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Capucine mon amour

Chapitre 8

Inceste
Dépucelage en série –Tu te moques de moi ?–Non, viens me porter, tu l’as bien fait pour ta nièce.–Tu es jalouse ?–Oui. Il la regarde amusé et va la rejoindre. Il la prend dans ses bras, la serre contre lui. Elle passe un bras derrière son cou et y dépose un baiser. Quand il sort de la piscine avec Capucine dans ses bras, je vois son sexe dressé vers le ciel, son gland à peine à quelques millimètres de ses fesses. Il la dépose à terre et me regarde l’air un peu gêné. –Tu comprends maintenant ?–Oui, mais je ne vois pas où est le problème.–Mais vous voulez me rendre fou ?–Non, juste faire quelques câlins avec toi et plus si affinités. Capucine se tourne vers lui et l’enlace, leurs corps se touchent, je vois que son sexe se redresse encore plus. –Nous ne connaissons pas le plaisir de faire l’amour avec un homme et nous voulons connaître ça au moins une fois dans notre vie. Il nous regarde alternativement, il ne comprend pas ce qui se passe, du moins, il se persuade qu’il a bien compris ce que vient de lui dire Capucine. Elle se colle encore plus contre lui. Je vois son pubis se coller à son sexe raide pointant vers le ciel. Elle bouge un peu son bassin, Maxence finit par l’enlacer et la serrer contre lui. –Tu vois, ce n’est pas si désagréable que ça.–C’est même très agréable.–Mets ta nièce sur son fauteuil roulant et suis nous.
 Il me prend dans ses bras, je sens de nouveau sa peau contre la mienne, j’en frissonne de plaisir. Il me dépose délicatement dans le fauteuil, Capucine s’en empare et nous allons dans la chambre. Il me prend de nouveau dans ses bras pour m’allonger sur le lit. Capucine l’enlace et pose ses lèvres sur les siennes. Ils échangent un long baiser, je vois les mains de Maxence glisser sur le corps de mon amour, j’en ressens un étrange sentiment, serait ce de la jalousie ? Ils se séparent, son sexe est dressé vers le ciel, il se termine par un gland assez volumineux. J’ai un peu peur que ce ne soit pas si facile que ça de le faire rentrer dans mon vagin sans me l’exploser. Mais je sais que presque toutes les femmes y sont passées et elles n’en sont pas mortes. Maxence vient s’allonger à côté de moi, je vois son visage venir au dessus du mien, je lui souris, il comprend et pose ses lèvres sur les miennes. Sa langue se fraye un passage dans ma bouche pour venir saluer la mienne. Elles échangent une très longue conversation jusqu’à ce que ses lèvres me quittent. –Que faisons nous là Apolline, tu es ma nièce.–Oui, mais je suis d’abord une femme qui a envie de connaître l’amour physique avec un homme, et apparemment, tu es le seul homme aux alentours.–N’oublie pas que moi aussi je veux connaître l’amour physique avec un homme. Tout à coup, Maxence semble réaliser le sens de nos phrases. –Vous ne connaissez pas l’amour physique avec un homme ?–Non, ni l’une, ni l’autre.–Vous êtes vierges ?–Oui, toutes les deux.–Mais ce n’est pas possible, deux canons comme vous toujours vierges à votre âge ?–Oui, deux canons qui ne s’occupaient pas de ça, seulement de leur avenir et les hommes étaient un peu laissés de côté, elles pensaient qu’elles avaient le temps, que ça viendrait.–Je tombe des nues.–Et le fait de connaître l’amour saphique n’a pas arrangé les choses.–Ok, que fait on ?–D’abord, on s’occupe d’Apolline, je veux que ce soit elle qui commence, tu es d’accord mon amour ?–Si tu le désire, je suis d’accord. Maxence s’allonge sur mon côté gauche, je reste allongée sur le dos, Capucine m’ouvre un peu les jambes, je sens l’air sur mon sexe déjà bien humide. Sa bouche se pose sur mon sexe pour me le titiller pendant qu’une main de Maxence glisse sur ma peau. Elle caresse mes seins, mon ventre, mon pubis pour remonter sur mes seins. La tête de Capucine se redresse assez vite. –Pas la peine de l’exciter plus, elle est déjà inondée, ça va rentrer tout seul, à toi Maxence. Elle s’écarte pour s’agenouiller à côté de moi, elle me prend la main. –Toujours partante mon amour.–Oui, plus que jamais, vas-y Maxence, fait de ta nièce une vraie femme. –Je ne pense pas que tu aies besoin de ça pour être une vraie femme, mais si tel est ton désir, il ne me reste qu’à me soumettre maîtresse.–Hypocrite !! Il se positionne au dessus de moi les bras tendus, je sens son sexe contre une de mes cuisses, il remonte le long pour arriver sur ma vulve et taper à la porte de mon vagin. Je le sens écarter mes lèvres pour s’enfoncer lentement. Ça glisse, la sensation est très agréable, mes lèvres se referment sur le gland quand une douleur apparaît. Je me crispe un peu. Maxence le sens et s’arrête. –Je suis sur l’hymen, c’est ça.–Oui, n’hésite pas, continue. Il recommence sa poussée, la douleur s’intensifie, je commence à douter de mon choix, mais d’un seul coup, je sens le sexe de Maxence s’enfoncer jusqu’au fond de mon vagin. J’ai mal, mais je me sens très bien, je viens de vivre quelque chose de particulier. Je me suis fait dépuceler par mon oncle, bien sûr, il est très jeune, de ma génération, mais surtout, il est très beau. Cela réveille des souvenirs pas très agréables, l’image de mon compagnon lors de l’accident me revient, des larmes coulent sur mes joues. Capucine se penche sur moi. –Tu as mal mon amour ?–Un peu, mais ce n’est pas ce qui me fait pleurer, je pense à lui.–Celui qui était avec toi le premier janvier ?–Oui, quelle tristesse. Maxence ne bouge plus, la douleur s’est un peu estompée. Je ne peux pas bouger, impossible de lui faire comprendre que j’ai envie qu’il me fasse l’amour avec mon corps, je suis obligé de lui demander de vive voix. –Vas-y Maxence, fais moi l’amour doucement, tendrement, comme si j’étais ton grand amour.–Bien maîtresse. Je sens son gland aller et venir dans mon vagin, la douleur se réveille, je me crispe un peu, mais il continue en douceur. Petit à petit, mon corps se détend, j’apprécie de plus en plus cet intrus dans mon sexe. Mon corps commence à m’envoyer ses signaux caractéristiques de l’arrivée de l’orgasme. Je veux qu’il aille plus vite. –Accélère un peu Maxence, je sens que je vais jouir, fais moi l’amour vache. Son rythme s’accélère, maintenant, il me défonce la couenne, je sens son sexe aller et venir dans le mien, une onde se propage lentement dans mon corps. C’est différent de l’amour avec Capucine, mais je sais que je vais beaucoup aimer.  –Vas-y Maxence, viens en moi, laisse toi aller, je veux sentir le fruit de ton plaisir m’inonder, me remplir. Il comprend ce que je viens de lui dire et accélère encore un peu. Soudain, mon corps se tend, mon ventre se crispe, je sens son sexe palpiter en moi et un jet de sperme m’envahir. J’explose dans un sublime orgasme, comme d’habitude je ne peux pas bouger, mais mon corps se tend et je hurle mon plaisir, je suis sûre que tout le village sait que je viens de jouir très fort. Deux autres jets me remplissent un peu plus le vagin, mon corps se détend, je suis merveilleusement bien. Capucine pose ses lèvres sur les miennes, nous échangeons un long baiser pendant que Maxence descend du lit pour aller prendre une douche. Quand il revient il ne bande plus, son sexe pend entre ses jambes.  Capucine va le rejoindre et s’agenouiller devant lui. Il s’arrête juste avant de la toucher, elle se saisie de ses hanches pour l’attirer vers sa bouche. Elle lèche son gland, pose ses lèvres dessus et aspire. Je vois son vit disparaître dans la bouche de mon amour. Très vite le sexe de Maxence se durci, Capucine se redresse, lui attrape la verge et l’amène sur le lit. Elle s’allonge à côté de moi, me prend la main et le regarde. –Vas-y Maxence fais moi la même chose qu’à Apolline, je veux moi aussi devenir une vraie femme.–Bien maîtresse. Il s’allonge sur elle, je peux voir son sexe progresser le long de sa cuisse droite et venir se loger entre ses lèvres. Comme pour moi, elle se crispe un peu au bout d’un petit moment. Maxence s’arrête, il lui laisse le temps de s’habituer, mais elle pose une main sur ses fesses et appuie. Il reprend son avancée et son sexe finit par disparaître entièrement dans le vagin accueillant. Elle lâche ma mains et l’enlace pour le serrer contre elle. –Vas-y chéri, vas-y, fais moi l’amour. Je suis un peu perplexe, elle vient de l’appeler chéri, ça me semble un peu bizarre. Maxence donne des coups de rein réguliers, je vois que Capucine lève le plus possible son bas ventre pour qu’il la pénètre encore plus. Au bout de quelques minutes, son corps se trend dans un sublime orgasme accompagné par Maxence qui se vide en elle. Elle reprend ses esprits assez vite, elle se tourne vers moi pour me reprendre la main avec un grand sourire. Maxence se dégage et retourne prendre une douche. Capucine me regarde, elle comprend mon trouble. –Ne m’en veux pas amour, ça m’a échappé. C’est toi ma chérie, personne d’autre.–Ne t’en fais pas, je le sais.   Capucine s’allonge sur moi pour échanger un long baiser. Nous nous embrassons quand je sens qu’on me prend les mains pour les poser sur ses fesses. C’est Maxence qui me fait caresser la peau de mon amour, j’en ressens un immense plaisir. C’est la première fois que je sens la texture de la peau de l’être que j’aime glisser sous mes mains. Quand Capucine lève la tête, elle me regarde. –Je suis conne de ne pas y avoir pensé, tu as aimé me caresser, moi, j’ai adoré sentir tes mains sur mes fesses et mon dos.–Oui, j’ai adoré et je veux que ça se renouvelle souvent.–Nous allons trouver une solution mon amour.
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