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Chapitre 1

une des femmes et une de mes histoires.

Erotique
Salut, moi c’est Sam, et ma première histoire, je suis commercial en volets roulants, il y a quelques jours, j’étais au magasin quand une femme plutôt mure est entrée. Sa taille était plutôt normale, je dirais environ 1m68, elle était habillée d’une jolie robe, mais je n’y prêtai pas trop attention, et laissais ma collègue s’en occuper. Au bout de 15 min, cette dernière vint me voir pour que je prenne le relais. En arrivant près d’elle, je fus attiré par son regard, des yeux bleu vert ressortant par un maquillage léger, des lèvres souriantes et légèrement brillantes, et une robe à faire rêver.
Je commence à discuter avec elle, mais juchée sur ses talons, avec sa robe noire plissée dont le décolleté droit est en partie transparent, je n’arrête pas de regarder la naissance de ses seins. Elle virevolte dans le magasin, me laissant admirer ses fesses un peu rondes, mais que je trouve splendides. À vu d’œil, elle doit faire du 38, je vois la marque de son string sur le haut de la robe, je tombe sous le charme. Peu à peu, elle m’apprécie, ses sourires sont de plus en plus agréables, ses positions aussi, accoudée sur une table haute, elle pose sa poitrine sur ses avant-bras croisés, ce qui a pour effet de faire gonfler le haut de ses seins, que je regarde avec envie.
Au bout de 15 min, nous prenons rendez-vous pour une prise de mesure à domicile. 5 jours après, j’arrive chez elle. C’est une autre femme qui m’accueille, elle a changé de look, les sandalettes ont été troquées pour des talons hauts de 8 centimètres, et sa robe est en satin bleu, légèrement transparente avec un décolleté droit laissant le haut de ses seins visible. Je suis plutôt déstabilisé. Elle m’invite à entrer en tournant les talons pour que je la suive. J’avoue qu’en premier lieu, c’est mon regard qui la suit, ses fesses sont enveloppées dans ce satin, le haut de ses fesses est agréablement scindé, laissant apparaître une fente se perdant entre ses lobes.
Après les premiers mots d’usage, nous nous dirigeons vers la première baie vitrée. Je prends plaisir à regarder cette femme séduisante, qui en contre-jour me permet d’admirer un corps appétissant par transparence. J’ai une vue de plus en plus détaillée du bas du corps, ses pieds dont les ongles sont vernis, de belles jambes fuselées, et des fesses bombées par le port des ses tallons. Je remarque que la naissance de son entrecuisse est bien visible, cela m’excite.
Je fais attention à ne pas trop jeter mon regard de façon persistante, mais je prends bien plaisir. Nous allons dans les diverses pièces de la maison, elle se met souvent dans des endroits de passage, et je suis forcé de frôler son corps en m’excusant. Au bout de 20 min, je l’invite à regarder les catalogues des produits. À peine assis, son chat vient miauler, et elle se lève. Moi avec mon catalogue, je la regarde se déplacer de deux mètres, elle est dos à moi, elle prend des croquettes sur un meuble de cuisine, et se penche en avant en gardant ses jambes droites. Là, mon sang ne fait qu’un tour, la jupe vient de remonter le long de ses cuisses pour arriver à la naissance de ses fesses, ses cuisses sont un peu dodues, mais m’excite au plus haut point. Et malheureusement, je commence à sentir mon sexe qui bouge.
Elle revient, se remet sur la table en se penchant pour regarder le catalogue. Je me retrouve à admirer ses seins gonflés par la compression de ses bras. Cette femme me subjugue. Après avoir présenté mes produits, il me reste une ou deux mesures à prendre, au niveau d’une porte, je cherche à repérer la marque de cette dernière. La cliente veut m’aider, et alors que je suis penché, s’accroupit face à moi. De là où je suis, j’ai une vue directe sur son entrejambe. Son string en dentelle me provoque direct une érection. Je regarde, puis la regarde dans les yeux. Son regard est légèrement fuyant, mais elle ne bouge pas, je vois même ses cuisses lentement s’écarter. Mes yeux restent rivés sur ses cuisses, et ce triangle de dentelle entrant finement entre ses lèvres. Aucun poil n’en sort. Je m’allonge un peu, elle ne peut pas rater mon sexe qui tend mon bermuda. Mon visage est à 60 centimètres de sa jupe, je vois ses lèvres à travers la dentelle.
Je m’approche de quelques cm, là, je vois au-dessus sa robe étirée par des tétons bandants. Je glisse ma main au sol, sur bien 30 à 40 centimètres, elle se fléchit un peu plus, arrête de me parler, et vient glisser ses cuisses au-dessus de ma main. Je glisse cette dernière, la remonte, et viens caresser son string. Elle rougit, tourne légèrement la tête, pendant que je me glisse sous elle en écartant un peu plus ses cuisses.
Elle accroupit au-dessus de moi, me laisse dans une clarté bleutée admirer le haut de ses cuisses, et la lanière allant de l’intérieur de ses fesses au triangle entrant légèrement dans ses lèvres. Ma langue commence à glisser, accompagnée de bisous entre ses cuisses pour ensuite arriver entre son anus et sa chatte imberbe. Je joue avec la ficelle, elle frémit, je glisse ma langue entre string et lèvre, les écarte et la pénètre d’un coup en lapant au passage sa mouille. Ma main rejoint ma langue, et vient définitivement écarter son string. J’aperçois alors un clitoris bien bandé que je m’empresse de sucer. C’est divinement bon et je l’entends gémir. Mon doigt vient glisser sur chaque lèvre, j’alterne entre coup de langue et caresse manuel sur un clitoris devenant de plus en plus rouge et de plus en plus gros. Je sens qu’elle devient fébrile, j’entends le crissement de ses mains caressant ses seins à travers la robe.
Je la pénètre avec mon nez, je mordille son clito, puis descends vers son anus pendant que deux doigts la pénètrent lentement pour caresser son point G. Elle gémit, et gémit encore. Je lape son anus, y glisse mon autre main pour y placer mon pouce. Mes doigts en elle, j’admire le tableau, et embrasse toute parcelle de chaire. Peu à peu de deux, je passe à trois doigts, puis voyant que je pouvais continuer, je mets quatre doigts, puis plie ma main, et glisse mon pouce en elle. Ma main rentre rapidement en entier. Comme aspirée par ce sexe magnifiquement suintant de mouille. Au premier aller-retour, elle se cambre, retire ma main en douceur, et me gicle dans la bouche. Je bois ce liquide qui ne s’arrête pas de couler. Je me délecte de ce nectar. D’un bond, elle se relève et prend son téléphone pour me prendre en photos, bandant, allongé sur son sol le visage couvert de mouille entouré d’une flaque.
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