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Capucine mon amour

Chapitre 9

Erotique
Maxence –Comme quoi, les tontons peuvent servir à quelque chose.–Oui mon tonton, viens plutôt m’embrasser. Il me regarde, Capucine s’écarte pour le laisser s’allonger sur moi. Nos lèvres se soudent, sa langue envahi ma bouche pour venir conter fleurette à la mienne qui adore ça. Capucine pose mes mains sur ses fesses et les fait glisser dessus, de nouveau je peux caresser une peau et j’aime ça. Elle les fait glisser aussi sur son dos, je sens la différence avec sa peau, celle de Maxence est quand même moins douce. Il redresse la tête, son regard sur moi a changé, plus tendre, plus doux. Il bascule sur le côté et se lève. Capucine l’enlace et pose ses lèvres sur les siennes. Je vois leurs mains glisser sur leurs peaux, j’en ressens une petite pointe de jalousie, mais je réalise que c’est un double sentiment. Je suis jalouse des mains de Capucine sur le corps de Maxence, mais aussi des mains de Maxence sur celui de Capucine. J’ai un coup de blues, je ne pourrais plus jamais faire ce qu’il font, mais je réalise aussi que j’ai laissé passer plusieurs occasions avant mon accident. Leurs bouches se séparent. Capucine me regarde, elle comprend mes sentiments, elle se penche sur moi. –Je suis là mon amour, jamais je ne te quitterai, j’ai trop besoin de toi.–Ce n’est pas ça qui me trouble, mais de ne jamais pouvoir faire ce que vous venez de faire, je ne pourrai plus jamais enlacer quelqu’un. Et j’ai été assez conne pour ne pas l’avoir fait quand j’en avais la possibilité. –Arrête de broyer du noir, viens plutôt avec nous dans la piscine. Maxence se penche sur moi et me prend dans ses bras, je me laisse aller délicieusement collée à sa peau nue. Je réussi à poser mes lèvres sur son cou et y déposer un baiser. –Je suis si bien dans tes bras Maxence, tu ne pourrais pas rester un peu plus avec nous ?–Oui, bien sûr, mais j’ai peur d’y prendre goût et de ne plus avoir envie de repartir chez moi. Capucine se colle à lui. –Et qu’est ce qui pourrait t’empêcher de rester avec nous ?–Vous deux bien sûr.–Tu as envie de le jeter Apolline ?–Pas du tout, au contraire et toi ?–Pas du tout, alors c’est entendu, tu restes, et on ne discute pas la décision de deux nanas comme nous, tu nous as bien appelé maîtresse n’est ce pas ? –Effectivement.–Alors, tu obéis.
–Bien maîtresses. Il penche sa tête vers moi pour poser sa bouche sur la mienne, nous échangeons un doux baiser, je suis folle de rage de ne pouvoir l’enlacer et le serrer contre moi. Il me dépose sur le chariot et me fait glisser dans l’eau. Une fois installée sur la plage immergée, Capucine vient se coller à moi, elle se penche sur mon oreille. –Il nous a dépucelé, mais il n’a pas fini le travail.–Tu pense à un autre passage pour son sexe ?–Je vois que tu suis, oui, j’ai envie de me faire dépuceler du cul, pas toi ?–Non, j’aime sentir ta langue sur mon anus, mais je ne pense pas qu’un sexe d’homme me donne autant de plaisir que toi, je suis bien comme je suis grâce à ton amour. Elle m’enlace pour échanger un long baiser passionné. Au bout de cinq minutes, elle va rejoindre Maxence qui nage tranquillement dans la piscine. Ils viennent de temps en temps pour me caresser, Maxence va jusqu’à poser ses lèvres sur mon sexe pour me faire jouir, il est remplacé par Capucine qui veut elle aussi me faire jouir. Au bout d’une demi-heure, je demande à Maxence de me remonter sur mon fauteuil, il me prend dans ses bras et m’emmène directement au fauteuil sans passer par le chariot. Capucine reste dans l’eau, il comprend ce que ça veut dire et va la prendre dans ses bras pour la sortir de la piscine. –Tu vas bien finir par ne plus te comporter comme une petite fille.–Non, jamais avec toi !! Nous rigolons, mais je commence à être un peu fatiguée, j’ai envie de manger et d’aller me relaxer dans le salon, la journée à été bien rempli. Capucine va préparer le repas, je regarde Maxence. –Tu es à quel hôtel ?–Au Mercure Toulouse sud, en définitive, pas très loin d’ici.–Vas chercher tes affaires, tu reste avec nous jusqu’à mercredi.–Ça veut dire quoi Apolline ?–Que nous avons envie de mieux te connaître et il nous reste que deux jours. Va chercher tes affaires, nous t’attendons pour dîner, fais vite.–Ok maîtresse. Il va se rhabiller en souriant. Il revient trois quart d’heure plus tard, il a deux valises qu’il dépose dans une chambre, il est étonné de voir le lit ouvert et pas fait. –Ne t’en fais pas, tu ne dors pas là, notre lit est assez grand pour nous trois, et nous n’avons pas l’intention de dormir sans toi cette nuit. –Je suis votre exclave maîtresses !! Nous retournons au salon pour manger, après le repas, nous nous installons sur le divan, Capucine prend ma main et la promène sur le corps de Maxence. Quand elle arrive sur son sexe, je le sens se durcir sur la paume de ma main, je commence à mouiller grave. Une fois le sexe bien raide, Capucine se penche sur lui pour le gober entièrement. Elle monte et descend sur ce vit bien raide, je vois sa bouche l’engloutir complètement. Elle semble prendre beaucoup de plaisir à ce qu’elle fait, Maxence pose ses mains sur ses épaules, il lui caresse le haut du dos, mais il a une drôle de comportement, ses gestes sont de plus en plus saccadés. –Attention Capucine, je vais jouir, je ne peux plus me retenir, attention !! Elle continue en s’agrippant encore plus à ses hanches. Maxence se raidi et soulève ses fesses, je vois que Capucine déglutie, elle avale ce que lui donne cette magnifique verge. Je suis un peu jalouse de sa liberté, mais je sais que je pourrai moi aussi avaler le sperme de Maxence, il suffira de s’entendre sur une position. Capucine se redresse, elle me regarde en me montrant qu’il lui reste un peu de son sperme. –Donne moi ça ma chérie, je veux moi aussi goûter au jus d’amour de Maxence. Elle se penche sur moi pour poser sa bouche sur le mienne, ma langue lui nettoie sa cavité buccale en deux coups. J’avale, c’est délicieux, il va falloir qu’il se déverse dans ma bouche, mais il faut lui laisser le temps de récupérer. –Délicieux Maxence, mais je dois dire que je préfère quand même la cyprine de mon amour.–Ça se comprend, tu l’aime, et tu aimes le sexe avec une femme.–Il n’empêche qu’il va falloir que tu me donne à boire ton sperme, je veux le goûter à la source.–Et tu m’en donnera un peut.–Bien sûr ma chérie. Elle se penche sur moi pour m’embrasser, je suis bien, je suis avec une personne extraordinaire qui m’aime et que j’aime, la vie est parfois injuste, mais elle sait compenser. Il n’est pas loin de vingt deux heures, nous décidons d’aller nous coucher. Maxence me prend dans ses bras pour me déposer délicatement sur le lit. Capucine a changé les draps, je ne m’en suis pas aperçu. Capucine s’allonge à côté de moi, Maxence sur l’autre côté. Ils me caressent, je sens des mains se promener sur mon corps, je me détends au maximum pour apprécier ce moment d’amour divin. Je ferme les yeux, une onde commence à apparaître dans mon bas ventre, des lèvres se posent sur mon pubis, ce ne sont pas celle de Capucine, c’est Maxence qui veut s’occuper de mon sexe, je laisse faire. La bouche descend sur mes lèvres intimes, une langue se faufile entre elles et vient titiller mon vagin. Elle s’enfonce un peu, mais ce n’est apparemment pas le but, elle ressort pour prospecter les alentours. Elle va du périnée au clitoris en n’oubliant aucune étape, vagin, urètre, petites lèvres, clitoris sur lequel elle insiste un peu. Mon corps se tend lentement, il n’a pas la maîtrise de Capucine, mais on sent qu’il pratique souvent. Les lèvres de Capucine m’emprisonnent la bouche, je finit par exploser dans un sublime orgasme. Quand je reviens à moi, Capucine n’est plus là, seul Maxence fait glisser une main sur mon corps. –Tu es la plus belle femme que je connaisse, ton corps est parfait, il n’y a aucun défaut, pourrai je le photographier ?–Bien sûr, mais je ne vais pas pouvoir prendre la pose, tu le sais.–Ne t’en fais pas, j’ai déjà des idées pour demain.–Comment as-tu trouvé cette journée ?–Ce matin merdique, mais à partir de midi, le rêve, je ne m’attendais pas à vivre ce que j’ai vécu.–Tu aimerais le revivre ?–Que veux tu dire ?–Et si tu restais ici un peu plus longtemps, juste histoire de voir comment ça se passe. –Je dois être impérativement à Londres jeudi matin à la première heure, c’est pour ça que je pars mercredi en début d’après-midi.–Et tu dois rester longtemps à Londres ?–Minimum un jour, cela va dépendre de la réponse de la banque de Toulouse. S’ils acceptent ma proposition, je quitte Londres immédiatement.–Sans préavis ?–N’oublie pas que nous sommes en Angleterre, il n’y a pas de protection sociale comme en France, tu peux partir du jour au lendemain, comme te faire virer d’ailleurs.  Capucine arrive à ce moment, elle se jette sur le lit sur le ventre. –Il est à toi Maxence, mon cul est nickel et bien lubrifié, j’espère que tu es en forme.–Tu veux que je te sodomise ?–Oui, tout de suite. Il la regarde, se lève, je vois que son sexe est bien raide, il se positionne au dessus d’elle, elle pointe ses fesses vers lui. Je vois son sexe glisser entre elles et s’enfoncer. Il hésite un petit peu et recommence son avance. Au bout de trente secondes, son pubis touche les fesses de Capucine. –Oui, vas-y, défonce moi le cul, ton sexe me rempli bien le cul, vas-y. Il commence des va et vient de plus en plus amples et rapides. Capucine donne des coups de rein en arrière pour bien se faire pénétrer, je regarde, mais ça ne me donne pas plus envie que ça. Au bout de plusieurs minutes, Capucine se raidi et monte ses fesses. –Vas-y, je vais jouir, vas-y, rempli moi, je veux sentir ton sperme m’inonder.–Tiens, c’est pour toi.  Il se raidi aussi et se vide en elle. Je vois qu’elle a une main sur son clitoris, elle s’est masturbée pendant qu’il la sodomisait. Leurs corps se détendent doucement, Maxence se dégage et va vers la salle de bain. Capucine se tourne vers moi. – Je voulais savoir, maintenant, c’est fait. C’était bien, mais je ne crois pas que je recommencerai, je n’ai joui que parce que je me suis masturbé en même temps.–J’ai vu, moi, je reste vierge de ce côté, ça ne m’a jamais attiré. Elle se penche sur moi pour échanger un long baiser. Maxence revient de la salle de bain, Capucine s’écarte pour qu’il se mette entre nous deux. Il se penche vers moi pour m’embrasser, son baiser est doux. Il se retourne pour embrasser Capucine, une fois leurs bouches séparées, il se cale bien dans le lit.
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