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Capucine mon amour

Chapitre 2

Lesbienne
L’aide soignante Le toubib me prend la main et me caresse le bras. –Vous sentez quelque chose ?–Oui, votre main sur mon bras.–Donc, votre corps n’est pas mort, il sait encore vous faire ressentir des impressions, des gestes, il vit. Il y a un espoir de récupération du haut dans quelques années. Je ne réagit pas à cette peut être bonne nouvelle, je suis tout de même étonnée, nous sommes le premier janvier et l’hôpital ronronne comme un jour normal. J’ai même pu faire une IRM, un spécialiste est venu malgré le jour férié. –Comment ce fait-il qu’il y ai tant de monde aujourd’hui ?–Toujours le premier janvier, n’oubliez pas que cette nuit l’alcool a coulé à flot.–Ce n’est pourtant pas le cas de mon compagnon, il avait bu une flûte de champagne dans la soirée, il ne buvait pratiquement pas d’alcool.–Je ne disais pas ça pour votre compagnon, je ne l’ai pas vu. Mais il est vrai que le premier janvier est un jour assez chargé.–Vous êtes de garde ?–Non, on m’a appelé car les médecins ont tout de suite vu que votre cas était très grave, ils ont préféré appeler un spécialiste. –Merci de vous être déplacé pour moi.–C’est mon métier, je n’oublie pas que j’ai fait le serment d’Hippocrate. A ce moment, la porte s’ouvre et je vois apparaître Victoire, ma sœur cadette. Elle se précipite sur moi, me couvre de baisers, elle est en larmes. Quand elle se redresse, elle me prend la main. –Dès que tu sors, tu viens chez moi, je m’occupe de tout.–Mais tu ne peux pas t’occuper de moi, tu as ta vie.–Oui, j’ai ma vie, mais tu en fais partie que tu le veuilles ou non. 
Je reste bouche bée, je ne sais que répondre à cette affirmation. Je suis complètement abasourdie, c’est vraiment la dernière personne à qui j’aurai pensé me dire une telle phrase. Nous ne nous parlons plus depuis plus d’un an, et d’abord, comment a-t-elle su ? –Qui t’a prévenu ?–Les flics, tu avais encore mon nom dans ton téléphone. A croire que tu tiens toujours à moi, que je n’ai pas complètement disparu de ta vie. Je me souviens encore quand tu m’appelais « ma chérie », tu saurais encore le dire ?–Prends moi dans tes bras ma chérie, je ne pourrai plus jamais le faire pour toi. Je vois ses yeux s’embrumer de nouveau, elle se penche sur moi pour m’enlacer et me serrer très fort contre elle.  –Je suis là ma chérie, je le serais toujours. Le médecin quitte la chambre le plus discrètement possible.  Victoire a dix huit mois de moins que moi, elle est en fac de droit en troisième année, elle aussi a eu son bac en avance. Elle vit dans un petit appartement au centre de la ville, juste à côté de sa fac de droit, mais au cinquième étage avec ascenseur. Je ne sais pas comment on va faire, ça ne va pas être possible, ni chez moi, ni chez elle. Je lui demande donc de regarder dans les environs pour trouver une maison qui nous satisfasse toutes les deux. Elle prendra des photos pour me faire voir ce qu’elle a trouvé. Une aide soignante entre avec un plateau repas, elle le pose sur la table de nuit.  –Le repas de mademoiselle, profitez en tant qu’il est chaud. Victoire la regarde et prend le plateau. –Je m’en occupe, je vais la faire manger, je vous préviens quand c’est fini. Elle s’installe à la tête du lit et commence à me donner la béquée. J’ai l’impression que ça lui plait, pour une fois, c’est elle qui dirige les opérations, mais elle le fait avec beaucoup d’amour, je lui en suis très reconnaissante. Une fois le repas finit, elle appelle l’aide soignante qui récupère le plateau. Mais une infirmière revient peu de temps après et s’adresse à Victoire. –Il va falloir que vous partiez, on doit lui faire sa toilette et après, nous allons lui donner des soins et la laisser seule pour qu’elle puisse dormir quelques heures, son corps en a besoin.–Et je peux revenir quand ?–Pas avant demain vers neuf heures, vous pourrez rester un long moment, essentiellement le matin, nous nous réservons l’après midi pour les soins.–Ok, je vous laisse. Elle se penche sur moi pour m’embrasser, je sens qu’elle est triste mais je ne sais que dire, je ne sais pas moi même où j’en suis. Elle quitte la pièce, je reste avec l’infirmière. –Ça peut vous paraître un peu dur, mais nous nous devons de préserver la tranquillité de nos patients. Ne vous en faites pas, ça ne durera qu’une grosse vingtaine de jours, après, vous retrouverez votre famille.–Je n’ai qu’elle, nos parents sont morts.–Il y a longtemps ?–Trois ans pour mon père, cancer et un peu plus d’un an pour ma mère, suicide.–Désolée. Une aide soignante va venir vous faire un brin de toilette, après, il faudra vous reposer.–Ok. Elle quitte la chambre en me faisant un grand sourire, cinq minutes plus tard, arrive une aide soignante que je n’ai encore jamais vu. Elle est pas très grande mais très jolie avec des yeux bleus très clairs. Une poitrine pas très grosse qui tend une courte blouse pas fermée jusqu’en haut laissant deviner la naissance de ses seins. Belles jambes, beau cul bien rond, une jolie poupée. Elle pose toutes ses affaires sur une table et vient vers moi. –Je dois vous faire votre toilette, même intime, ça ne vous dérange pas ?–A cette heure-ci ?–Oui, vous êtes arrivée en pleine nuit, il a fallu d’abord voir ce que vous aviez. Donc, ça ne vous dérange pas ?–Comment voulez vous que ça me dérange, je suis incapable de le faire toute seule.–Certaines personnes exigent que ça soit un membre de leur famille.–Allez-y. Elle ouvre mon lit et passe ses mains sous mon dos pour me libérer de la blouse infame qui me couvre. Elle s’ouvre derrière, ce n’est pas très pratique. Je me retrouve nue allongée sur le lit. Elle va dans la salle d’eau et en revient avec une vasque remplie en partie d’eau chaude. Elle trempe un gant dans cette eau, le savonne un peu et commence ma toilette par le ventre. Très vite le gant se retrouve sur mes seins et insiste un peu. Je ne suis pas contre un peu de tendresse, j’ai déjà eu des rapports avec des femmes, quelques caresses par ci par là, mais pas plus loin, comme avec les hommes, pas le temps !! Le gant arrive entre mes cuisses et se glisse au milieu, elle les écarte un peu. Il me frotte le clitoris tout en me nettoyant le sexe. Là aussi, j’ai l’impression qu’il s’attarde un peu. J’en ressens une certaine excitation qui se calme aussitôt qu’il quitte mon sexe. Il revient pour me rincer, juste quelques secondes. L’aide soignante le pose et quitte la pièce sans un mot. Elle revient une minute plus tard avec une autre femme. Une magnifique maghrébine aux yeux de biche et au corps élancé moulé dans une blouse très ajustée. Pas de traces de sous vêtements. –Nous allons devoir vous retourner pour faire le dos, laissez vous faire.  Elles se positionnent et me font mettre sur le ventre, j’entends la porte s’ouvrir et se fermer, la maghrébine est sortie. De nouveau, un gant mouillé glisse sur mon corps, il s’attarde un peu sur mes fesses, j’ai nettement l’impression qu’elle prend un certain plaisir à faire glisser sa main sur mon corps. Quand elle me rince, j’émet un petit soupir de satisfaction au moment où le gant passe sur mes fesses, elle insiste un peu, je recommence. Cette fois, elle appuie un peu plus, sa main libre accompagne le gant. –Mes fesses vous plaisent ?–Elles sont très belles, mais je ne voudrais pas vous gêner, j’arrête.–Non, c’est très agréable de sentir une caresse sur sa peau, mais ça doit être mieux sans gant.–Bon, vous devez vous douter que les femmes ne me laissent pas indifférente. –Oui, continuez. Elle enlève son gant et commence à me caresser les fesses, j’en éprouve une sensation de plaisir que je ne connaissais pas. Malheureusement, elle n’a pas le temps d’aller plus loin, elle sort pour aller chercher sa copine pour me remettre sur le dos. Une fois la seconde aide soignante sortie, elle pose deux secondes ses mains sur mes seins en une caresse aérienne. –Ils sont magnifiques, fermes, souples, je les adore.–Tu pourras t’en occuper demain si tu reviens.–Bien sûr que je reviens, mais à sept heures et demie, là, j’ai fini mon service. Elle se penche sur moi pour déposer un baiser sur chacun d’eux, se redresse. –Je vais te remettre ta blouse.–Non, j’ai horreur de dormir habillée, je dors toujours nue, pas de blouse.–Comme tu veux. Elle prend ses affaires et sort de la chambre en me regardant une dernière fois avec un large sourire. Je suis étonnée de constater que tous les quart d’heures, une personne du service regarde dans ma chambre, je m’en étonne à une aide soignante. –C’est normal, on vérifie si tout va bien, vous ne pouvez pas vous servir de la sonnette si vous aviez un quelconque besoin.–Je comprend mieux, d’ailleurs, j’ai envie de faire pipi.–Ok. Elle va prendre l’urinoir dans la salle d’eau et m’aide à uriner. Je ressens un étrange plaisir à voir cette femme me regarder pisser, elle semble y prendre plaisir. Une fois fini, elle quitte la pièce. Je finis pas m’endormir, je suis réveillée vers dix-huit heures, pour le dîner. Une fois tout terminé, je me retrouve seule, je déprime un peu, que vais-je devenir, je vais avoir besoin de quelqu’un toute ma vie et cette perspective ne me plait pas du tout, je crois que je saurais faire ce qu’il faut pour y remédier. Mais les calmants que m’a donnés l’infirmière font leur effet et je m’endors assez rapidement. Le lendemain je suis réveillée par un baiser sur mon pubis. J’ouvre les yeux pour tomber sur le visage souriant de l’aide soignante.
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