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Caroline et la famille

Chapitre 12

La rencontre.

Inceste
Nous voilà enfin arrivés au mois de juillet. Les vacances venaient de débuter pour mon frère et moi, et cette année, nous avions décidé de partir pour une destination exotique, nous l’avions fait jusqu’auparavant.Le mercredi 7 du même mois, nous nous retrouvions tous les trois à déjeuner dans la cuisine. Il s’agissait du premier jour de vacances pour mon père. En plein repas, notre père nous annonça que nous allions enfin rencontrer sa copine pour la toute première fois. Il avait l’intention de nous la présenter en début d’après-midi en la ramenant à la maison pour quelques heures.Mon père, tout joyeux, s’adressa à nous :
— Bon... je compte sur vous pour me faire honneur en vous mettant sur votre 31 !— Sur notre 31 ? demanda mon frère.— Sur notre 31,... ça veut dire mettre de beaux vêtements, idiot ! lui répondis-je, en me badinant de le voir si ignorant.
Et mon père ajouta avec un ton ironique :
— Et faire bonne figure aussi... si tu sais ce que cela veut dire ?!
Nous nous mettions à rire et à partager un moment de complicité entre mon père et moi, comme une famille idyllique.Après avoir quitté la table, mon frère et moi quittions la pièce pour aller rejoindre nos chambres respectives afin de nous préparer. Juste avant de quitter notre père qui s’apprêtait à partir chercher sa copine chez elle, il nous avait demandé de porter des vêtements plutôt cool et de ne pas mettre de tailleur ou de vêtements de soirée. Pour ma part, il m’avait demandé de me mettre en leggins avec un simple t-shirt et pour Fred, un jeans et un t-shirt également. Oui, c’était plutôt cool comme tenue vestimentaire.
Douche prise, je regagnai ma chambre en peignoir et vis qu’il y avait un message en attente sur mon téléphone portable. Il s’agissait d’un texto de mon père ou il était noté « Est-ce que ça te dérangerait de ne pas mettre de culotte aujourd’hui ? ». Le message de mon père m’avait surprise dans un premier temps, me demandant pourquoi il me demandait de ne pas mettre de sous-vêtements. J’ai vite réalisé que cela n’avait aucune intention sexuelle, mais qu’il voulait que je sois la plus sexy que possible aux yeux de sa copine. Je n’hésitai pas une seule seconde, et j’enfilai mon short leggins de couleur noire sans mettre de culotte, et mis un t-shirt de couleur rose bien moulant pour le haut.
Tout en m’habillant, j’avais donné mon accord à mon père par texto, et celui-ci m’avait répondu : « Si tu peux mettre aussi ta belle paire de chaussettes avec tes chaussures à talons, cela serait cool aussi. Merci ». N’y voyant aucun inconvénient, bien que cela choquait un peu avec le restant de ma tenue vestimentaire, j’ai mis ma paire de chaussettes noire arrivant au genou, et une paire de chaussures à talons aiguilles de couleur rouge dont je savais que mon père raffolait.
Prenant les devants, et étant complètement insouciante, je me fis un selfie que je lui envoyai sans plus tarder. Il me répondit successivement : « Whaouuuu ! » puis « Merci ! ».
Pas moins de 30 minutes après que je me fus préparée, j’entendis mon père entrer dans la maison en compagnie de sa copine. De l’étage, je ne pouvais entendre leur conversation, mais j’entendis que mon frère ne m’avait pas attendue pour aller faire connaissance. Pour ce genre de rencontre, j’étais quelqu’un d’assez timide et j’aurais aimé que mon frère m’attende de manière à avoir moins les projecteurs braqués sur moi.
J’ai pris mon courage à deux mains, et je suis descendue pour aller à leur encontre. J’arrivai dans leur dos, eux qui étaient assis sur le canapé, et mon frère était assis sur le fauteuil d’en face. De derrière, je n’apercevais que ses longs cheveux blonds tout aussi lissés que les miens. M’approchant un petit peu, mon frère me regarda et la regarda à tour de rôle avec de grands yeux ébahis. Ses agissements furent remarqués par mon père qui se leva et se retourna à ma venue. Sa copine fit de même, et je restai complètement immobilisé en voyant la femme qu’elle était.
Une jeune femme tout juste âgée de la trentaine, blonde aux yeux bleus, mince, et faisant la même taille que moi. Elle avait presque les mêmes mensurations que moi à l’exception de ses hanches qui étaient moins larges et moins prononcées que les miennes. Ce qui me choqua le plus, c’était sa tenue vestimentaire. Elle était vêtue de la même manière que moi. Un t-shirt, un short legging, une paire de chaussettes montante avec des chaussures rouges.
Nos regards se croisèrent et nous nous mettions à rougir chacune à notre tour, intimidées par notre ressemblance quasi parfaite. Mon père toussa pour briser l’ambiance et il nous dit :
— Caroline,... je te présente Sylvie, ma copine. Sylvie,... Je te présente Caroline, ma fille.
Nous nous faisions la bise tout en nous observant et bien que j’étais gênée par nos similitudes, je lui ai dit :
— Enchantée de faire votre connaissance.— De même. » me répondit-elle.
Mon père me fit signe de m’asseoir sur le fauteuil à côté de mon frère et ils se mirent à discuter sur Sylvie et moi-même, ne se souciant nullement que cela nous mettait mal à l’aise.
— C’est dingue de voir à quel point elles se ressemblent. On dirait deux sœurs, dit Fred à mon père.— Oui ! Elle est juste à peine plus âgée, lui répondit-il.— Bah, cela ne se voit quasi pas !— Oui ! C’est vrai. Après, c’est peut-être aussi parce qu’elles portent les mêmes habits.— Non ! Non ! Non,... Je te dis que je ne vois pas de différences, lui répondit mon frère qui n’en revenait toujours pas de ses yeux.— Heuuu... si ! Peut-être la taille, je pense, répliqua mon père tout en prenant la main de sa copine pour la faire lever.
Il emmena sa copine contre le mur du salon, et me demanda de me mettre à côté d’elle. Il nous mit toutes les deux, épaules contre épaules, et retourna s’asseoir auprès de mon frère. J’étais confuse de me retrouver ainsi tapissé au mur à côté d’une femme que je connaissais que depuis quelques minutes et sans avoir échangé la moindre conversation mise à part un bonjour de courtoisie. Sylvie ne semblait pas être dans un meilleur état que moi, et à en juger la couleur de son visage, elle était encore plus tourmentée que moi.
— Tu as raison mon fils. Elles sont toutes les deux de la même taille, dit mon père à Fred.
Sylvie et moi étions tellement troublées, que nous nous mettions à rire. Un rire perturbé par les paroles de mon père qui nous demanda d’un ton un peu autoritaire :
— Vous voulez bien vous retourner s’il vous plaît ? De devant, il n’y a aucune différence, mais peut-être pas de derrière.
Sylvie regarda mon père, stupéfaite par sa demande, mais se retourna sans se poser plus de questions. Je regardai mon père et mon frère qui attendaient avec impatience que je me retourne, et une fois que je l’ai faite, nous entendions tous mon père dire :
— HA ! La voilà la différence... Ma fille ne porte PAS DE CULOTTE !
Mon visage passa du rouge clair au rouge écarlate. Encore plus quand j’ai senti Sylvie se pencher en arrière pour me mater le cul et constatait que je ne portais pas de culotte. Sentant tous ses yeux rivés sur mon postérieur, il fallait que je trouve une solution rapidement pour m’en sortir, quitte à mentir.
— OUPS ! J’ai oublié d’en mettre une. Je... Je reviens ! dis-je d’une voix effarouchée.
Sans même me retourner, je filai en vitesse dans ma chambre où je m’enfermai pour respirer un bon coup et reprendre mes esprits. Je venais de comprendre que mon père avait tout manigancé depuis le début en me demandant par texto de ne pas mettre de culotte afin de m’humilier devant sa copine.Les questions qui tournaient en boucle dans ma tête étaient, pourquoi est-ce que mon père a voulu m’humilier ainsi devant elle ? Pourquoi nous a-t-il habillées de la même manière ? Et surtout, pourquoi sort-il avec une femme me ressemblant comme deux gouttes d’eau ?
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