Bonjour,Avant de vous raconter ce qu’il m’est arrivé la semaine dernière, je vais d’abord me présenter à vous.Je m’appelle Caroline Dufour, j’ai 22 ans et je fais 55 kilos pour 1m69. Je pratique comme sport du fitness ce qui me donne un corps assez athlétique et des fesses bien rebondies. Je vis seule avec mon frère et mon père dans un beau pavillon situé sur Paris depuis que ma mère nous a quittés il y a un an de cela.D’ailleurs, depuis le décès de ma mère, je porte toujours une casquette rouge à l’envers en guise de souvenirs d’elle. Cette casquette représentait beaucoup pour moi puisqu’il s’agissait du dernier cadeau de ma mère.Voilà pour les présentations.Je vais donc vous raconter ce qu’il m’est arrivé la semaine dernière, un lundi ensoleillé en pleine matinée.Ce jour-là, je n’avais pas cours le matin, et j’avais donc décidé de mettre mon réveil pour 10 heures. J’avais fait une grosse nuit de sommeil et j’avais dormi plus de 11 heures. Bien sûr, à ma levée, j’étais toute patraque.Dans la maison, il n’y avait que mon père qui comme chaque matin regardait en général la télévision sur son canapé et quant à mon frère, celui-ci se trouvait en cours. N’étant pas en grande forme, et malgré la chaleur dans ma chambre et la sueur que j’avais sur moi, j’avais décidé de ne pas prendre ma douche ce matin. J’ai donc mis mes vêtements habituels que je portais tous les jours chez moi, c’est-à-dire un débardeur blanc et un short legging noir. Sans oublier de mettre ma casquette.A la maison, je détestais mettre des pantoufles, chaussures, tongs ou autres, mais n’aimant pas marcher pieds nus non plus, je portais toujours des chaussettes hautes noires fines m’arrivant presque aux genoux.Je sais, je sais, vous allez me dire que ce n’est pas très hygiénique mais j’étais ce genre de fille là. Le genre de fille qui marche à chaussettes partout dans la maison. Le genre de fille qui ne met pas de soutien-gorge ou encore le genre de fille qui ne met pas de culotte ou de string sous son legging.Bah oui, je m’en foutais puisque personnes ne pouvaient le savoir à part mon frère et mon père.Donc, après m’être levée, je me suis dirigée dans le salon en passant par le couloir pour aller dire bonjour à mon père. En m’approchant de la porte du salon, qui était légèrement entrebâillée, j’ai entendu des gémissements provenant de derrière celle-ci. Je me suis donc approché sur la pointe des pieds par curiosité et j’ai glissé un œil tout en étant caché pour voir ce qu’il se passait.Mon père était à moitié affalé sur le canapé, caleçon baissé, et il tenait sa verge dans sa main droite. J’étais choqué en voyant cela, malgré tout je restais derrière la porte à l’observer comme une gamine découvrant la vie. J’étais surtout curieuse de savoir ce qui pouvait mettre mon père dans cet état-là. Il se branlait de plus en plus activement en regardant la télévision que je ne pouvais voir de ma position. A ce moment-là, je finis par reculer d’un pas délicatement par mépris. J’avais honte de l’observer à son insu et de violer son intimité. Après tout, il est normal pour une personne de se masturber. Malgré le fait que je savais que cela n’était pas bien de faire ça, je finis par faire de nouveau un pas en avant pour regarder à nouveau. Cette fois-ci, mes yeux n’étaient plus fixés sur sa tête, mais plus sur sa verge. Son sexe était dans la moyenne et assez épais. Pour son âge, elle semblait bien rigide. D’ailleurs, sa verge ressemblait beaucoup à celle de mon ex-petit ami tout en restant consciente qu’il s’agissait de celle de mon père.J’étais tellement captivé de le voir se branler que je finis presque par oublier d’entendre ses gémissements. Il ne parlait pas très fort, mais je pouvais entendre des mots tel que « salope », ou encore « qu’est-ce que t’es bonne ».Il finit par accélérer le mouvement et se mit à gémir brutalement. Cela me laissait supposer qu’il avait joui vu les râlements sur son visage. Il finit par se mettre debout, et il nettoya son pénis avec un mouchoir qu’il avait préparé bien avant sur la table basse. Il prit la télécommande pour éteindre la télévision, mais celle-ci lui glissa des mains et tomba sous le canapé. Il hésita à la récupérer, mais ayant le bout du sexe humide je pense, il préféra aller à la douche avant pour se nettoyer.A peine mon père avait-il quitté la pièce pour se rendre à la douche, ma curiosité toujours au rendez-vous me poussa à pénétrer un peu plus dans le salon pour voir ce qu’il y avait sur l’écran de télévision. J’avançais doucement pour ne pas faire de bruit puisque mon père se trouvait non loin mais aussi parce que la situation avait rendu mes jambes un peu fébriles.Arrivé face à la télévision, j’ai cru que mon cœur allait s’arrêter de battre. Je m’attendais à avoir une vidéo de film porno ou autre, mais pas ce qu’il y avait sur cet écran-là ce jour-là. Il s’agissait d’un diaporama de trois photos de moi qui tournaient en boucle. Ces photos avaient dû être prises toutes les trois à mon insu pendant que je dormais dans ma chambre les nuits.Sur la première photo, celle-ci avait été prise de haut, me montrant entièrement habillée de mon short leggins et de mon débardeur blanc. J’étais allongé sur le ventre et au vu de la photo, je dormais à point. Sur la seconde photo, elle avait dû être prise la même nuit selon moi puisque j’étais habillé de la même manière et la pliure sur les draps était identique. J’étais toujours allongé sur le ventre, mais mes jambes avaient dû bouger légèrement. La photo était cadrée en haut de mes hanches jusqu’à mes genoux de manière que l’on voit que mon cul. En voyant cette photo, je ne me suis pas bien senti du tout en sachant qu’elle avait une connotation sexuelle. Il est évident qu’elle avait été prise dans le but de bien voir mon cul.La troisième et dernière photo était sans contexte la plus choquante de toutes. Elle avait été prise une autre nuit puisque j’avais certes encore mon débardeur blanc, mais pour le bas j’avais mis une jupe souple rouge, mes chaussettes noires préférées et des chaussures à talons rouges. Je me souviens de ce soir-là. Je m’étais vêtu ainsi pour faire plaisir à mon ex-copain et quand j’étais rentrée, j’étais si fatiguée que je n’avais même pas pris la peine d’enlever mes chaussures. Je m’étais écroulée de fatigue sur le lit. Sur cette photo prise de haut également, je dormais sur le dos et j’avais les jambes écartées, laissant apparaître mon string à dentelles rouge également. En me voyant dans cette tenue et dans cette position, il est évident de voir que je faisais pute alors qu’à la base je m’étais habillé de cette manière-là pour me rendre le plus sexy possible pour mon ex-copain.Après avoir vu deux à trois fois les images tournées en boucle, j’ai sursauté en repensant que mon père pouvait revenir à tout moment et j’ai pris mes deux jambes à mon cou. J’ai quitté le salon rapidement sans faire le moindre bruit. J’ai regagné ma chambre et je me suis assise sur le lit. Après un petit moment de soupir, je me suis mise à verser des larmes à flots en ressassant sans cesse dans ma tête les mots et l’image de mon père. Un père se branlant en pensant à sa propre fille et en la traitant de tous les noms.
