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Capucine mon amour

Chapitre 7

Erotique
Révélation Je reste donc seule avec Capucine. Nous passons la matinée à nous baigner et à nous aimer. Le temps passe, il est bientôt midi, elle prépare le repas, je suis assise dans un fauteuil spécialement aménagé, elle me sert un verre de Cardhu et elle un porto. Nous discutons joyeusement pendant une petite demi-heure quand la sonnette du portail sonne. Elle va voir qui c’est. –Oui ?–Je suis Maxence, l’oncle d’Apolline, j’ai appris ce qui lui est arrivé, j’aimerais la voir. Elle se retourne sur moi le visage interrogateur, je lui fais oui de la tête. –Très bien, je vous ouvre, garez vous devant la porte du garage.–Ok. Elle revient vers moi l’air un peu contrariée. –C’est qui ?–Le frère de ma mère, il était beaucoup plus jeune qu’elle et vit actuellement en Angleterre, il est trader. Je ne l’ai pas vu depuis sept où huit ans, il n’a pas pu venir à l’enterrement de mes parents, il a vingt six ans, et dans mon souvenir, c’est un beau mec. Je l’appelais tonton alors qu’il n’a que six ans de plus que moi, ça le rendait fou, je lui cassais la baraque avec ses copines.–Et que fait on, on ne va pas rester à poil ?–Non, amène moi un peignoir, et couvre moi ton joli corps, je veux le garder pour moi. Elle va chercher le peignoir et me l’enfile juste au moment où sonne la sonnette d’entrée. Elle a enfilé une robe mi cuisses boutonnée devant. Elle revient accompagnée de Maxence qui se précipite sur moi dès qu’il me voit. Il se penche pour déposer deux énormes bises sur mes joues. –Asseyez vous Maxence, je vous sers un apéritif ?–Volontiers, comme ma nièce, un whisky. Capucine se retourne pour se saisir de la bouteille, se faisant, elle se penche dévoilant ses cuisses et le bas de ses fesses. Maxence ne la quitte pas des yeux, je vois qu’il a l’air très intéressé. Je le détaille, il est aussi beau que dans mes souvenirs, il a seulement huit ans de plus et fait beaucoup plus mûr et adulte. 
 –Comment vas-tu ma chérie ?–Ne t’en fais pas tonton, je vais le mieux possible, physiquement, je suis un peu bloquée, mais moralement, tout va bien. Je suis bien accompagnée, au fait, je te présente Capucine, ma compagne, mon amour. Il regarde Capucine d’une autre manière, son regard est doux, tendre. Mais je réalise tout à coup que je ne l’ai pas contacté depuis mon accident, comment connaît il notre adresse ? –Comment as-tu su où j’habitais ?–Je suis à Toulouse depuis jeudi pour discuter avec une banque de notre collaboration possible. Je ne rentre à Londres mercredi, j’avais le numéro de Victoire, je l’ai appelé vers onze heures, c’est elle qui m’a renseigné pour tout, accident, nouvelle adresse. Elle m’a dit que tu étais fatiguée, ça va mieux ?–Oui, j’avais juste envie de rester seule avec Capucine.–Ne t’en fais pas, je ne reste pas, je voulais juste avoir de tes nouvelles.–Pas question que tu t’en aille si vite, tu reste déjeuner avec nous, on a pas mal de chose à se dire, on verra après.–Ok, calme toi, je ne le referai plus. Nous rigolons à ses histoires de vente et d’achat d’actions pour sa banque. En fait, c’est plus marrant que prévu, si on est en dehors du coup bien sûr. Ce métier est très stressant, il pense l’exercer autrement et surtout revenir à Toulouse, le climat de Londres et la vie en Angleterre lui pèse de plus en plus. Au moment de nous mettre à table, il me prend dans ses bras pour m’installer confortablement sur ma chaise spéciale. D’avoir été quelques secondes dans les bras d’un homme m’a perturbé plus que de raison, une sensation que je n’aie jamais connue. Pendant le repas, je vois que Maxence est très attiré par la piscine, il fait en effet plus de trente degrés, un plongeon serait le bienvenu seulement, il faut être à poil, je ne sais pas si Capucine est partante. A la fin du repas, Maxence nous quitte un moment pour aller aux toilettes, nous en profitons pour en discuter. –J’aimerai bien piquer une tête, mais accepterais tu de te mettre à poil devant lui ?–Bien sûr s’il est lui aussi à poil, je n’ai pas peur d’être nue devant un homme, j’ai déjà fais du naturisme avec des copains et des copines.–Comment tu le trouves ?–Très beau, c’est un bel homme et en plus marrant.–Ok, amène moi dans la piscine.–Tout de suite ?–Oui. Elle m’aide à m’installer sur le fauteuil roulant, m’enlève mon peignoir et m’amène au bord de la piscine. Elle enlève sa robe et me met sur le chariot. Maxence arrive juste au moment où je pénètre dans l’eau, Capucine est derrière moi dans sa splendide nudité. Il marque un temps d’arrêt. –Mais que faites vous nues ?–Nous allons nous baigner.–Vous vous baignez nues ?–Oui, c’est tellement plus agréable et dans cette piscine, les maillots sont interdits. C’est une merveilleuse sensation de sentir l’eau glisser sur ton corps sans barrières. Tu nous accompagnes ?–Je ne me suis jamais baigné nu, je ne sais pas si je vais pouvoir rester correct devant deux si magnifiques corps de femmes nues. N’oublie pas que je suis célibataire depuis six mois. –Je seul moyen de le savoir c’est de le faire, on verra bien, allez, fais moi valser ces fringues.–Ok, où pourrais je poser mes affaires ?–Sur un fauteuil dans le salon. Il va dans le salon, Capucine m’installe sur la plage immergée et s’allonge à côté de moi. Nous le voyons arriver vers nous nu. Il est encore plus beau, tablettes de chocolat à la place du ventre, pectoraux puissants, fesses d’enfer et sexe qui a tendance à vouloir aller voir le ciel. C’est la première fois que je vois un sexe d’homme, il me paraît assez gros. Il se précipite dans l’eau pour se calmer. Nous nous regardons avec Capucine, cette vue nous a peu émoustillée, elle fait glisser sa main sur mon corps, je commence à être un peu excitée, mais j’ai peur de choquer Maxence. Je lui chuchote deux mots à l’oreille. –Doucement chérie, laissons lui le temps de s’habituer à être nu.–Ok, mais je ne suis plus moi-même, ce corps d’homme ne me laisse pas indifférente, je suis un peu déboussolée.–Il te plait ?–Je dois dire que oui, c’est le type d’homme sur lequel je fantasmais quand j’étais plus jeune.–Et bien figures toi que moi aussi je fantasmais sur ce type d’homme, mais en plus, j’avais le modèle qui est devant toi.–Il faut dire qu’il est très beau.–Il te plait tant que ça ?–Ne le prends pas mal, mais oui, il me plait, je n’ai jamais connu d’homme comme tu le sais, et je dois dire que celui là me plait, beaucoup même.–Mais je ne le prend d’autant pas mal que à moi aussi il me plait et que je ne serai pas contre approfondir un peu notre relation.–Jusqu’à faire l’amour avec lui ?–Oui, jusqu’à faire l’amour avec lui si ça doit se faire, pas toi ?–N’oublie pas que nous sommes toutes les deux vierges, hors de question qu’il se passe quoi que ce soit dans la piscine.–Et bien, il nous reste notre chambre, je crois que le lit sera assez grand. Maxence se rapproche de nous. –Que chuchotez vous depuis un moment toutes les deux ?–Nous admirions ton style, tu nages très bien pour un mec qui vit à Londres, il y a des piscines dans ce pays glacial ?–Je ne vais jamais dans une piscine publique, ça pue trop.–Tu as raison viens un peu plus près que l’on discute tranquillement. Il s’approche de la plage immergée, Capucine se laisse glisser dans l’eau, il vient s’accrocher juste à côté d’elle. Nous commençons une discussion sur sa vie à Londres, apparemment, ce n’est pas si idyllique que ça, il en a marre et veut rentrer en France, de préférence à Toulouse où il pourra exercer son métier sans problème. Mais Capucine n’a pas envie de rester sage, elle se rapproche de lui, je ne peux pas bien voir ce qui se passe, je décide de me mettre sur le chariot, j’aurai une vue sur toute la piscine.  –Tu veux bien me mettre sur le chariot Capucine ? Elle me regarde étonnée, mais ses yeux montrent qu’elle a envie de changer un peu les choses. –Je pense que ton oncle est plus adapté à ce genre de manœuvre, tu veux bien la mettre sur le chariot Maxence ? Il me regarde avec un air un peu affolé, il ne sais pas comment il va réagir, il a l’air un peu gêné, mais il assume. –Ok, que dois je faire ?–La prendre dans tes bras et la déposer délicatement sur le chariot. Il se retourne pour évaluer la distance et glisse ses bras sous mon corps et mes cuisses. Il me soulève et me plaque contre son torse. Je sens mes seins s’écraser dessus sous la pression de ses bras. Je ne peux passer mon bras derrière son cou, c’est Capucine qui le positionne en me souriant. Sa main sur le côté bouge, j’en ressens une drôle de sensation, mon corps est parcouru d’un violent frison, il ne peut pas ne pas l’avoir senti. Il penche le tête vers moi en me souriant. –Tu aimes être portée par des bras d’homme ?–Oui, surtout par les tiens. Il me dépose sur le chariot, Capucine reste dans l’eau, il va la rejoindre. Je les vois nager, ils se touchent de temps en temps, au bout de cinq minutes, Maxence vient vers moi. –Je n’en peux plus, il faut que je sorte de cette piscine, merci Apolline pour ce moment, mais je dois partir.–Tu as quelque chose à faire d’urgent un dimanche après-midi ?–Non, mais il faut que je rentre.–Ce ne serait pas parce que ton zizi se redresse quand tu es entre nous ?–Oui, je veux rester correct, et je ne sais pas si je le pourrai.–Sors moi de l’eau. Il fait remonter le chariot, quand je suis en haut, Capucine l’interpelle. –Je ne peux pas remonter toute seule, viens m’aider.
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