Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 68 J'aime
  • 0 Commentaire

Carole: dans la cabine d'essayage

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
Plus d’une semaine que je n’ai pas fait voir ma rose !.. Insensé, n’est-ce pas ? Julie est partie quelques jours chez ses parents dans le Berry. J’ai quitté mon dernier copain pour incompatibilité d’humeur. Au bureau Bruno, le dernier stagiaire est parti à Bordeaux…bref, plus de prétexte à exhibition et rien à me mettre dans ma grotte. Et elle commence à languir.Un catalogue de fringues qui traîne sur le canapé me donne une idée… Quoi de mieux qu’un grand magasin et une cabine d’essayage pour faire une petite démonstration de mes talents à d’éventuels voyeurs !... il est dix sept heures…je vais aller faire un tour sur les boulevards, où trouver une grande boutique de fringues. Ma tenue ? Tu sais bien…ma petite robe blanche…elle est de toutes mes exhibitions.    Je repère une boutique où il y a un peu de monde et me dirige vers le fond. C’est là que sont les cabines. Tout en flânant dans le magasin, je m’arrête aux vêtements de sport qui sont en limite avec ceux des hommes. Justement, deux jeunes beaux gosses sont au rayon jogging… face à eux, je fouille sans grand intérêt pour les vêtements. Enfin, l’un d’eux lève les yeux sur moi et, pas timide, me dévisage avec un sourire aux lèvres sans baisser les yeux alors que les miens sont braqués dans les siens…serait-ce de bonne augure ? Je contourne le rayon pour me poster en tête de gondole, leur tournant le dos. Là, je me baisse, faisant semblant d’examiner le bas d’une veste. Je sais que ma robe découvre le bas de mes fesses. S’ils ne mordent pas à un si charmant appât ?.. Je m’écarte et me dirige vers le rayon des jupes, une jupette blanche à volants attire mon attention. Simple élastique à la taille, courte, légère et ample…elle me convient tout à fait. Il ne me reste qu’à l’essayer. Je lève le nez et constate que mes jeunots se sont rapprochés et sont plantés devant un rayon de shorts Le plus audacieux plonge une fois de plus son regard sombre dans le mien. Il semble bien avoir mordu !... en langage de pêcheur ou plutôt pêcheuse que je suis dans l’instant.     Je dois passer à la phase deux. Me voyant errer dans les rayons, une vendeuse vient me proposer son aide. Pourquoi pas un short. Elle me ramène en face de mes admirateurs. J’en choisi un, short, particulièrement sexy et volontairement trop petit pour ma taille. La vendeuse, jolie frimousse, n’ose pas me le dire et me propose d’essayer, m’indiquant la cabine que j’ai déjà repérée. Une jeune femme vient d’entrer dans celle qui jouxte la mienne et son compagnon attend sagement devant.M’assurant que mes deux mateurs sont toujours à l’affût, j’entre et laisse le rideau tel qu’il était à moitié ouvert. Pour passer les deux vêtements que j’ai choisis, je dois enlever complètement ma robe. Face à mes admirateurs, je dégrafe ma chaînette, et ma robe portefeuille s’ouvre aussitôt, dégageant tant ma poitrine que mon ventre, ma rose et mes cuisses, puis la laisse glisser parterre…puis j’enfile le short, prenant soin de lever haut les jambes. Je sens les trois paires d’yeux me balayer le corps de fond en comble !..Tu t’en doutes…j’en suis ravie et savoure le moment !... évidemment, je n’arrive pas à fermer le short qui, ouvert sur le devant, laisse ma raie apparente. J’appelle la vendeuse. Elle arrive souriante, un autre short à la main :— je m’en doutais un peu, ce n’est pas votre taille…vous allez attirer tous les regards…— et bien tant mieux, le spectacle semble leur plaire !…ça vous dérange ?— Oh ! moi non, au contraire, on est si bien nue…moi aussi, si j’osais !..mais pas ici.     Et tandis qu’elle me parle, elle m’aide à changer de short, profitant au premier plan de mes appas qu’elle ne se gène pas de frotter en fermant la braguette, puisqu’elle se charge de me l’ajuster. Je sens tout le plaisir qu’elle semble éprouver à me caresser subrepticement et même à frôler mes tétons de son front en se redressant. Mes trois voyeurs ont du mal à conserver une posture naturelle, matant ma poitrine dénudée depuis longtemps et guettant comme des chasseurs la sortie de ma foufoune. En ôtant de nouveau le short, je les comble d’une exhibition de mon postérieur, puis me retourne pour enfiler la jupette en levant haut la cuisse pour l’enjamber. Cette jupette, ample et légère, va être du plus bel effet pour montrer mes fesses. Celle là, je prends, et pour satisfaire encore mes curieux je la descends et me retrouve nue une fois de plus.     La jeune femme de la cabine d’à coté est sortie avec sa nouvelle robe. Lorsqu’elle remarque que le regard de son mari est fixé sur la cabine voisine, elle se retourne et me voit complètement nue, baissée, les fesses en l’air en train de ramasser ma robe parterre.La tête entre les jambes, je la vois rire avec son mari, fixant elle aussi mes fesses et mon entre jambes. La vendeuse, juste à coté participe également à la séance, et c’est maintenant cinq paires d’yeux qui dévorent complaisamment mes appas. Je suis au comble de ma jouissance, et ma vulve mouillée et dégoulinante en est la preuve.    Je vais devoir conclure en refermant ma robe. La vendeuse, aux petits soins me propose son aide. Je me laisse faire, voyant qu’elle aussi prend son pied. Ma voisine de cabine en profite pour s’approcher, sa nouvelle robe à la main et me lance :— Bravo, quelle audace, moi je n’oserais pas !...mais vous pouvez, vous êtes belle !...mon mari est très content…vous lui avez donné des idées et maintenant, je vais devoir gérer !.. merci pour lui !!..— et bien moi, je vais devoir gérer toute seule !.. se confie la vendeuse.— Alors nous sommes dans la même situation toutes les deux !..— Vraiment ? vous êtes seule ?...Vous savez, vous me plaisez bien…on peut se revoir ?..— Pourquoi pas !.. que faites vous ce soir ?...Nous continuons nos confidences, en payant à la caisse, échangeons nos adresses et décidons de nous revoir chez moi tout à l’heure. On enregistre nos téléphones et nos adresses.. C’est à ce moment que les deux jeunots pleins d’audace, postés derrière moi se présentent, se mêlant à notre conversation ;— Lui, c’est Vivien et moi c’est Boris…permettez moi de vous remercier et de vous féliciter…il fallait oser !..et en plus vous êtes très belle, sensuelle et désirable !..— Merci !..c’est sympa.— Pourquoi avez-vous fait çà ? qu’est-ce que çà vous fait à vous ?— J’aime sentir les regards se porter sur ma nudité… si tu veux savoir, çà m’excite !.. Ça me plait autant de me montrer à poil qu’à toi de me mater !..— Bien vu !.. si toi ça t’excite, tu comprends bien que nous aussi. Et maintenant, la belle, tu as mis le feu !.. et Boris montrant son futal :— Regarde le travail !... faut finir, tu peux pas nous laisser comme ça, la belle. Vivien et moi on bande à mort maintenant !.. as-tu un plan pour la suite ?Je leur tends une carte, la même qu’à Virginie, mon prénom, mon téléphone, mon adresse, et leur propose avec un grand sourire !...— Dans deux heures !.. je vous attends tous deux chez moi, pour l’apéro…et montrezvous à la hauteur !..    Stupéfaits et septiques, Vivien presque inquiet :— T’es une…— Non, simplement en manque et j’ai de gros besoins !..t’inquiètes pas, c’est gratuit !...Je vois encore le regard de ces deux beaux gosses aussi babas que des gamins devant un train électrique !..
Diffuse en direct !
Regarder son live