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La carotte

Chapitre 3

Samedi

Voyeur / Exhibition
SAMEDI

Jérémy se lève tôt, un peu fébrile. Déjà, il attend sa voisine et il se dit qu’il est bien con de ne pas lui avoir dit vers quelle heure passer pour éviter d’attendre toute la journée. Pour essayer de rattraper la mauvaise impression qu’il a pu laisser la veille, il occupe son temps en rangeant et en passant l’aspirateur. Alors que la fenêtre de la cuisine est ouverte pour aérer, il entend malgré lui la conversation des voisins :
— A quelle heure ton avion ?— Vers 20 heures, mais je vais devoir te laisser en milieu d’après-midi.
Jérémy se dit qu’elle ne passera sans doute pas avant cette heure-là. En fin de matinée, alors qu’il s’apprête à passer la serpillière dans la cuisine, il voit Angelica sortir sur la terrasse avec un grand chiffon et une bouteille de produit à vitre. Elle porte un tee-shirt blanc assez décolleté et commence à laver la grande baie vitrée.
Il n’en faut pas plus à Jérémy pour avoir une érection. Angelica lui tourne le dos, mais il trouve déjà très excitant de la voir bouger ainsi. Il remarque que son mari est dans le salon, de l’autre côté de la vitre, et qu’il est absorbé par la télévision, n’accordant même pas un regard à sa femme. Abaissant son caleçon pour se libérer, Jérémy lâche le manche de la serpillière au profit d’un autre manche.

Quand la jeune femme a terminé de laver ce côté-ci, elle se retourne vers chez Jérémy. Elle sourit en l’apercevant à la fenêtre de la cuisine. Même si elle ne peut pas voir ce qu’il est en train de faire, Jérémy est persuadé qu’elle le devine, d’autant que sa main continue à s’activer tandis qu’elle l’observe, car il découvre un aspect plus qu’intéressant de la tenue de sa voisine : en lavant les vitres, elle a éclaboussé généreusement son tee-shirt et celui-ci commence à devenir transparent laissant deviner sa belle poitrine à travers le tissu.
Quand elle rentre pour faire le côté intérieur, Jérémy se dit que son mari va forcément réagir en voyant sa tenue : soit il l’engueule de s’être exhibée ainsi dehors, soit il lui saute dessus et il lui fait l’amour. Jérémy sait ce qu’il aurait fait... Là, le mari ne fait, ni l’un ni l’autre, tant il est absorbé par l’émission sportive qu’il regarde. Angelica commence donc à nettoyer la face intérieure de la baie vitrée, offrant un spectacle bien sympathique à son voisin. Peu à peu le tee-shirt devient complètement transparent.
Jérémy hallucine : c’est comme s’il la voyait nue ! Pourtant son mari est juste derrière elle et ne semble se rendre compte d’absolument rien. Régulièrement, elle s’interrompt dans sa tâche et reste immobile en regardant dans la direction de la fenêtre de la cuisine. Jérémy sent qu’il va bientôt jouir. Voyant qu’elle semble attendre, il décide de passer dans le salon et de se mettre derrière la porte vitrée pour qu’elle puisse le voir éjaculer. A peine est-il en position qu’il sent la sève monter. Lentement, le sperme s’écoule de son sexe et s’écrase en flaque au sol.
Angelica l’a vu. Elle sourit. Reprenant son souffle, Jérémy la voit s’éloigner de la baie vitrée. Le mari est toujours enfoncé dans son fauteuil à regarder la télévision.Jérémy se rhabille et termine sa matinée en passant la serpillière sur le carrelage de la cuisine et du salon, gardant en tête cette magnifique exhibition qu’Angelica lui a offerte.
Peu après, en début d’après-midi, Jérémy jette de nouveau un œil par la fenêtre, à la recherche de sa voisine. La première chose qu’il voit, c’est son mari, toujours affalé dans le canapé. A voir sa position, et ses yeux fermés, on dirait qu’il fait la sieste. Au moment où Jérémy s’apprête à quitter son poste d’observation, il remarque du mouvement. Il constate alors qu’Angelica vient d’entrer dans son champ de vision, entièrement nue.
Comme elle reste bien en vue, se contentant d’adopter des positions lascives, il est évident que ce spectacle lui est destiné. Il contemple cette vision paradisiaque, et commence à faire glisser sa main jusqu’à son entrejambe, quand la sonnette de sa porte retentit. Il peste contre le visiteur intempestif, mais ne bouge pas pour autant. Avec un peu de chance, il ne s’agit de rien d’important, et on le laissera en paix... Peine perdue, les coups de sonnette se font de plus en plus insistants. Quittant sa fenêtre à regret, Jérémy va ouvrir, bien décidé à remballer cet importun. Au moment où il ouvre, toute sa colère retombe.

— Hey ! comment ça va mon vieux ? lui demande le nouvel arrivant en se jetant à son cou.— Dimitri ? Mais qu’est-ce que tu fais là ?
Jamais il ne se serait attendu à recevoir la visite de son ancien camarade de fac avec lequel il avait fait les 400 coups.
— Ça me fait plaisir de te revoir, mon vieux ! insiste Dimitri.
La joie de le revoir retombe vite, en raison de deux éléments : premièrement, le souvenir d’Angelica se donnant en spectacle à la fenêtre lui revient en mémoire, et il en veut à son ami de lui faire manquer ça. Deuxièmement, il constate avec appréhension la présence de deux sacs de sport ainsi que d’une valise. Ce qui risque de vouloir signifier...
— J’étais de passage dans la région, et figure-toi que j’ai quelques pistes intéressantes pour le boulot ! Alors le temps de finaliser tout ça, je me demandais si tu ne pouvais pas m’héberger...
Si sa première réaction est de vouloir le faire voir ailleurs, il se rappelle que quand lui-même a eu besoin d’aide et de soutien, Dimitri a été le seul à répondre présent. Il ne peut décemment lui tourner le dos, malgré son énervement...
— Bien sûr, pas de problème, se force-t-il à répondre avec le sourire. Si tu me garantis que ça ne va pas durer très longtemps, j’ai bien peur que ça ne soit pas assez spacieux pour deux...— Merci mon pote, je savais que je pouvais compter sur toi !
Et sans plus attendre, il pénètre chez Jérémy avec ses bagages, et pose tout dans le salon. C’est alors que Jérémy a une idée :
— Installe-toi dans ce fauteuil, moi je prends celui-là. Raconte-moi un peu ce qu’il t’est arrivé depuis le temps !
Pendant que Dimitri commence à passer en revue les moindres détails de son existence depuis leur séparation de la fac, Jérémy se concentre sur la contemplation de la fenêtre. Car le placement qu’il a proposé à son ami n’est pas anodin. Placé de la sorte, Dimitri tourne le dos à la maison de ses voisins, et ne peut voir Angelica. Au contraire, Jérémy lui fait face et peut sans problème se rincer l’œil.
Se rendant compte qu’il a du mal à se concentrer pour répondre normalement aux questions de Dimitri, Jérémy trouve la parade en enchaînant les questions. Son ancien camarade étant assez bavard, cette technique lui laisse le loisir d’admirer la belle Angelica qui continue son exhibition derrière sa baie vitrée. Malgré ce stratagème, Dimitri commence à se poser des questions sur l’état de fatigue de Jérémy :
— Tu vas bien ? Tu sembles un peu ailleurs...— Oh, je suis un peu crevé en ce moment. Rien de bien grave.
Dimitri se lève soudain pour se dégourdir un peu les jambes. Jérémy sent l’adrénaline monter, car il pense que Dimitri s’est rendu compte qu’il passe son temps à regarder par la fenêtre. Angelica remarque la présence de l’intrus et cache sa nudité.
Heureusement, Dimitri n’a pas regardé par la fenêtre, se contentant de détailler le mobilier et la décoration intérieure de Jérémy. Après avoir fait un petit tour de pièce tout en continuant à évoquer d’anciens souvenirs de jeunesse, il finit par se rasseoir. Jérémy continue de guetter le retour d’Angelica, mais la présence de Dimitri l’a peut-être refroidie. Peu à peu, il parvient à s’investir un peu plus dans la conversation et à faire des réponses moins laconiques à son ancien camarade. Et puis Angelica réapparaît, toujours nue. Mais cette fois-ci, elle est armée. Jérémy pense reconnaître le concombre acheté la veille.
Cette fois-ci, Jérémy perd complètement le fil de la conversation et il laisse Dimitri faire un long monologue en se contentant de hocher la tête de temps en temps, sans jamais détacher son regard de la fenêtre. Angelica passe devant son mari et s’assoit sur le sol à côté du fauteuil où dort son mari. Elle pose le concombre par terre et se positionne à genoux, cuisses largement écartées en direction de la fenêtre où elle distingue Jérémy.
Si jusqu’à présent les exhibitions de sa voisine l’avaient bien émoustillé, Jérémy avait gardé le contrôle, aidé en cela par la présence de Dimitri. Mais quand il la voit commencer à insérer le concombre entre ses cuisses, il sent qu’une formidable érection est en train de monter. Il est obligé de se pencher en avant pour que, étant plié en deux, il ne révèle pas à son camarade la proéminence incontrôlable de son entrejambe. Chez les voisins, Angelica est en train de se masturber lentement avec le concombre.
Elle ne semble pas s’inquiéter de la présence de son mari, assoupi juste à côté. Soudain, elle sursaute. Malgré le double vitrage, Jérémy entend les tintements aigus de la sonnerie d’un téléphone. Elle se lève précipitamment, abandonnant son concombre par terre, et s’enfuit de la pièce, jetant un dernier regard vers Jérémy avant de s’éclipser.
C’était moins une ! Le mari rouvre les yeux et se redresse. Il se lève. Il regarde le concombre au sol, se demandant sans doute comment un concombre a pu atterrir ici. Mais il ne s’y attarde pas plus, la sonnerie du téléphone le rappelant la raison de son réveil. Il traverse la pièce et décroche le combiné. Jérémy, un peu déçu que le spectacle s’achève ainsi, se dit que c’est sans doute finalement mieux pour éviter que Dimitri ne se rende compte de quelque chose de louche dans son comportement.
— Eh bien ! C’est vrai que t’as l’air bien claqué. Je t’ai connu plus loquace.— J’ai eu une semaine très chargée et je crois que je manque un peu de sommeil.— Bon, je vais te laisser une heure ou deux, j’ai un entretien et je vais en profiter au retour pour regarder dans les agences ce qu’il y a à louer dans le coin.
Alors qu’ils se lèvent, Jérémy entend le bruit du moteur de la voiture. Le mari vient donc de repartir. Son sang se met à bouillir. Il raccompagne Dimitri à la porte et, quand il ouvre celle-ci, il reste pantois : Angelica s’y tient debout, souriante, dans une minuscule petite robe grise.
— Bonjour. Je suis votre voisine d’à côté.
Dimitri reste béat et Jérémy est obligé de le bousculer pour qu’il ne reste pas figé sur place.
— Heu, j’ai un rendez-vous. Une visite. Enchanté.
L’encombrant ami s’en va, non sans se retourner plusieurs fois pour admirer la croupe d’Angelica moulée dans la petite robe. Jérémy trouve amusant qu’elle se soit présentée ainsi, comme s’ils ne s’étaient jamais vus. Dès que Dimitri a disparu, elle sourit à Jérémy :
— Tu t’y connais en plomberie ?— Bof, pas vraiment...— Ma douche est cassée... Je peux utiliser la tienne ?
Avant même qu’il ne lui réponde, elle se glisse devant lui et entre, se dirigeant vers la salle de bain. Jérémy n’en revient pas :
— Tu... Tu sais où est ma salle de bain ?
S’appuyant au lavabo, elle lui répond avec beaucoup de malice dans le regard :
— Oui, j’avais repéré quand je suis passée t’emprunter du beurre hier.
Jérémy prend alors conscience que la robe est particulièrement courte quand elle se cambre devant le lavabo. Elle le sort de son trouble :
— Tu aurais une serviette ?
Sans répondre, il en prend une sur une étagère derrière la porte et la lui tend. Quand elle se tourne pour récupérer la serviette, la petite robe semble s’être remontée sur sa taille et Jérémy croit voir sa moule juste sous le bord de la minirobe.
Considérant la salle de bain, Angelica demande :
— Tu n’as pas de douche ?— Je me douche dans la baignoire. Il y a un rideau.— Ah oui. Je déteste ces rideaux qui viennent se coller au dos pendant qu’on se lave. Mais une baignoire, c’est chouette aussi.
Alors qu’il s’apprête à la laisser, elle se retourne vers la baignoire. La petite robe, relevée sur les hanches laissent l’opportunité à Jérémy de bien voir la moule libre de toute culotte.
Jérémy est alors en arrêt et se croit obliger de dire :
— Je te laisse...
Alors qu’il s’apprête à refermer la porte, il jette un dernier coup d’œil et voit Angelica retirer sa robe. Jérémy ne peut se résoudre à fermer la porte. La laissant entrebâillée, il la voit commencer à faire couler l’eau avant de rentrer dans la baignoire. Penchée en avant, elle l’appelle :
— Je peux t’emprunter ton gel douche ?
Jérémy rouvre la porte et la voit lui sourire, comprenant qu’elle s’amuse avec lui.
— Heu, oui... Tu prends ce que tu veux parmi ce qu’il y a au pied de la baignoire.— Merci, tu es chou.
Gêné de la voir, il retourne dans le couloir, mais ne referme pas la porte complètement. Il reste à l’observer. Il voit aux regards qu’elle lui lance régulièrement qu’elle sait qu’il est présent et qu’il observe, même si elle ne se montre pas particulièrement pudique.
— Tu vis seul ?
La question le tire de sa contemplation. Il ne répond pas aussitôt. Angelica repose sa question :
— Tu as une copine ?— Heu, non...— Approche, je n’entends rien avec l’eau qui coule.
Jérémy rouvre la porte. Elle lui fait signe de s’approcher.
Une fois entré, il lui répond :
— Non, je n’ai pas de copine.— Un mec canon comme toi ? C’est du gâchis !
Elle coupe l’eau et sort de la baignoire, se retrouvant presque contre lui. Elle pose une main impudique sur l’entrejambe proéminent de Jérémy :
— Personne pour s’occuper de toi... ça t’oblige à te débrouiller tout seul.— Heu, je... oui... tu m’as vu, tu sais.— Oui. Je t’ai vu te masturber. Et tu m’as vue aussi. Est-ce que ça t’a plu ?— Beaucoup, oui !
Attrapant la serviette, elle commence à se sécher et lui demande :
— Tu voudrais te masturber, là ?— J’avoue que tu me mets dans un drôle d’état.— Alors, va m’attendre dans le salon le temps que j’enfile ma robe.
Son ton directif ne laisse place à aucune négociation. De toute façon, Jérémy ne souhaite vraiment pas négocier. Il se retire et va l’attendre dans le salon. Joueur, il se met nu, se disant que ça fera une belle surprise à sa voisine. Quand elle le rejoint, elle est effectivement ravie de le découvrir ainsi :
— Je vois que, comme moi, tu apprécies autant l’exhibitionnisme que le voyeurisme.
Regardant par la fenêtre, elle s’y dirige, nue :
— Par contre, je vais fermer le rideau...— Ton mari n’est pas parti ?— Si, il a été appelé pour une urgence au bureau, mais je ne sais pas quand il revient.
Elle tire le rideau.
Jérémy lui dit :
— Peut-être que ça l’exciterait de te voir t’exhiber...— Malheureusement, depuis qu’on vit ensemble, je ne l’intéresse plus du tout et il préfère se taper ses secrétaires et ses stagiaires... Mais, dis-moi, je vois un sac là. Le gars que j’ai croisé tout à l’heure, il dort chez toi ?— Oui. Un ancien copain qui est là temporairement. Il cherche un boulot et un appartement. J’espère qu’il trouvera vite...— Il peut revenir, là ?— Aucune idée... Mais ça reste possible...— Dans ce cas, je remets ma robe, au cas où il déboulerait.
A regret, Jérémy voit Angelica enfiler sa robe. Cependant, sitôt fait, elle lui sourit :
— Ne t’inquiète pas. Je ne compte pas partir et j’ai bien envie qu’on s’amuse un peu.
Elle s’assoit et retrousse sa robe sur sa taille. Ecartant les cuisses, elle commence à se caresser la moule sans la moindre pudeur.
Elle regarde Jérémy et lui dit :
— Toi aussi.
Jérémy empoigne son sexe déjà parfaitement dressé et commence à se masturber. Puis, il s’interrompt et se lève :
— Attends, je crois que j’ai quelque chose pour toi...
Il file à la cuisine et revient en tenant une grosse carotte, longue et large, parfaitement lavée. Angelica sourit en saisissant la carotte. Se laissant aller en arrière sur le canapé, elle fait lentement pénétrer le légume dans sa fente.
Les yeux fermés, elle fait aller et venir la carotte dans sa moule trempée de mouille. Jérémy hallucine et s’astique le manche lentement. C’est bien ce qu’il fantasmait au sujet de ces carottes, mais c’est tellement plus excitant de le voir en vrai. Angelica rouvre les yeux régulièrement, semblant uniquement intéressée par la masturbation de son voisin. Après quelques minutes, elle se tend et se met à jouir. Resserrant les cuisses sur la carotte, elle feule de plaisir et son corps vibre comme secoué par un petit séisme. Jérémy ne tient plus. Il éjacule, laissant son sperme s’échapper lentement et s’écouler sur ses doigts.
Angelica se relève et pose la carotte, luisante de cyprine, sur la table basse :
— Merci, c’était très chouette.
Jérémy reste sans voix, la main pleine de sperme toujours vissée à son érection. Il la regarde rajuster sa petite robe. Elle lui sourit :
— Je te laisse. Je rentre préparer à manger au cas où mon homme rentrerait.
Comme elle traverse le salon pour regagner l’entrée, Jérémy voit que, à chaque pas, sa minirobe remonte, millimètre par millimètre, commençant à révéler ses fesses. Elle se retourne et lui sourit :
— A plus tard ?
Jérémy reste ainsi sur le canapé, encore interloqué par le tour qu’a pris la situation. En l’espace de quelques jours à peine, lui et sa voisine ont atteint un degré d’intimité extrêmement excitant. Et ce n’est pas pour lui déplaire. Il finit par se relever pour se nettoyer, et se rhabille. Par réflexe, il jette un nouveau regard par la fenêtre, et constate qu’elle est déjà de retour chez elle. Elle se place de façon à ce qu’il voit tout, et retire sa robe.
Bien qu’il se soit déchargé, il recommence déjà à bander en voyant ses formes si parfaites. Il a de plus en plus envie de cette fille. Il la voit enfiler une nuisette, qui cache suffisamment son corps tout en restant assez suggestive. Cependant, maintenant qu’il l’a vue entièrement nue, il ne peut s’empêcher de trouver ce spectacle un peu fade, et en veut plus. Elle sort de son champ de vision, en direction de sa cuisine. Elle repasse de temps en temps par la fenêtre, pour s’assurer qu’il la mate bien.
C’est le cas, et chacune de ses apparitions le fait bander davantage. Cependant, il doit bien vite s’arrêter : les coups de sonnette frénétiques lui indiquent que Dimitri est de retour. Non sans un dernier regard vers la fenêtre et la croupe d’Angelica, il va lui ouvrir.
— Déjà de retour ? lui demande-t-il.— Eh oui, finalement ce n’est pas ce que j’escomptais. Mais je ne désespère pas, j’ai déjà quelques rendez-vous pour demain dans mon agenda !— Parfait... répond Jérémy, ne pouvant s’empêcher d’être déçu qu’il ne parte pas tout de suite.— Ne t’inquiète pas, je ne compte pas squatter chez toi bien longtemps ! lui répond Dimitri avec une bourrade. Je ne voudrais pas être un obstacle entre toi et la bombe d’à côté...
Jérémy fait mine d’être surpris de cette remarque :
— Comment ça ?— Allons, ne me raconte pas d’histoire ! Tu vas me faire croire qu’il n’y a rien entre cette nana et toi ? Moi, une voisine passe me voir dans cette tenue, mais je me la tape direct !— Tu te fais des idées, elle avait simplement besoin d’un peu d’aide, et comme elle est nouvelle dans le quartier, elle est venue voir son voisin le plus proche...— Dommage, bougonne Dimitri qui espérait sans doute avoir son lot de détails salaces.
Durant toute la discussion, Jérémy évite de regarder en direction de la fenêtre, malgré le manège d’Angelica qui fait pourtant beaucoup d’efforts pour attirer son attention.
Il ne tient pas à ce que son ami se rende compte de quoi que ce soit entre elle et lui.
La fin de l’après-midi se passe sans élément particulier, les deux amis en profitent pour échanger des souvenirs, entre quelques bières et parties de jeu vidéo. Même si Jérémy apprécie ces moments passés ensemble, Angelica ne cesse de lui trotter dans la tête. Le soir venu, ils s’installent dans le salon avec un carton à pizza pour tout repas. La lumière de la maison d’en face agit comme un aimant sur eux, car elle se détache de l’obscurité ambiante. Le bruit d’une voiture alerte Jérémy sur le retour du mari : effectivement, celui-ci passe dans son champ de vision peu de temps après. Il le voit enlacer sa femme et l’embrasser.
En y repensant, c’est la première fois qu’il voit cet homme se montrer aussi proche de sa jeune épouse. Cette arrivée n’a pas non plus échappé à Dimitri :
— Dis donc, elle est mariée ta donzelle ! Tu m’avais caché ça !
Il ne répond pas, car il est trop absorbé par la scène qui suit. Il ne sait pas ce qu’ils se sont dit, mais les deux époux se sont lancés dans des caresses plus que suggestives. Les vêtements ne tardent pas à voler. Angelica, qui doit sûrement vouloir lui faire profiter du spectacle, vient se placer contre sa fenêtre, d’où il a une vue imprenable sur ses seins et sa chatte. Son mari vient la prendre par-derrière, et elle pousse sans doute un puissant cri de jouissance, vu la tête qu’elle fait.
Jérémy sent que son érection commence à monter, quand Dimitri s’exclame :
— Putain, un porno en direct ! J’adore ! Excuse-moi, vieux, mais je vais me mettre à l’étage, histoire de me branler en paix.

Jérémy ne répond pas, tout concentré qu’il est sur la scène. Il sort sa queue bien gonflée, et commence à se masturber. Le mari vient d’allonger Angelica sur le canapé pour la prendre en missionnaire.
Sous cet angle, Jérémy voit alors le sexe de l’homme. Il est surpris de constater à quel point il est bien membré, même si cela le rassure de constater qu’il l’est moins que lui. D’un coup de reins vif, le mari engage son sexe dans la fente d’Angelica qui pousse un petit cri que même Jérémy peut entendre depuis chez lui. Le mari la ramone comme s’il n’avait pas baisé depuis plusieurs semaines, ne semblant pas se soucier du plaisir de sa femme.
Pour accentuer son plaisir, Angelica se caresse les seins comme une folle, et tourne de temps en temps la tête vers Jérémy, qui se branle à toute vitesse. Il est sur le point de jouir quand il voit le mari sortir sa queue. Jérémy a l’impression qu’il demande quelque chose à sa femme. Cette dernière se met alors à genoux et tire la langue, dans l’attente de la semence de son homme. Le sperme ne tarde pas à venir et vient s’écraser en de longs jets sur son visage et dans ses cheveux.
Il faut croire qu’il ne s’était pas vidé depuis longtemps, car il s’en écoule une sacrée quantité. Angelica se masturbe frénétiquement pendant qu’elle se fait recouvrir de foutre, et gémit comme une chienne. Jérémy jouit à son tour, son sperme vient s’écraser contre la fenêtre. Il s’imagine réserver le même traitement à sa voisine, et cela décuple son excitation. A peine a-t-il fini de jouir qu’il rebande déjà, car ce qu’il voit l’excite au plus haut point. Angelica se jette sur son mari, et attrape son chibre entre ses lèvres.
Elle le suce ainsi, sans même prendre le temps de nettoyer son visage. Pendant qu’elle le suce, elle fouille dans sa moule d’où la cyprine coule à flots. Quand il la voit s’écarter ainsi les lèvres, Jérémy s’imagine la fourrer. Il est même surpris de la voir enfoncer toute la queue de son mari dans sa bouche.
Elle fait une gorge profonde à son mari, pendant que Jérémy jouit de nouveau, regrettant qu’elle ne soit pas là pour assister au spectacle...Quelques minutes plus tard, Jérémy a tiré les rideaux et a fait un peu de ménage. Dimitri redescend :
— Heu, excuse-moi... Tu aurais des essuie-tout, s’il te plaît ?
Jérémy prend dans la cuisine un rouleau qu’il lui tend sans faire de commentaire. Dimitri redescend à nouveau quelques minutes après :
— Incroyable ! C’est mieux que de se mater un porno ! Tu dois bien te rincer l’œil avec des voisins comme ça, non ?— T’as du bol. C’est la première fois que je les vois faire ça.
Jérémy pense alors au couchage. La fenêtre de sa chambre ne donne pas sur la maison d’Angelica. Il devient soudain un hôte très prévenant pour son camarade :
— Ecoute, vu que c’est temporaire, je te laisse ma chambre et je vais dormir sur le canapé.— Bah, non, c’est ta chambre quand même...— T’inquiète. Tu seras mieux et ça ne me dérange pas.— Ah ? Bon, merci alors.
Dès que Dimitri referme la porte de la chambre, Jérémy plonge le salon dans le noir et rouvre les rideaux. Le salon des voisins est toujours éclairé, mais il ne semble y avoir personne. Durant la nuit, il se réveille, en sueur et en érection, à cause de rêves érotiques dont Angelica tient le rôle principal. Se levant pour boire, il tire un peu le rideau pour regarder. Il découvre alors, stupéfait que le mari est installé dans le salon et est en train de se masturber en regardant un film pornographique. Dégoûté, Jérémy rajuste le rideau et va se recoucher en ayant une pensée de compassion pour Angelica.
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