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Catherine et Charlette

Chapitre 2

Hétéro
Nous sortons de la douche, nous essuyons mutuellement en nous caressant. Une fois secs, elle me prend par la main et m’entraine dans le lit. Elle me fait mettre sur le dos, me caresse pour finir sa bouche sur mon sexe. Elle le lèche, le titille, le mordille jusqu’à obtention d’un bout de bois bien dur. Elle me chevauche et se plante dessus.–Ne bouge pas, laisse-moi faire s’il te plait.Elle monte et descend doucement, sur toute la longueur de mon sexe. Ses jambes repliées de chaque côté de mon corps, mains posées sur mon torse, bras tendus. Elle ferme les yeux, respire profondément. Ses mouvements sont lents et réguliers, elle ne varie pas la cadence, toujours le même rythme. Je vois son ventre commencer à se contracter, ses narines à palpiter, elle renverse la tête en arrière m’exposant sa poitrine. Mes mains se posent sur ses seins, les caressent. Je sens son sexe se contracter, serrer le mien.–Oui, oui, cette fois-ci, c’est juste ton sexe, oooohhhh.Elle jouit encore une fois silencieusement, son corps est tendu vers ce plaisir immense qui j’envahi, m’entrainant avec elle. Elle finit par se détendre et se coucher sur moi, mon sexe toujours prisonnier du sien.–Que c’est bon l’amour avec un homme, que c’est bon.–Tu es une très belle amante.–Merci, mais en une nuit, j’ai pu remarquer que tu n’étais pas mauvais non plus, tu sais être très actif, comme parfaitement passif, merci de m’avoir laissé me faire l’amour sur toi. –De rien, mais maintenant j’aimerai me reposer un peu, tu m’as liquéfié. Tu dors avec moi, j’aimerai beaucoup.–Bien sûr, Patrick ne sera pas surpris de nous voir ensemble pour le petit déjeuner.–Je ne pense pas.Je me mets sur le ventre, une jambe repliée, Charlette se colle à moi, un bras sur mes épaules et nous ne tardons pas à nous endormir.
Le lendemain, je me réveille avant elle. Elle dort sur le ventre, un bras sous l’oreiller, comme moi, une jambe légèrement repliée. Elle offre ses fesses à la caresse, ce à quoi je ne peux pas résister. Je viens à quatre pattes vers elle, pose mes lèvres sur sa fesse gauche, l’embrasse, sur sa fesse droite, l’embrasse, je commence à monter avec ma bouche le long de son dos.–Reste sur mes fesses.Je redescends pour embrasser, lécher, mordiller ses fesses, ma langue descend entre elles pour se poser sur sa vulve chaude, elle commence à faire bouger son ventre toujours à plat ventre.–Fais-moi l’amour.Elle se met bien à plat, écarte les jambes, je me mets sur elle, ma bite trouve tout de suite le chemin du bonheur. Il entre dans une vulve humide et accueillante. –Oui, fais-moi l’amour.Je comprends qu’elle ne bougera pas, je la pistonne d’abord doucement sur une partie de mon sexe pour augmenter la cadence et l’amplitude de mes mouvements. Je finis par sortir de son sexe et rerentrer à chaque mouvement.–Oui, comme ça, oui.Je m’active sur une femme qui ne bouge pas du tout, son bras droit est sous l’oreiller, le gauche le long de son corps. Cela dure un peu au point que je me demande si je vais pouvoir la faire jouir avant que je n’explose dans son corps. Soudain elle se crispe, soulève ses fesses, plonge sa tête sur l’oreiller.–Oui, oui, tu me fais jouir, viens chéri, viens avec moi.Je me laisse aller et nous jouissons ensemble. Elle est secouée sur tout le corps, et met un certain temps à se calmer. Cette fille m’étonne, elle a jouit juste avec ma bite, sans se caresser ni les seins, ni le sexe, ce n’est que l’action de mon sexe qui l’a fait partir au septième ciel. Elle jouit avec son clitoris et avec son sexe.–Embrasse-moi.
Elle se met sur le dos, me tend ses bras. Je monte sur elle et pose ma bouche sur la sienne. Nous nous embrassons longuement.–Tu veux bien m’excuser, mais je n’ai pu m’empêcher de dire chéri. Je ne veux pas te forcer à quoi que ce soit, c’est juste sorti comme ça, parce que j’étais heureuse de ce qui m’arrivait et que ça devait faire partie de mon bonheur.–Excuses acceptées madame Charlette. Et si nous allions déjeuner.–Et si nous faisions monter le petit déjeuner, je sais que Patrick est déjà là, il est plus de neuf heures et demie, et je crois que ça l’arrangerait.–Ok, je vais prendre une douche, tu commandes, un grand noir pour moi.–Holà, après la blanche, un grand noir ?–Oui, et après le grand noir, une grande blanche.–Chiche.Je me penche sur elle pour l’embrasser et me lève pour aller dans la salle de bain. Elle se lève et commande le petit déjeuner avant de me rejoindre. Nous sommes sous la douche à nous caresser et nous poupouiller en rigolant quand on frappe à la porte.–Entrez.La poignée tourne sur elle-même, mais la porte ne s’ouvre pas. On frappe de nouveau.–Merde, je n’ai pas déverrouillé la porte.Elle sort de la douche, se dirige vers la porte nue. Je n’ai pas le temps de dire quoi que ce soit, qu’elle est déjà à la porte pour l’ouvrir. C’est Patrick.–Bonjour cousin.–Bonjour cousine chérie.Patrick pose le plateau sur la table de la chambre et fait deux bises à sa cousine. Elle le raccompagne vers la porte, la ferme et me rejoint.–Tu ouvre une porte nue ?–C’est mon cousin.–Oui, d’accord, mais nous sommes dans un hôtel, cela aurait pu être n’importe qui.–D’une part, l’autre personne susceptible de venir nous amener le petit déjeuner est une amie d’enfance, Charleen, avec qui le fais du naturisme, et d’autre part tu penses bien que mon cousin, du même âge que moi, m’a déjà vu nue, et pas qu’une fois.–Ca, je veux bien le croire maintenant que je connais une minuscule partie de ton caractère.–Arrête tes bêtises et viens prendre ton petit déjeuner.Nous déjeunons tranquillement, nous avons le temps. A la fin, Charlette se lève et vient vers moi.–Chose promise, chose due.Elle me prend la main, me fait lever et me pousse sur le lit ou je m’affale sur le dos. Elle me saute dessus et me chevauche.–Après le grand noir, la grande blanche, laisse toi faire.Sa vulve est sur mon nombril, elle avance et recule son sexe sur mon ventre, je sens ses lèvres humides glisser sur ma peau. Mon sexe se redresse petit à petit jusqu’à venir effleurer ses fesses. Quand elle me sent prêt, elle se soulève un peu, ma verge se dresse au-dessus de mon ventre, elle se laisse descendre sur elle et fini par réussir à s’empaler dessus.–Ne bouge pas.Elle fait glisser son sexe le long du mien. Je sens sa cyprine couler sur mon pubis, elle augmente le rythme beaucoup plus vite que cette nuit, elle reste droite se caressant les seins, les pinçant de plus en plus fort jusqu’à exploser dans un violent orgasme.–Je jouis avec ton sexe, je jouis, je jouis.Elle retrouve son calme petit à petit, se couche sur moi.–Je ne m’en lasserais jamais. Tu sais que j’aime ton sexe de plus en plus toi ?–Tu m’en vois ravi, seulement, je suis un peu spécial, mon vécu m’a laissé des traces indélébiles, mon cœur n’est plus aussi accueillant, et je ne suis pas d’une grande fiabilité.–Je ne t’en demande pas tant, j’ai juste envie de faire un bout de chemin avec toi, je sais que nous ne représentons ni l’un ni l’autre l’avenir de l’autre.–Un bout de chemin ensemble, pourquoi pas.Elle pose ses lèvres sur les miennes et nous échangeons un long baiser. Elle finit par se lever.–Viens prendre une douche, après je t’emmène chez moi, il faut que je me change. J’ai envie de passer la journée avec toi, tu veux bien ?–Bien sûr, moi aussi, j’ai envie de passer la journée avec toi et plus si affinités.–Viens sous la douche.Nous entrons sous la douche, évidemment je finis par caresser l’intégralité de son superbe corps. Mes lèvres flottent sur sa peau pour se poser soit sur un sein, une fesse, une cuisse, son mont de vénus. Une fois arrivé là, ses mains m’immobilisent et me poussent vers son clitoris. Ma langue s’active sur cette petite tige jusqu’à ce qu’elle se tende et jouisse en silence. Au bout d’un moment, quand elle a repris ses esprits, elle me fait redresser, se saisi de ma verge raide comme un bout de bois, lève une jambe et se plante dessus.–Un sexe d’homme, il n’y a que ça de vrai.Je la plaque contre le mur et la besogne sauvagement.–Oui, comme ça, oui.Elle m’embrasse, me caresse jusqu’à fondre dans mes bras.–Oui, je jouis, tu me fais jouir, merci, merci.Quand elle atterri, elle pose ses lèvres sur les miennes pour un tendre baiser.–Merci, merci pour ta présence.–Charlette, tu ne vas pas me remercier tout le temps.–Non, seulement quand je le voudrais.Elle me regarde en souriant.–Il faut s’essuyer et s’habiller maintenant.Nous retournons dans la chambre, Charlette enfile sa jupe, son haut et se retourne.–Ou est mon string ?–Sur le fauteuil.Elle s’en saisi, le hume.–Non, je ne peux pas le mettre, il n’est pas net.Elle le jette sur le fauteuil. –Gardes le, je te le donne.–Tu as bien dit qu’il n’était pas net ?–Oui, je l’ai un peu souillé, tu n’avais qu’à pas m’exciter.Je le porte à mes narines.–Oh oui, ok, je le garde.Elle me regarde avec un sourire étrange. Je m’habille vite fait et nous descendons à la réception, Patrick nous demande si nous mangeons chez lui à midi, ce que nous confirmons.–Tu nous fais quelque chose de bon, d’accord ?–Parce que ce n’est pas bon d’habitude ?–Je plaisante, bisous cousin, à tout à l’heure vers treize heures.–Ok.Nous montons dans la voiture de Charlette, c’est une superbe Corvette C4 cabriolet bleue nuit métallisée or. Elle décapote et nous voilà partis. Je la regarde et je m’aperçois qu’avec sa jupe ultra courte, ses jambes légèrement écartées pour conduire, elle dévoile complètement son sexe, de plus le vent plaque son haut sur ses seins excités par le frottement.–Tu es super sexy, avec ton haut qui se plaque sur tes seins qui pointent et ta jupe qui ne te sert que de ceinture.–Comme ça, tout le monde en profite.Je la regarde de plus en plus étonné, cette fille n’a peur de rien, elle vit sa vie et assure. Nous arrivons chez elle, une bâtisse assez austère en pierres de taille au bout d’un petit village. C’est la maison familiale dont elle a hérité de ses parents et qui lui convient très bien. L’intérieur est beaucoup plus sympa que l’extérieur. Nous entrons directement dans une grande pièce qui sert de salon salle à manger avec une énorme cheminée au milieu d’une immense bibliothèque qui remplit le mur aveugle, meublée d’un mélange harmonieux de meubles rustiques et modernes, et surtout un plafond à la française. Elle dessert une cuisine, une chambre, ou trône un immense lit, avec salle de bain, une seconde chambre plus petite aménagée pour faire du sport, j’en étais sûr, des toilettes indépendantes, un bureau et une petite chambre donnant sur sa chambre, celle de Cindy. L’étage comprend trois chambres, une grande salle de bain, des toilettes séparées. Il y a aussi des combles qui peuvent être aménagées. C’est une maison pour une grande famille.–En fait, j’étais fille unique. Il y a eu un accident au moment de ma naissance et ma mère n’a pas pu avoir d’autres enfants.–Ca n’a pas que des inconvénients, les parents sont aux petits soins.–Oui, et en plus j’avais Charleen. Attends-moi ici, je vais me changer.–Je ne peux pas assister au spectacle ?Elle se retourne, me regarde avec ses yeux un peu moqueurs, me sourit et me fait signe de la main.–Aller, viens assister au spectacle.J’entre dans sa chambre, immense, avec trois armoires paysannes, deux fauteuils en cuir un divan et une table basse.–C’est un véritable salon.–Oui, je t’expliquerais, installe toi ou tu veux.Je m’installe dans un fauteuil super confortable et la regarde. Elle se retourne vers moi, se met à onduler des hanches et fait doucement monter son haut par-dessus ses épaules dévoilant petit à petit ses seins. Elle le fait tourner un instant au-dessus de sa tête et me l’envoi. Elle se retourne, pose ses mains sur le zip de sa fermeture, défait la pression, le fait descendre, ce qui découvre petit à petit ses fesses nues. Quand le zip est au bout de la fermeture, elle se retourne et me regarde droit dans les yeux. Son regard est perçant, fier, arrogant, elle me défi. Elle se penche en avant tout en me regardant et commence à faire descendre sa jupe. Ses hanches ondulent pendant que la jupe glisse lentement, très lentement le long de ses jambes. Une fois au sol, elle s’en saisi, la met au-dessus de sa tête, la tend entre ses deux mains et vient vers moi avec une démarche de défilé de mode. Arrivée sur moi, elle la fait passer par-dessus ma tête pour la poser sur mes épaules et m’en faire une écharpe. Je m’en saisi et la porte à mes narines en la regardant dans les yeux. Elle me sourit, se retourne et se dirige vers une des armoires, toujours avec cette démarche forcée. Elle l’ouvre et j’en reste scotché, il y a là pas moins d’une centaine de jupes ou de robes pendues sur deux niveaux. Elle va vers la seconde armoire, avec la même démarche, l’ouvre, et là, ce sont tous ses hauts, corsages, chemisiers, toujours pendus sur deux niveaux. Elle ouvre la troisième pour me présenter ses dessous. Il y a là, sur quatre ou cinq niveaux, des ensembles de sous-vêtements plus ou moins sexy. En général, plutôt plus.–Tu as voulu assister au spectacle, maintenant tu en es partie prenante, choisi.–C’est quoi tout ça.–Une garde-robe, tu ne vois pas.–Arrête, j’en ai vu des garde-robes, mais là, ça dépasse l’entendement, tu as des centaines de tenues, les possibilités ne sont pas loin de l’infini.–J’aimerai y tendre. Sérieusement, choisis moi une tenue pour aujourd’hui.–Charlette, je te connais à peine, je ne connais pas ton environnement, ni les coutumes du coin, et tu voudrais que je t’habille comme j’aimerais te voir évoluer ?–Exactement, et tu vas le faire sinon je sors nue pour aller manger chez Patrick.–Chiche.–Non, sois sympa, dis-moi ce que tu aimerais que je porte pour toi, sans aucunes contraintes, et de toute manière tu ne peux le faire qu’avec ce qu’il y a là.–Charlette, ça risque d’être plus que sexy, d’autant que tu ne fais rien pour me calmer.–Je sais, mais j’en ai envie, s’il te plait choisi quelque chose dans tout ça, je veux être ton image aujourd’hui, si tu la trouve ici.Je me lève, vais vers l’armoire des jupes et robes, je délaisse les robes pour choisir une jupe légère blanche et courte, fendue sur le côté, je vais choisir le haut et je tombe en arrêt sur un corsage en soie blanche magnifique assez transparent.–Ça, ça me plait, cette douceur, cette légèreté, cette sensualité.–Ok mon chéri.–Charlette.–Oui, mon chéri ?Je n’insiste pas, elle veut m’appeler « mon chéri » et bien qu’elle le fasse.–Entre nous, pas dans la boite.–Bien sûr mon chéri.Elle vient poser ses lèvres sur le miennes en me regardant de son regard franc et sensuel.–Exclusivement entre nous mon chéri. Bon pour les sous-vêtements, qu’est-ce que tu me conseille ?–Aucuns.–Pardon ?–Oui, aucuns, tu m’as demandé de choisir, je choisi de passer la journée avec une splendide femme habillée d’un corsage transparent, sans soustif assorti d’une jupe fendue sans culotte, c’est le fait du prince.–Jean.–Non, je te veux comme ça, belle sensuelle, offerte à moi comme aux autres.–Tu exagères, je vais évoluer dans un monde qui me connait, déjà que j’ai une réputation de femme plutôt libre.–Et bien ça leur prouveras qu’ils ont raison, et puis, c’est toi qui l’a voulu. Charlette, s’il te plait.–Ok, mais c’est bien pour le bonheur que tu m’as donné cette nuit et ce matin, je te dois bien ça.Elle prend la jupe et le corsage et les pose sur la table basse.–Tu es chez moi n’est-ce pas ?–Oui.–Et bien, c’est moi qui commande maintenant, à poil.–Tu sais qu’on doit aller chez Patrick pour déjeuner.–Patrick sert jusqu’à treize heures trente, on a plus que le temps, à poil.Je m’exécute et me retrouve nu dans sa chambre. Elle me pousse sur le lit, me met sur le dos et se penche sur ma bite. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, je bande comme un âne. Elle monte sur le lit, pivote pour me présenter sa vulve.–Occupes toi de mon sexe, je me charge du tien.Elle écarte les cuisses et descend sur ma bouche. Je tire la langue pour titiller son clitoris, elle s’empare de ma bite avec sa bouche et sa langue batifole sur mon gland. Nous nous concentrons sur le sexe l’un de l’autre afin de se donner un maximum de plaisir. La tension monte, elle est de plus en plus liquide, son sexe coule comme une fontaine, je m’abreuve de ce liquide divin. Mais après l’excitation de tout à l’heure et cette bouche experte sur ma queue, je ne peux résister longtemps.–Je viens Charlette, je viens.Elle accélère le mouvement et j’explose dans sa bouche. En même temps je la sens se raidir, ses cuisses me serrent la tête, son liquide est de plus en plus abondant, elle jouit aussi. Nous restons, moi sur sa vulve, elle mon sexe dans sa bouche un long moment. Je donne de temps en temps des petits coups de langue sur ses lèvres, ce qui la fait réagir.–Oui chéri, c’est bon, ça calme.Nous nous retournons pour être dans le même sens, elle me prend dans ses bras.–C’était super, je crois qu’au niveau du sexe, nous nous entendons parfaitement.–J’avais remarqué.–C’est bien, nous allons faire un bout de chemin heureux, plein d’explosions sexuelles, pour l’instant, je ne demande que ça.–Je ne sais pas si je pourrais t’en donner plus.–Tu m’expliqueras un jour ?–Peut-être, je ne sais pas, c’est une vielle blessure qui ne veut pas guérir, et qui, je pense, ne guérira jamais.–Tu es bien avec moi.–Oui, bien sûr que je suis bien avec toi chérie, je suis bien parce que je vis le moment, mais quelque chose en moi est définitivement cassé depuis trente ans, je n’y peux rien.–Je ne rêve pas, tu as dit « chérie ».–Oui, et je le pense.Elle se penche sur moi et m’embrasse tendrement. –Je compte donc un peu pour toi ?–Bien sûr, comme toutes les femmes qui ont fait ma vie. Tu comptes beaucoup. Mais j’aimerais qu’à l’avenir on évite le sujet pour l’instant.–Bien sûr chéri.Nous nous levons et allons prendre une douche qui, comme c’est devenu une habitude, se termine par une super minette qui la fait monter au ciel. A priori, elle aime beaucoup, et moi j’aime beaucoup le faire, recueillir son nectar. Elle se maquille légèrement, par petites touches, elle sait parfaitement bien faire ressortir la finesse de son visage malgré ses cheveux courts. Elle est splendide, cette fille est un canon.
lagatois34@gmail.com
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