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Carole, elle me propose de poser pour moi

Chapitre 1

Hétéro
J’ai été récemment invité à un mariage, et je suis tombé sous le charme d’une jeune convive, sans oser l’aborder pouvant être largement son père.Quelques jours plus tard les parents de la mariée, avec qui je suis ami, m’invitent pour un apéro. Ils me montrent des photos de la noce, et je revois cette jolie fille. Je leur dit, l’air de rien, que je l’avait remarquée parce qu’elle avait l’air de s’ennuyer, restait assise sur sa chaise, ne participait pas. Ils me disent alors que c’est la fille des premiers voisins des parents de leur gendre, et qu’elle ne connaissait personne à part le marié et ses parents, mais sans plus. Ce sont ses "vieux" qui ont été invité, et elle a dû suivre.J’ai l’adresse des beaux-parents sur le faire part de mariage, et donc l’adresse de la petite voisine. Je suppose qu’elle est au lycée et je me mets en planque devant chez elle et de bonne heure. Je la vois sortir et se diriger vers un arrêt de bus. Je la suis en voiture, jusqu’à son bahut, et me planque à nouveau en fin d’après midi pour surveiller son retour. Elle descend du bus et je vais à sa rencontre; je ne l’ai pas fait le matin pour ne pas la retarder, mais là je pense qu’elle a un peu de temps à m’accorder:— Bonjour, c’est un plaisir de vous revoir!— Excusez-moi, on se connait? Il me semble vous avoir vu, mais je ne sais plus où.— On était au même mariage il y a un mois. - Ah oui, je me souviens.— Je vous ai remarquée parce que vous étiez très belle. J’aurais voulu prendre une photo de vous, mais je n’ai pas osé et en vous revoyant je le regrette. Vous n’en auriez pas une à m’offrir?— Ah non, désolée.— Tant pis pour moi, j’aurais tenté. Au revoir jolie fille.— Attendez. Je n’en ai pas, mais si voulez je peux poser pour vous.— Et vous feriez ça juste pour me faire plaisir?— Oui, mais aussi parce que j’aime avoir des photos de moi. Alors je vous laisse me photographier autant que vous le voulez, mais vous me donnez un exemplaire de chaque prise.On tombe d’accord et on se donne rendez-vous dans un parc de la ville.Samedi, quatorze heures, j’attends devant le portail d’entrée me disant qu’elle s’est foutu de moi et que je poireaute pour rien. C’est alors que je la vois apparaitre, ravissante, dans la même tenue que lors du mariage: une robe blanche, simple, sans manche, collante au corps jusqu’aux hanches, puis large au dessous pour s’arrêter à mi-cuisses. Elle n’a pas de bas, et des chaussures blanches à petits talons.Elle fonce sur moi et me fait la bise:— Bonjour, vous allez bien?— On ne peut mieux, puisque tu es là. Tu permets que je te tutoie?— Oui, bien sûr. Vous avez votre appareil?Je le lui montre pour répondre à sa question, lui dit que l’on a de la chance puisqu’il fait soleil, et on se dirige vers un coin du parc sans trop de passage. Elle pose dans toutes les positions, debout, appuyée sur un arbre, assise sur un banc, puis assise et même allongée dans l’herbe rase et sèche qui ne risque pas salir sa tenue. Je la prends sous tous les angles, fais des dizaines de vues, et on stoppe la séance. Je lui dit que je mettrais tout sur une clé pour la lui donner, mais elle veut déjà les voir et insiste devant mon premier refus embarrassé. On s’assoit sur un banc et je lui passe mon appareil. Je n’ai pas à lui expliquer le fonctionnement, les jeunes connaissent tout des nouvelles technologies, bien mieux que les croulants de mon âge. Elle défile les images, s’attarde sur une première, et encore plus sur une autre. Ce sont des gros plans que j’ai fait, d’une cuisse qu’elle dévoile entièrement, puis de sa petite culotte que l’on aperçoit:— Ah, c’est pour cela que vous ne vouliez pas me les montrer! Vous êtes un petit coquin!— Excuse moi, mais l’occasion fait le larron. Ce n’est ma faute si tu m’offres de jolies vues. — Oui, c’est vrai. Vous êtes marié?— Je l’ai été, mais on a divorcé.— Vous vivez seul?— Oui, mais dis moi, c’est indiscret comme question! Est-ce que je te demande si tu vis seule?— Non, mais je peux vous le dire, je vis chez mes parents. Par contre si vous vivez seul, on pourrait aller chez vous pour faire des photos coquines, puisque ça semble vous plaire.— Je ne demande pas mieux, mais tu ferais ça toujours pour rien? — Non, j’espère une petite récompense.— C’est bien ce qu’il me semblait. Et tu veux quoi?— J’ai envie de vous sucer.— Et bien ça au moins c’est direct. Tu dis ça à tous les inconnus que tu rencontres?— Non, et puis vous n’êtes plus un inconnu. Vous me plaisez bien, et je suis sûre que vous avez une grosse queue.— Ca, pour le savoir ma chérie, il y a une condition. Tu as quel âge?— 18 ans et 3 mois.— Tu es sûre! tu fais bien jeune.Elle me montre sa carte d’identité qui confirme ses dire.— Ok, je ne vois pas de raison de refuser.— Alors c’est oui! Emmenez moi chez vous avant de changer d’avis.On part jusqu’à ma voiture, et elle me tient la main se foutant des regards des passants. On roule jusque chez moi, on discute, et elle veut bien me tutoyer. Elle me fait des confidences, m’avoue qu’elle n’a pas un copain mais des copains, et qu’elle les suce tous, en tête à tête, ou en partouze. Je la laisse se dévoiler sans oser commenter.On est chez moi et on va direct au salon. On s’est déjà fait nos plans: elle me suce, on fait des photos, elle me suce à nouveau. C’est ce qui était prévu!
A suivre...
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