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Caro et ses jeunes

Chapitre 4

moi, ma fille et les autres...

Orgie / Partouze
Le lendemain matin, je suis assise devant mon café quand Séverine arrive dans la cuisine. Elle s’approche de moi, se penche et m’embrasse sur la bouche. Quand elle voit que je réponds à son baiser elle passe sa main sur mes seins en s’attardant sur les bouts qui pointent aussitôt.-    Tu as bien dormi ? me dit-elle en se redressant. J’espère que tu es en forme, je t’ai prévu un petit programme sympa cet après-midi !-    Qu’est-ce que tu as « prévu » pour moi ? me demandant ce qu’elle avait encore imaginé avec ses complices.-    Il fait beau, on va faire un peu de bronzette dans le jardin après on verra ! répond-elle avant de tourner les talons et se diriger vers la porte. « Ne m’attends pas je vais chez Colette, je serai là vers 13 heures ».En entendant parler de bronzer, je me rappelle de ce que j’ai entendu la veille : « le vieux voisin qui se branle qui se branle dès qu’il la voit ! ».Le « vieux » s’appelle Roger, retraité depuis peu je ne le trouve pas si vieux que ça mais enfin pour les jeunes passer quarante ans on est plus bon à rien !Roger, environ soixante-cinq ans, dégarni, un peu rougeaud et bedonnant est un retraité jovial et toujours prêt à aider pour sortir les courses de la voiture ou faire une petite réparation dans la cour ou la maison. Je pense qu’il nous aime bien mais de là à l’imaginer la queue à la main derrière sa haie en me matant dans ma chaise longue ! Non, les jeunes racontent n’importe quoi !Quand ma fille rentre, vers treize heures j’ai fini de manger, la maison est rangée comme à son habitude, rien ne laisse paraitre de ma conduite de salope d’hier, tout semble normal.-    Allez maman, tu viens te détendre avec moi, on va profiter du soleil !Et nous voilà toutes les deux parties dans le jardin, après avoir enfilé nos maillots de bain, avec serviettes et huile solaire.-    Allonge-toi, je te vais te passer de l’huile, ce serait dommage que tu attrapes des coups de soleil ! dit ma filleJe me mets sur le ventre, je sens un filet d’huile froid coulé sur mon dos puis les mains douces de Sév étalent le liquide gras sur épaules me massant doucement. Peu à peu son massage se transforme en caresses, les épaules, le dos puis plus bas. Je sens ses doigts sur mes fesses, mes cuisses.-    C’est bon ? me dit-elle-    Oui tu peux continuerSes mains remontent sur mes fesses, ses doigts s’insinuent dans ma raie écartant les deux hémisphères.-    Aïe, fit-je tu m’as coincé un poil !-    C’est ton maillot qui est trop serré, répond-elle en le faisant glisser de mes cuisses jusqu’à mes chevilles avant de le retirer.-    Voilà comme ça plus de problème !-    Mais ça va pas dis-je ne me retournant, Et si quelqu’un arrive ?-    Il n’y a personne et tu ne m’as pas cru quand je t’ai dit que le voisin te maté !Posant sa main sur mon épaule elle m’invite à m’allonger de nouveau. Cette fois je me retrouve sur le dos dans ma chaise longue à moitié nue. L’autre moitié (le haut de mon maillot) ne tarde pas à être retirer par Séverine qui continue ses caresses. Ses mains sur ma poitrine, elle voit bien que cela ne me laisse pas insensible.-    Tu aimes ça, hein !-    Oui j’aime bien …-    Marc a raison tu es vraiment une cochonne ! me dit-elle en faisant glisser sa main entre mes cuisses. Ecarte-les un peu, je sens que ta chatte a besoin d’un petit massage aussi !Sans broncher je fais ce qu’elle me demande laissant le champ libre aux doigts agiles de ma fille, c’est vrai que je suis une salope mais c’est trop bon. Les doigts de ma fille écartent mes lèvres cherchant mon petit bouton, ils le trouvent, déjà mouillée de cyprine.
-    Tu mouilles comme une grosse chienne, ma parole, tu aimes te faire baiser par ta fille hein ? Allez dis le que tu aimes ça !-    Oui j’aime ça continue, c’est bon…Pendant que son autre main s’empare de mes nichons elle s’approche de moi pour glisser à l’oreille : -    Laisse-toi aller, on a un spectateur !-    Mais qu’est-ce que tu dis ! qu’est-ce qui …-    Calme-toi et laisse-toi aller, ça va bien se passer !Redressant la tête je vois qu’effectivement à quelques mètres de nous, Roger se délecte du spectacle !Ma fille qui me branle toujours me dit lui faire signe d’avancer, quand je refuse elle me répond qu’il est trop tard et qu’au point où j’en suis il vaut mieux profiter de la situation que de tout gâcher ! Elle a raison, excitée comme je suis autant continué, d’un petit signe de la tête j’invite le voyeur à s’avancer, ce qu’il fait sans demander son reste !Je suis là, mes grosses cuisses ouvertes devant mon voisin, les doigts de ma fille caressant mon clitoris et tout ce que je trouve à dire c’est : -     Bonjour Roger, ça va ?-    Heu, oui vous aussi à ce que je vois !-    Ça vous fait envie, la chatte de ma mère ? lui dit Séverine-    Ah ça oui !-    Vous pouvez vous branler devant elle, ça vous changera de vous cacher derrière la haie !-    Vous m’avez vu ?-    Depuis longtemps, moi et mes copines on venaient rien que pour vous voir vous donner du plaisir, il faut dire qu’il y a matière !-    Vous trouvez, répond Roger en baissant son short rouge.Un sexe large et gros sort comme un diable de sa boite, malgré la bedaine de Roger il apparait impressionnant avec ses deux grosses bourses pendantes.Il commence à se branler les yeux rivés sur ma chatte luisante, sa queue grossit à vue d’œil, quand il décalotte son gland violacé je me demande comment il fait pour ranger tout ça dans son short !Je suis sur le point de jouir quand Séverine me dit :-    Je te laisse un moment mais branle-toi devant lui je reviens tout de suite !Partie comme je suis j’obéis, mes doigts remplacent ceux de ma fille, mon regard fixé sur la bite monstrueuse de Roger qui n’en revient pas de voir l’objet de son désir s’inonder de plaisir devant lui.Arrivée aux portes du plaisir, j’entends une voix que je connais derrière moi : celle de Colette !-    Mais Séverine, qu’est ce qui se passe ici !-    Tu vois bien c’est Caroline, ta copine et je te présente Roger, mais tu l’as déjà rencontré ici, non ?-    Oui … mais qu’est qu’ils font, ils se ….mast…-    Ben oui ils se branlent, tu n’as jamais vu ça avant ?-    Mais ça va pas enfin ! répond-elle en venant se placer devant nous, vous êtes malade !Alternativement elle regarde Roger, enfin sa queue, et moi, sexe offert est trempée sur ma chaise longue. -    Si vous aimez pas ça, n’en dégouté pas les autres ! dis Roger-    Mais si elle aime ça ! fait Séverine en passant sa main sur la croupe de Colette, Hein tu aimes ! se faisant plus insistante entre les cuisses de la belle bourgeoise.Sév retourne Colette d’un coup et fourre sa langue dans la bouche de mon amie commençant à lui peloter les nichons.-    Tu vois Colette, je t’avais dit que tu aurais une surprise, je ne t’ai pas menti, dit-elle-    Oui mais c’est Caroline, ta mère !-    Et alors tu ne vois pas comment elle est chaude ta copine, et le voisin ? elle peut pas le laisser dans cet état-là !-    Tu…, Tu n’as pas tort répond Colette en faisant glisser sa robe le long de ses chevilles, et tu sais que je ne peux rien te refuser !Je me suis redressée, assise sur la chaise longue, je regarde le corps nu de Colette, c’est vrai qu’elle s’entretient, taille fine, corps bronzé et chatte épilée elle ne fait pas son âge et je comprends que ma fille ait eu envie de la sauter ! D’ailleurs Sév continue de la caresser tout en la poussant à s’approcher de moi.Arrivée en face de moi, ma fille la prend par les épaules et l’invite à se mettre à genoux. Colette, la belle Colette, est là, à genoux devant ma chatte, devant mes cuisses écartées, devant ma chatte mouillée et offerte.-    Allez lèche ! ordonne ma fille à la bourgeoiseColette s’exécute, elle met sa tête entre mes grosses cuisses, je sens sa langue sur mes lèvres, j’écarte mes cuisses au maximum afin qu’elle puisse s’enfoncer plus loin en moi.Roger s’est placé à mes côtés, il me présente sa bite d’âne, j’ouvre la bouche, son gros gland me remplit la cavité buccale, s’il enfonce sa queue plus profondément je vais étouffer ! Je le suce, ses grosses couilles pèsent lourd dans ma main. Il me baise la bouche et j’aime ça !Séverine à genoux à son tour caresse la chatte épilée de Colette.-    Vous êtes vraiment des belles salopes, dit Sév, Ma mère qui se fait baiser par tout le monde et toi Coco, tu lèches la chatte qui a reçu la bite de ton fils hier !-    Quoi ! répond Colette arrêtant un instant de me brouter, elle s’est fait baiser par mon fils aussi ?C’est à ce moment que le voisin retire sa queue de ma bouche et envoie un long jet de foutre sur mes seins et mon ventre, sans débander il va se mettre derrière la bourgeoise et entreprend de la prendre en levrette.-     Non mais ça ne va pas, c’est trop gros, fait-elle avant de recevoir la bite de Roger dans la chatte-    La ferme ! En plus en elle est trempée comme une soupe, ça rentre tout seul ! répond le vieux voisin commençant à s’activer dans la chatte épilée.La tête de Colette s’écrase sur mon ventre, je la prends dans mes mains et lui dit de lécher le foutre dégoulinant de mes seins ! Avant ce jour je n’aurais jamais cru qu’elle pouvait faire ça, ni moi d’ailleurs.Elle nettoie mes nichons avec application tandis que ma fille m’emballe et que Roger lui laboure le sexe. Quand il éjacule dans son intérieur, ma fille m’ordonne à son tour de lécher notre amie. Colette s’assoit sur moi, je prends sa chatte à pleine bouche. Elle rejette le foutre du vieux que j’avale goulument, elle jouit sous mes coups de langues nettoyeurs.C’est vraiment un bon après-midi !
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