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La carotte

Chapitre 2

jeudi et vendredi

Erotique
JEUDI
Après une nuit peuplée encore de rêves érotiques où il se trouve mis en scène à la fois avec la fille aux carottes et avec sa voisine, Jérémy commence une nouvelle journée. Au magasin, il attend sa cliente préférée. Quand elle apparaît à l’entrée du magasin, il la voit aussitôt et reste en arrêt. Elle a enfilé un débardeur noir et un legging blanc qui met délicieusement ses formes en valeur.
Alors qu’elle s’engage dans les rayons, Jérémy pense en lui-même :
— Bon sang, c’est à la mode les leggings... Mais je ne vais pas m’en plaindre !
Il passe distraitement deux ou trois clients, attendant fébrilement l’arrivée de la jolie brune. Il la voit arriver au bout du rayon qui est dans l’axe de sa caisse. Elle n’a pas la traditionnelle carotte, mais semble s’intéresser aux petites bouteilles d’eau minérale. Il s’arrête de scanner les articles d’un client en la voyant se pencher pour attraper une bouteille, lui offrant une vue bien agréable dans le décolleté de son débardeur.
Se redressant, elle le regarde et sourit, sachant manifestement qu’il vient de se rincer l’œil. Alors elle se repenche à nouveau pour remettre la bouteille en place et en saisir une autre juste à côté. Une vieille dame qui cherche un produit dans le rayon en face la bouscule alors, manquant de la faire tomber. La jeune femme se retrouve à quatre pattes, mais se relève aussitôt. Jérémy écarquille les yeux en voyant qu’un sein s’est partiellement échappé du décolleté et qu’un mamelon est exposé. Se rendant compte de la raison de la grimace de Jérémy, elle se rajuste en lui adressant un large sourire.
En proie à une érection galopante, Jérémy se tortille sur son siège. Quand la jeune femme arrive à sa caisse, elle lui dit :
— Désolée de cet incident...— Ne le soyez pas. C’était ravissant.— C’est une tenue confortable pour le sport, mais peu adaptée pour faire ses courses.
Comme elle tend le tissu sur sa poitrine, Jérémy a la confirmation de ce qu’il suspectait : elle ne porte encore pas de soutien-gorge.
Voyant que Jérémy n’ose pas faire de commentaire sur sa tenue, elle lui demande :
— Vous ne contrôlez pas aujourd’hui ?
Voyant le regard de sa cliente sur son entrejambe déformé, il est persuadé qu’elle parle de son érection manifeste :

— Pardon ?— Mon sac. Vous ne le contrôlez pas ?
Sans attendre qu’il réponde, elle lui ouvre alors son sac, mais, en dehors d’un petit porte-monnaie, celui-ci est incroyablement vide, trop vide pour le sac d’une femme. Jérémy sent alors sa gorge s’assécher, car il devine qu’elle veut lui montrer que le plug ne s’y trouve plus... et qu’elle le porte probablement ! Le voyant sans voix, elle lui sourit et referme son sac :
— Au revoir.
Quand elle sort du magasin, Jérémy regarde attentivement la croupe moulée par le legging pour voir s’il distingue le plug. Il ouvre alors de grands yeux comme si une révélation venait de le foudroyer : non pas qu’il a distingué le plug, mais parce qu’il vient de reconnaître la croupe de la jeune femme !
Il en est persuadé, la fille à la carotte n’est autre que sa propre voisine ! Jérémy reste plusieurs minutes sous le choc se demandant à quel point tout ceci est un hasard ou si sa voisine, frustrée de son mariage, a jeté son dévolu sur lui.

Complètement perturbé par cette révélation, il passe le reste de la journée dans un état second. C’est à peine s’il pense à échanger quelques mots avec les différents clients, lui qui est si affable d’ordinaire. Son érection a fini par se calmer, même s’il ressent toujours une chaleur diffuse au niveau de son entrejambe. Il sent que s’il se masturbe ce soir, ce sera... explosif !
Une fois de retour chez lui, il se précipite dans son jardin, espérant revoir sa voisine, et avoir l’ultime confirmation que c’est bien elle qu’il a vue au magasin.
S’installant sur sa chaise longue, il fait mine de fermer les yeux, mais les garde entrouverts pour ne pas rater une miette du spectacle potentiel. Il n’a pas à attendre bien longtemps pour la voir repasser dans son champ de vision. Il ne distingue que sa silhouette, mais, cette fois, elle reste bien en place, semblant profiter du soleil filtrant à travers la fenêtre. L’érection de Jérémy devient de plus en plus importante au fur et à mesure qu’il se délecte de cette image et elle le gêne presque quand la jeune femme ouvre la baie vitrée et apparaît vêtue d’une minirobe rose moulante à manches longues.
Elle sort sur la terrasse et, ayant vérifié qu’il mate, elle s’installe sur un petit banc de son jardin, face à Jérémy. Le garçon est tétanisé : outre l’incroyable sensualité que dégage sa voisine, la voyant en pleine lumière, il est désormais certain qu’il s’agit bien de la cliente aux carottes. Tout en regardant dans sa direction, elle se bascule en arrière et écarte les cuisses, exhibant sa moule.
Jérémy n’en revient qu’elle s’exhibe ainsi aussi facilement devant lui. Son sexe, congestionné dans le pantalon, commence à lui faire mal tant l’érection est tendue. Mais sa voisine n’en reste pas là. Se hissant légèrement au-dessus du banc, elle sort lentement de son anus le fameux plug, celui qui n’était plus dans le sac lors de la fouille au magasin.
Ayant vérifié qu’il la mate, elle se relève et rentre chez elle. Laissant la baie vitrée grande ouverte pour que Jérémy puisse la voir, elle retire sa robe et va s’installer sur son canapé dans le salon, face à la baie vitrée, bien en vue de Jérémy. Cuisses écartées, elle se caresse. Jérémy observe un long moment ses doigts agiles faisant de rapides mouvements circulaires autour de son clitoris.
Au fur et à mesure, il la voit se tortiller sur place, sans doute à cause du plaisir qu’elle se procure. A cette idée, sa propre excitation monte encore d’un cran. N’osant pas se masturber dans le jardin, Jérémy rentre et se masturbe derrière la porte vitrée en la regardant se caresser elle aussi dans son salon.
Il pense qu’elle a terminé quand elle se penche pour ramasser quelque chose par terre. Jérémy imagine aussitôt un godemiché. Non. C’est juste une bouteille de soda en verre. Pour boire ? La bouteille semble vide. Surtout, c’est ce qui donne un choc électrique à Jérémy, il s’agit de la bouteille qu’elle a achetée plus tôt au magasin. L’empoignant fermement par la base, elle s’enfonce le goulot dans la fente.

Jérémy s’astique fébrilement, mais, alors qu’elle jette un regard vers lui, il se calme. Est-ce qu’elle le voit derrière la vitre de sa porte-fenêtre ? Tout au moins, elle peut imaginer ce qu’il est en train de faire. Et vu comment elle-même se masturbe sans la moindre pudeur avec une bouteille de soda, Jérémy se dit qu’il s’amuser à se masturber au même rythme qu’elle, donnant à sa main la même cadence que la bouteille en verre.
Mais la fille enfonce la bouteille de plus en plus loin dans son sexe, élargissant sa fente de manière exagérée. Comme elle regarde de plus en plus souvent dans sa direction, Jérémy commence à se demander si elle ne le voit pas parfaitement. Il est si excité à cette idée qu’il sent la jouissance arriver. Ses couilles se contractent et le sperme monte dans sa queue, jaillissant par saccade et maculant la vitre.
Quand il relève les yeux, il voit qu’elle n’est plus là. Quelle déception, il aurait pourtant bien aimé voir quel effet sa masturbation pouvait bien avoir sur sa voisine... Il se rhabille, puis vient nettoyer la vitre.

VENDREDI

Le lendemain, il reprend son poste en conservant à l’esprit les images de sa voisine en train de se masturber sur son canapé. Il n’en a pas conscience, mais il se passe la langue sur les lèvres toutes les deux secondes, tellement il s’imagine pouvoir lui bouffer la chatte. Il essuie les regards interrogateurs des quelques clients, mais il s’en fiche. Il garde les yeux rivés sur la porte d’entrée, attendant de voir la jeune femme venir à lui. Ce n’est qu’au bout de plusieurs heures interminables qu’il la voit enfin. Cette fois, elle est habillée par un t-shirt largement ouvert sur le devant, offrant une généreuse vision sur son décolleté.
Elle a également un jean taille basse. Il la suit du regard tandis qu’elle déambule à travers les allées. Au bout de quelques minutes, elle se dirige vers la caisse, mais cette fois-ci avec un petit concombre. Puis elle s’arrête, et fait mine de regarder le comptoir où sont entreposés les chewing-gums. Comme si son choix était cornélien, elle prend bien le temps de regarder chaque boîte, en descendant petit à petit. Elle se baisse ensuite pour regarder celles stockées le plus en bas. Sur le coup, Jérémy a cru qu’elle voulait lui faire contempler le string qu’elle portait. Il ne s’est pas trompé sur ses motivations, à ceci près qu’elle ne portait rien du tout ! Son jean descendit sur ses fesses, pas énormément, mais suffisamment pour offrir à Jérémy la vue de ses magnifiques fesses.
Rien qu’à les voir, il imagine leur douceur. Il se voit les prendre en main, les caresser doucement, avant de faire redescendre ses doigts le long de sa raie jusqu’à sa chatte...
Il est tiré de sa rêverie par l’arrivée du concombre sur le tapis roulant, suivi de près par le sourire aguicheur de la jeune femme. Il reste immobile sur son siège, espérant presque qu’elle remarque son érection et qu’elle constate ainsi l’effet produit sur lui. Elle coule effectivement un regard vers son entrejambe, et son regard brille quelques instants d’une lueur lubrique. Cette fois-ci, ils n’échangent pas un mot, se contentant de communiquer par le regard. Pendant qu’il lui rend la monnaie, il la voit jouer négligemment avec le bouton de fermeture de son jean.
Il n’a plus qu’une envie : glisser sa main dans l’espace entre le tissu et sa peau... Mais cela ne reste qu’un fantasme et la jeune femme s’en va, les abandonnant, lui et son érection, à des rêves érotiques.
Le reste de la journée, Jérémy ne pense qu’à elle, et n’a qu’une envie : rentrer chez lui et reprendre son petit jeu d’exhibition et de voyeurisme. Il ne sait pas quand les choses pourront aller plus loin avec elle, mais il a hâte de franchir le pas.
A peine l’heure de départ a sonné que Jérémy se précipite au-dehors et se dépêche de rentrer chez lui. Il imagine déjà ce que sa voisine pourrait faire pour l’exciter cette fois. Il échafaude plusieurs scénarios, jusqu’à ce qu’il arrive en vue de son quartier. Et là, une grande déception l’emplit : devant la maison de sa voisine, la voiture du mari est garée. Il vient sans doute de rentrer de son voyage... S’il est là, certainement qu’elle ne s’amusera plus à ses petits jeux d’exhibition. Il ne peut s’empêcher d’être un peu énervé de cette mauvaise surprise.
Il va tout de même s’installer avec un livre dans le jardin, faisant semblant de lire. Même s’il n’espère plus assister aux spectacles de ces derniers jours, peut-être pourra-t-il l’apercevoir ? Peut-être même pourra-t-il voir le couple en train de faire l’amour ? Après quelques jours de séparation, ce serait surprenant qu’il ne se passe rien entre eux. Pourtant, au bout de quelques instants, force est de constater qu’il pourrait bien ne rien se passer : chaque fois que sa femme essaie de lui parler, lui demander des nouvelles du voyage, il répond de façon distante, comme s’il est concentré sur autre chose. L’énervement de Jérémy revient. A sa place, il aurait à peine pris le temps de poser les bagages par terre avant de lui sauter dessus et de la baiser comme jamais... A cette idée, il sent revenir un début d’érection. Comme il suppose qu’il ne se passera sans doute rien d’intéressant pour lui, il décide d’aller se soulager de la tension de la journée avec une vidéo porno.
Il s’installe sur son lit avec son ordinateur portable. Il se connecte à internet, et se branche sur un site pornographique. Il fait défiler quelques vidéos, puis sélectionne l’une de ses catégories favorites : les vidéos d’éjaculations faciales. Il fait durer le plaisir, en regardant plusieurs vidéos en évitant de se caresser.
Au bout de plusieurs minutes, il n’y tient plus, et commence à se masturber devant une superbe blonde entourée de plusieurs mâles bien membrés. Un peu de liquide préséminal commence à juter et s’écoule entre ses doigts, signe que le plaisir ultime n’est plus bien loin.
Il sent que le moment fatidique approche, quand il entend la sonnette de sa porte retentir. Pestant contre ce visiteur intempestif, il se contente d’enfiler un short et va ouvrir sans même prendre la peine d’éteindre l’ordinateur. Quelle surprise en reconnaissant sa charmante voisine !
— Bonjour, je suis votre voisine, Angelica.— Oui bonjour, on se croise au supermarché...
En voyant le regard de la jeune fille s’allumer quand il se pose sur son entrejambe, Jérémy prend conscience que son sexe encore tendu déforme de manière plus que suggestive son caleçon.
Elle relève la tête et sourit :
— Oui, vous êtes le caissier...— Heu... oui, Jérémy, répond-il en lui tendant la main.
Ce n’est qu’au moment où leur peau rentre en contact qu’il se rend compte qu’il ne s’est pas lavé la main et qu’elle est poisseuse de sa masturbation. Au départ effrayé par cette idée, il se dit qu’en fin de compte, ce n’est peut-être pas plus mal...
— Mais entre donc. Si on peut se tutoyer ?— Mais bien sûr, répond-elle avec un grand sourire.
Elle pénètre à l’intérieur. Jérémy en profite pour la détailler : elle porte un legging et un large tee-shirt plutôt informe.
Pendant qu’il referme la porte, il la voit porter rapidement la main à son visage, sans doute pour sentir l’odeur de ce contact humide qu’il lui a laissé. Un sourire plus tard, il la voit étouffer un bâillement en mettant la main devant la bouche, et remarque le bout de sa langue venir goûter sa peau.
— Heu... que puis-je pour toi ? Tu as oublié d’acheter un article au supermarché ?— En fait, oui... Est-ce que tu aurais du beurre ?— Je crois qu’il doit m’en rester. Si tu veux bien venir avec moi à la cuisine...
Il n’en revient pas qu’elle se trouve chez lui, dans cette même cuisine où il s’est masturbé en l’observant. En passant devant la fenêtre, il regarde machinalement vers la baie vitrée. Il n’en est pas certain, mais il lui semble voir le mari en train de surveiller derrière une fenêtre à l’étage. Jérémy fouille le frigo, quand elle lui demande :
— Je t’ai dérangé ?

Se retournant pour la regarder, il remarque que le haut du tee-shirt a glissé de ses épaules. Elle ne porte pas de soutien-gorge ! Se ressaisissant de sa découverte, il demande :
— Pardon ?— J’entends des cris chez toi. Soit des gens sont en train de faire une partouze dans ta chambre, soit je t’ai dérangé pendant que tu te soulageais du stress de la journée...
Jérémy ne répond pas, tellement la situation prend un tournant inattendu. Il sort la plaquette de beurre du bas du frigo et demande :
— Du demi-sel, ça t’ira ?— Fais voir ?
Relevant la tête, Jérémy la voit, penchée vers lui, offrant le spectacle splendide de ses seins totalement libres dans le large décolleté du tee-shirt. Troublé, Jérémy ne sait pas si elle joue avec lui ou si c’est un accident. Ce qui est sûr c’est qu’il bande encore plus et que son caleçon est plus qu’indécent. Il se relève avec la plaquette de beurre à la main, cachant maladroitement son érection. Sans attendre, Angelica s’approche pour prendre le beurre, et d’un geste presque innocent, en profite pour lui effleurer l’entrejambe. Le sexe de Jérémy fait un bond à ce contact et le gland s’échappe par le côté du caleçon.
Jérémy remet son sexe en place dans le caleçon et devient rouge pivoine :
— Oh merde... Je suis vraiment désolé... ça... et le film dans la chambre... Tu dois me prendre pour un gros pervers...

Angelica rigole :
— Je te prends pour un célibataire, rien de plus. Et puis, c’est aussi un peu de ma faute... j’espère !

Alors qu’elle se penche sur lui pour lui faire la bise, il ne se prive pas pour admirer une fois encore les seins nus dans le décolleté du tee-shirt. Jérémy est persuadé qu’elle le fait exprès, car elle prend tout son temps pour lui faire la bise. Quand elle se redresse, elle lui adresse un sourire coquin avec un regard plein de malice :
— Merci pour le beurre. Je te le ramène dès que j’ai terminé.— Oh, il n’y a pas urgence. Ça peut attendre demain.— OK. A demain alors !
Quand il referme la porte, il pousse un profond soupir. Même s’il sait qu’il va sans doute la revoir au magasin, le fait de savoir qu’elle va repasser chez lui le lendemain l’excite au plus haut point, comme s’il s’agit de son premier rendez-vous avec une fille.
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