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Caroline et la famille

Chapitre 4

Une nuit agitée.

Inceste
CHAPITRE 4 : UNE NUIT AGITEE.
Le soir, après m’être calmé, je me suis mis en pyjama. Un t-shirt blanc à manches courtes avec un gros smiley en forme de cœur sur le devant et pour le bas, j’avais mis mon shorty rose dans lequel je me suis toujours senti à l’aise pour dormir. Bien sûr, en souvenir de ma mère, je ne me sépare jamais de ma casquette et de ma paire chaussettes, même pour aller au lit.
Vers 22 heures, j’ai fini par faire tomber mes yeux et à m’endormir malgré les événements du jour. Heureusement pour moi, je ne suis pas du genre à rêver donc je ne pouvais pas faire un cauchemar. Cela dit, vers 01 heures du matin, j’entendis mon frère ouvrir la porte d’entrée de la maison. Il venait de rentrer de sa soirée cinéma qui avait dû durer plus longtemps que prévu j’imagine. Je l’entendis également monter les escaliers pour se diriger vers sa chambre qui se trouvait juste à côté de la mienne et marquer un arrêt derrière ma porte, peut-être pour savoir si je dormais ou non. Mon frère et moi aimions bien discuter tard la nuit de tout et de rien comme un frère et une sœur très complices.
J’étais allongée ventre sur le lit et par-dessus la couette. Avec le chauffage de la chambre, il faisait chaud et je n’avais pas du tout envie de me mettre sous la couette malgré le temps hivernal. Ma tête était tournée en direction de la porte de ma chambre et je n’avais qu’un œil à moitié ouvert me laissant avoir une vision assez floue du fait que ma chambre était assez obscure.
Je vis quand même ma porte s’ouvrir rapidement et une silhouette entrer dans ma chambre précipitamment avec un téléphone en main, flash du téléphone allumé en guise de lumière. Le flash s’était éteint, le noir absolu était revenu dans la pièce. Je pouvais quand même apercevoir par la lumière qu’émettait l’interrupteur de ma chambre que la silhouette était restée au pied de la porte et qu’il avait fermé la porte derrière lui. Tout de suite, des questions me sont venues à l’esprit telles que « Pourquoi mon frère était entré dans ma chambre ? » et « Pourquoi celui-ci ne me disait pas un mot ? ».
Je fis celle qui dormait encore en fermant les yeux, et ouvrant mes oreilles pour être attentive au moindre bruit. J’entendis qu’il s’était déplacé dans la pièce en marchant sur la pointe des pieds et que celui-ci se trouvait non loin de mon lit. J’ai compris sur le moment qu’il ne voulait pas me réveiller. Peut-être qu’il voulait récupérer quelque chose qu’il avait oublié dans ma chambre la veille ? Ou alors il voulait me laisser un cadeau surprise que je ne découvrirais que le lendemain à mon réveil, comme il l’avait déjà fait auparavant.
Il alluma à nouveau la lumière de son téléphone, m’éclairant tout le dos. Subitement, un flash retentit et j’ai tout de suite compris qu’une photo venait d’être prise. A ce moment-là, j’eus un frisson dans tout le corps quand j’ai réalisé qu’il ne s’agissait pas de Fred, mais de mon père. Il est entré dans ma chambre pour faire des photos comme pour les jours passés où il avait dû faire des photos de moi pendant mon sommeil.
J’avais peur. Je ne bougeais pas et faisais toujours semblant de dormir pour lui montrer que j’ignorais sa présence. Ma tête que j’avais légèrement bougée s’était retrouvée entre mes deux oreillers et mon corps était raide, laissant mes jambes droites avec mes chevilles collées.
Il prit deux autres photos successivement, puis je l’entendis se rapprocher de moi et prendre à nouveaux deux autres photos. Sûrement des photos de mes fesses, mais je ne voyais rien de bien excitant que de prendre des photos de mon shorty qu’il avait vu et revu plusieurs fois. Les photos qu’il regardait sur sa télévision la fois d’avant étaient beaucoup plus sexy que celle prise en cet instant.
Il avait cessé de prendre des photos et je pense qu’il était derrière moi à visionner celle qu’il venait de prendre. Cela ne semblait pas lui satisfaire au temps qu’il mettait pour les regarder. Il finit par poser son téléphone sur le lit non loin de moi et je sentis ses deux mains se poser délicatement sur mes hanches. Il mit ses pouces à l’intérieur par-dessous mon shorty comme s’il voulait me le retirer. Mon cœur cessa de battre à ce moment-là. J’ai compris que mon père comptait m’enlever mon shorty pour faire des photos de mes fesses nues.
Ses mains glissèrent doucement le long de mes fesses, puis le long de mes cuisses, pour arriver jusqu’à mes chevilles où il emporta avec ses doigts mon shorty. J’étais donc les fesses à l’air avec mon shorty qui tenait à peine sur le bout de mes pieds. Je ne bougeais pas. Il fit un temps de pause puis pris quelques photos à nouveaux de mon cul. Mes fesses étaient serrées mais pas contractées, laissant apparaître clairement mon anus et la partie haute des lèvres de mon vagin.
Il posa une fois de plus son téléphone à côté de moi sur le lit, me laissant supposer qu’il allait encore faire des choses avec ses mains. Malgré ce que je redoutais, je me suis abstenu de bouger. Il a retiré mon shorty qui servait de cadenas au niveau de mes chevilles et l’a posé au sol. Il prit de sa main gauche ma cheville gauche et de sa main droite, ma cheville droite et souleva doucement mes jambes en l’air de quelques centimètres. Puis, il s’avança légèrement vers moi tout en écartant mes jambes délicatement pour me ne pas me réveiller et les posa sur les extrémités du lit.
J’étais allongé sur le lit, les jambes écartées à plus de 45 degrés chacune de mon corps, laissant apparaître distinctement mon sexe. De par la lumière de son téléphone qu’il avait repris en main, il pouvait voir clairement les lèvres de mon vagin bien écarté dévoilant mon clitoris. Il observa mon vagin pendant quelques minutes puis je sentis le lit s’affaisser. Mon père était en train de monter sur le lit. Pourquoi montait-il sur mon lit ? Qu’avait-il l’intention de faire ?
Je l’ai su rapidement quand j’ai senti sa respiration parcourir le long de mes cuisses pour arriver à mon vagin qui lui était bien exposé. Son nez qui parfois heurtait par inadvertance mon sexe, reniflait comme un chien pisteur les odeurs que dégageait mon vagin. Je ne me sentais pas du tout à l’aise parce que je n’arrivais toujours pas à comprendre que l’on puisse vouloir sentir le sexe d’une femme, qui pour moi, pense qu’il ne s’agit pas d’une odeur agréable. J’étais aussi surtout mal à l’aise parce que l’homme qui le faisait était mon père.
Plus le temps avançait, plus je sentais son nez toucher mon vagin. Puis, je finis par sentir les lèvres de sa bouche. Il en finit par venir à mettre sa langue et à me lécher le sexe en effectuant des mouvements de haut en bas comme un chien l’aurait fait. Mon sexe était humidifié par l’importante quantité de salive qu’il déposait dessus et qu’il faisait couler sur les draps.
J’étais de plus en plus terrorisé au vu du calvaire que j’étais en train de vivre. Malgré tout ce qu’il m’arrivait, je ne lui laissais pas paraître que j’étais éveillée. Je ne bougeais pas, ne gloussais pas. Je m’étonnais moi-même de ma capacité à résister au vu de la peur qui envahissait mon corps.
Cette résistance, je n’allais pas la garder très longtemps puisqu’il finit par enfoncer un peu plus sa tête dans mon cul pour que sa langue puisse se frayer un chemin jusqu’à mon clitoris. Il mit du temps, mais en forçant bien, ses joues contre mes cuisses et son nez presque dans mon anus, il finit par atteindre mon clitoris.
Je ne suis pas une clitoridienne, mais la situation a fait que lorsqu’il a posé sa langue sur mon clitoris, j’ai eu une sensation très forte qui lâché un râlement de ma part trahissant le fait que je fasse semblant de dormir. Ce n’était pas un petit cri de jouissance, mais plus un râlement de plaisir que je n’avais su contrôler.
Entendant cela, mon père a tout de suite retiré sa tête de mon cul par interrogation et il la remit aussitôt en m’agrippant fortement mes fesses de ses mains. Il bougeait sa tête dans tous les sens dans mon cul faisant tournoyer sa langue par la même occasion sur mon clitoris. Mon sexe dégageait tellement de cyprine du fait que je me sois retenue que je pouvais l’entendre en avaler. Je ne contrôlais plus mon corps et je me mis à bouger mes hanches par saccade, laissant prévoir qu’une jouissance étant imminente. Il intensifia sa langue autour de mon clitoris et je me suis mise à jouir quand sa langue finit par me pénétrer le vagin. Une quantité importante de fluide sortit de mon vagin s’écoulant sur ses lèvres, son menton et sur mes draps.
Je n’avais poussé aucun cri de jouissance, mais il était évident au vu de la réaction de mon corps que je ne dormais plus. Malgré cela, je restais dans cette position immobile, les jambes grandement écartées comme si j’attendais une suite.
Mon père reprit son téléphone et prit encore quelques photos de mon sexe trempé. J’étais morte de honte même si je savais qu’il ne pouvait pas voir mon visage caché dans l’obscurité et entre mes deux oreillers. Il finit par se mettre debout, et il me mit une gifle bien claquante sur ma fesse droite en me disant :
Père : « Salope ! »Il n’y avait plus aucun doute sur le fait qu’il savait que j’étais réveillée et bien consciente de la situation. J’avais décidé de continuer de l’ignorer et de rester dans le silence. Pourquoi ? Eh bien, moi-même je ne le savais pas. J’étais à la fois perturbée et honteuse de m’être laissée manipuler sans faire la moindre résistance pour l’arrêter.
Mon père quitta la pièce, laissant mon shorty à terre, où il y passa sûrement le restant de nuit. Je finis par me rendormir sans avoir la moindre idée de la notion du temps, sans même avoir bougé d’un poil. C’est-à-dire, la tête entre les oreillers, les jambes écartées et le sexe à l’air.
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