte mes mocassins, enlève mon pantalon et mon caleçon. Mon sexe se dresse fièrement devant cette situation. Qui vais-je enfiler la première ? La nudité de Capucine est tentante, ses seins bien durs sous son torse ne demandent qu’à être empoignées et martyrisées avec leurs anneaux pendants.
Heureusement je n’ai pas oublié d’enlever les cadenas qui empêchent d’accéder à leur chatte ; je ne me vois pas chercher les clés à ce moment crucial…
Juliette pousse un cri. Je viens de perforer son con d’une seule poussée rectiligne et je m’enfonce inexorablement à toucher sa matrice. C’est chaud, ses parois pressent mon sexe dans un subtil massage dû à ses muscles internes. Un orgasme puissant l’emporte.Mais il n’est pas question que j’éjacule, je dois me réserver. Capucine n’a pas le temps de protester que je sors de Juliette et je m’enfonce dans son abricot déjà ruisselant. Elle pousse un hurlement tellement elle jouit brutalement sous cet assaut. Mais je n’ai pas fini avec elle. Je me penche en avant et saisit les anneaux qui transpercent ses seins et je tire en arrière tout en continuant à la bourrer de fougueux coups de reins. Elle ne cesse de crier tellement la douleur doit être forte mais se calme peu à peu la jouissance montante prenant le dessus. Son cul s’agite. C’est alors trop tentant. Je sors d’elle, remonte ma queue et l’encule jusqu’à la garde.
Je ne veux pas laisser Juliette frustrée. C’est alors une succession d’enfilements dans le con et le cul de Juliette, puis c’est au tour de Capucine. Ce petit jeu dure plus d’une demi-heure, mes femmes font orgasmes sur orgasmes. J’ai dominé mon plaisir mais j’arrive au point de non-retour, je veux jouir moi aussi. Je les fais mettre à genoux, côte à côte, et je crache ma purée directement sur leur visage.Elles nettoient mon vit amoureusement, comblées, épuisées mais heureuses.
— On attendait ça depuis trop longtemps dit Capucine mais, comme toujours tu ne nous as pas déçues. Je t’aime.— Je t’aime dit aussi Juliette de concert.— Allez à la douche et gouinez-vous bien si vous en avez la force. À partir d’aujourd’hui tout est désormais permis !
(La suite dès la publication de celui-là)
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