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Caroline et la famille

Chapitre 5

Le chantage.

Inceste
A ma levée, je me suis retrouvée dans mon lit en position du fœtus. Peut-être que je m’étais mise dans cette position-là pour me réconforter ou alors parce que j’avais eu froid du fait que je m’étais endormie sans prendre la peine de remettre mon shorty ? Une chose évidente est que mon sexe collant m’avait très vite rappelé la nuit précédente. Je me levai précipitamment, prit quelques affaires et alla prendre une douche.En sortant de la douche, j’avais mis un t-shirt blanc banal et un jeans bleu ciel très moulant. Je n’avais pas pris le temps de choisir mes habits du jour pour tout vous dire. Juste avant de retourner dans ma chambre, j’ai croisé Fred qui s’apprêtait à descendre les escaliers pour se rendre dans la cuisine qui me dit d’un ton étonné :
— Caroline ? Tu ne viens pas prendre ton petit-déjeuner ?
Je le regardai moi-même d’un ton étonné et je finis par lui dire :
— Quel petit-déjeuner ? Tu m’en as préparé un ?
Il resta stupéfait en me regardant et me dit :
— Ha... Je pensais que Papa t’avait prévenue. Il nous attend pour prendre le petit-déjeuner qu’il a préparé avec lui.
Je lui répondis que j’allais arriver après avoir posé mes affaires sales dans ma chambre d’un ton de voix hésitant. Après que mon frère est descendu des escaliers, l’angoisse prit à nouveau mon corps. Tremblante, je me posais des questions sur le pourquoi mon père nous avait préparé un petit-déjeuner. Depuis le décès de maman, nous n’avions plus jamais repris de petit-déjeuner ensemble. Il était évident qu’il y avait un lien avec ce qu’il s’était passé la nuit dernière dans ma chambre avec lui.
J’entrai dans ma chambre et posa mes affaires sales dans mon bac à linge et pris un moment de répit, appuyé contre la porte de ma chambre. Je ne voulais pas descendre voir mon père en sachant qu’il avait organisé ce repas-là dans l’unique but de m’intimider.
Subitement, une voix assez forte retentit du bas escalier :
— Caroline ?! Tu viens ?... On t’attend pour le petit-déjeuner.
Entendant Fred m’appeler ainsi, je ne pouvais faire l’ignorante et rester dans ma chambre par crainte qu’il monte me chercher et que je sois obligé de me justifier. Je ne pouvais quand même pas lui dire ce que je vivais en ce moment malgré notre complicité. Tout d’abord, parce que cette situation était malsaine, mais surtout, parce que j’avais honte. Il fallait que je garde cela secret pour moi et que je trouve une solution autre pour régler mon problème avec Papa sans que Fred soit au courant. C’est pour cette raison-là que j’ai décidé de ne pas les faire attendre plus longtemps et de descendre les rejoindre pour prendre le petit-déjeuner avec eux.
Je descendis les longs escaliers qui donnaient directement sur la table de cuisine qui se trouvait au centre de la pièce. Durant ma descente, j’ai pu constater que mon père était assis sur la table face aux escaliers, sûrement pour me voir descendre ceux-ci. Pas de chances pour lui, je n’avais pas mis de jupe pour qu’il me mate durant la descente. En croisant son regard avec le mien, j’ai compris que ce n’était pas pour me mater qu’il s’était placé ainsi, mais pour voir l’expression de mon visage. Il s’attendait certainement à ce que je sois en colère contre lui, ce qui aurait été normal vu ce qu’il m’avait fait subir, mais cela ne fut pas le cas. J’avais plutôt l’expression d’un visage timide, et le regard fuyant.
Après que mes jambes grelottantes se soient entrechoquées plusieurs fois dans les escaliers, j’ai fini par m’asseoir en face de Fred. Je m’étais posée ainsi de manière à moins voir mon père qui se trouvait sur ma droite. Le petit-déjeuner était composé d’un bol de café au lait, d’un jus d’orange, d’un pain au chocolat, et de tartines.
Mon frère se fait une tartine à la confiture et dit :
— Vous vous êtes couchés tard hier pour vous êtes levés si tard ce matin ?
Mon père lui répondit :
— Heuuu... Oui. Avec ta sœur, on a regardé un film qui a fini tard dans la nuit.
Il était évident que cela était un mensonge, mais que je n’allais indubitablement pas le contredire. Mon frère passa à un autre sujet et se mit à parler de sa sortie cinéma et de sa soirée pendant plus d’une quinzaine de minutes. Nous avions fini le petit-déjeuner et au moment où je m’apprêtais à débarrasser la table, mon frère dit :
— Papa ?! Ça ne te dérange pas si je passe le week-end chez Paul ce soir ? On a encore une soirée de prévue ce samedi et vu qu’il habite loin, ça serait moins dangereux que de prendre la route. — Bien sûr que non. Tu es libre de rester plus longtemps si tu veux même. lui répondit mon père d’un air ravi.
Avant même que mon frère le remercie, mon père lui coupa la parole en disant :
— Ta sœur s’est proposée à rester pour m’aider à faire des travaux. en posant sa main sur ma cuisse droite.
Je venais seulement de réaliser que j’allais être seule pendant deux jours avec mon père a sa totale merci. J’étais rouge de honte et ayant été pris de court, je n’ai pas su trouver les mots pour lui dire que je ne voulais pas rester seule avec lui ce week-end. Dans la panique, je me suis levée brusquement pour ranger la table et ainsi éviter que mon frère ne voie mon visage troublé.
Pendant le remplissage du lave-vaisselle, j’ai pu les entendre converser sur la soirée que Fred avait de prévu et qu’à la fin de cette conversation, Fred avait quitté la table pour se rendre dans sa chambre. Fuyant toujours le regard de mon père, je me dirigeais vers les escaliers également pour rejoindre ma chambre quand mon père m’interpella :
— Caroline ? — Ouiiii ? lui répondis-je d’une voie brouillée, tournant légèrement ma tête.
Mon père attendit que nos yeux se croisent pour me dire :
— Tu vas prendre cher ! d’un ton très sec.
Il avait le visage sérieux et la bouche souriante avec un petit air narquois qui en laissait dire long sur ce qu’il pensait. Restant immobilisé un petit moment, je finis par remettre ma tête en direction des escaliers et posa une main sur la rampe pour m’agripper. Cela aurait dû être à ce moment-là que j’aurais dû lui rentrer dedans pour faire cesser son mauvais comportement vis-à-vis de moi, mais je ne fus rien. Bien au contraire, j’ai monté les escaliers en tortillant involontairement mes hanches comme une prostituée l’aurait faite pour aguicher un client. Mon père venait encore de gagner la partie contre moi. Je me suis rendu compte qu’il me connaissait bien et qu’il savait qu’en me parlant vulgairement, je perdais tous mes moyens.
Je finis par atteindre ma chambre, ne sachant même plus si j’avais débarrassé entièrement la table ou non. Je me mis face à la fenêtre et observait dehors, le ciel, les oiseaux, et le vent sur les arbres. Je n’arrivais pas à penser tellement j’étais confuse, mais ce petit moment d’évasion me faisait me sentir bien.
Un bip sonore venait de retentir de mon téléphone qui me rappela la réalité. Je mis du temps à consulter le message que mon père venait de m’envoyer et qui me disait : « Quand ton frère partira, je veux que tu te mettes en culotte uniquement et tout le week-end. ». Je lui répondis d’un seul mot : « NON ». Juste après qu’il a reçu mon message, il ne tarda pas à m’envoyer une réponse qui me fit perdre tout espoir : « Es-tu sûre ? ». Ce message était accompagné de photos de moi prise la nuit précédente ou l’on me voyait clairement les jambes écartées avec les draps bien trempés.
Mon père venait de me faire du chantage. De par ce SMS, il venait clairement de me faire comprendre que si je ne faisais pas ce qu’il voulait, il publiera les photos de moi. Assise sur mon lit, j’étais songeante et perdue. Un message de relance de mon père apparut sur mon téléphone que j’avais gardé en main qui me disait : « Alors, as-tu pris une décision ? ». Je me mis à lui répondre en ayant beaucoup de mal à écrire du fait de ma tremblote : « Je ferais ce que tu voudras ». Des larmes coulèrent de mon visage et tombèrent sur l’écran de mon téléphone qui venait de recevoir le dernier message de mon père ou il avait écrit en majuscule : « SALOPE ! ».
De par nos messages téléphoniques, je venais de comprendre ma situation. C’était celle d’une fille qui allait devenir l’objet sexuel de son père.
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