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Caroline et la famille

Chapitre 6

L'acceptation.

Inceste
Je suis restée toute la journée dans ma chambre à essayer de me changer les idées et de ne pas penser au moment tant inattendu, celui ou mon frère allait partir. A dix-neuf heures, il passa devant la porte de chambre qui était fermée et me dit au revoir au travers de celle-ci. C’était bien mieux comme ça, ou sinon je n’aurais pu cacher mon visage meurtri par les larmes qui ont coulé sur celui-ci tout l’après-midi. A peine j’entendis la porte d’entrée se refermer derrière Fred, mon père s’écria :
— Caroline ?! Descend tout de suite et habillée comme je te l’avais demandé !
J’entrouvris la porte de ma chambre et lui dis d’une voix oscillante :
— Papa, monte ! Je veux que l’on discute, toi et moi.
J’entendis mon père se rapprocher du bas des escaliers et crier plus fort encore :
— Dépêche-toi de venir ici en petite culotte ou sinon, j’inonde immédiatement les réseaux sociaux de tes photos !
A l’entendre me rappeler son chantage, je m’exécutai de suite. Je retirai rapidement mon jeans et mon t-shirt et descendit les escaliers à pas de courses pour le rejoindre dans le salon avant qu’il n’envoie les photos. Quand il me vit, il me dit :
— Je t’avais dit de te mettre uniquement en petite culotte !
Je portais sur moi une culotte rose clair en dentelle simple, un soutien-gorge assorti à ma culotte, et les vêtements que ma mère m’avait offerts avant son décès, c’est-à-dire la casquette rouge et ma paire de chaussettes noire montante. Mon père me fit signe de poser les vêtements sur la table du salon en tapotant dessus expressément. Je le regardai d’un air attristé et lui dis :
— Je t’en prie Papa !... Ce sont les vêtements de Maman et tu sais que je ne les quitte jamais.
Il me répondit d’un air sûr de lui :
— OK pour la casquette et les chaussettes, mais pas le soutien-gorge non ?
Il se posa sur le canapé, me fit signe d’avancer et de retirer mon soutien-gorge. Je fis quelques pas vers lui, mis mes mains derrière mon dos et dégrafa avec difficulté mon soutien-gorge. Par timidité, j’avais la tête tournée à droite et mes yeux fixèrent le sol. Mes mains se trouvaient le long de mon corps inerte, laissant mes seins complètement exposés devant mon père. Je venais de faire tomber mon bonnet « B » sous ses yeux comme j’aurais pu le faire avec n’importe quel amant. Mon père pouvait voir que mes seins étaient proportionnés à mon corps, et que mes tétons n’étaient ni trop gros, ni trop petits, pointant naturellement. Il m’observa un long moment, certainement pour me mettre mal à l’aise, puis il me dit :

— Tu as de beaux seins, même si ce n’est pas ce que l’on remarque le plus chez toi.
Il me fit signe des gestes de sa main de me retourner, chose que je fis promptement. J’étais dos à lui, juste en chaussettes, casquette, et culotte. Il pouvait voir que j’étais quelqu’un de très svelte avec un déhanché très prononcé, laissant apparaître un fessier très large. J’entendis rapidement mon père s’exciter et s’exprimer en me disant :
— Caroline ! Caroline ! Caroline !...
Puis il dit en élevant la voix :
— Tu as un magnifique gros cul ma parole !
Il est vrai qu’étant complexé par la taille démesurée de mes hanches par rapport à d’autres filles de mon âge, je portais toujours des bas très moulants afin de contenir mes fesses quitte à en avoir mal au ventre parfois. Néanmoins, à l’écouter, c’était comme s’il ne les avaient pas vus le soir d’avant.
Toujours en lui tournant le dos et avant même qu’il ne me donne d’autres directives aussi rabaissantes, j’ai pris la décision de lui dire des mots en sachant pertinemment sa réponse afin de lancer une conversation entre nous :
— Papa !... Je peux aller me rhabiller maintenant ? — Non ! Je suis loin d’en avoir fini avec toi. — Qu’est-ce que tu attends de moi, Papa ? — Hum... Que penses-tu que j’attende de toi ?
Je mise du temps à répondre à sa question, mais le courage me vint de lui répondre :
— Que je couche avec toi ! — Tu vois que sous tes faux airs, tu n’es pas si bête !? me dit-il en rigolant.

Son rire moqueur m’insupportait à un tel point que je finis par me retourner et par le regarder droit dans les yeux. J’étais à la fois rouge de honte et rouge de colère du fait de voir comment il me considérait. D’un ton très expressif et sûr de moi, je lui dis :
— Ça... ça n’arrivera jamais ! Il est hors de question que je couche avec toi,... Mon père ! — Oh que si ! répliqua-t-il en secouant son téléphone devant moi.
Son chantage devenait oppressant et j’avais l’impression d’être tenue en laisse. J’étais consciente que je ne pouvais rien faire sans qu’il me rappelle a l’ordre avec ses menaces. C’est pour cette raison qu’il fallait que je prenne vite les devants pour minimiser mon calvaire et je lui dis :
— Il y a peut-être moyen de s’arranger, non ? — Ça dépend. Que me proposes-tu ? dit-il.

Je pris ma respiration d’un bon coup et je finis par lui dire :
— Je suis prête à te faire une pipe si tu veux. — Oh !
C’est le seul mot qui est sorti de sa bouche. Il avait fait comme s’il était choqué de ce que je venais de lui dire alors qu’il s’attendait sûrement que je lui propose ce genre d’acte au vu de la tournure de notre conversation. Mon père baissa les yeux et regarda mon corps en commençant par mes pieds, et en marquant un temps d’arrêt au niveau de mes hanches et de ma poitrine. Il finit par me regarder dans les yeux et à me dire :
— Ça va être difficile de résister avec un tel corps, mais pourquoi pas. J’accepte sous condition évidemment. — Quelle condition ? lui demandais-je aussitôt.— Que tu me suces à chaque fois que j’en aurais envie et quel que soit le lieu.
Un silence remplit la pièce et après un court instant, je me rendis compte que c’était la meilleure solution qui s’offrait à moi. J’acquiesçais de la tête d’un oui devant mon père sans dire un mot. Il fallait voir sa tête pleine de satisfaction du fait qu’il avait réussi à me briser et me faire accepter de lui faire des fellations quand ça l’enchantera. On aurait dit qu’il était aux anges et qu’il avait attendu cet instant depuis un bon moment.

Mon père trouva le moyen de briser le silence en me disant des mots désobligeants :
— Tu aurais dû me le dire plutôt que tu voulais me sucer. Je n’aurais jamais essayé d’aller plus loin avec toi.
Je savais sur l’instant que mon père me prenait pour une conne, mais il est vrai que je préférais accepter l’idée que je suce mon père que de me faire baiser par lui. Je ne voyais pas l’acte de la fellation comme tout le monde. Je dirais même qu’il s’agit d’un acte totalement banal me concernant, mais ça, mon père ne le savait pas.

Juste après la mort de ma mère, comme tout le monde après un décès, on tente de se retrouver soi-même, ou alors on part à la dérive. Pour ma part, ce fut un peu le cas des deux. A la Faculté où je suis actuellement, il y a des mecs qui ont fait des « GloryHoles » dans les toilettes pour hommes. Il s’agit de trous faits dans les murs où les hommes passent leurs pénis dedans dans le but que quelqu’un les suce. Ce qui me plaisait, c’était le côté anonyme, même si parfois on me voyait entrer dans les toilettes et que certains faisaient même la queue pour que je les suce. Les sucer ne me procurait pas de plaisir, mais cela me permettait d’oublier ma mère. En major partie du temps, je ne savais jamais qui je suçais derrière le mur, même si je savais des rumeurs que certains professeurs venaient se faire sucer par moi. On me respectait.
Aujourd’hui, même si je dois sucer mon père, ça ne sera pas une fin en soi. J’ai fait bien pire et des choses bien plus immorales que ça.
En repensant à tout cela, j’en avais presque oublié mon père qui secouait sa main dans son jogging tout en m’observant. Je m’exécutai sans plus tarder en me mettant à genoux pieds joints devant lui et lui descendit son jogging à ses pieds. Avant même que je ne lève ma tête, je l’entendis me dire encore ce mot si humiliant :
— SALOPE !
Ce mot résonna dans toute ma tête comme une massue et me braqua entièrement. J’avais honte de me retrouver à genoux devant la queue de mon père.
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