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Caroline et la famille

Chapitre 8

La mise au point.

Inceste
CHAPITRE 8 : LA MISE AU POINT.
J’avais réussi à trouver le sommeil malgré mon esprit encore tout tourmenté. En fait, je m’étais tout simplement écroulée de fatigue, sinon, je n’aurais jamais su m’endormir avec tout ce qu’il se passait dans ma tête. Je n’avais plus la notion du temps et je ne trouvais pas le courage pour me lever et aller en cours également. Je m’étais même résolu à ne pas aller à la faculté cette journée. Je n’en avais pas dû le moral pour.
Sans prendre le soin de faire ma douche, je m’habillai rapidement en mettant une culotte tanga, un jeans, et un petit haut. Juste après m’être habillée, j’entendis des bruits de pas monter les escaliers de derrière la porte de chambre. J’entrouvris légèrement la porte pour y jeter un œil.
Du palier de la porte où je me trouvais, je pouvais apercevoir uniquement le haut des escaliers où apparaissait le haut du crâne chauve de mon père. Il montait les escaliers sur la pointe des pieds et quand je l’ai surpris, je lui ai demandé :
— Qu’est-ce que tu fais là ? Et pourquoi tu montes comme ça sans faire de bruit ? »— Je voulais juste voir si ma fille s’était bien réveillée. Rien de plus. » me répond-il avec un regard qui m’inquiéta.

On pouvait voir facilement à mon mascara que j’avais mis à l’arrache en m’habillant, que des larmes avaient coulé le long de mes joues. Il était debout devant moi et j’avais remarqué qu’il était encore en pantoufles alors qu’à cette heure-ci, il devrait déjà être dans sa voiture pour aller au travail, ce que je lui fis remarquer sans plus tarder en lui disant :
— Tu ne vas pas au travail ?— Non ! Je vais prendre ma journée finalement. Et toi non plus on dirait bien ? me répondit-il.— Qu’est-ce que cela peut te foutre que j’aille en cours ou non ?— Allez ! ... Dépêche-toi de t’habiller et d’aller en cours.— J’irais ou pas que tu le décides ou non ! Je suis majeur ! lui dis-je d’un ton énervé.— Je suis ton père et tu vis sous mon toit ! ... Je crois que je vais devoir faire mon devoir en tant que père ! me dit-il en décrochant la ceinture de son pantalon en guise de menace.— Ça y est !... Tu as pris goût à me cogner ? Tu vas me frapper avec ta ceinture ?! lui dis-je en le provoquant.

Je me mis debout en bombant mon torse pour lui montrer ma détermination à me battre s’il venait à me frapper avec sa ceinture. On resta tous les deux, à quelques mètres l’un de l’autre et lui ne semblait pas si énervé que ça.
— Et pourquoi veux-tu me frapper d’abord ? Qu’est-ce que j’ai fait encore qui ne plaît pas à Monsieur ? lui dis-je toujours d’une voix encore plus élevée qu’auparavant.
— Premièrement, tu n’as pas à t’adresser à moi ainsi. Je suis ton père. Deuxièmement, je suis juste venu voir comment ma petite suceuse allait, me répond-il.— Je ne suis pas une suceuse. Ce que je t’ai fait hier soir, c’est parce que tu me l’avais demandé. Et puis, tu trouves normal qu’un père incite sa fille à lui faire des choses obscènes ? répliquais-je aussitôt.— Oui, bien sûr. Quand on sait la fille que tu es, c’est normal.— Arrête ! Tu sais très bien que ce n’est pas moi ça.

Nous étions toujours face à face l’un de l’autre au palier de la porte de ma chambre et il me regarda de la tête au pied avant de me dire :
— Est-ce que tu sais pourquoi je t’ai giflée hier ? en posant sa main sur ma joue.— Heuuu... Non ?! lui répondis-je houleusement.

Je savais très bien qu’il m’avait giflée parce que je lui avais dit « oui » quand il m’avait demandé si j’avais apprécié de le sucer. J’avais répondu hâtivement à sa question sans penser aux conséquences que cela aurait pu avoir. Mais après tout, je n’avais nullement menti. Bien qu’il soit mon père, j’avais aimé sucer sa queue.
— Je vais te dire pourquoi je t’ai giflée hier. Si je l’ai fait, c’est parce que si je ne t’avais pas freinée, tu m’aurais donné ton cul sans hésiter, me dit-il.— Non. Je n’aurais pas couché avec toi. D’ailleurs, je ne coucherais jamais avec toi ! lui répondis-je.

Mon père me regarda et il me lâcha un petit rictus.
— Pourtant, malgré tes faux airs, tu as l’air d’être le genre de fille que l’on met facilement dans son lit.— Non. Je ne suis pas ce genre de fille là. » lui dis-je en détournant mon regard du sien.— Tu m’as pourtant dit que tu avais aimé me sucer, non ? Tu avais bien dit « oui » quand je te l’avais demandé, non ?

Les propos rabaissants que mon père m’envoyait sans cesse en pleine figure commencèrent à m’agacer fortement et je lui ai dit :
— Pense ce que tu veux de moi, mais toi, sache que tu es un CONNARD !

Mon père entra dans ma chambre en me bousculant involontairement. Il s’assit sur mon lit et me dit d’un air serein :
— A compter de maintenant, à chaque fois que tu manqueras de respect envers moi, je te mettrai des fessées.

Il posa sa ceinture sur mon lit et tapota de ses mains sur ses cuisses pour m’inviter à me poser sur celle-ci et à recevoir une correction. On aurait dit un gamin qui avait hâte de me mettre des coups de ceinture.
— Ça ne va pas la tête ?! Je ne suis plus une gosse ! » lui dis-je.

Mon père tapota plus fort sur ces cuisses de colère et me dit :
— VIENS T’ASSEOIR ! Dépêche-toi de venir ou c’est moi qui vais venir te CHERCHER !!

Il avait l’air sérieux en m’appelant ainsi à venir sur ces genoux. Il est vrai que j’avais dépassé un peu les bornes en le traitant de « connard ». A cause des derniers événements, je ne l’avais plus vu comme mon père et je m’étais emporté comme s’il s’agissait d’une personne lambda. Je savais que mon comportement outrageant envers lui méritait une sanction, mais de là à recevoir des fessées, et qui plus est de mon père n’avait rien de normal. Il était évident que tout ce qu’il l’intéressait était de voir mes fesses de plus près et de les toucher.
Bien que je savais ce qu’il m’attendait, j’avançai d’un pas vers lui et je lui demandai :
— Tu vas me mettre des fessées qu’avec ta ceinture ? Rien d’autre ?— Bien sûr ! Mais pourquoi cette question ?! Tu préférerais que je me serve de mes mains ? me répond-il.

Sur le moment, j’avais envie de lui répondre que j’aurais préféré ses mains pour que la douleur soit moins forte, mais il n’y avait aucun doute que si je lui répondais cela, il ferait allusion au sexe.
— Non ! lui répondis-je tout simplement.

Mon père semblait vexé de ma réponse, pensant sûrement que j’allais lui dire « oui » encore. Il se mit à me gueuler dessus :
— BON ! ... Je ne vais pas y passer la journée ici ! DÉPÊCHE-TOI DE RAMENER TES FESSES !

Le voyant s’agiter et prêt à venir me chercher, je lui répondis :— C’est bon ! Ne t’énerve pas ! J’arrive... tout en marchant dans sa direction.
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