Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 116 J'aime
  • 3 Commentaires

La carotte

Chapitre 4

Voyeur / Exhibition
DIMANCHE
Le matin, Jérémy est réveillé par la sonnette. Il est 9 heures. Enfilant rapidement un pantalon, il se dépêche d’aller dans l’entrée. À côté de la porte, il découvre un petit post-it signé de Dimitri indiquant qu’il est parti se promener en ville et rentrera vers midi. Jérémy ouvre la porte. Il est ravi de découvrir Angelica, vêtue d’une jolie petite robe rouge qui moule suffisamment sa poitrine pour que Jérémy sache qu’elle ne porte pas de soutien-gorge.
— Bonjour Jérémy.— Bonjour Angelica ! Entre.— Heu, non. En fait, je venais te demander si tu savais s’il y a une supérette ouverte un dimanche matin dans le quartier... J’ai encore besoin de beurre...— Je peux te dépanner.— C’est gentil, mais il faut vraiment que j’en achète. Donc si tu peux m’indiquer une adresse...— Il y en a bien une, mais c’est un peu compliqué pour la trouver. Par contre, je peux t’y accompagner. A pieds, il y en a pour moins d’un quart d’heure.— Parfait.
Dès qu’ils ont quitté le quartier, Angelica met sa main dans celle de Jérémy. Celui-ci, surpris, tourne la tête vers elle :
— Ton mari... ?— Là, il fait grâce matinée. Le dimanche il n’émerge en général que vers midi.— Heu, mon interrogation à son sujet porte davantage sur tes sentiments pour lui puisque tu me donnes la main comme si nous étions en couple...— Gérald est une brute. Pour lui, je suis juste bobonne qui lui fait sa lessive, ses repas et qui se soumet quand il a envie de baiser. Et je sais par ailleurs qu’il se tape très régulièrement d’autres filles à son travail. Il emmène même parfois sa secrétaire à la maison quand je pars quelques jours pour aller voir ma mère.— C’est lui qui te demande de ne pas mettre de soutif ?— Heu non, ça c’est moi... Il hurlerait s’il savait que je sors sans culotte.
Le sang de Jérémy se met à bouillir et il sent son sexe se tendre. Angelica rigole :
— Oups ! J’ai l’impression que tu es ému par cette info... Tu peux jeter un œil si tu veux.
Jérémy hésite, se demandant s’il a bien entendu.Mais, voyant qu’elle semble attendre, il attrape le bas de la petite robe et remonte lentement pour découvrir l’entrejambe effectivement nu.
Jérémy, excité par cette découverte, hésite à lui caresser. Mais, en pleine rue, il se dit que cela ne se fait pas. Il rajuste la robe. Angelica semble déçue, mais ne l’exprime pas :
— Bon, elle est loin ta supérette ?— Heu, non. C’est juste là, à côté du salon de thé.
Après avoir acheté la plaquette de beurre, Angelica s’arrête en sortant du magasin et dit :
— Tu bandes ?— Heu... bah oui...— Mmmmm, j’aimerais bien voir ça, mais je ne vais pas te demander de la sortir en pleine rue. Rien que d’imaginer, ça me fait mouiller...
Angelica s’assoit alors sur une chaise de la terrasse du salon de thé et écarte les cuisses :
— Regarde !
Stupéfait, Jérémy s’assoit à côté d’elle sans quitter sa fente humide des yeux. Comme impatiente, elle lui attrape le poignet et guide sa main entre ses cuisses :
— Ne sois pas timide.
Jérémy bande comme un taureau alors qu’il caresse la moule de sa voisine.
Bien qu’elle semble beaucoup apprécier cette caresse, Angelica se lève soudain :
— Ne tardons pas trop, sinon le beurre va fondre.
Jérémy se lève, les yeux écarquillés :
— Attends, tu...— Quoi ?
C’est en le voyant attraper le bas de sa robe derrière qu’elle comprend que celle-ci est retroussée assez haut sur sa taille et qu’elle exhibe ses fesses nues.
Jérémy rajuste la robe et Angelica sourit :
— Merde, je ne m’étais pas rendu compte... Merci.— Pas de quoi. C’est un spectacle que je me réserve...— Si tu savais comme j’ai envie de voir ta queue. Dommage qu’il y ait ce gars chez toi.— Dimitri ? Il est parti en balade et ne rentre qu’à midi !— Rentrons vite alors !
Le chemin du retour est nettement plus court, tant le couple marche vite, stimulé par la perspective de ce qui va suivre. A peine sont-ils arrivés chez Jérémy, Angelica l’entraîne dans sa chambre et l’allonge sur le lit. Jérémy se laisse faire et la laisse lui ouvrir son pantalon et baisser son caleçon pour extraire son érection :
— Ça y est, je l’ai !
Elle le masturbe lentement en lui souriant :
— J’aime bien te voir te masturber derrière ta fenêtre en me regardant, ça m’excite.
Jérémy se lève pour terminer de se déshabiller et, alors qu’il commence à soulever la robe de sa voisine, celle-ci, sans s’arrêter de le masturber, lui dit :
— Attends. Je veux juste te regarder te masturber encore...
Jérémy est un peu déçu, car il espérait plus... Toutefois, l’idée n’est pas déplaisante, aussi laisse-t-il à nouveau la jeune fille l’allonger sur le lit :
— Et toi ? Tu vas te caresser aussi ?— Mmmmm, c’est une idée. Mais je n’ai pas de carotte avec moi.— J’en ai !— Non, laisse. De toute façon, là je veux juste te regarder.
Jérémy se soumet. Le sexe tendu, il commence à se caresser les testicules.
Alors qu’il se masturbe, Angelica, les yeux rivés à son membre, lui demande :
— Tu nous as regardés hier soir ?— Oui...— Tu as aimé ?— Oui. Dimitri aussi.— Oh merde, je n’avais pas pensé à lui ! Il nous a vus ?— Oui, il est allé se branler dans le bureau.
Angelica ne semble finalement pas si gênée que ça et cela excite Jérémy de voir à quel point elle est exhibitionniste. Il accélère la cadence de sa masturbation.
Après une longue minute de silence où Angelica reste en admiration du sexe palpitant de Jérémy, elle demande :
— Tu crois qu’il accepterait de faire comme toi ?— Quoi ?— De se masturber devant moi, comme tu le fais, ça m’excite.— Heu, sans doute, oui.— Et toi, tu accepterais qu’il le fasse ?— Même si on était marié, je n’aurais pas de droit sur toi...— Oui, mais ça t’exciterait ?— Oui, surtout si moi aussi je le fais.— Excellente idée. Tu lui demanderas ?
Jérémy ne voit pas comment formuler cette demande à son camarade, mais l’idée qu’ils se masturbent tous les deux, face à Angelica, déclenche son éjaculation. Le sperme se met à sortir lentement, coulant le long de sa queue et sur ses doigts.
Alors qu’Angelica s’approche de Jérémy en se passant la langue sur les lèvres, ses yeux tombent sur le réveil posé sur la table de chevet. Elle se redresse vivement :
— Déjà onze heures et demie ! Désolée, il faut que je rentre...
Sans que Jérémy ait le temps de réagir, sa voisine s’enfuit, l’abandonnant, telle Cendrillon. Jérémy, un peu déçu, mais quand même satisfait de sa matinée, se lève pour prendre une douche. Repensant à cette visite, il bande à nouveau, mais ne ressent pas le besoin d’éjaculer.
Quand il en sort de la salle de bain, Dimitri est dans le salon, souriant :
— Bonne nouvelle ! J’ai trouvé un appartement. J’aménage dès demain soir si tout va bien.— Cool !
Jérémy n’arrête pas de penser à la proposition d’Angelica et ne sait pas comment aborder cela avec Dimitri. Celui-ci se rend compte que son camarade est préoccupé :
— Tout va bien, Jérémy ?— Heu... Oui, pourquoi ?— Je ne sais pas, tu as l’air bizarre. On se prend un apéro pour fêter ça ?
Aussitôt, Dimitri sort verres et bouteilles et rapidement les deux amis s’installent dans le petit jardin pour siroter au soleil. Jérémy ne peut s’empêcher de regarder régulièrement vers la baie vitrée de sa voisine dans l’espoir de l’apercevoir. Ils en profitent pour manger dehors. A la fin du repas, Jérémy débarrasse et rentre ranger la cuisine tandis que Dimitri reste dans le jardin. Il sent son cœur s’emballer quand il entend la voix d’Angelica dans le jardin :
— Bonjour, tu es Dimitri, c’est ça ?
Jérémy regarde par la fenêtre de la cuisine et découvre sa voisine dans une petite robe grise très moulante. Il écoute l’échange :
— Oui. Jérémy est à l’intérieur.— Il vous a parlé de mon projet ?— Ah ? Heu non... ça me concerne ?— Un peu oui. Je peux venir pour qu’on en parle ?— Avec votre mari ?— Mon mari est reparti au boulot.— Un dimanche ?— Oui, quand il n’est pas en mission, il est d’astreinte quasiment tout le temps. On ne se voit pas...— Ah. Bah oui, venez. On va vous faire un café.
Le temps qu’elle fasse le tour, Dimitri rentre et rejoint Jérémy dans la cuisine :
— Je viens de voir ta voisine. Elle...— Oui, j’ai entendu. Je ne savais pas comment te présenter le truc. Elle veut nous voir nous masturber tous les deux.— Tu déconnes ?
Jérémy n’a pas le temps de répondre, la sonnette retentit. Dimitri, très excité, passe devant lui pour aller ouvrir :
— Entrez, entrez...— Angelica, mais on peut peut-être se tutoyer, non ?— Bien sûr !
Dimitri la suit jusque dans le salon où Jérémy les attend, très embarrassé :
— Bonjour Jérémy, tu vas bien ?— Oui...— Tu as eu le temps de parler à ton copain de ma demande ?
Dimitri, se frottant les mains, répond :
— Il vient de m’expliquer à l’instant. Moi je suis OK !
Jérémy ne s’attendait pas un tel enthousiasme de la part de son camarade. Il tente de temporiser :
— Je... tu veux un café, Angelica ?— Merci, je crois qu’un petit verre de vin m’irait mieux. Si tu as un blanc au frais, ce sera parfait.
Quand Jérémy revient avec le verre de vin pour Angelica, il voit que Dimitri s’est mis torse nu :
— Qu’est-ce que tu fous ?
Angelica prend son verre et répond pour Dimitri :
— Il se met à l’aise et tu devrais en faire autant.
Pour donner le ton, la jeune fille s’installe dans le canapé en écartant les cuisses, révélant aux deux garçons qu’elle ne porte pas de culotte.
Voyant que les gars ne semblent pas trop savoir comment continuer, elle les met à l’aise :
— On peut peut-être terminer de se déshabiller mutuellement si vous voulez ?
Elle pose son verre et vient rejoindre les garçons sur le canapé d’en face. En s’asseyant entre eux, elle retrousse sa robe sur sa taille et lève les bras. Dimitri et Jérémy comprennent le message et relève la robe de la jolie voisine pour lui retirer. Mais une fois la poitrine dégagée, les deux garçons ne résistent pas et interrompent le déshabillage pour caresser les seins d’Angelica.
La jeune fille s’amuse de la même passion que ses deux partenaires partagent pour ses seins :
— Ah, je vois que vous avez le même centre d’intérêt.
Elle se lève alors et embrasse Jérémy. Se redressant, elle leur dit :
— Dites-moi dès que vous bandez, qu’on puisse commencer.
Dimitri l’attire à lui et lui embrasse les mamelons.
Puis il lui dit :
— Moi, je bande depuis que je tu m’as abordé dans le jardin...— OK, voyons voir ça.
Angelica lui baisse son pantalon et lui dégage son érection. Il frémit quand elle commence à lui masser les testicules et ne résiste pas à lui caresser l’entrejambe.
Angelica s’écarte et se tourne vers Jérémy :
— Toi aussi, retire tout. On va pouvoir commencer.
Jérémy lui demande :
— Toi aussi, tu vas... ?— Oui, je pense que ça vous stimuler et puis il n’y a pas de raison que je n’en profite pas aussi.
Elle s’assoit et termine de retirer sa robe.
Jérémy se lève alors et va à la cuisine. Il revient en brandissant une banane :
— Avec ça, ça te dit ?— Super !
Angelica attrape le fruit et, cuisses écartées, se l’enfonce dans la fente.
Le fruit devient rapidement luisant de mouille et Angelica commence à pousser de petits gémissements. Bien qu’il l’ait déjà vu à l’œuvre avec une carotte et un concombre, Jérémy n’en reste pas moins fasciné devant ce spectacle. Dimitri, découvrant pour la première fois cette utilisation d’une banane, est lui aussi abasourdi. Angelica est obligée de les rappeler à l’ordre pour qu’ils commencent à se masturber vraiment.
Le regard de la jeune femme alterne entre les deux garçons, chacun se masturbant différemment avec son propre rythme. Dimitri semble essayer de calquer son rythme à celui de la banane qu’elle se fourre entre les cuisses. Par jeu, Angelica s’amuse à accélérer, mais, surexcitée, elle sent soudain l’orgasme monter irrémédiablement. La banane fichée en elle, elle se met à jouir, fermant les yeux et laissant son corps profiter des secousses de plaisir qui le parcourt.
Les garçons, la voyant jouir, accélèrent eux aussi leur cadence. Angelica, reprenant ses esprits, les voit dans cette masturbation effrénée et préfère les calmer :
— Tout doux les gars. Prenez votre temps. Je ne pars pas tout de suite.
Elle retire la banane de sa moule trempée de mouille et écarte les cuisses :
— Imaginez que vous êtes entre mes cuisses à la place de la banane et que vous vouliez me faire jouir...
Dimitri se calme et demande :
— Moi je veux bien faire plus qu’imaginer... Ta moule me fait vraiment très envie !— Dimitri, si tu veux, tu peux venir éjaculer dessus.
Sans attendre, Dimitri se lève et vient se positionner entre les cuisses d’Angelica, le gland posé contre sa fente. La jeune fille lui sourit :
— Attention ! Pas de pénétration, hein !?— Sûre ? Tu ne le regretterais pas !— Contente-toi de ça.
Jérémy est un peu jaloux de cette proximité et se lève à son tour. Angelica lui dit :
— Approche. Toi, je veux voir ton éjaculation de près.
Jérémy se dit qu’elle va peut-être lui faire une fellation, mais, au moment où il arrive et positionne son sexe près du visage de sa voisine, Dimitri commence à éjaculer, couvrant le sexe d’Angelica avec sa semence blanchâtre.
Angelica le regarde en souriant :
— Même si tu ne m’as pas pénétrée, c’est déjà pas mal, non ?— Le pied ! Merci !
Jérémy qui se masturbe toujours devant le visage d’Angelica éructe soudain : il sent l’éjaculation imminente, sans qu’il puisse se retenir. Le sperme se met à jaillir, surprenant Angelica et lui éclaboussant le cou et le visage.
Quand Jérémy s’écarte, Angelica rouvre les yeux et se redresse :
— Eh bien ! Merci les gars, c’était impressionnant. Vous m’avez permis de réaliser un vieux fantasme. J’espère que ça vous a plu aussi.
Dimitri sourit et répond :
— Disons que ça aurait pu être encore plus sympa si tu étais venue accompagnée d’une copine.
Assise par terre, Angelica le regarde, du sperme dégoulinant de son visage :
— C’est peut-être envisageable...— Vraiment ?
Angelica ne répond pas et se contente d’un sourire énigmatique. Elle attrape la serviette que lui tend Jérémy pour essuyer tout le sperme qu’elle a sur elle. Il lui demande :
— Tu veux prendre une douche ?— Je te remercie. Je vais rentrer la prendre à la maison. Gérald n’est pas encore rentré.
Angelica remet sa robe et s’en va, laissant les deux garçons.
Après s’être douchés, Dimitri rassemble ses affaires en vue de son départ le lendemain et Jérémy se lance dans un ménage systématique de chaque pièce, comme il le fait chaque dimanche après-midi. Tous les deux ne s’attendaient pas à ce coup de sonnette en fin d’après-midi. Quand Jérémy ouvre la porte, il découvre avec plaisir qu’il s’agit d’Angelica. En apercevant une jolie brune derrière elle, il est surtout surpris de voir qu’elle est accompagnée. Angelica sourit en voyant que Dimitri vient les rejoindre :
— Salut les garçons, chante Angelica. Je vous présente mon amie Sylvie.
Jérémy laisse entrer les deux filles. Les deux garçons saluent la nouvelle venue, en échangeant un regard entendu, de toute évidence tous les deux s’accordant à trouver à leur goût la nouvelle venue dans sa minirobe jaune.
Ils ont des images salaces qui défilent en tête... Jérémy conduit ses invitées dans son salon. Commence alors une discussion tout ce qu’il y a de plus banal, excepté les diverses allusions sexuelles faites par Angelica, qui ne sont pas pour calmer les deux jeunes hommes.
— Sylvie est une collègue qui est devenue rapidement une amie et nous faisons souvent du shopping ensemble. C’est moi qui lui ai fait acheter cette petite robe. Sympa non ?— Oui...
Jérémy se perd dans la contemplation du décolleté de Sylvie.
Il faut dire qu’elle est bandante : sourire aguicheur, yeux tellement clairs qu’ils en sont transparents, une peau qui semble si douce qu’il doit se contenir pour ne pas la toucher, une cascade de cheveux bruns, une poitrine opulente, et une robe très courte qui s’est quelque peu remontée lorsqu’elle s’est assise.Il est presque certain qu’elle a surpris son regard explorateur, avec son sourire coquin... Il sent son érection durcir de plus en plus.
— Et Jérémy est donc mon voisin, explique Angelica.— Vous vous connaissez depuis longtemps ? demande Sylvie.— Heu non... C’est assez récent, répond Jérémy.
Angelica sourit :
— Oui, à force de s’observer l’un l’autre par la fenêtre, ça a fini par une rencontre...
Dimitri rigole grassement, ce qui laisse aussitôt Sylvie imaginer qu’il s’agit d’un peu plus que du simple voyeurisme. Voyant que Sylvie s’apprête à interroger Dimitri pour avoir des détails, Jérémy prend les devants et en profite pour présenter son ami :
— Dimitri est un pote de la fac et il est de passage cette semaine.— Je repars demain, précise l’intéressé. Jérémy et moi, on a fait pas mal de belles teufs ensemble.
Dimitri fait un clin d’œil à Jérémy. Sylvie s’intéresse alors à eux :
— Oh, vous avez peut-être couché avec la même fille ?— Heu non, jamais...— Ou alors vous avez couché ensemble ?— Quoi ? Bien sûr que non ! se défend Dimitri.
Alors que Jérémy commence à débander, Angelica en profite pour évoquer un souvenir tendancieux :
— Ça me fait penser à mes soirées étudiantes, on faisait des folies... Ça m’est déjà arrivé de coucher avec des copines à cette époque.
Jérémy a l’impression que Dimitri va éjaculer dans son caleçon.
— Pas moi, répond Sylvie. Je n’ai même jamais embrassé une fille, c’est dire !— Quoi ? fait Angelica d’un air faussement choqué. Il faut remédier à cela !
Et sans attendre de réponse, elle s’approche de son amie sur le canapé, et approche ses lèvres des siennes.
Sylvie n’a aucune réaction, et se laisse faire, rendant même son baiser à son amie. Celui-ci devient vite très chaud, et Jérémy voit les langues s’agiter... Terriblement excité, il ne peut s’empêcher de porter la main à sa queue.
Les mains d’Angelica se sont faites baladeuses, elle a glissé une main entre les cuisses de Sylvie et remonte doucement sous la robe. Jeremy ne voit rien sous le tissu, mais cela l’excite encore davantage d’imaginer... À côté de lui, Dimitri a déjà sorti son sexe et est en train de se masturber en profitant du spectacle. Puis, Sylvie semble tout à coup désinhibée. D’elle-même, elle fait glisser les bretelles de sa robe et dévoile sa superbe poitrine. Sans interrompre la magie du baiser, Angelica se redresse et remonte le bas de la robe pour dévoiler aux garçons qu’elle a glissé son majeur dans la fente de sa copine.
Jérémy hallucine. Il décide d’imiter son ami, et sort son sexe. Alors que Dimitri s’astique comme un dément, Jérémy prend son temps, et dévore les filles des yeux. Elles imitent les garçons et commencent à retirer leurs vêtements.
Très vite, plus personne dans la pièce ne porte de vêtement. Angelica n’arrête pas de regarder les garçons, comme si elle leur offrait ce spectacle. Sylvie semble plus intimidée et ose moins porter ses regards vers eux, même si elle ne s’empêche pas de les regarder à la dérobée, fascinée par leurs masturbations.
Angelica s’est penchée sur le sexe de son amie, entièrement épilé, et commence à le lécher avec application. Jérémy est au comble de l’excitation. A tel point que, quand il perçoit la queue de Dimitri près de lui, il ne résiste pas à l’envie de tendre la main... Quand il effleure le tube de chair, il voit son ami se rétracter un instant, avant de se laisser faire, sans doute à son tour séduit par la tentation.
Jérémy enroule ses doigts autour de la bite qu’il constate plus courte, mais plus large que la sienne. C’est la première fois qu’il touche un sexe autre que le sien, et cela l’excite. Il commence à branler Dimitri, sa propre érection renforcée en sentant le gland de son ami s’humidifier davantage de seconde en seconde. Il se redresse en voyant que Dimitri veut lui rendre la pareille, et le laisse lui saisir la bite.
Désormais, ils se branlent mutuellement en observant les filles entamer un magnifique soixante-neuf. Sylvie s’est installée sur Angelica et a le visage plongé entre ses cuisses. D’où ils sont, les garçons voient surtout la croupe de Sylvie et la langue d’Angelica qui va et vient dans sa fente dégoulinante.
Angelica redresse la tête et découvre avec plaisir ce que font les garçons. Elle leur jette un regard lubrique :
— Surtout n’allez pas au bout les gars, ce serait dommage de gâcher tout ce bon jus...
Les défiant du regard, elle donne un dernier coup de langue à la moule de Sylvie.
Les deux filles cessent alors de s’occuper entre elles et viennent chacune s’agenouiller devant un des garçons. Sylvie a choisi Jeremy, ce qui le console un peu de voir Angelica aller devant Dimitri... Aussitôt entre les cuisses de Dimitri, Angelica saisit son sexe raide et commence à le masturber :
— Je vois que tu es prêt...
Sylvie s’agenouille sur le canapé à côté de Jérémy et saisit son sexe à deux mains :
— Angelica m’a beaucoup parlé de toi... J’avais très envie d’essayer...
Ses mains sont extrêmement douces et ses mamelons tendus attirent les mains de Jérémy comme des aimants. Celui-ci espère qu’il ne va pas éjaculer trop tôt tant tout ceci l’excite !
Angelica se relève et s’adresse à Jérémy :
— On peut aller dans ta chambre ?— Dans ma...
Jérémy se demande si elle lui propose d’aller tous les deux dans la chambre ou si c’est pour elle et Dimitri. Voyant son regard interrogatif, elle sourit et ajoute :
— Tous les quatre.
Aussitôt dans la chambre, Angelica s’installe sur le lit, cuisses grandes ouvertes et écartant de deux doigts les lèvres de sa moule. Jérémy la suit et hésite à aller la rejoindre. Sa voisine lui fait un sourire et lui dit gentiment :
— Je vais continuer avec Dimitri si ça ne te dérange pas... pour le moment.
Ces derniers mots laissent de l’espoir à Jérémy. Sa frustration disparaît dès qu’il voit Sylvie qui prend la même position juste à côté de sa copine sur le lit :
— Viens, j’ai hâte d’essayer !
Dimitri qui entre en dernier dans la chambre vient aussitôt s’agenouiller entre les cuisses d’Angelica et guide son membre tendu dans la moule offerte. Jérémy reste quelques secondes à observer le visage de sa voisine, déformé par le plaisir. Il se dit qu’elle aurait sans doute préféré quelques préliminaires, mais il comprend l’impatience de Dimitri devant cette splendide jeune femme.
Comme Sylvie se redresse et saisit son sexe pour le rappeler à l’ordre, Jérémy se rend compte à quel point il se comporte comme un rustre. Pour ne pas faire le lapin comme Dimitri, il ne se précipite pas et s’installe à quatre pattes entre les cuisses de la jeune femme pour lui faire un cunnilingus. Celle-ci le laisse faire, manifestement très heureuse de cette délicate attention.
Après quelques minutes, Sylvie rouvre les yeux et se redresse :
— C’est bon... Tu vas me faire jouir et tu vas finir par débander.
Mais quand Jérémy se redresse, exhibant fièrement son sexe tendu, elle constate qu’il n’a pas débandé du tout, au contraire. Lisant dans les yeux de la jeune femme le désir qu’elle voue à sa queue, il s’approche et guide son sexe dans la moule de Sylvie, alors qu’à côté Angelica ne retient pas ses gémissements de plaisir.
Ballottées par les assauts des garçons, les filles se regardent en gémissant :
— Ooooh merci Angelica ! Aaaaah super plan.
Angelica ne lui répond, mais ses gémissements explicites montrent qu’elle partage le même sentiment.
Soudain, Angelica ferme les yeux et se redresse. Dimitri est au bord de l’éjaculation et, quand il sent les spasmes de l’orgasme de sa partenaire, il ne peut se retenir plus longtemps. S’immobilisant, il laisse son sperme jaillir dans le sexe d’Angelica qui a à peine conscience que Dimitri est en train de jouir en elle. Angelica partage son plaisir :
— Aaaaaaah, Sylvie ! Je jouiiiiis !
Sylvie ne tourne même pas la tête, elle-même est au bord de l’orgasme et les râles de plaisir de Dimitri lui indiquent qu’il est en train d’éjaculer. Elle aussi se met à jouir, plus discrètement qu’Angelica, mais tout aussi intensément, semble-t-il, à Jérémy. Angelica crie :
— Ooooh je viens ! Jérémy, viens avec moi !
Les saccades de l’orgasme de la jeune femme font perdre ses moyens à Jérémy. Il ne peut plus se retenir non plus et sent ses couilles se contracter. D’un geste vif, il sort son sexe et laisse son sperme jaillir sur le ventre de Sylvie qui, fascinée, regarde la semence chaude s’écraser sur son ventre.
Quand Jérémy reprend ses esprits, il constate que Dimitri s’est allongé par terre à côté du lit et semble exténué. Angelica est à côté et, à genoux sur le lit, elle le regarde avec tendresse :
— Tu penses être en mesure de me satisfaire moi aussi ?
Jérémy est surpris de cette proposition.
— Quoi ? Mais tu viens de jouir, non ?— Oui, mais j’en veux encore et je veux que ce soit toi. Tu t’en sens capable ?
Sans attendre sa réponse, Angelica tourne le dos à Jérémy et se met à quatre pattes, se cambrant pour tendre sa croupe vers lui.
Jérémy ne résiste pas. Son sexe qui semblait vouloir se mettre au repos reprend aussitôt du service. Il gonfle et se tend à nouveau, prêt à reprendre du service. Jérémy n’en revient pas. Il s’approche de la croupe offerte, mais alors qu’il passe son pouce sur la moule humide pour en écarter les lèvres, du sperme de Dimitri commence à s’en écouler. Jérémy a un temps d’arrêt. Angelica tourne la tête et demande :
— Ton copain m’en a déjà mis pas mal... j’espère que ça ne te dégoûte pas...
Jérémy n’est pas très à l’aise avec ça, mais il trouve finalement ça excitant. Après tout, il vient de masturber son copain de fac et l’aurait probablement laissé éjaculer sur ses doigts si Angelica n’était pas intervenue. Agrippant la jeune fille à la taille, il guide son sexe dans le fourreau abondamment lubrifié par la semence de Dimitri. Il la pénètre ainsi jusqu’à la garde, sans peine, faisant toucher ses couilles contre le clitoris d’Angelica.
A chaque fois qu’il entre et ressort, la queue de Jérémy est couverte du sperme de Dimitri et une partie, chassée, s’écoule de la fente de Angelica. Dimitri à côté du lit, observe la scène avec intérêt, reprenant même sa masturbation. Sylvie se lève alors et vient devant lui :
— Et, tu penses pouvoir remettre ça ?
Dimitri est surpris par la question, mais la jeune fille qui se tient devant lui le fait quand même bien bander, sans compter son copain qui est en train de baiser la fille qu’il vient de remplir de sa semence. Pourtant, même si l’excitation et l’envie sont là, il ne se sent pas la force de satisfaire la jeune femme.
— Oh moi, c’est sûr que non... Tu ne tireras rien de plus, mes couilles sont vides.— En es-tu vraiment certain ?
Sylvie s’assoit à côté de lui et s’empare de sa turgescence pour reprendre à son compte la masturbation.
Angelica est en train d’avoir un second orgasme et Jérémy sent qu’il ne va pas tenir. Il s’immobilise tandis que sa voisine subit les spasmes du plaisir. S’il n’avait pas osé éjaculer en Sylvie, il n’en est pas de même pour Angelica. Bien planté en elle, il se laisse aller et sent la sève monter à nouveau de ses couilles pour venir envahir le ventre de Sylvie, se mélangeant au sperme encore chaud de Dimitri.
C’est un grand concert de râles et de gémissements. La jouissance qu’ils partagent est sans doute la plus intense qu’ils aient eue ensemble. Le calme revient. On n’entend plus que le bruit de la masturbation régulière que prodigue Sylvie à Dimitri. Malgré ce qu’il a dit à Sylvie, celui-ci n’est pourtant plus très loin de jouir. Quand Jérémy ressort son sexe de la croupe d’Angelica, un flot de sperme s’échappe des lèvres béantes et vient former une flaque sur le drap du lit.
C’est l’image qui déclenche la seconde éjaculation de Dimitri. Quand Sylvie se rend compte qu’il va jouir, elle accélère la cadence de sa masturbation :
— J’ai gagné ! J’ai gagné ! chante-t-elle, victorieuse.
Jérémy sourit :
— Faut pas l’écouter. C’est qu’une grande gueule.— Oui, mais avec des couilles bien pleines ! rigole Angelica.
Sylvie tient toujours le sexe de Dimitri et regarde Jérémy :
— Tu veux le sucer ?
Jérémy rigole :
— Merci, je crois que j’ai déjà assez de son sperme sur ma propre queue...— OK, je m’occupe de lui, alors, dit Sylvie en se penchant sur la tige encore raide.— De toute façon, c’est de ta faute... ajoute Dimitri en rigolant.
La jeune femme commence par lécher méticuleusement la hampe tendue.
Angelica attrape alors la queue de Jérémy qui commence quand même à débander :
— Viens un peu par là. Moi aussi je me sens responsable de ton hygiène.
Elle l’attire à lui pour le sucer doucement et effacer toute trace de sperme sur sa tige, probablement autant le sien que celui de Dimitri.
Angelica abandonne Jérémy et pousse un petit grognement :
— Sylvie... Merci ma belle...
Jérémy tourne la tête et découvre Sylvie agenouillée entre les cuisses d’Angelica à lui lécher la moule, aspirant le sperme qui s’en écoule lentement.
Angelica et Sylvie ne restent pas beaucoup plus longtemps :
— Il faut qu’on file se doucher à la maison et que je ramène Sylvie chez elle avant le retour de son mari... Merci les gars, c’était super.
Dimitri est un peu triste de se dire qu’il repart le lendemain. Jérémy lui, trouve qu’il a une chance énorme : jamais il n’aurait cru que son emploi de caissier puisse un jour lui ouvrir autant de belles opportunités.
— Cinq fruits et légumes par jour... dit pensivement Dimitri.— Quoi ? demande Jérémy.— Angelica, avec les carottes, les concombres et les bananes qu’elle s’enfile, ce n’est pas étonnant qu’elle tienne une telle forme...— Moi ça va. Je me suis tapé l’abricot de Sylvie !— Mec, rien que pour ma santé, je crois que je vais revenir te voir de temps en temps...
Diffuse en direct !
Regarder son live