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Caroline

Chapitre 2

Hétéro
Sa chatte est très humide et sa cyprine s’écoule doucement et abondamment le long de mes bourses gonflées par le désir.
— Que c’est bon ! cette queue en moi, cela faisait si longtemps— Oui c’est bon Caroline, masse ma queue avec ton vagin, oui comme ça…vas-y continue…
Parfois, elle s’élève si haut que ma verge sort de son fourreau, elle redescend et sa fente s’appuie sur ma queue raide comme une barre de fer et puis l’absorbe au plus profond.
Elle s’élève de nouveau mais, brutalement elle arrête son va-et-vient et dénoue ses jambes, alors, elle se laisse glisser, à mes genoux, devant moi, mon sexe bat l’air devant son visage candide. Sa bouche s’approche de mes bourses, elle les lèche avidement et puis sa langue remonte doucement le long de ma hampe.
Elle s’attarde sur le frein de mon pénis avant d’avaler le gland décalotté et luisant. Elle aspire le nectar et enfonce mon phallus tout entier dans sa bouche.
Mon gland tape le fond de sa gorge. Sa bave se mélange à mon nectar, elle aspire avidement ce mélange intime.
Pendant ce temps, elle ne reste pas inactive, ses mains malaxent mes couilles avec douceur. Alors une de ses mains s’égare le long de mes fesses et parcourt lentement ma raie.
Je suis debout inactif mais je veux donner du plaisir à Caroline, alors je lui dis :
— Caroline mets toi sur le dos sur le carrelage mais sans que ta bouche lâche mon membre— Oui mon Marc….
Elle s’exécute avec précaution et je me retrouve à quatre pattes au-dessus de Caroline qui continue à me sucer divinement.
J’écarte ses cuisses en me tournant et place ma tête entre ses jambes fines. Ma langue s’aventure dans le doux duvet de son pubis proéminent. J’adore les duvets fins et fournis et dont les poils sont collés par la cyprine abondante qui s’écoule d’une chatte.
C’est le cas, elle est velue avec un duvet soyeux, les poils sombres sont dégoulinants de cyprine.

J’ouvre ses grandes lèvres rosées et découvre ce petit bouton raide et gonflé. Je le lape, je le suce, je le mordille, c’est divin et merveilleux.
La bouche de Caroline lâche mon sexe, elle me dit :
— Marc, prends moi, jouis dans mon vagin et inonde ma chatte de ton sperme— Oui ma douce Caroline
Je me mets sur le dos, ma hampe de chair dressée vers le haut. Caroline m’enfourche et s’empale brutalement. Elle commence un nouveau va-et-vient lent et même langoureux, puis elle accélère, petit à petit, son mouvement. Elle gémit, elle tremble. Ses hanches ondulent, elle danse sur mon sexe.
Ma verge me fait mal mais elle est prisonnière d’un chaud fourreau humide à souhait. Ma jouissance arrive tel un cheval au galop. Le sperme monte. Nous sommes prêts à exploser tous les deux. Caroline vibre de tout son corps.
Une première giclée, puis une seconde dans ce vagin qui se resserre. Caroline ne bouge plus, seules les parois de son vagin vibrent et massent ma bite pour extraire tout le sperme contenu dans mes bourses.
Elle a joui, j’ai joui, nous sommes heureux et épuisés par nos ébats nocturnes. Nous restons ainsi de longs instants.
Toujours allongés sur le sol frais en sueur tous les deux, nous reprenons doucement nos esprits. Caroline se relève calmement mais avec beaucoup de précautions car sa chatte insatiable emprisonne toujours ma verge. Je suis obligé de la suivre et me lève avec elle.
Debout, elle me tourne le dos et se penche en avant, je suis derrière elle, collé à ses fesses rebondies. Mon membre, toujours fiché en elle, reprend de la vigueur.
Caroline le sent alors elle se penche encore plus en avant. Dans cette position, ses fesses s’ouvrent et je découvre son anus luisant de nos deux jouissances. Mes doigts s’activent, caressent l’anneau de chair fermé.
Ma queue, toujours en elle, gonfle alors mes mains, quittant son anus, se placent sur ses hanches, je la tire à moi. Je m’enfonce le plus profondément en elle, je commence à la pilonner de plus en plus fort. Par moment, mon membre sort, de temps en temps, de son vagin trop humide.
Caroline est toujours penchée en avant, ses fesses toujours bien en l’air. D’une main habile, elle me malaxe les bourses
— Marc arrête car je veux te sucer afin de te faire jouir dans ma bouche— Vas-y car ma sève monte et je suis prêt à jouir une nouvelle fois.
Son vagin quitte mon phallus dont le gland décalotté est gonflé un maximum et recouvert de son doux nectar.
Avide, la bouche de Caroline a avalé l’extrémité de ma queue. Je sens la pointe de sa langue dans son méat. Ses dents mordillent l’extrémité du gland. Elle aspire et sa bouche avale mon sexe lentement. Les lèvres remontent vers mon ventre.
Dans un dernier mouvement, elle met toute ma verge dans sa bouche. Elle ne bouge plus mais aspire toujours.
Elle redescend toujours aussi lentement puis remonte, alors elle accélère son mouvement de tête.
Je tremble de tout mon être, j’ai chaud malgré la fraîcheur du salon, je sens que je vais jouir.
— Oui, Caroline continue, je vais jouir.— Aaahhhhh……ouuuiiiii
Mes reins se cambrent, ma queue est tendue au maximum et d’un seul coup mon sperme sort en une grosse giclée, puis une autre.
Je crie, je me répands dans sa bouche avec un certain bonheur.
Caroline continue à sucer mon sexe et elle garde ma jouissance.
Quittant mon sexe, elle se redresse et m’embrasse en me donnant un peu de mon sperme. Elle avale, tout le reste, heureuse. Je l’imite. Nous avons partagé ma semence.
Dehors, le jour se lève dans des teintes douces, c’est le moment pour nous de nous séparer après une excellente soirée qui restera dans nos mémoires.
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